29 ans → Né(e) à New York le 20/08/1982 → Conservatrice à l'American Museum of Natural History célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Elaine ne possède pas de tatouages, ni de piercings, ce n'est pas vraiment son style. Mais elle a pour particularité d'avoir quelques grains de beauté au niveau du cou et du dos. De nature très féminine, elle se vêtit toujours à faire en sorte de mettre en valeur sa féminité. Son emploi exigeant une tenue plus que correcte, Elaine porte principalement des tailleurs, ou robes afin de garder une certaine classe. Escarpins et ballerines dominent largement son meuble à chaussure. Même si elle aime beaucoup les couleurs, elle ne pense pas nécessairement à en mettre beaucoup sur elle. Elle se maquille de telle sorte qu'elle puisse mettre en valeur ses yeux, et sa peau pâle-elle aura toujours un rouge à lèvres dans son sac à main-. A noter aussi qu'en été, quelques tâches de rousseur peuvent ressortir sur ses joues.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Elaine est de nature très calme, ne cherchant jamais à se casser la tête. Très posée, il est assez difficile de la contrarier, à moins que vous la cherchiez vraiment. Même si elle est issue d'une famille aisée, c'est une personne très simple d'esprit. Peut-être qu'aux premiers abords, elle peut sembler être froide et superficielle, mais il suffit de vouloir la connaître un peu plus et de surmonter le post-it "I am f*cking rich" sur son front pour découvrir une personne aimable et tolérante, ouverte. C'est aussi une fine gourmande, son péché-mignon sont les caramels au beurre salé. Peut-être que c'est une femme sociable, mais cela n'empêche pas qu'Elaine soit quelqu'un possédant une susceptibilité hors-norme. Ajoutez à cela son côté rancunier, et vous obtiendrez une sauce plus qu'épicée. Mieux vaut ne pas lui parler dans ces moments là. Elle a aussi horreur de se laisser marcher sur les pieds. Elle a eu une mère qui voulait un peu trop imposer sa volonté sur l'avenir de ses enfants, Elaine a décidé de se "rebeller" en faisant ce qu'elle désirait vraiment, et depuis, la conservatrice tient à donner ses avis lorsqu'elle juge que cela soit nécessaire
Well... It's my story...
"Alex, on va être en retard." Elle faisait les cent pas dans le hall, en attendant que son frère aîné se manifeste. Un gala de charité les attendait. Et ils allaient sûrement être en retard. La femme d'Alex, Zoey, était prise ailleurs, à cause de son travail. C'était une perle du business, très douée. Elaine l'appréciait beaucoup, sa belle-soeur était très amusante, qui prenait toujours du bon temps dès qu'elle en avait l'occasion. Mais ce n'était pas l'avis de Margaret, la mère d'Alex et Elaine. C'était une femme autoritaire, qui voulait toujours le mieux pour ses enfants. Au point de vouloir trop faire maman poule, et de tout décider à leur place. Les études, les habitations, elle voulait même pendant une période organiser une rencontre pour son fils aîné. Et c'était une chose qu'Elaine n'appréciait pas du tout. A cette période, Alex côtoyait déjà Zoey. Margaret désirait que ses enfants travaillent dans le business ou le management. Des domaines qui intéressaient nullement la jeune femme.
Alex descendait enfin les escaliers, redressant en même temps son noeud papillon. Il s'excusa, attrapa les clés de sa voiture, et les deux Compton se dirigèrent vers la voiture. Il n'y avait que les grandes têtes riches américaines à cette soirée. Elaine ne comprenait pas vraiment pourquoi elle a été invitée. La taille du porte-monnaie, sûrement. Vêtue d'une robe violette satinée, la conservatrice de musée sortit de la voiture et se dirigea avec son frère vers le grand hall, éclairé par un immense lustre. Il y avait déjà foule, la plupart avec une flûte de champagne à la main. Alex en prit deux sur un plateau que tenait un des serveurs, et donna l'une d'entre elles à sa soeur. Elaine appréciait beaucoup Alex. Bien sûr, ils avaient une relation fraternelle comme tout autre, avec les chamailleries et tout ce qui s'en suit. Mais il y avait une complicité très forte entre eux. C'était Elaine qui avait incité son frère à ce qu'il présente Zoey à la famille. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, c'est la plus jeune qui a tenu tête à la mère. Quant au père, lui, peu importait du comment et du quand, tout ce qu'il voulait, c'était que ses enfants réussissent, et soient heureux, quelque soit le domaine où le nom du gendre et de la belle-fille. Cette divergence d'idées entre les deux parents menaient à quelques conflits, notamment lorsqu'Elaine s'est décidée à tenir tête et à faire ce qu'elle désirait vraiment faire.
Elaine serrait de nombreuses mains pendant la soirée, même celles des personnes qu'elle avait bien du mal à supporter -l'humour vaseux, très peu pour elle. A ce moment là, elle échangeait des regards avec son frère, qui comprenait presque tout de suite ce à quoi elle pensait. Et il riait. Mais il y avait aussi quelques amis qui étaient là, qu'elle avait connu lorsqu'elle était à l'université. Des personnalités bien différentes, mais Elaine les appréciait comme ils étaient. Ils n'étaient malheureusement pas installés à la même table. Avec le temps et le travail -et parfois même, un bébé en route-, Elaine avait perdu contact avec ses amis d'université. Elle passait beaucoup moins de moments avec eux, à vrai dire. Mais ils se débrouillait toujours pour bloquer quelques soirées au courant de l'année pour se retrouver tous, et ces soirées était source de grand bonheur pour la conservatrice. Elle qui au départ, appréciait le calme et la solitude-ce qui est toujours le cas, selon ses humeurs-, s'est aussi mise à adorer les moments conviviaux avec un groupe d'amis avec qui elle aimait bien raconter des blagues salaces. Toujours en conflit avec sa mère, elle se débrouillait pour fêter Thanksgiving avec eux, ou elle s'organisait avec son frère pour en profiter avec lui.
Le vin rouge fut servi. La conservatrice était assise à côté de son frère. Ce dernier sourit, et voulait trinquer avec Elaine. Celle-ci se demandait pourquoi. La réponse était simple. "On a réussi nos vie comme nous le voulions. Ca vaut le coup de trinquer pour ça, non ?" Elaine acquiesça de la tête avec un large sourire et les deux verres s'entrechoquèrent dans un bruit cristallin.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Diane - pseudo net : Cassidy, 19 ans et presque toutes mes dents o/ ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je connais le forum depuis très longtemps, mais j'ai jamais osé m'y inscrire xD ★Ce personnage est-il un double compte ? → No ★Présence sur le forum → 6/7j ★Personnage inventé ou scénario ? → Invented
Mon exemple de RolePlay:
→ Les yeux de Maxyne s’ouvraient sur un paysage qui défilait rapidement devant elle. La tête collée contre la vitre du train, elle regardait sans intérêt les derniers lacs représentant fièrement son état d’origine, l’Iowa. Le visage neutre, avec un penchant pour la tristesse et la lassitude, la scientifique affichait aussi de lourds traits de fatigue sous ses yeux. Cela faisait plusieurs qu’elle n’arrivait plus à dormir, et si elle y parvenait, elle cauchemardait. Des nuits blanches dont elle se serait bien passée, car, de surcroît, Maxyne n’arrivait pas à se changer les idées. Blottie dans sa veste, elle se demandait ce qu’elle allait faire. La scientifique s’était absentée tout le week-end, pour se rendre dans son foyer natal. Elle n’avait spécifié à personne le pourquoi du comment, pas même à Charles. Elle espérait qu’il ne s’était pas permis de fouiller dans sa tête, même si elle lui avait demander de promettre de ne plus jamais le faire. Elle lui avait juste dit qu’elle allait voir sa famille, dont elle est très proche.
La jeune femme était jusque là seule dans sa cabine de train, mais quand celui-ci se stoppa au prochain arrêt, un couple avec leurs deux enfants demandait de pouvoir s’installer dans la même petite pièce. Maxyne se contentait d’un hochement de tête positif avant de retourner à ses pensées, les yeux rivés sur l’extérieur. Les deux gamins jouaient ensemble, mais n’étaient pas excessivement bruyants, pour des bambins de leur âge. Mais quoi qu’ils puissent faire, cela ne gênait pas Maxyne, trop perturbée, et trop entourée par de sombres nuages, lui obligeant une cécité de ce qui se passait réellement autour d’elle. Il restait environ une heure et demie de train avant d’arriver à New York. Par un grand coup de chance, Maxyne parvint à s’assoupir. Ce ne fut pas un sommeil sans mauvais rêves, mais au moins elle parvenait à se reposer un peu. Au réveil, elle avait déjà une meilleure mine, bien que les traits de fatigue se faisaient encore bien voir. Les freins du train crissaient, et s’arrêta à son terminus. La famille sortit aussitôt du wagon, apparemment pressée. La scientifique prit son temps de récupérer sa valise qui était posée au-dessus des sièges. Son sac à main sur l’épaule, elle touchait à nouveau les quais de la Grande Pomme, après un petit week-end d’absence. Maxyne se dirigeait machinalement vers la sortie, ne se sentant vraiment pas apte à appeler un de ces taxis jaunes au bord de la route. Mais elle n’allait pas non plus aller jusqu’à l’Institut à pied, quoi que l’idée ne lui déplaisait guère. Le temps était médiocre ce jour-là. Des nuages gris surplombaient tout l’Est des Etats-Unis. Le sol était humide, à cause d’une pluie qui avait cessée quelques dizaines de minutes auparavant.
Maxyne arrivait au bord de la route, regardant la circulation aux alentours, visant un taxi disponible. Dès qu’un véhicule s’approchait d’elle, la jeune femme leva le bras en l’air, et un ne tardait pas à se garer pour la récupérer. Elle indiqua au conducteur de s’arrêter juste avant le croisement qui menait jusqu’au domicile de Charles, elle ferait le reste à pied. Prendre l’air avant de rentrer lui ferait du bien. Il fallait qu’elle se remette les idées en place, qu’elle se dise qu’il fallait qu’elle travaille pour aider les mutants le lendemain. Peu important ses soucis personnels. Le taximan fut surpris de la destination, mais ne tentait pas de négocier ni de reposer la question, et s’engagea au plus vite dans la circulation new-yorkaise. Des bouchons et des klaxons à foison, comme d’habitude. Et Maxyne était toujours là à scruter le paysage, il n’y avait rien d’autre à faire de toute façon.
Donnant l’argent nécessaire au chauffeur, Maxyne le regardait ensuite faire demi-tour pour rejoindre le centre ville. Elle était à présent seule au bord de la route, le calme presque total. Juste le vent qui se faufilait entre les arbres, émettant un bruit paisible pour les oreilles de la scientifique. Elle n’arrivait pas à retomber sur ses pieds, et ça la perturbait. Oui, ça la perturbait, ça l’attristait, et ça finissait par l’énerver. Ne pas pouvoir contrôler ses propres émotions était une chose dont elle n’était pas habituée. Et ce sentiment d’être dans des terres inconnues la mettait mal à l’aise. Elle arrivait toujours à cacher ce qu’elle pensait jusqu’ici, c’était une barrière qui ne l’obligeait à étaler toute sa vie à n’importe qui, et Maxyne s’en était très bien contentée jusqu’ici. Mis à part sa famille, elle n’avait jamais vraiment trouvé un véritable confident. Il y avait toujours ce problème de confiance qui demeurait à chaque question, et cela bloquait toute parole venant de la scientifique. L’arrivée de Charles dans sa vie à beaucoup changé cette petite habitude, parce qu’elle savait que c’était une personne de confiance. Depuis sa première visite à l’Institut, elle arrivait mieux à raconter sa vie, du moins, des parties, et à exprimer ce qu’elle ressentait, bien qu’elle avait toujours de mal à trouver les mots qu’il fallait. Maxyne respectait énormément Charles. Pour tout ce qu’il a fait pour les mutants, l’investissement matériel mais aussi psychologique, il fallait une volonté de fer, une idée sur laquelle il restait bien attaché. Il avait toutes les qualités requises pour être un excellent leader, et pour mettre en confiance ceux qui n’en ont aucune. Avant qu’il ne lui révèle vraiment l’existence des mutants, Charles avait déjà foi en Maxyne, ce dont elle ne parvenait toujours pas à s’expliquer. Cette confiance totale qu’il avait en elle, la rassurait et l’apaisait. C’était bien la première personne à s’intéresser autant à son travail, et à la soutenir, quoi qu’il advienne. Depuis son arrivée à l’Institut, Maxyne avait tout le temps pour sympathiser avec Charles. Elle tenait beaucoup à lui. Le Professeur était presque parvenu à la faire rire, un soir. Ce n’est peut-être rien pour vous, mais cela frôlait le miracle pour la jeune femme.
Enfin, elle se décidait à reprendre le chemin, d’un pas lent. Pour une fois, elle espérait ne pas croiser Charles dans l’Institut. Son objectif était d’aller directement dans sa chambre. Maxyne avait juste besoin de solitude, elle ne tenait pas à ce qu’on la bombarde de questions, que ce soit personnel, ou pour aider les mutants. Maxyne longeait la petite route bordée d’immenses arbres. Elle arrivait devant les grilles de l’Institut plus vite que prévu. Fixant l’énorme bâtisse, la jeune femme se plongeait une nouvelle fois dans ses pensées. Elle ne voulait pas que Charles la voit dans cet était. Elle se trouvait presque pitoyable, alors que ce qu’elle pouvait ressentir était tout ce qu’il y avait plus d’humain suite aux récents évènements. Savoir cacher ses émotions était comme une preuve pour Maxyne. Une preuve qu’elle savait être forte, sans être mutante. Il fallait avouer qu’elle se sentait un peu inférieure face à tous les autres résidents de l’Institut. Tous mutants, tous meilleurs qu’elle, dans un sens. Après avoir poussé un profond soupire, Maxyne se rendit à l’entrée. Les grincements de la porte étaient traitres, et permettait d’éviter toute entrée en toute discrétion. Il y avait des personnes un peu dans toutes les pièces, en train de papoter de la pluie et du beau temps, en train de rire, de se raconter les dernières blagues, débattre sur les dernières informations. Maxyne ne cherchait même pas à savoir qui était là, si Sarah la fusillait du regard, ou si Alex voulait la saluer. Elle traversa le hall d’entrée pour monter les escaliers, et rejoindre sa chambre.
Au fond, elle voulait passer du bon temps avec les élèves, avec les autres professeurs, avec Charles. Mais la jeune femme ne tenait pas à craquer devant eux. Cela faisait prêt d’une semaine qu’elle retenait toutes ses larmes. Cela faisait prêt d’une semaine qu’elle se disait que tout allait presque bien, que ce n’était qu’un mauvais moment à passer, même si elle savait que c’était bien plus grave que ça, qu’une partie de sa vie venait de s’effondrer à terre. Maxyne grimpait les escaliers afin de rejoindre sa chambre. Lorsqu’elle fermait la porte de cette dernière, c’était à nouveau le calme plat. La scientifique restait un moment collée contre la porte, à contempler sans raison la pièce dans laquelle elle vivait depuis quelques semaines. Elle se décida ensuite à poser la valise sur son lit, pour ensuite ranger machinalement ses vêtements dans l’armoire. Une fois tout remis en état, elle s’installa au bout de son lit, joignant ses mains, qui était soutenu par ses jambes. Inspirant et expirant fortement pour éviter une vague d’émotions de s’extérioriser, Maxyne tentait une nouvelle fois de tout remettre en place dans sa tête. Elle se frotta ensuite la tête avec ses mains, se releva, et s’installa sur sa chaise de bureau, contemplant ses dernières notes. Les calculs effectués étaient comme brouillés, mais l’image paraissait de plus en plus nette, puis elle en comprit le sens. Elle récupéra un crayon de papier, et griffonna des notes supplémentaires. Mais son intelligence et sa logique ne semblaient pas être au rendez-vous. Maxyne gribouillait chaque ligne qu’elle démarrait, remarquant à chaque fois une nouvelle erreur, toujours plus grosse que la précédente. Au final, la page était pleine de ratures, et dans un flux de colère (aussi minime puisse-t-il être), elle saisit le papier, le chiffonnait, formant ainsi une boule, qu’elle jeta dans la poubelle se trouvant juste à côté de son bureau. S’appuyant contre le dossier de sa chaise, Maxyne regardait avec désolation les différents dossiers exposés sur son bureau. C’était là qu’elle se sentit incapable de faire toute chose, l’inutilité à son comble.
Le code règlement:
→ Yankees Rock
Dernière édition par Elaine C. Compton le Lun 5 Déc - 0:11, édité 9 fois
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 21:34
Bienvenue Elaine Contente que tu te sois enfin décidée alors Si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 21:36
Bienvenue Merci d'ajouter le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre s'il te plaît (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 21:41
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 21:43
Merci pour votre accueil ♥
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Jamais osé t'y inscrire? On ne mange personne promis Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 22:44
Ne me mangez pas i.i Nan en fait je me disais que ce forum était trop bien pour moi xD !! (si si, c'est vrait ._.)
Merci pour votre accueil, again, mais ça fait trop plaisir o/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 23:04
evaaaa. (le titre je surkiffe. ) bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Dim 4 Déc - 23:30
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Lun 5 Déc - 0:09
Bienvenue
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Lun 5 Déc - 10:14
Merci beaucoup !
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Lun 5 Déc - 14:51
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite poire (a)
Have Fun !
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Lun 5 Déc - 19:34
Merci beaucoup Charlie ♥
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies Lun 5 Déc - 19:49
Bienvenue
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Sujet: Re: ELAINE ❡ heaven lies
ELAINE ❡ heaven lies
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