Sujet: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 15:43
FEAT. KAYA SCODELARIO
Blaise Maci Garfield
20 ans → Né(e) à Saint-Pétersbourg le 22/12/1991 → Etude en art célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Commençons d'abord par mon prénom; Blaise. Non, ce n'est pas un surnom ou un diminutif, c'est 'soit disant' un prénom Russe selon mon parrain. J'ai du mal à le croire. Mais je ne me pleins pas, je suis presque suer d'être la seule russe à New-York qui porte ce prénom et ça, c'est la classe. Question tatouages, piercings et tout le tralala, j'adore! J'ai du attendre mes vingts ans pour me tatouer une plume dans le dos ainsi qu'un piercing à la langue qui sert à rien. On me dit souvent que j'ai un accent étranger et mes potes adorent blaguer sur mes origines. Je suis assez petite malgré que je suis fille de géants! Non, j'exagère mais tout ce qui est petit est mignon, n'est-ce pas? Avec "ces vêtements de racaille" comme dirait Poppy, j'ai un style vestimentaire bien à moi. J'aime porter des trucs légers, sans être trop coquette. Les filles à paillettes, je déteste ça! C'est d'un laid. Je suis très désordonnée, je ne retrouve jamais mes affaires et j'oublie tout. Ma chambre est une caverne mais je prends ça comme de l'art, j'adore mettre le bazar, c'est un moyen pour moi de me libérer. Peut être qu'on peut me prendre pour une folle, ou peut être pas. Mais rassurez-vous, j'ai bien toute ma tête et mes esprits. Ce sont les seuls choses à ne pas être en désordre. Je fume, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout. Ça dépend des jours, selon mon humeur. Tabac ou joint, je mélange le tout accompagné d'une petite bouteille alcoolisée. N'aillez crainte, je suis loin d'être une alcoolique! J'aime m'amuser, en modération, c'est simple.
★Quel est le caractère de ton personnage? → J'ai vraiment la tête d'une fille qui fait peur. Pourtant, je vois pas pourquoi. Peut être à cause de mon sale caractère? Etant fille unique, j'avais le droit à toute l'affection de mes parents sans être jalouse ou que sais-je. Tout ce que je désirais devenait possession. L'argent ne fait pas le bonheur, c'est ça. Pourtant, dans mon cas j'ai toujours été très heureuse. Je suis une personne de confiance et honnête. Jamais il me serait venue à l'idée de trahir quelqu'un. Par contre, ma franchise m'a déjà joué plusieurs fois des tours. Je dis tout haut ce que les gens pensent tout bas, que ça leur plaise ou non. Si quelque chose ne me plait pas, je n'hésiterai pas à le dire. J'avoue, je ne suis pas respectueuse du tout! Je bouscule les étudiants quand ils ne marchent pas assez vite, je dépasse ceux qui sont dans une file d'attende, je prends la place de quelqu'un au cinéma parce que c'est celle-là que je veux et pas une autre! Et j'en passe des exemples. Je me crois tout permis, New York est à moi et à personne d'autre. Mal polie, grossière, égoïste, narcissique, certaines personnes arrivent quand même à me supporter. Je suis très sociable et je peux être sympa si je trouve la personne intéressante et marrante. Je suis une grande fêtarde. La notion du temps, je ne connais pas. Les études, je ne pratique pas trop même s'il faut bien faire quelque chose de sa vie. Je suis surtout entourée de la gente masculine. Les filles, je trouve ça vraiment trop bête. D'ailleurs, elles sont ma cible d'insultes numéro un. Derrière ma carapace de rebelle, on peut trouver un coeur tendre et, qui sait, amoureux mais je ne suis pas du genre à montrer mes émotions.
Well... It's my story...
« Petite Blaise, te voilà maintenant entourée d'amour et d'affection par tes parents. Sache que je serai toujours là pour toi, ton Parrain. » Sacré Poppy! Oui, c'est comme ça que je l'appelle mon parrain, celui qui m'a élevée, celui qui m'a appris à marcher, à dire non, à rouler à vélo, à conduire, à frapper les garçons et à me débrouiller seule. Qu'est-ce que je l'aime. Il était le seul à se proposé pour s'occuper de moi depuis la mort de mes parents. Ils sont morts dans un accident de voiture, aussi facilement que ça en à l'air. Ça pouvait être n'importe qui, à n'importe quel moment. Mais non, ça devait être eux. J'avais un an quand j'ai débarqué chez mon parrain qui venait de s'installer à New York. Malgré mes goûts de luxe et mes caprices, il continuait de me combler en me faisant plaisir. Le pire dans tout ça, c'est que je ne me souviens même pas du visage de mes parents. Je les vois sur des photos, me serrant dans leur bras, mais cela ne me dit rien. Ma mère était une sublime femme. Elle travaillait en tant que grand mannequin dans une boîte qui cartonnait à l'époque. Mon père était journaliste sportif et selon les dires de mon parrain, il voyageait énormément partout dans le monde et ce fut en Russie qu'il rencontra ma mère. Car, oui, Garfield est loin d'être russe. Mon père est d'origine franco-américain, du au fait qu'il a connu mon parrain depuis son plus jeune âge. J'ai l'impression de connaître mieux l'histoire de ma famille que la mienne. Qui suis-je après tout? Une petite orpheline grossière et mal polie? « Blaise ou la fille qui déchire tout, un ami. » Malgré mon passé catastrophique et douloureux, je ne cesse de garder la tête haute. Personne ne peut m'atteindre, me blesser ou s'en prendre à moi. J'ai réussi à me former un bouclier émotionnel autour de moi. Il est très difficile de le détruire. Je me laisse rarement manipuler par n'importe qui. J'ai eu de nombreux amis, de vrais, des durs à cuire, pas de mauviettes. Vers l'âge de 17 ans, j'ai commencé à boire, à me droguer mais pas si souvent que les autres. Je savais qu'il y avait un moment pour déconner, mais pas avec tout. Au fur et à mesure de mon adolescence, mon parrain était moins présent pour moi. Il travaillait beaucoup et était absent tous les week-ends. Même les jours fériés, même le soir de Noël. J'ai été très affectée par cette situation mais j'ai fini par m'y habituer. « Ma Blaise, pourquoi ne crois-tu pas en l'amour? quelqu'un qui t'aime. » Satanée maladie, poison de l'amour. Jamais je n'avais été encore touchée sentimentalement par quelqu'un. Ce garçon si parfait était fait pour moi, je le savais. Mais pourquoi étais-je aussi froide avec lui? J'étais persuadée de l'aimer, mais je n'arrivais pas à lui prouver mes sentiments. Notre petit jeu était de courte durée. Pourtant, je compte bien me rattraper. Est-ce trop tard? Je n'ai jamais abandonné les buts dans ma vie, je suis loin d'être défaitiste, il faut que je me lance. Seulement, j'ignore si son coeur bat toujours quand il croise mon regard, s'il ressent ce frisson si intense quand il entend ma voix. Seul l'avenir me le dira. En ce qui concerne mon présent, je continue de faire la fête et d'aller en cours pour évoluer mon imagination artistique.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Zoé, 17 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → via PRD. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Rien ne pouvait m'arrêter. Je sentais cette force et cette puissante en moi comme synonyme de courage. Un livre, juste un livre à la couverture banale semblable à n'importe quel bouquins mais ayant un contenu unique et beaucoup plus essentiel. J'avais vite compris son utilité pour vivre. Je ne m'en étais jamais séparée avant et son absence ne me rassurait guère. C'était le dernier moyen de communication entre ma mère et moi. Je me plongeais souvent les notes qu'elle écrivait, caressant les pages abîmées et poussiéreuses de Londres. J'arrivai encore à sentir le parfum des rues éclairées et des gentilshommes chaleureux ainsi que leur compagne. Ce monde qui, avant, prenait toute la place. Car aujourd'hui, il m'était impossible de me remémorer mes jours heureux. C'était peut être mieux finalement. Je devais me détacher de ce passé pour avancer, je n'avais pas le choix. L'enseignement d'Ezéquiel ne m'avait guère aidé; je tournai en rond. Tous mes moindres faits et gestes étaient une défaite de plus. Je continuai de croire qu'il s'était servis de moi. Les aveux de Talbot à son égard n'avaient fait qu'empirer les choses. La souffrance m'était pire que la violence psychologique. Je maudis St-James d'être tombé sous son charme, dans ses filets comme les autres petites idiotes d'apprenties-sorcières. Mon coeur avait, à plusieurs reprises, cessé de battre. Et ce fut Talbot qui avait rechargé mes batteries. Il avait les mots pour me rassurer. J'étais en parfaite harmonie avec lui, il me comprenait, il me soutenait comme jamais quelqu'un ne m'avait consolé auparavant. Ni même Jacob, Jasper ou encore Sarah. J'avais perdu un poids lourd sur mes épaules, il avait retiré ce lourd fardeau comme par magie. Je ne devais pas le décevoir. Il m'avait proposé gentiment de m'aider pour qu'en retour je l'aide aussi. Mais il ne m'en avait pas dit plus; il restait souvent silencieux à mes nombreuses questions. Je devais me rendre chez Ezéquiel pour récupéré ce qu'il m'avait volé afin de continuer mon enseignement avec mon maître. J'avais rapidement trouvé son appartement, vide, bien rangé, chaque objet à sa place. J'explorai chaque recoins des pièces en ouvrant les tiroirs, fouillant des livres empilés dans l'espoir de trouver un signe, une trace, n'importe quoi! Je devenais folle à faire les cents pas à l'intérieur. L'angoisse s'empara de mon corps. Je pestai en renversant tous ce qu'il y avait sur mon passage, sans aucune pitié. Soudain, deux lampes de dehors éclairaient le plafond puis s'éteignit avant un claquement de porte brusque. Il était rentré, ça ne pouvait être que lui! L’adrénaline montait, mes yeux cherchaient une issue, une solution. Je reculai en enjambant le cadre photo où la vieille tête de McAllister me souriait. Mon dos poussa une porte et je me précipitai dans la pièce en refermant la refermant. Je ne savais pas la verrouillée. Je déposai mon oreille contre pour 'espionner'. Le rebel était furieux! Des pas se dirigèrent vers moi et je reculai vers le fond de la chambre. Le jeune homme déboula et alluma la lampe agilement. Je me redressai en le fusillant du regard. J'essayai de cacher ma peur mais au final, je lui laissais prendre connaissance de mes pensées tristes et douloureuses. Il était beaucoup trop fort pour lire dans mes pensées les plus profondes, Talbot m'avait donc créer un 'bouclier' dont j'étais seule la maîtresse de ce pouvoir, libre ou pas libre de l'utiliser à n'importe quel moment. Mais certainement assez pour le manipuler. Le sorcier s'agenouilla à moi, tantôt colérique, maintenant tendre. Mes sanglots coulaient à flots. Subitement, Ezéchiel fut projeté à l'opposé de la pièce accompagné d'un coup. Je redressai ma tête, fière. J'en riais de le voir peiner à se relever. « Parfaitement! Tu t'es servis de moi comme les autres filles avant! J'aurai du m'en douter dès le début, dans ce bar il y a quelques mois. Ce qui m'arrive c'est entièrement ta faute, tu n'aurai pas du me retrouver! Tu es un parasite qui s'accroche à plus faible que toi. Je... » Ma peine brûlait mon corps. Je pleurai de rage alors qu'il profitait de la situation pour s'amuser. Je serrai mes poings lorsqu'il me parlait d'Abigail. Cette petite peste m'avait mise en danger l'hors de la réunion du quartier général des Studious. « Abigail, forcément elle est idiote comme ses pieds! Tu profites de ce que tu veux, j'en ai vraiment rien à faire de ta relation avec elle. Parce que tu crois qu'il y a du bon en elle? J'ai tout fait pour la défendre face aux autres Studious parce que j'avais bon coeur et c'est moi la méchante dans tout ça? Qu'est-ce qu'il faut pas entendre... » J'étais choquée mais mon sourire narquois cachait mes blessures. Ses mots étaient lancés et visés en plein coeur. Je ne savais plus si je devais rire ou pleurer. Je baissai mes yeux, me remémorant les souvenirs affreux durant mon enfance et mon adolescence. 'La première de classe' que tout le monde enviait d'être la plus appréciée auprès des professeurs. Mes 'amis' qui faisaient tout pour avoir ma confiance et ensuite, une fois avoir eu ce qu'ils souhaitaient, me laissaient traîner dans la boue comme une incapable. Ezéchiel touchait là un point fort; la méchanceté gratuite. Il souriait gaiement. J'étais épuisée de me battre avec lui, il essayait sans cesse de me contredire. « Non, c'est toi ça, pas lui. Sauf que je suis partie avant que tu m'abandonnes! J'aimerai bien me venger, mais j'ai autre chose à faire de plus important. Tu m'en excuseras. Moque-toi! Fais le malin! J'ai pris l'habitude de recevoir des piques de ta part. Je crois même que ça me rend plus forte. Je sais que j'ai galéré toute ma vie et ça va continuer, mais crois-tu seulement que je suis fière? Je suis ici car c'est ma seule issue de m'en échapper à part mourir mais ça serait la solution de facilité. Je ne veux rien savoir de toi, contrairement aux autres étudiants qui te vénèrent comme leur idole. St-James par-ci, St-James par-là. C'est écoeurant. » Le sorcier haussa le ton en m'ordonnant de quitter les lieux, mais je ne bougeai pas d'un poil, toujours avec ce regard noir et perçant. Il s'éclipsa de la pièce en éteignant toutes les lampes. Je tendais attentivement l'oreille pour suivre le son de sa voix. Fallait-il jeter un coup d'oeil après le livre tant que j'étais dans sa chambre, ou fallait-il le pourchasser? Mon temps d'hésitation fut court lorsque ses ricanements résonnèrent dans le couloir. Je fronçai les sourcils en lâchant un soupir de courage. J’atterris dans le salon toujours en désordre après avoir emprunté le couloir. Rapidement, Ezéchiel me renversa sur le sol et je réussis à me défaire de lui. Je ne comprenais pas pourquoi mes actes avaient des effets si violents; le jeune homme s'écroula sur le mur. Mes pouvoirs se rebellèrent, il n'arrivait plus à bouger, me suppliant de cesser cette souffrance qui le martyrisait. Je ne savais pas si c'était un déclic ou un message, mais je me trouvais dans une situation cruelle causée par mes propres mains. Je m'excusai auprès de lui, cherchant un moyen de le réanimer quant soudain, sa peau reprit sa couleur d'origine, ses plaies se cicatrisèrent, son torse se gonfla d'air et ses lèvres s'ouvrirent pour murmurer quelque chose. Les morceaux de verres qui l'entouraient foncèrent droit sur moi comme des hélices. Je pris la fuite vers la cuisine pour me protéger. Mes bras se ruèrent dans tous les tiroirs, armoires, étagères pour continuer ma recherche, Ezéquiel ou pas Ezéquiel. L'eau coulait le long des murs comme des larmes arrachées au diable. Trop rapide encore, le sorcier saisit mon bras à temps avant que je lui transperce sa chair de ce couteau pointu. Ma main tremblait et la lame manquait à deux reprises de le toucher. « J'ai pas cherché à te tuer. Je... Je voulais pas. C'est pas moi, je te jure! Excuse-moi. Tu dois me pardonner. Il ne m'a pas demandé de le faire, je te le promets! » répondis-je apeurée. Le couteau glissa de ma main et donna un coup sur le parquet. Mais qu'est-ce qui m'arrive? Le sorcier me demanda de me calmer. Je bâtis lentement des yeux, mon souffle ralentit sa course et je finis par faner dans ses bras. Je ne voyais plus rien, la tristesse m'aveuglait. Je n'avais plus de force dans les bras, ni dans les jambes. Je me sentais aussi légère qu'une plume et c'était une sensation très agréable. Ce silence dans ma tête n'avait duré que peu de temps. J'ouvrai mes yeux et reconnu la chambre dans laquelle Ezéchiel m'avait pisté. La petite lampe de chevet à côté de ma tête était allumée. Je pris appuis sur mes coudes pour me redresser et inspecta les lieux; St-James n'était pas là. La porte était pourtant rester ouverte, je me méfiai. Je quittai le lit qui dégageait un parfum délicieux et ouvrit les derniers tiroirs de son appartement; ma dernière chance. Rien. Je n'avais donc que faire ici si mon livre ne s'y trouvait pas. Le jeune homme réapparu et je me coinçai derrière la porte pour passer inaperçue. Mes yeux doublèrent de volume quand je remarquai qu'il tenait mon livre dans sa main! Quel menteur! Je claquai la porte voilement et me ruai sur le sorcier, m’agrippant à son dos. Il tomba à plat ventre sur le lit en faisant tomber le livre par terre. Nos yeux se défiaient l'instant d'une seconde puis nous nous jetions sur le bouquin. « Laisse le moi! » criai-je. Le rebel me poussa et je trébuchai. Je me précipitai vers la fenêtre et, presque qu'improbable, je tendis la main vers mon livre et celui-ci s'envola jusqu'à moi. Un sourire large se dessina sur mon visage pendant que je tenai mon précieux livret contre mes paumes. Je passai par la fenêtre avant que l'étudiant me rattrape. Je grimpai sur le toit et me laissai tomber dans le vide. Je n'avais aucune égratignures, rien. Mes cheveux glacés par le vent, je courus à toute vitesse loin de lui, loin de tous. Mes jambes doublèrent leur pas. Je ne savais pas s'il me suivait. Je tournai la tête pour vérifier mais au moment où je reportai mon regard sur la route, trou noir. Je vis la silhouette de Talbot s'emparer délicatement de mon livre sans même me féliciter.
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→ Let's go Knicks
Dernière édition par Blaise M. Garfield le Dim 27 Mai - 17:20, édité 22 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 15:47
une autre inscrite le 27 bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 15:51
Merci, oui j'ai une question. J'hésite entre deux groupes, les Rebels et les Artists. Je trouve que Blaise convient mieux chez les Rebels mais d'un côté elle fait des études d'art. Puis-je avoir un avis?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 15:55
Kaya. très bon choix. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. Alors en ce qui concerne le groupe, c'est surtout en fonction du caractère de ton personnage. Si tu trouves que Blaise est plus rebelle, tu peux très bien la mettre dans ce groupe là même si elle fait des études d'art. J'espère avoir répondu à ta question, et si tu en as d'autres le staff est à ta disposition.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 15:58
Welcome, Kaya je la voit bien dans les rebelles
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:02
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
Merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:03
Merci d'avoir répondu Je vais la mettre chez les Rebels. Est-ce possible de me réserver Kaya? Sinon tant pis (: Oui je fais ça de suite!
Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:05
BIENVENUE. Très bon choix d’avatar. Bonne continuation pour ta fiche. =)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:12
Bienvenue à New York, avec la magnifique Kaya en plus Bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:25
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 16:33
Merci à tous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness. Dim 27 Mai - 22:31
Validée !
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Sujet: Re: Blaise; I'm on the pursuit of the happiness.
Blaise; I'm on the pursuit of the happiness.
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