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Nous vous souhaitons la bienvenue sur Obsession, votre forum de ressources graphiques ! Ici, vous trouverez tout ce dont vous avez besoin pour vous améliorer et vous créer votre propre style : textures, brushs, polices, tutoriels, colorings, etc. Que vous soyez graphiste confirmé ou petit débutant, nous vous accueillons bras ouverts et nous vous souhaitons un agréable séjour parmi nous ♥ Le staff.

Limitless (Sans frontière) est un forum rpg « Mondial ». Ceci signifie qu’il se déroule à plusieurs coins du monde en même temps, contrairement à la majorité des forums se déroulant uniquement sur une partie du globe, comme Londres, Paris ou New York. Ici, vous aurez le choix entre trois continents à travers trois de leurs grandes villes : l’Amérique, avec Los Angeles, l’Europe avec Londres, et l’Asie avec Tokyo. Néanmoins n’oubliez pas qu’un forum est avant tout un échange entre tous ses membres, alors préparez-vous à jouer autant avec les Américains qu’avec les Japonais et Britanniques, en une seule partie… Prêt à tenter l’aventure ?

Les beaux jours de la maison d'édition McStenley étaient bien loin à présent, la faillite les guettait s'ils ne trouvaient pas immédiatement un best-seller à vendre et vite. Après une réunion de crise pour sauver leur entreprise, ils avaient trouvé celle qui leur fallait : la romancière Abigail Cartwright. Elle avait déjà vendu des millions de livres un peu partout dans le monde. C'était elle, sa plume et son talent qu'il leur fallait pour sauver cette célèbre maison d'édition.

Après quelques négociations et l'amour de l'écriture, Abigail faisait partie de cette aventure du dernier espoir. Elle devait à présent écrire le meilleur de tous ses livres, écrire un livre qui réunirait des foules entières et qui ferait vibrer n'importe qui. Pour cette aventure, elle avait besoin : de personnages tous plus différents les uns que les autres, d'histoires aussi touchantes que drôles ou effrayantes et d'un univers à la fois ordinaire et incongru.

Ceci étant dit, l'écriture est un long processus et Abigail a cette faculté à apporter à son histoire une intrigue que vous n'aviez pas vu venir, qui surprend toujours le lecteur et qui a de nombreuses conséquences sur la vie de ses personnages, sur vos vies en somme. Ce processus est ce qui fait sa renommée et la qualité de ses oeuvres, méfiez-vous donc de ses humeurs.

A côté de ça, l'éditeur, George McStenley, porte un regard extérieur sur votre histoire et aimerait parfois que les choses avancent plus vite, ou que certains personnages évoluent différemment, il propose ses petites touches pour améliorer le roman, alors, libre à vous de satisfaire ou non les demandes plus ou moins cocasses de l'éditeur, mais n'oubliez jamais que c'est lui qui décidera de la parution du roman et donc de votre avenir.

À présent, Abigail a besoin de vous pour écrire son best-seller et sauver cette maison d'édition. Donnez vie à ses personnages, faites leur vivre vos envies et donnez tout ce que vous avez au plus profond de vous pour que ce bouquin soit le meilleur best-seller de tous les temps.

30 novembre 2015, Aspen Creek, Montana.

Cela fait un moment maintenant que j’avais envie de me pencher sur mes mémoires. Je ne suis pas quelqu’un d’intéressant pourtant, personne ne me remarque mais moi… oui moi je remarque les gens, je fais partie intégrante de leur existence quand bien même ils ne s’en rendraient pas compte. Alors si encore aujourd’hui, certaines choses vous échappent, ce n’est pas mon cas. Le temps presse à présent. Le danger se fait plus présent mais je souhaiterais, avant de quitter les environs, vous raconter ce qu’il s’est passé tel que moi je l’ai vu. Tout en franchise, sans bruit de couloir (je suis trop insipide de toute façon pour qu’on vienne m’en raconter). Je vais vous expliquer les choses telles que je les ai vus ou perçus. Si vous craignez les histoires d’horreur passez votre chemin. Ici Bambi finit bouffé par le chasseur et Cendrillon vieille, seule et désespérée. C’est ainsi, c’est la vie, la vie telle qu’elle est quand elle ne sort pas tout droit d’un conte de fée…

Enfin bref, vous voilà prévenu, rentrons donc dans le vif du sujet à présent…

Les jours sont longs, les oiseaux chantent et les cadavres se multiplient et pourrissent sous la terre. Rien d’étonnant à cela me direz-vous ! Et bien détrompez-vous. Depuis un peu plus de 3 ans maintenant, l’humanité à découvert qu’elle n’était pas la seule à fouler le sol de notre planète, les loups d’abord sous l’égide du Marrok américain se sont révélés à nous, et prenant le pli, les vampires ont finalement décidé d’embrayer le pas. Autant vous le dire tout de suite, cette pilule n’a pas été facile à avaler. Vous imaginez un peu ? Tous les romans, les films et les histoires que l’on vous a racontées, que vous regardiez pour vous faire peur, vous faire frissonner, pour bouleverser votre quotidien ; vous imaginez un peu toutes les questions qui nous sont venues à l’esprit ? Toutes les peurs enfantines de monstres dans le noir qui reviennent tout d’un coup?

Au début, certains pensaient que c’était politique, d’autres voyaient le signe avant-coureur de la fin du monde… On a eu besoin d’un temps d’adaptation, de verrous plus solides (ouais on se rassure comme on peut dans notre ignorance) on ne sortait même plus le soir et on barricadait portes et fenêtres, quant à la pleine lune… Et puis les autorités ont pris le parti de les intégrer à notre existence. On a revu la constitution, on a créé des textes de lois, des règlements, on a établi des compromis, une hiérarchie pour que l’on puisse vivre ensemble. Enfin, vivre ensemble, je ne sais pas si c’est le bon terme. Disons que des décisions ont été prises afin que l’on puisse... C O E X I S T E R.

Attention je ne vous dis pas que c’est plus facile aujourd’hui. Les vampires et les loups ont mauvaises réputations c’est vrai et à juste titre il faut bien l’avouer, mais les humains ne sont pas mieux dans leur genre ! Ségrégation, racisme, recrudescence de la religion… On avançait dans l’inconnu et sans vouloir excuser nos actes, on avait peur. Et puis, qui nous disait qu’ils étaient les seuls êtres paranormaux que l’on côtoyait au quotidien ? Qui nous disait qu’il n’y avait pas d’autres légendes sur lesquelles il fallait compter ? Les martiens peut-être ? Les Dieux (oui mais lesquels) ? Les démons ? Les sorcières ? Après tout si EUX existaient pourquoi pas les autres (et l’avenir allait nous prouver que nous avions raison de nous inquiéter à ce sujet, enfin, dans la plupart des cas)? Et qui nous disait que ces foutus suceurs de sang allaient respecter les traités que les hommes en cravates mettaient en place ? Alors on a déconné, ils ont déconné et on a tous payé nos conneries !

Voilà où on en est aujourd’hui dans une semi-acceptation, on doute de chacun, on essaie de faire confiance. L’humanité se divise aujourd’hui en deux branches, les pro-surnats et… les autres. C’est un peu comme ce foutu mur de Berlin à l’époque… Chacun se réserve aujourd’hui une partie du monde, tente de se payer la part du Lion comme on dit, et il faut bien l’avouer, la vie, la nature et notre survie n’est plus ce qu’elles étaient autrefois.

C’est pourquoi j’ai voulu laisser ses courtes mémoires, pour faire comprendre à ceux qui me liront que nous avions le choix. On aurait pu choisir d’accepter, d’insérer, de discuter, mais on n’était pas prêt à ce qui nous attendait. On galérait déjà à croire que 2012 serait la fin de notre monde alors imaginer que nos cauchemars allaient devenir réalité cette même année…

Mais tout n’est pas perdu, nous avons encore le choix. Une chance nous a été donnée, m’a été donnée et c’est pour ça qu’il ne me reste que si peu de temps. ON (et je n’ai pas le droit de vous révéler leurs identités), m’ont donné l’opportunité de sacrifier cette existence pour redonner une chance à l’humanité de changer de destin. Si tout se passe comme je l’espère, si vous et moi parvenons par notre présence, nos rencontres, nos sourires et éclats de rire à dévier le destin de son chemin alors mon sacrifice n’aura pas été vain. Peut-être alors verrais-je 2015 comme vous, comme nous tous ? Mais vous seul détenez la clef de notre avenir… Choisirez-vous de détester ses êtres à la fois si différents et si semblables à nous ? Ou bien, au contraire, choisirez-vous de rallier leur cause à la nôtre ? Amour ou haine ? Tolérance ou Intolérance ? Respect, curiosité ou indifférence ? C’est à vous de choisir et vous n’avez plus beaucoup de temps pour faire votre choix, alors réfléchissez bien !

En tout cas étranger, bienvenue ou bon retour au 30 novembre 2011 à Aspen Creek, Montana. Dans le pays du loup-garou comme on le dit en 2015. Bienvenue dans un monde qui ne connait pas encore l’existence des loups et du reste des surnats. Bienvenue dans un univers tel que tu le connais déjà. Parmi une faune et une flore sauvage, de la forêt et des grands espaces à perte de vue. Ecoute bien le silence ou plutôt les sons de la nature. N'entends-tu pas, déjà, hululer le loup un soir de pleine lune? Alors, bienvenue dans l'un des plus beaux endroits du monde. Et n'oublie pas, tout est question de choix, et ce qu'il adviendra de nous, dépend avant tout de ceux que tu feras...

LittleBIRDS est un forum de graphisme. Créé par 2 soeurs loufoques, vous ne risquez pas de vous ennuyer là-bas ! Vous pourrez exposer vos créations, participer à des concours, découvrir de nouvelles astuces pour votre logiciel, et surtout, VOUS AMUSER ! Venez nous rejoindre les birds ! ♥

New York, 1924. Dans le Broadway grandissant de cette ville si représentative de la période. Les grattes ciel voient le jour un à un. Ils poussent tels des fleurs à charpente métallique, sur ce morceau de terre baigné d’eau douce. Les cabarets s’illuminent et les rues dansent au rythme du jazz et du charleston. L’ambiance si particulière ne pourrait être décrite que par le positivisme. L’excentricité de ces robes amples et de leurs plumes permet un court instant de se laisser submerger par ce flot de douceur et d’enchantement. La guerre est achevée, les populations s’éveillent et oublient leur malheur le temps d’une danse déjantée, aux sonorités nouvelles. L’alcool et la fumée donnent à ces scènes quotidiennes un côté irréel. Laissez-vous bercez par cet audacieux, mais si enivrant mélange. Flânez donc dans les rues de Greenwich Village, laissez votre regard glisser vers ces fenêtres discrètes, derrière lesquelles se trament tant d'histoires singulières...

Au quatrième étage, repose seul sur une table usée par le temps, vestige d'une petite maison du fond de l'Ohio, un verre de whisky sour à demi vidé, apparaissant comme le refuge nécessaire à son propriétaire. Des tourments qui disparaissent dans le liquide ambré. Une gorgée qui efface les douleurs de l'usine, une gorgée qui permet d'oublier l'humiliation matinale, de se faire gueuler dessus par un contremaître propre sur lui. Une main puissante mais ridée qui tient l’objet de toutes les convoitises. L'objet interdit, et l'objet si courant. La prohibition et ses effets se ressentent davantage dans la transgression des règles.

Ce sont au troisième que des rires cristallins se font entendre, ils semblent inépuisables, malgré les accents désespérés de leur écho. Ces accents de toute une population vivant contre ceux qui leur refusent la vie. Tous ceux qui rient à gorge déployés d'être noirs dans une ville blanche, d'être femme dans une ville masculine, d'être domestique dans un pays riche. La douce odeur d’une soupe à l’aspect étrange. Le souffle de la vie dans la bouche des enfants, enfants un rien trop nombreux. Ce tintement doucereux échappé de sous une porte, qui réchauffe les cœurs.

Au deuxième étage, le crépitement réconfortant du bois dans un poêle poussiéreux. Un tablier tâché de farine et des mains expertes qui confectionne une pâte blanche, tout en suivant du regard une recette maternelle bien connue. Les recettes se transmettent de mères en filles, les maris épousent toujours des cuisinières attitrées. Une bouche qui fredonne une chanson populaire dans une insouciance équivoque, chanson de jazz, chanson de ce monde nouveau qui vient sans cesse frapper à la porte des new-yorkais. Les informations du jour s’échappent d'une radio au fort grésillement. Un souffle régulier, apaisé.

Au premier, les accords plaqués sur un piano laqué retentissent. Puissants, sonores. Les mains fines courent sur des touches lustrées à l’apparence impeccable. La rêverie accapare les esprits à l’audition de cette mélopée. Seule manque la voix puissante d’un saxophone pour faire de cette composition un air de jazz hors du commun. Un regard perçant où se distingue sans mal la concentration. Des esprits bercés par la musique. Les spectateurs qui écoutent religieusement tiennent tous d'une poigne de fer leur usine, leur bar, leurs collègues, leurs affaires. Ils signent un papier, ils rencontrent des secrétaires politiques, ils organisent des réceptions, et la face de New-York change. Il fait bon vivre au premier étage.

Et leurs destins croisés au détour d’un carrefour, quelques paroles échangées qui bâtissent à elles seules un semblant de relation. Le réconfort après la guerre et ses fantômes encore omniprésents. Ces millions de gestes sans importance et de paroles murmurées qui constituent la vie. Simplement, sans prétention, fioritures ou grandeurs inutiles. Leurs histoires, intimement liées à la nôtre dans l’évidence même du temps qui passe..
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ébauches d'ambiance

1. Les robes légères garnies de franges volent au rythme du saxophone. Les volutes de fumée blanche s'épaississent au-dessus du parquet lustré de la piste de danse. Un phonographe diffuse des airs de Jazz, tandis que du côté opposé de la pièce, les danseurs s'élancent dans un charleston entraînant. La cadence s'accélère en même temps que l'utopie positive qui s'empare de chacun. La mélopée, dans cette brume s'installe, lancinante, dans ce monde parallèle. Au bord d'un onirisme vacillant. Laissez cette ambiance si singulière s'emparer de votre cœur... Vous êtes dans les années folles.

2. Oubliez, le temps d’une nuit… Laissez la musique s’insinuer en vous, prenante, émouvante. Les accords plaqués sur les touches blanches résonnent dans l’obscurité du rideau. De la salle comble s’élèvent des murmures approbateurs. La clameur du public parvient aux oreilles du pianiste. Un signe. Le reste du groupe s’élance. Le saxophone dialogue avec les percussions. Ils se lèvent et dansent, dansent pour oublier le racisme, les inégalités, les injustices dont ils sont victimes. Les senteurs âcres d’alcool et de fumée font tourner les têtes… Vous êtes à Harlem.

Eita Academy (栄太 : grande gloire) est une école des arts de la scène, basée au sud de Tokyo. Chargée de former les plus rêveurs d'entre vous, elle entraîne tous ses étudiants aux durs métiers du divertissement, chanteur, musicien, acteur, mannequin, danseur. Sa formation est si poussée, que l'école dispose d'une renommée mondiale, attirant des étudiants du monde entier dans ses rangs.

L'on dit que c'est lors de l'adolescence que nous apprenons à être quelqu'un de meilleur. Que nous apprenons le monde, la vie, ainsi que ses vices. C'est certainement vrai. Mais certains n'hésitent point à profiter de la vie, et de leur jeunesse. L'on ne vit qu'une fois, et pour eux, chaque instant de leur insouciance est précieuse. Entre beuveries, tromperies, trahisons et profonde dépravation, certains sont prêts à profiter de cette année comme il se doit. Après tout, ne sommes nous point que de simples pions sur cet échiquier géant ? Ils n'ont rien à perdre ; rien.

À l'académie Frankin les choses ne changent pas, et ne demeurent guère différentes des autres écoles. Certains courent vers la réussite, et d'autres s'en fichent. Certains courent pour atteindre la popularité, d'autres se plaisent dans leur anonymat. Des personnalités tellement variées, des individus tous aussi différents les uns des autres. Mais hélas, chez les jeunes, la tolérance ne demeure point l'une des qualités premières. Ceux qui ne souhaitent pas entrer dans le moule sont traités comme des moins que rien. Ils sont bizutés, maltraités, humiliés, et leur quotidien demeure un calvaire. D'autres ont la vie facile, et sont nés avec une cuillère en or dans la bouche, bien que certains peuvent cacher un profond mal-être ; pauvres petits enfants riches, on vous plaindra quand on aura le temps.

Cette académie n'est cependant pas composée que d'un lycée, ce qui fait sa plus grande particularité. En effet, celle-ci accueille les étudiants de la somptueuse et pluvieuse ville de Seattle. La cohabitation semble harmonieuse, bien que quelques rivalités se fassent ressentir, surtout pour l'intégration des équipes de football, ou bien de cheerleaders. Les étudiants semblent pourtant bien plus matures, et n'ont qu'une chose en tête, réussir leur étude et atteindre leur objectif. Mais comme partout, il y a de la mauvaise herbe. Chacun se doit désormais de vivre. Chacun se doit désormais d'avancer. D'avancer, dans cette fosse aux lions. Et vous, dans quel camp vous rangerez-vous ?

Avant le 11 Septembre 2001, il paraissait normal que les soldats du feu se sacrifient ainsi que les policiers, plus personne ne s’émouvait en apprenant qu’un ambulancier avait été tué alors qu’il tentait de sauver la vie d’un membre de gang après une fusillade de rue, comme il y en avait tant. Mais plus rien ne fut pareil après l’attentat, que ce soit la vie des new yorkais ou bien tout simplement celle des américains. Beaucoup de policiers, d’ambulanciers et de pompiers plongèrent tête la première au-devant du danger pour tenter de sauver ceux qui pouvaient encore l’être. Et beaucoup d’entre eux le payèrent au prix fort, celui de leur vie. Cela marqua les mémoires à jamais et causa un traumatisme presque palpable au sein de la première puissance mondiale. Si eux, les puissants, pouvaient être attaqués de la sorte sans rien pouvoir y faire, qu’adviendrait-il du reste de l’humanité ? Beaucoup de membres du personnel de la ville de New York eurent besoin de suivre une thérapie, secoués par ce qu’ils virent et entendirent.

Pourtant, douze ans après, tout le monde semble avoir oublié. Bien sûr, les tours ne sont plus là mais la vie a repris son cours dans la ville qui ne dort jamais. La mort de Ben Laden a suscité le regain d’un patriotisme latent mais qui se soucie encore de savoir ce qu’est le quotidien de ces héros de tous les jours, ceux que l’on regarde sans même les voir et qui permettent pourtant d’éviter les débordements, de vous garantir une sécurité presque optimale où que vous soyez ?

Bienvenue dans la grosse pomme, celle qu’il vaut mieux croquer avant qu’elle ne vous avale tout cru. Si vous, vous ne les voyez pas et ne vous souvenez de leur existence que lorsque leur présence vous devient vitale, ils sont bel et bien là, jour après jour, nuit après nuit : ambulanciers, pompiers, policiers, médecins urgentistes et autres employés de la ville qui ont fait de votre sécurité leur raison d’être. Bien loin des paillettes de Broadway, ils sont ceux qui travaillent dans l’ombre et font de leur mieux pour empêcher la ville de se transformer en véritable champ de bataille.

Mais comme partout ailleurs, la drogue, la prostitution, les gangs et la misère font des ravages. Les chicanos se disputent certains quartiers avec les gangs afro américains présents depuis une éternité dans certaines parties de la ville. L’envers du décor a de quoi refroidir et pourtant c’est leur quotidien, celui de héros méconnus et souvent ignorés. Mais vous apprendrez vite qu’ici, il n’y a pas de bon ou de mauvais mais seulement des gens qui tentent de survivre de leur mieux et tout le monde sait que les gens trop zélés ne font jamais long feu. Tout est seulement une question de pouvoir mais surtout de choix. Les flics aux méthodes peu conventionnelles se font de plus en plus nombreux alors que des plaintes sont déposées tous les jours contre des pompiers aux mains baladeuses. Puis il y a ces hommes de loi ou politiciens ambitieux, issus ou non des minorités, qui se font les avocats du diable et plaident la clémence pour les membres de gangs, mettant en avant l’extrême pauvreté dans laquelle ils vivaient et leur incapacité à refuser ce qu’on leur proposait, justifiant ainsi l’innommable, espérant sûrement briguer un poste important.  Les limites entre bien et mal se brouillent de plus en plus chaque jour et personne ne peut affirmer qu’il est blanc comme neige, personne.


Enfoirés et zélés, tous sous la même bannière, bienvenue à New York !

Extrait de la campagne de recrutement du F.B.I.

Fidelity est le premier élément de la devise du F.B.I.. Pour être agent spécial du F.B.I., il faut être fidèle et loyal. Il faut déjà l'être envers sa nation, son pays, les Etats-Unis. Aucune traitrise n'est alors admise. Le F.B.I. recrute des personnes qui sont prêtes à servir leur pays. C'est pour cette raison qu'il faut être obligatoirement de nationalité américaine pour devenir agent spécial du F.B.I.. Il faut également être fidèle au serment prêter en devenant agent spécial du F.B.I.. Ce serment est le suivant : « Je jure solennellement de soutenir et défendre la Constitution des États-Unis contre tous ses ennemis, étrangers comme américains, d’obéir aux ordres et aux directives de mes responsables et d’entrer dans ce service sans aucune réserve. Que Dieu me vienne en aide ». Tous les agents spéciaux du F.B.I. doivent rester fidèles à leur serment et ce tout au long de leur carrière. Ils doivent également rester fidèles aux engagements pris. Lorsque l'on s'engage à devenir agent spécial du F.B.I., on s'engage dans plus qu'un métier, c'est presque le combat d'une vie. Chaque agent spécial travaille plus de 50 heures par semaine, il n'y a pas d'horaire fixe, le F.B.I. ne connait pas les week-end et les jours fériés. Il ne faut pas non plus faire ce travail pour bien gagner sa vie, car c'est loin d'être le cas. Le salaire est vraiment dérisoire par rapport à ce qui vous sera demandé. Il faut être également prêt à voir parfois peu sa famille, à devoir déménager du jour au lendemain. Les agents spéciaux du F.B.I. font un engagement lourd de conséquence pour leur vie. Ils sont tous prêts à mettre leur vie dans les mains de la nation. Enfin, la fidélité implique également la loyauté envers ses collègues, envers son équipe. Votre équipe sera comme une deuxième famille, une famille que vous verrez souvent plus que la votre. Vous passerez de nombreuses heures ensemble dans un combat commun. Chaque agent spécial doit accorder sa confiance à l'autre. Votre loyauté doit être sans limite. Vous mettez votre vie dans les mains de vos collègues et ils en font autant avec vous. La méfiance envers les autres n'est pas une chose permise.

Bravery est la deuxième composante de la devise du F.B.I.. Pour être agent spécial du F.B.I.., il faut être courageux. Il ne faut pas avoir peur de mourir pour sa nation. En s'engageant, chaque agent doit avoir conscience qu'il peut mourir pour son pays et tous les agents spéciaux doivent être prêt à le faire. Chaque agent spécial est prêt à mettre sa vie en danger pour sauver celle des autres, que ce soit un collègue, un témoin, une victime,... Il est également demandé aux agents spéciaux du F.B.I. de ne jamais s'avouer vaincus face à l'adversité. Il ne faut jamais baisser les bras. Il faut toujours essayer de surmonter les difficultés. Il faut également avoir le courage d'aller au bout de ses convictions. Le F.B.I. demande à ses agents un dépassement permanent de soi, d'aller plus loin que ses limites. Parfois, ce ne sera pas facile, on est confronté chaque jour, à la mort, à la haine, à la violence. Certes, vous serez content d'avoir réussi à sauver une vie, à rendre un enfant à ses parents, mais que ce passera-t-il quand ce ne sera pas le cas, quand à cette pauvre mère ce ne sera que le cadavre de son fils que vous aurez à lui offrir, que c'est à un père et à des orphelins que vous devrez annoncer que maman ne rentrera pas à la maison mais qu'elle a été retrouvée au fond du fossé. Être agent, ce n'est pas juste se prendre pour un super-héros, porter un badge et une arme. Cela implique sauver des vies, donner sa vie pour sauver celle des autres, ne pas hésiter à agir quitte à mourir s'il le faut. C'est être confronté au pire à chaque instant, à l'horreur du genre humain. C'est de ne pas avoir peur de fermer les yeux et de voir toutes ses images atroces revenir à la surface. Des choses horribles vous en verrez forcément tout au long de votre carrière au sein du F.B.I.. Mais il vous faudra pouvoir aller de l'avant, avoir le courage de continuer. Être agent spécial du F.B.I., c'est souvent devoir braver le temps, faire une course contre la montre car chaque seconde compte pour pouvoir sauver une vie. Ce que vous demande le F.B.I., c'est d'avoir plus que du courage.

Integrity est la dernière composante de la devise du F.B.I.. Cela implique que les agents spéciaux doivent être incorruptibles. Le F.B.I. recrute des agents qui ne se laisseront pas acheter à la moindre occasion, qui ne sont pas prêt à tourner leur veste pour devenir un ennemi de la nation. Les agents spéciaux du F.B.I. doivent respecter scrupuleusement la loi. Aucune infraction à la loi est donc admise. Il est donc interdit par exemple pour les agents spéciaux du F.B.I. de prendre des substances illicites (drogues). En tant que fonctionnaires, les agents spéciaux du F.B.I. n'ont également pas le droit d'avoir une autre activité professionnelle. Il est strictement interdit de gagner de l'argent par une autre activité quelque ce soit. Enfin et c'est le point le plus important, chaque agent spécial doit respecter le principe de réserve et de confidentialité. Il est strictement interdit de parler de son travail et de révéler des informations à d'autre personnes que ces collègues de travail. Cela peut être très difficile, car l'on ne peut rien dire à sa famille, à ses amis, l'on ne peut pas parler de son travail à qui que ce soit. (Cela ne veut pas dire que les agents spéciaux cachent le fait qu'ils sont agents spécial du F.B.I., ils ne cachent pas le fait qu'ils soient du F.B.I., mais les informations concernant les dossiers traités.)

Si après ce préambule, devenir agent spécial est une vocation, que vous êtes prêts à tout sacrifier pour le bien de votre nation, que vous êtes prêts à faire l'engagement le plus important de votre vie, alors n'hésitez plus et rejoignez nous.

Le F.B.I., plus qu'un métier, le choix d'une vie.

Une pièce sombre, peut être un garage. Sur les murs des dizaines de photo, et sur un bureau des dossiers portant le nom de personne résidant dans la ville de Apsen. Une étrange personne avec des gants découpe soigneusement des lettres dans les différents journaux de la ville, et dans des magasines, et contentieusement il les colle sur une feuille blanche. Des lettres de différentes tailles, de différente couleur, et tout à coup le message prend forme. « Je sais ce que vous avez fait, et franchement ça me dégoûte, attention, je suis toujours là. – C ». Un corbeau, voici ce qu’est cette mystérieuse personne au visage voilé, masqué. Un dossier sur chaque habitant de cette ville, un dossier comportant de nombreuse photo, et des annotations, et parfois même des informations d’ordre médicales. Un dossier contient de quoi faire chanter n’importe qui dans cette ville, puisqu’ici tous le monde a un secret plus ou moins dangereux, et terrible.

Aspen une ville de taille moyenne, Colorado à proximité de Denver, 6000 habitants, et 6000 histoires différentes, et autant de mensonge. On peut dire qu’en moyenne une personne va mentir environ quatre fois par jours, ce qui fait à peu près 1460 par an, et une fois que l’on arrive à l’âge de 60 ans, cela une moyenne de 88 000 mensonge dans sa vie. Le mensonge est tellement commun, tellement. Sauf que certaines personnes mentent beaucoup plus que d’autres, et parfois les mensonges sont honteux et terrible, même si le plus gros des mensonges reste « Merci je vais bien », ou alors « ta nouvelle couleur est splendide, j’adore. ». le mensonge fait parti de notre socièté et à Aspen c’est une véritable institution. Bienvenue à Aspen, travaillez votre mensonge, c’est ce qu’il vaut mieux pour vous.

Nous sommes en 1996 et c'est la 6ème année de nos héros. Qu'ils appartiennent aux Serpentards, ou bien aux Gryffondors. Nous les avons suivit à travers les livres, les films et les fan-fictions. Aujourd'hui, entrez dans un monde différent de l'univers habituel. Car rien ne se produira comme dans les livres. Un moldu a touché le mur qui sépare le monde des moldu des sorciers. Déclanchant un cataclysme. Chaque sorcier se retrouve avec un horcruxe (Umbra) en forme d'animal. Une menace vient de l'intérieur, les mangemorts ont un plan et l'ordre du phoenix aussi. Des élèves sont en mission à l'intérieur de Poudlard. Une vieille légende est revenue dut au cataclysme du moldu. N'oubliez pas qu'un seul grain de riz peut faire pencher la balance... Et qu'une seule décision un peu trop hâtive peut faire tomber toute une hiérarchie...