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GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again...

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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyLun 31 Déc - 16:08

Yes or no ? In or out ? Up or down ?
Live or die ? Hero or coward ? Fight or give in ?
I'll say it again, to make sure you hear me : a human life is made up of choices.
Live or die ? That's the important choice... and it's not always in our hands.



La situation nous échappait à tous, et même à ce type. J’avais l’impression d’être sous les ordres d’un schizophrène qui passait de la franche camaraderie à la folie meurtrière en dix secondes. Plus les voix s’élevaient pour relever un pur manque de contraction plus le preneur d’otages perdait patience. Il voulait former un cercle, avait mit un terre à un autre type et réclamait à nouveau un cercle. Il y avait ceux qui jouaient le jeu et se présentaient sans chichis se contentant du minimum, il y avait ensuite ceux qui voulaient allier franchise et sarcasme. Là Lockart joua le bon rôle et poussant un soupir je tourna le dos à cette mascarade.
Et pour finir il y avait eu celle qui jouait sur la corde sensible et qui ne s’en montrait pour le moins affectueuse. J’avais retenu son nom Alexei. Blonde visiblement fragile liée intimement à Julia, ce genre de lien au fur et à mesure on arrive à le reconnaître chez les autres. Et contrairement à Casey & Moi qui n’assumions pas et préférions se balancer des piques implicitement Julia et Alexei étaient là l’une pour l’autre. A défaut ne n’avoir personne qui puisse assurer mes arrière j’aurai à le faire par moi-même.

Et oui cela sous entendait attirer l’attention sur moi, évitant au mec armé de s’attarder aux autres. Tant que nous restions sous cette configuration personne ne risquerait rien. Tout le monde jouait le jeu, présentation à tour de rôle. Vint mon tour où brusquement je sentis tous les regards rivés sur moi, théoriquement la blouse blanche et le name tag parlaient pour moi. « Docteur Serena Douglas vingt-trois ans. » Encore debout, mes pupilles se dilatèrent en entendant son nouvel ordre. Mais oui je deviendrai serveuse bientôt…
Me dirigeant vers le couloir où se trouvait une bombonne d’eau, je jongla entre l’eau froide et tempérée. Cherchant à grappiller le plus de secondes possible, je n’entendais plus un bruit. Je ne savais même pas comment contacter du renfort. Démarche féline gobelet en plastique à la main je le tendis à Casey d’une manière détachée. Je lui en voulais d’être ici, parce que j’avais beau montrer le contraire mais s’il lui arriverait quelque chose je m’en voudrais infiniment. En ne le quittant pas des yeux, ayant un léger pincement au cœur en le voyant si protecteur envers une blonde et une rousse. La même blonde que j’avais vu lors du bal masqué. Il m’avait pourtant dit que sa nouvelle copine était brune non ? Respiration, inspiration. Je suis au travail je suis Docteur Douglas, j’ai uniquement à me focaliser sur mes patients sur la situation. Sentant qu’il me ferait bientôt la réflexion d’aller m’asseoir je m’installa à l’autre bout du demi-cercle à proximité du type armé. J’avais une longueur d’avance sur les autres en connaissant l’identité de sa fille, je l’avais vu à plusieurs reprises et je me serai jamais imaginée que le père de cette petite puisse agir ainsi.
« Je ne vois pas l'intérêt de nous prendre en otage. Autant viser une banque. Parce qu'ici à part donner des antidouleurs je ne pourrai rien faire d'autre. »
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Greg Cloovey
Greg Cloovey
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyVen 4 Jan - 15:40


FT SERENA L. DOUGLAS / CASEY A. LOCKART / ALEXEI Q. STEPHENSON / JULIA K.S WILLIAMS /
CHRISTIAN A.E BROWN / BLAKE DANIELS / HAZEL J. PETERS / ANDREA R. MENDOZA


«  Vos prénoms c’est pour éviter de vous appeler toute la soirée ; Ginger, Charming, Aurora, Evil Queen, Rapunzel, bref j’en avais un pour chacun d’entre vous. » Sourire entendu. Ce n’était pas comme si leurs prénoms me marqueraient… Alors là pas du tout. Cela tapait juste fort contre mon humanité et leur accordait encore quelques minutes de clémence. On parlerait de nos vies, oubliant un instant que j’étais maître de leur destinée ; épopée tranquille sur Staten Island. Les réflexions fusèrent de la plus hargneuse à la plus pitoyable. L’humain pouvait sous cette foutue hormone d’adrénaline agir comme un véritable suicidaire, s’anesthésier des conséquences et ne se rendre compte de ses méfaits qu’un bon petit temps après. Alors oui ils cherchaient sûrement à puiser dans leurs forces qu’ils pouvaient lever la voix ou ainsi se convaincre qu’ils avaient tout essayé. Mais J’en restais de marbre. Contentant de pencher la tête pensif. Le cas par cas j y retournerai plus tard. Alors quand le type précédemment à terre prononça le terme revendications un sourire illumina mon visage. « En voilà une de parole utile. » Tous bien installés tels des enfants autour d’un conteur, je fis tournoyer mon arme et essuya la paume de ma main contre le tissu fragile de mon vêtement. Eux aussi attendaient une histoire.
La seule différente était que l’histoire en question était interactive et qu’ils en devenaient les principaux protagonistes. Me passant ensuite la main sur mon menton je leva la tête et alors que la dernière personne envoyée en mission fontaine à eau revint à sa place je fixa les fenêtres des bâtiments au loin. Je ne savais pas s’il s’agissait là d’habitations, si de chez eux ils arrivaient à distinguer ce qui se passait au Richmond, mais vu l’état apocalyptique que portait la ville je doutais fort en la sur efficacité de renforts policiers. « Je suis un américain moyen, j’ai travaillé dés mon plus jeune âge. J’ai toujours porté un amour sincère envers ma nation, citoyen lambda à payer, à voter et à ne jamais manifester. » Premier silence, sur une phrase j’avais su résumer l’étendue de ma vie passée. Passée pour en arriver à ce point… « J’ai une fille Heather, vous voyez le dessin derrière moi accroché au mur ? C’est le sien. Donc inutile de vous préciser que cet endroit je l’ai vu de nombreuses fois. » Deuxième silence, accompagné d’un soupir légèrement plaintif. Ma princesse me manquait, je voulais la serrer une dernière fois dans mes bras. Je me rendais à présent compte que je l’avais vu ce matin peut être pour la dernière fois. « Elle est atteinte d’une maladie extrêmement rare, nous avons essayé beaucoup de traitements. Vu le nombre de personnes touchées dans le monde les laboratoires ne veulent pas s’intéresser à ça, alors il faut se débrouiller soi-même pour l’argent. » Énoncé comme ça, l’idée de la banque vu le temps semblait totalement idéale. Mais vraiment trop risqué… Je n’avais pas les connaissances expertes ou la carrure athlétique d’un jeune trentenaire et même mes souvenirs de films du genre ne me sauveraient pas la mise. « C’est là que le fameux Richmond entre en place… Vous saviez qu’il était partenaire avec une clinique en France ? Clinique où s’élabore un nouveau traitement pour ce qu’a Heather.  » Un rire gras s’échappa d’entre mes lèvres. « Mais personne n’a voulu nous accorder de prêts, que ce soit à l’extérieur ou ici. Il est mieux d’entretenir un rapport fraternel avec un partenaire qu’on m’a suffisamment fait comprendre. En clair pas d’argent pas de traitement. Alors c’est comme ça que l’idée a germé, je ne vais pas vous demander de vider vos comptes en banque. Mais je veux juste que vous (..) » Index pointé en direction de la jeune femme s’étant présentée en dernier. « Docteur Douglas me mettiez en relation avec le professeur français qui s’occupe de ce protocole. »
Et là regard tourné vers l’ensemble de l’assemblée, ma voix se montra un peu plus menaçante. «  Votre vie ne dépendra pas uniquement de moi finalement. Je vous le répète si j’obtiens gain de cause, vous ressortirez de là vivants. J'ai envie de voir jusqu'où peut aller la solidarité entre les individus ou plutôt dans votre cas survie entre individus. »
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyVen 4 Jan - 17:10

Il n’existe pas de catégories distinctes. Il n’y ni méchant ni gentil. Seulement des victimes. Et j’avais un très mauvais pressentiment quant à la tournure de cette nuit. Je suis loin d’être un héro. Je ne suis même pas courageuse. Si ça ne tenait qu’à moi je resterais sur cette chaise à attendre que le temps passe, à prier pour une issue favorable. Mais une personne changeait la donne. Une personne changeait tout. Et elle allait probablement changer le cours de l’histoire. C’est en croisant le regard de Julia que je compris qu’il fallait agir. Que nous ne pouvions rester indéfiniment sur ces chaises à attendre que l’homme obtienne gain de cause. Bien que touchée par son histoire, je ne pouvais tolérer que la personne que j’aime puisse être blessée ou pire. Et comme nous le savons tous, il n’existe pas de fin sans dommages collatéraux. J’aimais les fins heureuses. Mais quelque chose au fond de moi m’indiquait qu’il se passerait quelque chose. Pas comme un sixième sens, un don ou ce genre de choses qui n’existe que dans la fiction non… Plutôt comme un pressentiment, un foutu pressentiment qui vous colle à la peau, qui vous tient aux entrailles. Argumenter n’avait servi à rien. L’homme n’avait même pas sourcillé, il ne savait même pas qui j’étais. Alors et contre toute attente, je pris la parole et prononçais quelques mots d’une voix que je ne reconnaissais même pas.

 «  Il n‘existe qu‘une issue favorable. Soit tout le monde obtient ce qu‘il veut, soit personne. Alors je vous en prie, laissez-nous partir. Avant qu‘il ne soit trop… tard. »

Je me sentis rougir des pieds jusqu’à la racine des cheveux. Timide, je n’aimais pas prendre la parole, surtout devant autant d’inconnus. Mais il s’avérait que la peur tenace de perdre Julia avait tout remis en question, m’avait donné le courage de faire entendre ma voix. Mais nul courage ne parvint à calmer mes crises de larmes et je perdis aussitôt toute clarté dans ma voix.
Je voulais me réveiller. Je voulais qu’il s’agisse d’un cauchemar, d’un mauvais rêve, tout simplement. Tout simplement parce qu’il n’y a que dans les films qu’une personne parvint à convaincre le tireur d’abaisser son arme et de le calmer. Il n’y a que dans la fiction ou tout le monde s’en sort indemne. A croire que le tireur, une fois l’arme chargée se sent obligé d’appuyer sur la détente et ce, même s’il obtient ce qu’il veut. Ses gestes étaient si froids et implacables, précis. Comme s’il indiquait à tout le monde qu’il savait parfaitement ce qu’il faisait. Que si nous ne jouions pas à son jeu, il ne nous louperait pas. J’en avais la certitude. S’il souhaitait me tuer maintenant, je n’en ressortirais pas vivante. Même avec ce médecin dans la pièce.
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyDim 6 Jan - 0:07

la jeune femme continuait de serrer la main du jeune secouriste dans la sienne, en cachant son alliance, idiot de penser à ca dans un moment aussi critique ? De se concentrer sur cette bague. La jeune femmes'était présenté, s'en faire d'histoire, mais les autres, même Christian avait poser des questions au tireur, ou bien le provoquait même un peu. Finalement, c'était peut être ce qu'il fallait faire, pour trouver une solution à cette situation. Finalement, c'est ce qui arriva. L'homme qui tenait le fusil écouta chaque personne se présenté. Christian avait demandé quelles étaient ses revendications. Blake s'attendait à une réponse violente de la part du tireur, mais finalement il s'expliqua.Il avait une fille très malade, et il lui manquait de l'argent pour avoir le médicament, le traitement dont il avait besoin. Il précisa qu'il n'allait pas demander qu'ils vident leurs compte en banques, mais la jeune femme eut une idée. Elle était avocate dans un grands cabinet depuis déjà quelque temps maintenant. Et comme elle passait tout son temps à travailler, ses dépenses était vraiment minimes, et elle avait mis de l'argent de côté, une somme qui commençait à être vraiment intéressante. Si ça pouvait aider une jeune femme à la guérir, la sauver peut être, cela lui convenait. " Monsieur ... j'ai peut être une solution ... Je pourrais vous donner de l'argent, je pense suffisamment pour que vous puissiez offrir ce traitement à votre fille, ou du moins ça vous aiderait beaucoup .. Comme ca tous le monde aura ce qu'il veut ... " Il demanda à Serena, la médecin d'appeler un professeur en France. La jeune femme était probablement celle qui gardait le plus son calme, habitué au situation d'urgence. Blake ne lâchait pas la main de Christian, elle allait peut être surprendre tous le monde, mais pour elle, qu'il prenne son argent était peut être le meilleur moyen de se sortir de là pacque si Serena appelait le professeur et qu'il n'arrivait pas à un accord, qu'il ne comprenait pas la situation, il allait peut être tous les tués ... ? En tout cas, il blesserait quelqu'un pour qu'on comprenne qu'il était sérieux, il ne restera pas aussi gentil ... Blake aurait aimé se lotir dans les bras de Christian, et pleurer jusqu’à ne plus avoir de larmes .. Elle ne voulait pas êtr elà, elle voulait sortir, que tous le monde sorte, sain et sauf ...
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyDim 6 Jan - 2:23

Andréa
J
’étais toujours présente à côté de Casey et la jeune Hazel qui était toujours autant tétanisé et qui ne me lâchait pas la main, ce vieux moustachu ne me faisais pas peur à moi seulement je ne voulais pas mettre la vie en danger d’autrui ! Il avait des réactions bizarres et puis tout pouvait aller tellement vite quand on a un flingue dans les mains, alors que les autres personnes n’ont rien pour se défendre. Je me demandais ce qu’il pouvait bien se passer ailleurs dans la ville, si tout le monde allé bien parce que une prise d’otage c’est affreux et ça restera dans les esprits de tout le monde ici… Les gens en resteront choqués et auront peur à chaque fois qu’ils croiseront une personne qui ressemblera au fou furieux. Heureusement j’avais trois personnes autour de moi que je connaissais et une que j’avais entendu vaguement parler, et puis on dit que l’union fait la force. Étant donné que nous étions beaucoup et que le vieux moustachu était tout seul il y avait des chances de s’en sortir vivant. Espérons juste qu’il ne fasse de mal à personne dans un coup de folie, puis Casey me chuchota quelque chose car il fallait parler à voix basse pour qu’il entende le moins possible… « Mais non tu n’est pas un égoïste, et puis disons que l’union fait la force après tout. » Je le regarda et essaye de lui faire un petit sourire en retour même si la situation n’était pas la bienvenue et la meilleure ! Le vieux homme nous avait demandé de former un cercle et de nous présenter brièvement tour à tour, mais à quoi cela allait-il bien lui servir ? A savoir qui étaient ses proies, et pour mieux nous tuer ? Mais pour la peine je m’installa à côté des autres toujours entre Casey et Hazel car l’homme avait le contrôle de la situation en main ! Chacun se présenta brièvement, mais il y en avait qui répondait au moustachu un peu comme moi quoi… Non pas qu’on voulait qu’il tire sur quelqu’un ou qu’il s’énerve mais juste pour lui montrer que nous aussi on avait notre mot à dire. On n’avait peut-être pas d’arme ni rien d’autre pour le menacer et lui faire peur, mais on avait toujours notre langue pour parler et dire ce qu’on ressentait ! Puis il venait de dire que si il demandait nos prénoms c’était pour éviter que tout au long de la soirée il est à nous donner des surnoms, dans ce cas il pouvait très bien le faire si il le désirait puisque il avait le contrôle sur tout le monde. Tout le monde attendait qu’il prenne la parole le premier, tout le monde s’attendait à ce qu’il fasse un geste déplacé il était imprévisible mais surtout capable du pire. A un moment il se présenta à son tour sans évidemment nous donner son prénom ni son nom, en quoi ce qu’il racontait pouvait nous intéresser ? On était nous aussi des citoyens qui pour la plupart travaille à côté de leurs études, tout le monde l’écoutait et il régnait un grand silence dans la salle ! Je le fixa écoutant ce qu’il allait dire car il n’avait pas finit de nous raconter sa vie, après tout c’était bien qu’il nous dise lui aussi des choses. Il parla de sa fille qui avait du venir dans cet hôpital car juste derrière lui il y avait un dessin de sa petite fille, mais que voulait-il nous annoncer ? Et paf il venait de tout mettre au grand jour, au moins tout le monde savait le pourquoi il était ici en train de nous faire du chantage et de nous menacer… Tout simplement parce que sa petite fille est venue dans cet hôpital et qu’il avait du se passer quelque chose de grave, mais après tout on n’en pouvait rien nous si ? C’est sur c’est triste mais chacun à sa propre vie et fait avec, j’étais tout de même un peu touché mais après ce qu’il était en train de nous faire ça ne pardonne pas ce qu’il est en train de dire. Il continua de parler avec un ton clair précis il savait ce qu’il voulait et d’un coup il pointa son arme vers le docteur Douglas en lui demandant de le mettre en contact avec le professeur français qui s’occupe du protocole… « Comment on peut être sur que vous ne nous ferez aucun mal ? » A cet instant précis il n’y avait personne qui parlait, c’était le silence total ! Après tout peut-être que j’aurais du ne pas prononcer cela mais tant pis, cela me démanger il fallait que je le dise tout haut ça m’apprendra peut-être un jour. Et peut-être que ce jour était en fin arrivé ?
code by Mandy




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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyDim 6 Jan - 19:54








There’ll be no compromise, we fall and we too shall rise again.

I need you;you need me ♨



- Serena était la seule à se tenir encore debout. Elle le cherchait vraiment, à force de continuer sur cette lancée, elle allait finir par nous apporter des problèmes. Cet homme avait eu la brillante idée de demander à Serena de me servir mon verre d'eau, à mon avis, la connaissant, ça ne lui plaisait pas plus que ça, tant pis, il fallait faire avec. Une de retour pour me tendre le verre, elle me décrocha un regard qui durait sur la durée, d'au moins quelques secondes, m'en voulait-elle d'être présent ? Après le coup que je lui avait fait au restaurant... mais je ne me sentais pas fautif, c'était déjà ça. Je ne pouvais pas lui dire de se taire et ça me rongeait de l'intérieur, rester là assis ça ne me plaisait pas. Avec son arme il pensait pouvoir nous diriger, en effet, c'était le cas, mais j'étais vraiment hors de moi, même si je ne laissais rien paraitre. Nous étions tous tétanisés et ça semblait l'amuser. Andréa se trouvait toujours à mes côtés, elle semblait gérer la situation, autant qu'elle le pouvait. Pour échanger quelques mots, nous devions chuchoter le plus bas possible.-" Je te confirme, je suis un égoïste. Tu comprendras plus tard. Je ne vais pas pouvoir rester assis pendant des heures, je tiens à te le dire "-. Je ne voulais pas la faire paniquer, juste la prévenir. Je n'étais plus du genre à ma rebeller, mais là ça devenait du grand n'importe quoi et lui même le savait. Il venait de nous raconter l'histoire de sa fille Heather. J'étais triste pour elle, ainsi que pour sa famille, mais est-ce que en retenant autant de personnes, il pouvait faire avancer les choses ? Non. Tout ce que nous pouvions faire à la limite, c'était de nous cotiser, rien de plus.

Si je comprenais bien ce qu'il disait, si il n'obtenait pas ce qu'il voulait de la part de du professeur il prendrait la décision de nous tuer un par un... quelle brillante idée ! Pensais-je en fulminant au plus profond de moi. Serena se pavanait devant lui tout en le narguant presque, je ne pouvais me retenir plus longtemps. D'un bon je m'étais levé.-" DOUGLAS "-. Hurlais-je en sa direction et en la fusillant du regard...-" Tu vas prendre ce p*tain de téléphone et appeler ce cher professeur, ta tentative de séduction, ce sera pour plus tard "-. Je devais exploser, me retenir plus longtemps, ça m'était devenu impossible, voire insupportable. Ensuite mon regard se dirigea vers l'homme armé.-" Je comprends votre frustration, mais vous ne pouvez pas nous garder comme ça, pensez également à ceux qui sont parents dans cette salle. Retrouvez votre côté humain "-. Je me sentais vidé, lasse. Je trouvais la situation injuste. Nous menacer avec une arme, je trouvais ça petit. Il devenait ridicule. A cet instant, je pensais à ma famille, j'aurais aimé les avoir près de moi.

© Méphi.




Dernière édition par Casey A. Lockart le Dim 13 Jan - 14:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyMer 9 Jan - 14:33


L’enfer terrestre, les minutes semblables à des secondes. Je me suis surprise à retenir à plusieurs reprises ma respiration, essayant de trouver un moyen pour contacter l’extérieur. Mon biper vibra à plusieurs reprises, mais mes mains restèrent tétanisées. J’avais une intuition bizarre, ce n’était même pas une question d’insécurité mais plutôt de crainte profonde. Cette intuition me susurrait à l’oreille d’être prudente et qu’importe le nombre de civils présents il en valait de ma responsabilité. Je n’avais pas besoin d’un cinquantenaire sorti de je ne sais où pour me prouver que j’en avais dans le ventre.
Je le prouvais aux yeux de tous à peu près chaque jour.

Paupières refermées j’imaginais le dénouement funeste qui se profilait à l’horizon, je ne me sentais pas l’âme d’une médium mais le type était trop louche. Trop instable émotionnellement parlant… A parler de sa vie privée comme si nous nous retrouvions en pleine thérapie de groupe et l’instant d’après se lancer dans la plus grande des exigences. Quand une première voix s’éleva pour implorer un semblant de pitié et par-dessus le gros lot demander notre libération j’en lâcha un soupir. Soupir las, puisque je savais d’avance que sa plainte serait avortée. Il avait son plan, et retenir des otages injecterai à ce dit-même un peu plus de crédibilité.
Néanmoins la tentative était douce quoique qu’un peu trop naïve. Encore silencieuse je tentais de préparer mon plaidoyer ( de la dernière chance ) et me mise à penser à tous ceux que je n’avais pas croisé depuis un temps.
Non, non, non pas de séquences larmoyantes. Pas de fin désastreuse… Jeff n’apprécierait pas cela de toutes manières. J’aurai tout le temps de penser à eux après, une fois ma blouse rangée dans mon casier. Une fois le parking employés du Richmond franchi. Tiens voilà ce qui me conforta, et dans un sens m’apaisa. Mon visage aux traits tirés ne trahissant pas pourtant le combat contradictoire qui arrachait mes tripes. L’ouïe encore affutée une nouvelle voix prit la parole.
Déjà l’idée semblait un peu plus réalisable, mais encore dans l’intérêt du type ( et par égo ) je doutais qu’il accepterait. New-York avait beau être quasiment coupée du monde, j’étais quasiment sûre que l’hôpital était encerclé. Au mieux un tireur d’élite cherchait à atteindre le preneur d’otages, au pire ils passeraient à l’attaque une fois le premier coup de feu tiré. Le bruit des aiguilles de la grande horloge murale devenait assourdissant et insupportable. Et comme s’il n’en fallait pas plus pour mettre mes nerfs à rude d’épreuves il fit une demande aussi abracadabrante que désespérée.

Parce qu’en plus j’allais devoir faire le messager. J’ouvris un œil nonchalamment, puis sentant huit paires d’yeux rivés sur ma personne l’autre suivit le mouvement instantanément. Dans un sens ce qu’il faisait était logique, il cherchait juste à avoir un interlocuteur direct et ainsi avoir une réponse claire. Enfin surtout gain de cause vu comme ça…
Réfléchissant à la manière la moins agressive pour lui répondre par la négative, l’élocution de Casey brisa l’atmosphère déjà fragile. Il avait beau crier, et gesticuler je me contenta de lever les yeux au ciel décontenancée et gênée pour les autres. Autant au départ je m’en voulais de ne pas avoir les moyens pour le contacter ce foutu professeur, autant en voyant la crise de caprice d’un jeune homme de vingt-trois ans je jubilais de le laisser dans une galère royale. « C’est bon as-tu terminé ? » Grommelais-je pincée.
Une réaction aussi exagérée dans ce genre de situation pouvait être fatale pour les autres, et pouvait surtout jouer en nôtre défaveur. Il avait bien pourtant énoncé le mot solidarité, et pas évoqué des Hunger Games nouvelle génération. Dumbass… « Pour en revenir au sujet. J’ai le regret de ne pas pouvoir satisfaire votre demande, je ne suis pas encore titulaire je n’ai pas à faire du forcing auprès de mes confrères. Et de toutes façons il y a le décalage horaire à prendre en compte donc quasiment impossible d’avoir une réponse immédiate vu l’heure. » La réponse avait au moins le mérite d'être explicative, je ne m'étais pas vulgairement contentée de lui balancer un non à la figure mais je l'avais argumenté. Je ne mentais pas pour le premier point, même si en contactant ma mère et en lui faisant jouer de son carnet d'adresses j'aurai facilement ce qu'il cherchait. Et je pensa immédiatement au meilleur moyen de m'en servir : « Mais. » Silence bien arrangé. Mes prunelles noisettes se posèrent sur l'assemblée et sur la phrase qui prenait racine dans mon esprit. « Si vous libérez la moitié des otages je vous mettrai en relation avec une personne, qui vous mettra à son tour en contact avec le fameux professeur. »
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyMer 9 Jan - 18:13

There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again...

ANDREA & SERENA & CASEY & ALEXEI
& JULIA & CHRISTIAN & BLAKE & URIEL

Hazel trouvait l’atmosphère qui régnait dans la pièce de plus en plus étouffante. Il faut dire qu’avec une arme à feu pointée sur sa tête, ça n’aidait pas. Mais le pire dans tout ça, c’est que la jeune femme n’arrivait toujours pas à reprendre son souffle. On avait beau lui avoir donné les médicaments nécessaires, elle avait toujours du mal à respirer et la panique que lui procurait la situation ne faisait qu’aggraver les choses. Elle serrait toujours fort la main d’Andréa mais ça ne suffisait plus à la rassurer. Il fallait qu’on vienne les sortir de là et vite. Elle posa son autre main sur sa poitrine et se força à se calmer, abandonnant toute idée de vouloir paraître forte. Si elle ne se calmait pas et qu’elle faisait une crise d’asthme, sa vie en dépendait. Elle savait bien qu’il y avait plusieurs médecins autour d’elle mais avec ce fou furieux qui les menait tous à la baguette, elle avait peur qu’il empêche quiconque de lui venir en aide. Il lui était déjà arriver de faire de l’asthme allergique et c’était tout sauf agréable. Ca survenait généralement lorsqu’elle avait ingéré trop d’aliments auxquels elle était allergique. Le problème était que là, elle ne savait pas ce qui avait déclenché des réactions et ça pouvait très bien être pour ça qu’elle avait du mal à respirer, voire pourquoi elle ferait une crise.

En attendant d’arriver à se calmer, elle écouta chaque personne se présenter. Puis vint le tour du tireur. Il leur raconta son histoire à son tour, rendant le tout encore plus ridicule. C’était une prise d’otages, pas une thérapie de groupe. Enfin, au moins ils savaient pourquoi il faisait cela. Même si savoir était un grand mot puisque son histoire n’avait aucun sens. Certes son histoire était plus que touchante mais pourquoi prendre en otage toute une salle d’attente alors qu’il n’avait besoin de l’aide que d’un médecin et qu’il se trouvait dans cette pièce ? Il aurait très bien put menacer uniquement ce docteur Douglas et les laisser tous tranquille – pas que c’était préférable, loin de là. Mais à quoi servirait d’avoir toutes ces personnes en otage ? Pour faire travailler la conscience du docteur ? Du style ‘‘si tu me donnes pas ce que je veux, tu vas avoir tant de morts sur la conscience’’ ? C’était aberrant. Tout le monde commençait à s’agiter, une jeune femme, celle qui pleurait déjà auparavant, supplia le tireur de les relâcher. Andréa continuait à s’énerver. L’ami de celle-ci s’énerva contre l’interne, qui elle se contenta de refuser net ce que demandait l’homme. Hazel n’entendit même pas la suite parce qu’elle avait de plus en plus de mal à respirer et qu’elle n’arriver pas à se concentrer sur autre chose. Toute cette agitation ne l’aidait vraiment, vraiment pas. Sa respiration se transforma en sifflement et sa poitrine se serra un peu plus.

« S’il vous plait, j’ai besoin d’aide, » fut tout ce qu’elle réussit à dire, dans un souffle, avant d’être totalement incapable de produire d’autres sons que ceux de sa respiration sifflante.

Elle avait beau avoir tentée de se calmer, la crise d’asthme avait pris le dessus et elle avait désormais l’impression de mourir, tout simplement. Elle n’arrivait plus à avaler suffisamment d’air, elle étouffait et des tâches noires commençaient à brouiller son champ de vision. Elle se fit violence pour rester éveillée et pria pour qu’on l’aide.
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyDim 13 Jan - 14:47








There’ll be no compromise, we fall and we too shall rise again.

I need you;you need me ♨



- L'atmosphère devenait de plus en plus tendu et tout le monde montrait clairement sa nervosité. En même temps, passer le jour du réveillon aux urgences, ce n'était pas glamour du tout, nous nous attendions tous à autre chose, à voir nos familles, à rire. Là ce soir c'était tout autre chose. Serena semblait être sereine, mais intérieurement ça devait être une autre histoire, elle qui aimait contrôler tout son petit monde, là elle ne pouvait pas faire ou dire grand chose. Bine qu'elle ne se gênait pas pour chatouiller notre moustachu armé, elle savait très bien qu'elle finirait pas le payer en agissant comme ça. J'aurais beau me mettre à genoux, pousser une soufflante comme dernièrement, rien n'y changerait, elle resterait de marbre face à mes remarques, parce que j'étais Casey, son ex et qu'elle ne se souciait guère de ce que je pouvais penser ou dire, elle avait tord. Après m'être exprimé à voix haute, elle me regarda tout en levant les yeux au ciel, en pensant certainement que ma réaction avait été complètement puérile, je m'en fichais un peu de ce qu'elle pouvait penser. Se mettre dans une telle galère pour elle, c'était terminé, je venais de m'en faire la promesse. Miss Douglas m'apportait désormais que des ennuis, il fallait que ça cesse.

Jouer avec quelqu'un n'apportait rien de bon, elle le savait mieux que personne, mais ne semblait pas le comprendre, chose qui ne me surprenait pas, la connaissant. Toujours debout et ne voulant pas me rasseoir, bras croisés, je dévisageais Serena. Elle voulais me défier avec ses petites phrases ? Parfait, nous allions être deux à jouer à ce petit jeu. Je tremblais de tous mes membres, mais cette situation devenait de plus en pus difficile à supporter. Mon ex, la brunette, tentait de négocier avec le moustachu, trouver l'excuse du décalage horaire, ça n'allait pas fonctionner, c'était à prévoir. Lui il voulait avoir ce professeur au téléphone tout de suite, attendre des heures ça n'allait pas être possible. Lui proposer de libérer des otages et d'avoir en échange peut-être la possibilité de pouvoir parler à quelqu'un d'important, ça semblait complètement fou, comme si il allait accepter !. Elle ne se rendait pas compte de ce qu'elle faisait. Je lui jetais un regard noir en guise de réponse. Andréa se trouvant à mes côtés, semblait avoir un caractère de rebelle, ce qui pouvait être dangereux. Tenant toujours la main de son amie, cette dernière ne semblait pas aller bien, était-elle malade ? Faisait-elle un malaise ? Dans un souffle court, elle tenta de demander de l'aide. Étant à ses côtés, je venais de m'accroupir vers elle, en essayant de la rassurer du mieux que je le pouvais. Lui chuchoter que tout allait bien se passer, n'était pas forcément une chose rassurante à dire... -" L a situation devient intéressante pour vous, n'est-ce pas ? "-. Lançais-je au tireur.

© Méphi.


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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyDim 13 Jan - 16:20

Andréa
L
’enfer était au rendez-vous alors que nous étions supposés passer un nouvel an et des fêtes fantastiques avec nos familles et nos proches, voilà que nous étions coincés ici à l’hôpital avec un fou furieux. Je pensais énormément à mon père qui devait s’inquiéter de ne pas me voir arriver, à mes proches et aux autres personnes qui étaient avec moi ce soir. Il fallait que ça nous arrive à nous, il fallait que je me trouve au Richmond ce soir absolument, on était sans nouvelle de l’extérieur et on ne savait pas ce qui se tramait dehors. Et ni les autres dehors savaient ce qui était en train de nous arriver, l’homme devenait de plus en plus exigeant et menaçant il savait parfaitement ce qu’il souhaitait. Nous on demandait juste de sortir de cet endroit saine et sauve sans que personne ne soit blessé, on n’avait rien demandé et c’était la deuxième fois que j’étais dans un hôpital et ou il arrivait un malheur mais pour le moment il n’y en avait pas et heureusement… Le vieux moustachu voulait parler à quelqu’un et il voulait que Docteur Douglas le mette en contact avec cette personne. A savoir ce que le docteur allait répondre et comment elle pourrait gérer cette situation ! Moi-même je ne sais pas trop ce que j’aurais fais à sa place, c’était pas du tout facile mais en tout cas pour sauver la vie de ses pauvres personnes j’aurais surement donner le numéro au vieux fou… Mais au lieu de cela la brune répondit qu’elle ne pouvait pas le satisfaire donc que sa demande n’était pas possible à cause d’un décalage horaire. Je ne pense pas que le vieux moustachu allait être positive et allait la croire, il allait plutôt s’énerver et pareil blesser quelqu’un d’innocent. Il y avait un silence dans la salle et on entendait juste le son du docteur qui proposait un autre arrangement, elle proposa qu’il libère la moitié des otages et comme cela elle lui donnerait le numéro d’une personne qui par la suite allait le mettre en contact avec la professeur qu’il voulait… A cet instant je regarda dans les yeux Hazel et Casey qui étaient à côté de moi, je ne pouvais pas imaginer une seule seconde qu’on se perde et que l’un de nous reste ici ! Car c’était tout à fait possible, mais au moins si eux partent ils seront en sécurité et pourront appeler des secours…


L’idée du docteur n’était pas mauvaise ni bonne, parce que d’un côté cela voulait dire que la moitié des personnes présentes ici partiront saines et sauves et l’autre resteront ici peut-être en étant blessés ou autre… Mais pendant que l’un restera ici l’autre sera à l’extérieur et donc en contact avec des forces de l’ordre et pourront peut-être nous sauver tant qu’il en est encore temps ? Avant que ce vieux moustachu une fois qu’il est eu ce qu’il voulait nous bute un par un et nous tire dessus avec son arme… Puis d’un coup il y eu une agitation, il y en avait qui pleuré d’autre comme moi qui s’énervé un petit peu et d’autre qui essayé de rester calme sur leurs chaises. La jeune rousse qui était à côté de moi n’avait pas l’air d’être très bien, elle était en train de faire une crise de je ne sais trop quoi. Toute cette agitation ne l’aidait pas vraiment, de plus sa respiration se transforma en sifflement et elle me lâcha la main. Je resta prêt d’elle car je savais qu’a ce moment elle n’était vraiment pas bien du tout. « Hazel, que t’arrive-il ? Ne t’en fait pas on vas te sortir de là. Si tu m’entend serre moi la main fort s’il te plait Hazel… » J’étais inquiète et la panique me pris, il fallait que je me concentre et aide mon amie. Je lui pris la main pour qu’elle me la serre et me dit qu’elle m’entendait, puis Casey arriva vers nous essayant de m’aider comme il pouvait. « Casey aide moi je t’en supplie, quelqu’un pourrait-il venir mon amie est en train de faire un malaise je vous en prie ? » criais-je fort pour que l’on m’entende au loin.
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MessageSujet: Re: GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... GROUPE 6 : There’ll be no compromise ; we fall and we too shall rise again... - Page 2 EmptyVen 25 Jan - 0:36

Enfin, ils savaient ce que voulait l'homme qui les terrorisait. C'était un père, un père en douleur pour son enfant malade. Et Christy ne pouvait pas l'en blâmer... Après tout, il savait qu'il serait prêt à tout pour sa famille, peut-être même à faire une aussi grande bêtise. Bien sûr, il trouvait le geste de l'homme déplacer, car si son enfant venait à guérir, ou du moins, à mieux se sentir, c'est en prison qu'il irait voir son père. Ou alors, il n'aurait plus de père du tout. Dans tous les cas, l'avenir s'annonçait bien sombre... Christian avait voulu reprendre la parole, pour tenter de le raisonner, mais la main de Blake qu'il avait encore tout contre la sienne le fit changer d'avis. Il avait beau ne pas craindre pour sa propre vie, il craignait énormément pour celle de la femme qu'il aimait.

L'agresseur semblait bien connaître la demoiselle Douglas, l'interne présente. Il s'adressa d'ailleurs directement à elle. Le destin des gens présents dans cette pièce était à présent entre ses mains, et alors que Christy posait son regard azuré sur la jeune médecin, se tâtant de formuler quoi que ce soit à son encontre, il entendit une petit voix qui... suppliait ? C'était l'une des demoiselles qui ne semblait pas dans son assiette. On aurait dit qu'elle faisait une crise d'angoisse... Ou peut-être pire. L'une de ses amis appela au secours et Christian lâcha aussitôt la main de Blake, à qui il adressa tout de même un sourire rassurant, pour s'approcha de la jeune femme en question. Elle était pâle et possédait ce qui semblait être une gêne respiratoire intense. Une crise d'asthme sans doute ? Peut-être juste liée à l'angoisse. Il se baissa face à la demoiselle, afin de se retrouver exactement à sa hauteur.
« Hey... Hazel, c'est ça ? »demanda-t-il tranquillement et gentiment. Il était posé malgré la teneur de la situation. Si lui, secouriste, ne l'était pas, alors qui le serait. « Vous êtes bien installée ? prenez vos aises. »demanda-t-il ensuite, attendant de la voir acquiescer. Il fallait qu'elle se mette à l'aise. Absolument. « Calmez-vous, ça va aller... »dit-il tendrement en lui envoyant un sourire, lançant un regard à son amie afin qu'elle agisse dans cette optique. Qui de mieux qu'une amie pour vraiment nous calmer ? D'ailleurs, celle-ci tenait la main de sa copine. Il fallait qu'elle se calme, sinon sa crise empirerait sans le moindre doute.
« Vous prenez des médicaments habituellement ? » demanda-t-il. Elle avait assez de souffle pour répondre d'après lui. Si cela se trouvait, elle avait ce qu'il fallait sur elle, si c'était une asthmatique, et elle avait juste oubliée, au vu des événements, qu'il suffisait qu'elle mette la main à son sac pour s'en sortir. Sinon, il faudrait improviser. Christian faisait simplement son boulot -rudimentaire pour l'instant- et tâchait d'oublier qu'il y avait là un homme qui l'en empêcherait peut-être, un homme muni d'un revolver et assez violent pour s'en servir. Le désespoir fait faire des conneries.
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