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young teacher; the subject. – AARON.

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Cheyenne L. Pearson
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Empire State of Mind
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MessageSujet: young teacher; the subject. – AARON. young teacher; the subject. – AARON. EmptySam 17 Mar - 1:52

    NYU, de bon matin.
    C’était avec l’esprit encore un peu embrouillé que j’avais gravi les marches de la célèbre université New-Yorkaise. C’était un jour à graver dans la pierre blanche. Mes grands-parents avaient beau dépensé des sommes astronomiques pour mon éducation, je n’étais pas ce qu’on pouvait appeler une étudiante très assidue. Soyons honnête, je zappai 99% de mes cours. Le seul auquel je me rendais volontairement était celui de théâtre. La pratique il n’y a que ça de vrai. J’aimai me mettre dans la peau de quelqu’un d’autre l’espace de quelques heures, oublier tout ce qui me pesait sur le cœur depuis des années, les joies, les peines, les trahisons, une pseudo-famille, des mensonges à tout va … Et ils s’étonnaient encore que j’étais devenue une peste sans cœur, à qui la faute ? C’était toutes ces petites choses qui faisaient de moi ce que j’étais aujourd’hui, elle était bien loin la petite fille modèle à qui tout souriait. Alors quand on m’offrait l’opportunité de mettre tout ça derrière moi l’espace d’une demi-journée, j’y courais et ce, même si j’avais fait la fête toute la nuit –ce qui était le cas la plus part du temps d’ailleurs-.

    J’étais toujours un peu perdue au milieu de ces nombreux couloirs, des milliers d’étudiants qui grouillaient telle une fourmilière. Tout cela m’était tellement peu familier, je préférai largement assister aux galas et tout le bla bla des mondanités même si c’était chiant à mourir. Bref. Je pris donc le seul chemin que je connaissais ici : celui de l’auditorium. Cette pièce me faisait toujours un effet assez bizarre, j’étais comme une gamine devant sa première poupée Barbie, je trépignais d’impatience de pouvoir enfin fouler la scène et oublier l’horrible mademoiselle Pearson. Je pris place au deuxième rang et observai ceux qui suivaient la même filaire que moi en pensant qu’aucun d’entre eux n’arriveraient à ma cheville. Trop confiante moi ? Non, je ne pense pas. Je prenais tellement de plaisir à jouer un rôle que cela en devenait presque naturel, il faut dire que le fait d’être une sacrée menteuse était d’une grande aide aussi. Parfois, il arrivait même que je compare ma vie à une digne tragédie grecque où je n’étais que la marionnette des vieux Pearson & Sharma. Ah ceux-là un jour ils auraient ma peau. Bref, mon prof fit son entrée –sur scène la grande classe-. J’avais Marston comme prof depuis le début du semestre et honnêtement ce type me plaisait pas mal. Il était enseignant et alors ? Ce n’est pas ce qui allait m’arrêter. Quand j’avais quelque chose en tête je ne l’avais pas ailleurs comme on dit et ce cher Aaron, j’étais déterminée à l’avoir. Un petit sourire en coin illumina mon visage alors qu’il annonçait l’exercice du jour.

    (…)

    Deux heures plus tard le cours se finit dans le retentissement d’applaudissement habituel. J’étais plutôt satisfaite de moi et de ma présentation, une impro plutôt folle mais avec un type quelque conque … Qui aurait été beaucoup mieux si je m’étais retrouvée en tête à tête avec le Marston. D’ailleurs, je pris bien mon temps pour ranger mes petites affaires le temps que l’auditorium se vide en grande partie. Plus de parasites à l’horizon ? A moi de jouer. Un petit mouvement de tête afin de remettre ma crinière brune à sa place et je m’avançai en direction du dénommé Aaron.

    « Monsieur Marston ? J’aurai besoin de votre aide si vous avez quelques minutes à m’accorder » Je resserrais un peu plus mon étreinte sur mon bloc-notes dont toutes les pages étaient encore immaculées. Je n’attendis pas sa réponse et commença mon petit speech « J’aimerai savoir si vous auriez des conseils à me donner, mes amis m’ont inscrite à une audition mais je ne suis pas sure d’être totalement prête pour une telle compétition et d’être seule sous les projecteurs … Je ne suis pas rassurée à l’idée d’affronter toute une élite d’acteurs et d’actrices avec un minimum d’expérience comparé à moi. » Je repris ma respiration. Tout cela était naturellement faux, totalement faux. Les auditions –si jamais je devais en passer une- je la choisirai moi-même, la compétition ne me faisait pas peur, j’avais bien trop confiance en moi pour ça et quant au fait d’être sous le feu de la rampe … C’est ce dont j’avais déjà le droit à chaque gala de charité, que des familiarités en somme. Mais il avait bien fallut que je trouve un système D pour partir en chasse. J’enchainai « Ce n’est qu’un concours mais mes amis me mettent déjà la pression comme si j’avais déjà l’emporté la victoire d’un award ou même d’un oscar, c’est limite s’ils m’écrivent pas mon discours pour que je n’oublie pas de les remercier. C’est totalement dingue ! Du coup, je flippe un peu et si finalement je récoltai le prix de la pire actrice ? Et même ai-je une chance d’atteindre le haut du classement un jour ? De fouler les tapis-rouge ? » Je soupirai avec une mine digne d’une désespérée. « Je dois vous ennuyer avec mes bêtises. J’aimerai juste avoir des conseils de la part d’un pro comme vous ! Ce que je dois améliorer, travaillé … Je crois que j’aurai du mal à encaisser un échec. Aidez-moi … s’il vous plait » et hop un petit regard de chien battu et c’était dans la poche. Un petit compliment sur sa personne placé au passage, jouer la carte de la vulnérabilité, de l’étudiante peu sure d’elle qui a besoin de l’aide son professeur si elle ne voulait pas foncer droit dans le mur … Approche infaillible, il ne me restait plus qu’à glisser l’idée d’un tête à tête un peu plus tard. Ah, j’étais fière de moi parfois.
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MessageSujet: Re: young teacher; the subject. – AARON. young teacher; the subject. – AARON. EmptyLun 19 Mar - 3:34


Ҩ young teacher; the subject.



C'était un matin où Aaron n'avait pas l'envie de se lever. Son réveil le comprit bien vite lorsqu'il fut éteint sans que son propriétaire ne daigne ouvrir un œil. Il passa sa tête sous son oreiller en grognant, et chercha à se rendormir, incapable de faire le moindre mouvement. Non, il ne voulait pas aller travailler, il ne voulait pas voir ses élèves, il ne voulait pas s'énerver contre eux à nouveau, il ne voulait pas les voir sourire bêtement, il ne voulait répondre à aucune question... Il ne voulait rien faire, seulement dormir. Oui, cette idée était parfaitement envisageable, il aurait juste à appeler pour dire qu'il était malade, et l'affaire serait dans le sac. Un sourire se dessina sur les lèvres du new yorkais à cette idée, tandis qu'il poussait un soupir satisfait en cherchant à se rendormir. Il aurait pu y arriver si sa fille n'était pas entrée dans sa chambre pour ouvrir les rideaux et tirer la couette au sol. Aaron se crispa en relevant la tête et, les yeux mi-clos, observa son enfant de dix ans ouvrir son armoire pour piocher des vêtements. « Tu vas être en retard papa. » « Depuis quand es-tu réveillée ? » demanda le professeur en se frottant les yeux, « Depuis une heure. J'ai mangé, j'ai pris ma douche, j'ai fais mon sac pour l'école et maintenant je t'attends pour partir. Tiens, tes vêtements. » Elle posa une tenue sur une chaise, et sortit de la chambre sans lui adresser un regard. Aaron se résigna à lui demander un bisou, et haussa les épaules en se levant pour se diriger vers la salle de bain. Il savait que sa fille détestait le saluer lorsqu'il venait de se réveiller, sous prétexte qu'il avait mauvaise haleine. La vérité sort de la bouche des enfants après tout... Une fois dans sa douche, le new yorkais se savonna, se rinça, puis se sécha avant d'aller enfiler les vêtements qu'Yseult avait choisi pour lui. Puis, il alla boire un café, se brossa les dents, et pu enfin déposer un baiser sur la joue de sa fille. Enfin prêt, il pu quitter son appartement en compagnie de son enfant, afin de l'emmener à l'école avant d'aller lui-même à l'université. Le trajet n'était pas bien long, et une fois devant son établissement, Yseult embrassa son père et ouvrit la portière. « A ce soir papa ! Et n'oublie pas d'acheter du lait ! » Aaron hocha la tête et la regarda entrer dans l'enceinte de son école, avant de redémarrer pour se rendre sur son lieu de travail. Tout en conduisant, le new yorkais songeait à la longue journée qui l'attendait, et ne pu s'empêcher de grommeler avant de se frotter les cheveux. Il ne s'était pas coiffé, peu importe, même si ses élèves avaient l'habitude de le voir propre, rasé, avec ses lunettes... Non, pas aujourd'hui. Les cheveux en bataille, le commencement d'un bouc sur le menton, des lentilles... il n'avait pas envie de passer pour le professeur exemplaire aujourd'hui.

Une fois arrivé sur place, Aaron se gara et quitta son véhicule pour entrer dans l'université. Il passa rapidement par la salle des professeurs afin de boire un autre café, puis se décida à se rendre dans l'auditorium où il donnait son premier cours. La journée risquait d'être longue, et le professeur priait déjà pour que les heures s'écoulent rapidement. Et pourtant, ce fut tout le contraire. Les premiers cours furent abominables, trop longs à son goût, mais il ne pouvait rien y faire. Pour l'un des derniers, il préféra opter pour des improvisations variées, et laissa libre cour à ses élèves, tout en restant affalé dans l'un des sièges en les observant. Heureusement, certains étaient là pour rattraper le niveau et permettaient à Aaron de ne pas s'endormir. Il était fier du travail de quelques uns, mais ne leur montrait pas tout de suite histoire qu'ils ne prennent pas la grosse tête et se laissent aller. Passons. Ce cours fut plus agréable que les autres, et Aaron les laissa partir sur cette dernière note, en montant sur l'estrade pour aller ranger les quelques chaises qui avaient été déplacé durant le cours. Maintenant, il ne pensait qu'à une seule chose : rentrer chez lui, prendre une bonne douche et ne plus rien faire. Cette idée était particulièrement alléchante, et le professeur était d'autant plus impatient de quitter cet endroit. Mais ce ne serait sûrement pas pour maintenant...

« Monsieur Marston ? J'aurais besoin de votre aide si vous avez quelques minutes à m'accorder. » L'intéressé tourna la tête. Cheyenne. Évidemment. Bien qu'il n'était pas totalement dupe concernant le comportement de son élève, il ne pouvait pas refuser, et n'allait pas le faire. Il se posta alors face à elle, les bras croisés, tandis qu'elle continuait. « J'aimerais savoir si vous auriez des conseils à me donner, mes amis m'ont inscrite à une audition mais je ne suis pas sûre d'être totalement prête pour une telle compétition et d'être seule sous les projecteurs... » Aaron haussa les sourcils, sans prononcer un mot. Il n'était pas sûr de bien suivre, mais avait sa petite idée derrière la tête. « Ce n'est qu'un concours mais mes amis me mettent déjà la pression comme si j'avais déjà emporté la victoire d'un award ou même d'un oscar, c'est limite s'ils m'écrivent pas mon discours pour que je n'oublie pas de les remercier. C'est totalement dingue ! Du couo, je flippe un peu et si finalement je récoltais le prix de la pire actrice ? Et même ai-je chance d'atteindre le haut du classement un jour ? De fouler les tapis rouges ? Je dois vous ennuyer avec mes bêtises. J'aimerais juste avoir des conseils de la part d'un pro comme vous ! Ce que je dois améliorer, travailler... Je crois que j'aurais du mal à encaisser un échec. Aidez moi... s'il vous plaît... » Aaron haussa les sourcils, totalement surprit de ce qu'elle venait de dire, et ne pu s'empêcher d'éclater de rire avant de secouer la tête en passant une main dans ses cheveux. Puis, il se racla la gorge en faisant quelques pas sur l'estrade. « Cheyenne, j'espère pour toi que tu n'es pas en train de te payer ma tête, mais bon, puisque tu as envie de l'entendre, sache que tu n'as pas de souci à te faire. Tu dois être l'une des personnes qui ne me désespèrent pas dans ce cours, et puis à ta façon de jouer quand tu es ici, je ne comprends pas comment tu peux avoir si peu de confiance en toi. Même si je doute de ta sincérité là. Tu es vraiment bonne actrice, mais pas assez pour m'avoir. » Il se tourna vers elle, un sourire en coin. « Quoi qu'il en soit, en admettant que cette histoire de casting est vraie, en quoi consiste-t-il ? Parce que si tu en as besoin, on peut te faire répéter un peu. »
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MessageSujet: Re: young teacher; the subject. – AARON. young teacher; the subject. – AARON. EmptyJeu 5 Avr - 22:57

    Je n’irai pas jusqu’à dire que j’avais un don pour la comédie mais du talent c’était certain. Je crois bien que je devrai remercier ma chère mère pour ça. Depuis son départ –alors que j’étais encore haute comme trois pommes- j’avais appris à faire bonne figure à la demande de mes grands-parents trop préoccupé que l’affaire soit divulguée au sein de leur joli monde artificiel qu’était le gratin New-Yorkais. J’étais rodée, expérimentée, presque programmée à mentir à quiconque quanta mon état d’esprit –et ce qui était toujours le cas aujourd’hui d’ailleurs-, oui je vais bien ne t’en fait pas, non je ne sais pas où est ma mère, ni pourquoi elle est partie. C’est cela oui, cette trainée s’était expatriée dans le Bronx lorsque l’avocat lui avait annoncé que mon père avait laissé toute sa fortune à moi, sa petite fille, et non à la marâtre vénale à souhait. Honnêtement qui pouvais préférer le fric à sa fille ? Oui j’étais moi-même un véritable cœur de pierre mais à ce point … Je savais de qui tenir ma foi. Alors dans cette configuration, il est vrai que c’était un peu me foutre de mon professeur de remettre tout ça en cause ? Cette histoire de casting était bidon mais le fait que je doute de moi l’était encore plus.

    Et allez que je te sorte le grand blablatage magistral, que je ne te laisse pas placer un mot, que je fasse ma petite chose innocente, il ne manquait plus que les yeux de chien battu pour que ce soit un comble. La bonne actrice –que j’étais donc- savait faire la part des choses, inutile d’en faire trop ou mon coup de poker serait bien trop flagrant pour être vrai. Je devais rester un minimum crédible. J’avais profité que l’auditorium se vide de la majorité des étudiants pour aborder mon professeur, autant faire ça discrètement, je ne tenais pas à ce qu’une des blondes oxygénées prêtes à tout pour se faire un nom ne fasse irruption pour tout savoir sur le casting bidon. Si je me payais sa tête ? Bien sûr que oui. En quoi consistait ce fameux casting ? Bonne question. En attendant, j’étais ravie de ces quelques compliments acquis au compte-goutte.

    « Loin de moi cette idée, je vous assure. En étant dans le milieu du théâtre vous devriez savoir que les apparences sont parfois trompeuses, je ne suis pas aussi confiante que ça en vérité » Je jouai la carte de la vulnérabilité. Certes j’y étais moi-même par moment mais pas sur ce point-là. J’avais la chance d’être dotée d’une incroyable confiance en ma petite personne, trop parfois d’ailleurs. « Mais si cela échappe à un pro tel que vous c’est que vous avez sans doute raison sur le fait que je sois plutôt douée » J’esquissai un sourire en coin. Bien entendu que je l’étais, pas besoin de Marston pour me le démontrer par a+b. Je pris une profonde inspiration avant d’inventer de toute pièce un énième bobard quant au sujet du casting. « De ce que m’ont dit mes amis, ce serait pour un film à l’eau de rose un peu dans le style de Un Jour avec Anne Hathaway. Vous l’avez vu ? La fin est tellement dramatique la façon dont Emma meurt et le pauvre Dexter qui ne trouve plus de sens à sa vie sans elle … Enfin, vous voyez, la typique histoire d’amour qui vire au drame ! » J’étais satisfaite de voir que j’étais toujours aussi fine pour mes inventions farfelues. Il me proposait de répéter ? C’était avec plaisir. « Alors oui, je pense que m’aider à répéter ne serait pas de refus. Ce genre de rôle me fait pas mal stresser, c’est tellement profond, je ne sais pas comment rendre un tel sentiment réel quand il n’y a rien en-dessous. » Bon, là-dessus je ne mentais pas vraiment. Je n’avais jamais éprouvé de sentiments forts dans ma vie –enfin depuis que ma mère avait si gentiment claqué la porte-, je passais mon temps à passer de type insignifiant en type insignifiant telle une abeille qui butinerait trente-six fleurs en une journée. Cependant je ne doutais pas être capable de mimer ce genre de chose, j’avais déjà bien joué quelque coup tordu du genre. « Mais comme on dit Alea Jacta Est, maintenant que je suis inscrite, je ne peux pas faire demi-tour et je dois avouer que je ne voudrais pas non plus, j’ai toujours eu horreur de l’échec … Ce n’est pas pour rien que je suis venue vous trouver » Je souris à nouveau.

    Puis, posant mon sac sur l’un des sièges du premier rang, je montais sur scène afin de débuter les répétitions. Il m’avait proposé, je n’allais pas le laisser se défiler ou changer d’avis. Désolée monsieur Marston mais aujourd’hui vous allez faire des heures supplémentaires. « Dans tous les cas, je suis prête à travailler. Je crois que je vous serai éternellement reconnaissante pour votre aide » et voilà avec une phrase telle que celle-ci, c’est lui qui n’allait définitivement pas faire marche arrière. Je posais mes mains sur mes hanches en attendant que le dénommé Aaron me rejoigne sur scène afin d’établir les premiers exercices –et pour moi, le rapprochement attendu-.

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