Sujet: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:02
FEAT. Autumn Reeser
Tulisa Ava Errington
28 ans ’ Né(e) à Mikonos le 03/05/1984 ’ journaliste célibataire ’ hétérosexuelle) ’ membre des Ordinaries.
And who am i ?
Quelles sont tes caractéristiques? ’ Le vrai nom de famille de Tulisa est en fait Erringunagis mais elle le trouve tellement bizarre qu'elle a décidé de le transformer en Errington. ’ Tulisa est très sensible et pleure souvent pour très peu. ’ Elle porte un tatouage sur ses deux poignets avec les initiales de tous ses frères et soeurs. ’ Elle a horreur de la neige suite à un accident quand elle était petite (cf l'histoire) ’ Elle ne souhaite pas avoir d'enfant pour le moment. ’ Elle adore chanter bien qu'elle chante comme la pire des casserole. ’ Elle connaît toutes les chansons de Noël par coeur.
Quel est le caractère de ton personnage? ’ Fille très douce et très gentille, généreuse, et aussi un peu fofolle. Elle est en fait une jeune femme pleine de vie qui ne cherche qu'à croquer la vie à pleine dents, sans se prendre la tête. De nature gentille, elle aime aider les gens et elle est de très bon conseil. Quand il s'agit de ses propres problèmes, elle préfère garder le tout pour elle et les régler par elle-même. Elle trouve ça beaucoup plus simple et ça évite d'embêter les autres. Elle s’amuse beaucoup et n’est pas forcement à la recherche du grand amour. Elle a certes eu quelques petits copains par-ci par-là, mais jamais rien de trop sérieux. Elle veut simplement vivre une vie heureuse entourée de sa famille (très nombreuse d’ailleurs puisqu’elle fait partie d’une fratrie de quelque 7 enfants.) Elle a toujours été très proche de tous ses frères et sœurs même si avec certains, il y avait de temps en temps quelque conflits. Elle vit dans une famille extrêmement soudé suite à un évènement survenu lorsqu'elle avait 5 ans, à propos de sa soeur aînée (cf histoire).
Well... It's my story...
J'aime pas les jours de neige. Je l'ai toujours dis. On a beau dire « La neige c'est beau, c'est blanc, c'est pure » mais moi j'ai toujours dis que ça provoquait des ennuis à la ronde ! Rien que quand on est petit ! Les jeunes enfants aiment à se rouler dans la neige, à faire l'ange ou à se lancer des boules. Et comme tout jeune enfant, j'aimais aussi le faire. Seulement un jour, je l'ai largement regretté. C'était à l'école, j'avais quelque chose comme 8 ans et mon ami Étienne avait entreprit une bataille de boule de neige. Tout se déroulait très bien jusqu'à ce que je reçoive une boule de neige dans le nez. Ça aurait pu ne pas être grave si la boule de neige ne comportait pas un gros caillou et qu'elle ne m'avait pas assommée. Sous le choc du caillou, je trébuché et comme par magie, une plaque de verglas apparut sous mon pied. Ce qui fit que je m'étalai de tout mon long sur le béton de la cours. Heureusement la combinaison de neige que je portais amorti la chute et je ne me fis pas plus mal mais mes instites eurent extrêmement peur. C'est ainsi que je finis à l'hôpital. Je me suis donc cassé le nez à 8 ans et depuis cet accident, il m'arriva une merde à chaque hiver où il y avait de la neige ! Et cette année-là, ça ne loupa pas ! C'était la fête des 16 ans de George, un garçon très populaire qui sortait avec une fille très populaire. George, faisant parti d'une famille extrêmement catholique, avait été éduqué dans les règles de bienséance, et c'est ainsi qu'il avait invité pratiquement tout le lycée dans lequel nous étudions tout les deux. Il y avait donc une centaine d'invité étant donné que la ville dans laquelle je vivais étaient assez petite et le lycée était en proportion. Je fus donc invitée en compagnie de mon ami Étienne. La fête avait lieu dans une grande maison juste à côté de la mienne -parce qu'en plus d'être dans mon lycée, George était mon voisin- il ne me fallut donc pas plus de deux minutes à arriver. J'avais suivis tout au long de l'après-midi la préparation de la fête et j'avais aussi beaucoup entendu les cri de Lemon, la petite amie de George. Ces deux-là étaient fait pour être ensemble. Ils se ressemblaient tellement qu'on aurait pu croire qu'ils étaient frère et sœur. Ils étaient tous les deux toujours très bien habillés, avec jamais un cheveu qui dépasse. Ils allaient à la messe tous les dimanche en compagnie de leur parents et étaient en quelque sorte l’emblème de la jeunesse dans notre ville. Et moi, j'étais absolument l'opposé d'eux. C'est pourquoi je ne les appréciais pas tant que ça, mais je me devais de venir à cette fête rien que pour m'amuser un peu. Avec Étienne, nous devions se retrouver devant chez moi vers 20h00 et comme d'habitude, il était extrêmement à l'heure. « Alors, t'es près à t'amuser ce soir ? » J'avais un air malicieux et Étienne soupira : il avait compris que j'avais un petit plan. « Oh non, Tula qu'est-ce que tu nous a préparé encore ?! » Je lui fis un clin d’œil et je commençai à me diriger vers la maison de George. A peu près la moitié des invités étaient arrivés et la maison était déjà assez rempli. Lorsque nous sommes entrés, les gens étaient tous debout, un verre de panaché à la main. C'était comme un énorme cliché. On aurait pu prendre une photo, et l'accrocher dans un salon, au-dessus de la cheminée ça aurait été parfait. Tout le monde avait essayé de s'habiller pour la conséquence. Il y avait donc les fils de riche chez qui ça rendait plutôt bien étant donné qu'ils avaient les moyens. Et il y avait les autres. Ils avaient due piquer des vêtement à leur grand-parents ou quelque chose comme ça. Mais de toutes les manières, ils avaient l'air absolument ridicules. Même Étienne avait enfiler un costume -mais lui était sexy-. Quant à moi, j'étais en jean et chemise. Mais attention ! Un jean slim avec des chaussures à talons quand même ! Lorsque nous sommes entrés dans le salon, Étienne et moi, on vit Lemon s'approcher de nous. Elle me toisa en premier avec un léger air de dégoût et ensuite elle reluqua Étienne sans retenue. J'étouffai alors un rire ce qui la fit réagir. Elle afficha alors un grand sourire -hypocrite- et nous souhaita la bienvenue à tous les deux. On lui répondit en cœur « Merci ». Puis elle s'éloigna, le menton étonnement haut. Je me tournai alors vers Étienne « Bon passons au plus intéressant ! Aide-moi à trouver la réserve d'alcool ! ». Il souffle puis me suit avec peu d'entrain. Voulant donner bonne impression auprès de toute la ville, George avait décidé de ne pas servir d'alcool à sa fête. Néanmoins, on savait que certaines personnes avaient emmené avec eux une petite flasque de vodka à verser dans leur jus. Moi je trouvais encore plus drôle de chercher l'alcool sur place. Je me dirigeai donc en premier vers la cuisine. C'était une très grande pièce avec de grands placard et des tas de petits bocaux pleins de trucs bizarres. Je me dis immédiatement que ce n'était pas la peine de chercher dans les coins les plus visibles étant donné que George et ses parents auraient tout fait pour que l'alcool ne soit pas à portée de main. C'est Étienne qui me montra une porte à côté du frigidaire que l'on emprunta alors et qui donné sur une salle plutôt sombre mais qui avait l'air très cool. Cette salle c'était genre l'opposé de tout le reste de la maison. Il y avait un billard, un baby-foot, des canapés rouges et au fond, un mini bar. « Jackpot ! Étienne t'as un don c'est pas possible ?! » On visite un peu les lieux puis je farfouille dans le bar. Une tonne de bouteilles d'alcool étaient conservées là. C'était vraiment la découverte de la soirée ! Fière de moi j'ouvre une bouteille de vodka et m'en sert un verre que je bois cul-sec. Étienne me rejoint. Il avait finit de faire la tête et décide enfin de s'amuser un peu. Au bout d'une petite heure, nous sommes tous les deux un peu fait, et après quelques parties de billard, on décide de partir. Chancelant et hilares, on quitte la maison en faisant un sacrée vacarme. Étienne me rejoint jusque devant ma porte. Je lui sourit. « Dis donc beau gosse, tu voudrais pas entrer ? Mes parents sont de sortis ». C'est l'alcool qui parle. Je passe mon doigt sensuellement le long de son col de chemise avec un regard de séduction. C'est l'alcool qui agit. Étienne me surprend alors. Il prend ma tête entre ses mains et m'embrasse langoureusement. Je rigole. On entre et on monte dans ma chambre avec quelques difficultés. On se laisse plus ou moins tomber sur le lit et il commence à me déshabiller. Je fais de même. C'est à ce moment qu'on entend la porte se fracasser contre le mur et la lumière s'allumer. « TULISA ?! Mais qu'est-ce que tu es en train de faire ?! Mais c'est pas possible rhabille-toi immédiatement ! Et toi enlève tes sales pattes de ma filles ! Et je ne veux plus jamais te revoir dans cette maison ! Je vais en toucher deux mots à tes parents on va voir ce qu'ils vont en penser ! » C'est mon père. Je dé saoule immédiatement. Et je me rend également compte de ce que je suis en train de faire. Je me rhabille donc et Étienne s’enfuit en courant. Ma mère arrive juste derrière mon père. « Oh mon dieu ! Ma petite fille. A 16 ans.... Tu veux finir comme ta sœur c'est ça ?! Enceinte à 17 ans ? Tu n'es qu'une inconsciente ! » Je vois mon père qui ouvre grand les yeux et qui se tourne vers ma mère comme si elle venait de dire quelque chose qu'elle n'aurait pas due. Elle-même met la main devant sa bouche et après un silence, comme pour se justifier, elle marmonne. « Mon seigneur qu'a-t-on fait pour avoir deux filles comme ça....». Les choses se mettent alors en place dans ma tête. Venant d'une famille particulièrement grande, j'ai exactement 4 frères et 3 soeurs. Mais l'unr de mes soeurs n'avait jamais vraiment vécu avec nous que jusqu'à ce que j'ai 5 ans. C'était Camille. Lorsqu'elle avait 17 ans, il a fallut qu'elle quitte la maison. Elle ne m'a jamais dit pourquoi et ce fut la pire chose qui me soit arriver. Jusque là, j'étais très proche de ma soeur étant donné que c'était la plus grande et que les autres aînés n'étaient que des garçons. Nous étions donc très liés et je la concidérais comme mon modèle. Quand on me demandé ce que je voudrais faire plus tard, je disais que je voulais être Camille. Mais depuis qu'elle était partie de la maison, mes parents m'avaient interdis de la voir. Je ne savais pas pourquoi mais selon eux c'était ainsi. Et quand j'entendis les paroles de ma mère ce soir-là, j’eus un retour d'images du passé en tête. Je comprenais maintenant pourquoi elle n'était plus jamais revenue.
FLASHBACK
A l'époque j'avais 5 ans. Ma sœur en avait 17 et bien que la nature voudrait que nous nous chamaillions, elle était tout pour moi. C'était à elle que je me confiais, avec elle que je rigolais, à elle que je demandais des conseils. Ce qui pouvait être déconcertant pour ma mère surtout que ma sœur n'aimait pas suivre les règles à la lettre comme le voudrait notre religion catholique, et elle voyait bien que j'en prenais également le chemin. Elle a donc toujours essayé de me dissuader de suivre l'exemple de ma sœur mais c'était hors de question que je me plis à cette demande. Après tout, jusque là Camille n'avait encore jamais fait de grosses bêtises alors je ne voyais pas où était le problème. Seulement, un soir, je compris que ses manquements aux règles l'avait menée dans une impasse plutôt mauvaise. C'était un samedi après-midi et alors que j'étais dans ma chambre à lire un bouquin, j'entendis des cris survenir d'en bas. Curieuse de nature, je descend les escaliers sur la pointe des pieds. « ….et comment tu crois que tu vas t'en sortir ? » Camille était assise à la table du salon et papa et maman étaient tous les deux installés face à elle. Ils avaient l'air très en colères et Camille n'avait pas l'air triste ni intimidée. Elle avait plutôt l'air confiante et c'était comme si elle les défiait avec son regard. Je ne savais pas ce qu'il se passait mais ce qui était certain, c'est que c'était important ! Je n'avais encore jamais vu mes parents dans cet état et Camille n'avait encore jamais vraiment tenu tête aux parents. « Mais c'est pas comme si j'avais tué quelqu'un ! Je ne pense pas que ça soit si terrible que ça ! Je peux gérer la situation... » Je vis ma mère qui tournait le regarde dans ma direction. « Tulisa remonte vite dans ta chambre ma chérie ! » J'obéis. Quelques semaines plus tard, alors que je regardais la télévision, ma mère s'approcha de moi « Ma chérie nous allons chez le médecin avec ta sœur elle est malade. Nous revenons dans quelques heures je peux te laisser toute seule avec tes frères ? » Acquiesçai avec entrain. J'avais toujours attendu que mes parents me laisse toute seule avec mes frères à la maison. C'était des adolescents en pleine crise et ils passaient le plus clair de leur temps enfermés dans leur chambre. Je pourrais alors faire ce que je voudrais ! J'étais tellement excitée que je ne fis pas attention à Camille qui pourtant était en pleure. Les heures passèrent et je m'amusais toute seule dans la maison. J'étais monté dans la chambre de maman et j'avais essayé à peu près la moitié de sa garde robe, me prenant pour une star. J'avais aussi tenter de me maquiller et j'avais plus l'air d'un clown qu'autre chose. Puis papa et maman rentrèrent. Quand ils me virent la figure peinturlurée, ils ne prirent même pas la peine de me fâcher. Ils avaient l'air décomposés et moi qui m'attendais à une bonne fessée, j'étais toujours aussi contente. Et en plus de ne pas me gronder, mes parents me dorlotaient. Ils me chuchotaient des mots doux, comme si j'étais leur unique fille. C'était agréable. Et je ne fis pas attention que Camille n'était pas rentrée. J'entendis cependant les cris de mes parents pratiquement toute la soirée ce qui m'empêcha de m'endormir assez vite. C'est le lendemain que je me rendis compte que Camille n'était pas rentrée dormir. Nous avions un rituel avec Camille. Tous les matin, elle venait me réveiller avec un gros câlin. De temps en temps même elle m'emmenait le petit déjeuner au lit. Et ce matin-là, elle ne vint pas me réveiller. Je me levai donc et entrai dans sa chambre. Le lit était encore fait. Elle n'avait pas dormi là cette nuit. Je descendis donc prendre mon petit déjeuner. Je demandai alors à mes parents où étaient Camille. Leur comportement fut totalement différent de celui de la veille. « Tula tu poses trop de questions ! Fini ton petit déjeuner et monte dans ta chambre. » J'obéis à nouveau. Quelques heures après, alors que j'étais dans ma chambre, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, puis quelqu'un monter les escaliers et enfin entrer dans la chambre de Camille. Elle devait être rentrée. Je m'apprêtai à sortir lorsque j'entendis qu'on frappait à ma porte. Camille entra. Elle me rejoins sur mon lit et me prit dans ses bras. Je compris définitivement que quelque chose n'allait pas. « Qu'est-ce qui se passe Camy ? Maman et Papa n'arrêtent pas de se disputer depuis hier, et tu n'es pas rentrée. » Elle se détache légèrement de moi et en me caressant les cheveux. « Tula, c'est vraiment très compliqué... Je vais devoir partir un moment. » Je sens alors les larmes me monter aux yeux. Je m'y attendais en fait. Inconsciemment. « Mais on se verra aussi souvent qu'avant, je te le promets. J'ai eu une grosse dispute avec Maman et Papa, je vais aller vivre ailleurs le temps que ça se calme. Tu comprends ? » Mais je ne peux rien y faire après tout. Je hoche la tête. « Mais on se téléphonera tous les jours. Et tu me raconteras ta journée d'école en détails. Et puis tu pourras venir chez moi pendant les vacances, tu sais ? On se fera des soirées entre filles. » Je sais pertinemment qu'elle ne reviendra pas. Je n'ai pas vraiment compris ce qu'il s'était passé, mais je savais que c'était très grave et que je ne devais pas espérer la revoir de ci-tôt. On reste dans les bras l'une de l'autre pendant un petit moment puis elle s'en va. Ce fut la dernière fois que je la vis avant l'hiver de l'anniversaire de George.
FIN DU FLASHBACK
« Ah je comprend mieux maintenant toute cette histoire autour de Camille ! C'est parce qu'elle est tombée enceinte, que vous l'avez obligée à avorter et que vous l'avez virée de la maison ! Et vous m'empêchez même de la voir ou de lui parler ?! Vous avez peur que je fasse la même chose qu'elle c'est ça ? Mais vous avez toujours eu peur que je suive la même voie qu'elle ! Simplement parce qu'elle ne suivait pas vos règles à la con ! Elle avait bien raison ! Et je ne dis pas que tomber enceinte était une bonne chose mais vous auriez quand même pu la soutenir ! Pas être aussi indignes et la laisser tomber ! Vous imaginez comme elle devait être anéantie ?! Non vous imaginez pas hein ! Vous ne vous êtes pas fait avorter et virer de la maison par vos parents avant même d'être majeurs n'est-ce pas ?! Vous êtes des monstres ! Vous aviez pas le droit ! Vous m'avait enlevé ma sœur ! La personne qui m'importait le plus ! J'vous déteste. » Tout était sorti d'un coup. Des flots de larmes coulaient le long de mes joues. Mes parents étaient toujours face à moi, bouche baie. Quelques secondes passèrent le temps que je reprenne mes esprits. Puis je me levai, pris mon sac sur la table et quittai la maison. Je me mis à courir le long de la rue et je vis la silhouette d’Étienne au loin. Je me mis alors à courir encore plus vite et à crier son nom. Il se retourne, je me jette dans ses bras et j'éclate à nouveau en sanglots. « Je t'en pris me laisse pas. J'ai besoin de toi ». Il me caresse les cheveux. « Shhh Tula calme-toi.. Tout va bien se passer. Tu m'entends tous va s'arranger. » Et nous sommes aller chez lui. Je me suis endormis dans ses bras. Après onze bonnes heures de sommeil, je me réveille dans son lit. Il n'est pas là. Je me lève et me dirige donc vers sa cuisine. Il est aux fourneaux, en train de préparer des pancakes. Je m'assied à la table et pose ma tête dans mes mains. Il dépose un baiser sur ma tête, je relève les yeux. « Chuis dans la merde Étienne. » Il s'assied et me prend la main. « Tu dois retrouver ta sœur. Je ne pense pas que tes parents comprennent tout ce que tu leur a dit hier soir. Ils doivent être furieux et ils vont certainement agir comme avec Camille. Tu as besoin d'elle. Pour mieux comprendre. » « T'as raison. Je vais la trouver ». Je sortis alors mon portable et lui envoya un message « Grosse dispute avec les parents hier soir, donne-moi ton adresse j'arrive. » Sans même me demander plus de détails, elle m'envoya sa nouvelle adresse. Je récupérai mes affaire chez mes parents et Étienne m'aida à trouver un train et tout le binze. Il ne voulu cependant pas venir avec moi. Une fois arrivée devant chez Camille, je frappe fébrilement à la porte. C'est l'hiver et il fait froid. Mes gants étouffe le bruit du toc toc et j'ai l'impression de ne pas avoir frappé. Elle ouvre la porte. Elle est magnifique. Elle a changé. Elle est belle. Je fond en larme et me jette dans ses bras. « Je sais tout Camille je suis tellement désolée. » Nous avons donc parlé pendant des heures et des heures et elle fini par me convaincre de retourner chez les parents. Elle m'assurai que de l'eau avait passé sous les ponts depuis l'époque où elle été parti de la maison, et que l'histoire ne se répétait pas avec moi cette fois-ci aussi. Finalement, je reparti chez mes parents et après une longue discussion avec eux, il décidèrent de déménager à New-York où Camille habitait actuellement. Nous habitions dans une petite maison et étant donné que nous étions déjà 4 enfants, (mes trois grands frères et moi), et ma mère étant enceinte de deux petites jumelles, nous aurions besoin de beaucoup plus de place. Ce déménagement entraîna un semblant de réconciliation qui est actuellement en cours de perfectionnement. La famille s'agrandit donc encore avec les deux petites jumelles et un petit dernier. Je suis actuellement journaliste débutante. Je croque la vie à pleine dents en profitant de chaque instant avec ma famille.
my little secret
Ton prénom ou ton pseudo & ton age ’ 18 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? ’ Je connais le forum depuis bien longtemps maintenant Ce personnage est-il un double compte ? ’ Nop Présence sur le forum ’ En principe seulement le week-end. Personnage inventé ou scénario ? ’ Inventé Crédit images ’ Bazzart
Mon exemple de RolePlay:
’ Cette rencontre avec le magnifique Bradley me faisait réellement repenser à mon histoire avec Adam. Enfin du moins aux débuts de mon histoire. Je n'inclue bien évidemment pas la rencontre dans les similitudes étant donné que ma rencontre avec Adam fut très calme et particulièrement agréable. Nous nous sommes rencontrés dans un bar -ouais vachement originale la rencontre je sais...- et comme nous étions tous les deux seuls, nous nous sommes retrouvés, au bout d'un moment, assis sur les grandes chaises en face du bar à discuter rigoler et échanger nos vies. Cette soirée dura un long moment et je crois qu'aucun de nous deux n'avait réellement envie que cet agréable moment ne s'arrête. Et c'était bien parti pour parce que nous avons commencé la soirée ensemble vers les 21h00 et nous sommes partis à la fermeture du bar qui était vers les 4h00. En tant que rencontre d'un soir, on aurait pu croire que nous nous étions plu, et que nous serions partis chez l'un ou chez l'autre pour faire des choses pas catholiques, mais à vrai dire, aucun de nous deux n'avait réellement envie de partir dans ce genre de trip. Enfin du moins c'était mon cas, et j'avais bien l'impression que c'était également l'avis d'Adam. Et si j'avais plus ouvert les yeux ce soir-la, je n'aurais certainement pas autant souffert que ce fut le cas pendant plusieurs mois... C'était un cauchemar, et si j'avais sur, ce soir-là, qu'Adam était un salopard, croyez-moi qu'il ne m'aurait pas eue et qu'il se serait cassé avec pair te fracas. Mais je fus bien assez naïve pour me rendre compte de rien, et me faire avoir comme une bonne.. Ou alors c'était autre chose qui faussait mon jugement et qui bloqué ces intuitions que j'avais d'habitude et qui me permettaient de cerner les gens d'un coup d'œil. Bon j'exagère certainement un petit peu, mais il est vrai que je me suis découvert une capacité de cerner les gens assez rapidement. ça vient peut-être du fait que je sois extrêmement curieuse et donc, que je pose énormément de questions aux gens pour connaître un peu plus leurs goûts, leurs passions et leur vie en général. Alors chez certaines personnes, ces questionnaires passent plutôt bien, et chez d'autres personnes, bien moins bien grattées, ça passe plutôt mal.. Mais je fais toujours avec ce que j'ai. Je juge également très vite les personnes, et il m'arrive certes de me tromper, mais la plupart du temps, j'ai bon sur mon jugement. Ce qui ne plaît pas non plus à beaucoup de monde puisque je me fait souvent insulter, comme quoi je me permet de juger les gens sans les connaître -ça n'arrive que quand j'ose critiquer une personne parce qu'elle ne me revient pas et que je le fait face à une personne qui elle, l'aime bien.. Manque de subtilité ? non juste du réalisme..- et au final, il s'avère que j'avais raison, et ils l'ont bien dans le cul.. Bref ! Ce fabuleux talent qui m'avait été si généreusement offert par la nature alors qu'au final, je ne l'avais pas demandé, avait été faussé, et j'en étais encore bien dégoûtée à l'heure qu'il est. Bref alors que nous venions de passer une excellente soirée, nous avions bien évidemment échangé nos numéro, et moi, quand je rentrais dans ma chambre dans la maison des Alpha, je ne pensais plus qu'à une chose: revoir Adam. C'était un sentiment que je n'avais encore jamais éprouvé pour personne, et à vrai dire, je ne savais pas comment réagir face à ça. J'avais l'impression que plus rien d'autre autour de moi ne comptait mis à part lui. J'avais vraiment envie de le revoir et de passer le plus de temps possible avec afin de voir comment notre relation pouvait évoluer. En fait c'était comme un coup de foudre. Enfin pas comme. C'était un vrai coup de foudre, et je n'y pouvais plus rien. Le lendemain, je le rappelais -encore quelque chose que je n'aurais certainement pas du faire puisque c'était clair et net que les femmes ne doivent jamais rappeler l'homme, mais c'est bien l'homme qui doit recontacter la femme, pour s'assurer qu'ils se revoient. Ce qui s'était d'ailleurs produit avec Bradley.. - et je lui demandais qu'on se voie quelque part dans la journée. Il accepta avec plaisir. Et rendez-vous après rendez-vous, ça devint sérieux. On commença à sortir sérieusement ensemble. C'était parfait. Adam était l'homme idéal pour moi, gentil, charmant, drôle et intelligent, et il me donnait tout ce dont j'avais besoin. J'étais tellement bien avec lui que j'étais devenue accro, et je ne pensais plus qu'à lui. Je passais pratiquement tout mon temps avec lui, et je commençais d'ailleurs à délaisser ma famille et mes amis. Mais à l'époque, peu m'importait, j'étais avec lui. Et il était clair et net que j'étais tombé amoureuse de ce garçon. Et alors que je lui avouais mes sentiments les plus profonds, que je lui ouvrais mon cœur, comme jamais je ne l'avais ouvert à quiconque, je devenais de plus en plus vulnérable. Mais sans m'en rendre compte évidemment. Et lui me répondais que je comptais également beaucoup pour lui, qu'il était très content de m'avoir rencontrée, et que maintenant, il ne s'imaginait pas vivre sans moi. Et je croyais tellement à ces belles paroles que je ne me rendais même pas compte que ce n'était que des paroles en l'air qui n'était dites que dans le but de me faire des câlins et ensuite d'aller au lit.. Notre relation ne dura que quelques semaines, et alors que j'étais dans ma phase très très très amoureuse, du jour au lendemain, il me dit qu'en fait je n'étais rien pour lui, qu'il voulait simplement coucher avec moi et qu'il ne voulait plus me revoir. Et là, c'est le drame. La descente aux enfers. Je n'avais encore jamais vécu une déception aussi grande, et j'avais l'impression que la Terre s'était arrêtée de tourner pendant un moment. Que mon monde s'écroulait sous mes pieds, et que je ne pouvais plus rien faire pour me sauver. Et je souffrais. Je souffrais le martyr et personne n'y pouvait rien. Et quand je dis que ma rencontre avec Bradley me fait penser à celle d'avec Adam, je parle bien sûr du coup de foudre. ça recommençait. Et ça me faisait très peur. Ce sentiment qui naissait peu à peu dans ma poitrine et qui commençait à envahir tout mon corps, à commencer par mon cerveau. Il était atteint comme par un aphrodisiaque. Quant à mon corps, rien que e rêver de ce beau garçon, ça me faisait frissonner. De plaisir bien évidement. Et en y repensant plus amplement, je me rendais compte que j'avais peur. J'avais peur de tomber à nouveau amoureuse, et de souffrir à nouveau. Surtout qu'avec Bradley, la rencontre ne fut pas des plus douce comme avec Adam, mais elle avait été brutale, et nous avions commencé par une bagarre. Très classe. Cette histoire était mal barrée dès le début de toute façon. Mais je ne pouvais m'empêcher de penser à ce magnifique garçon. Et lorsqu'il m'avait appelé pour qu'on se voie au Starbucks, mon cœur avait fait un bond dans ma poitrine. Je n'avais pas osé appeler, mais maintenant qu'il voulait qu'on se voit, il était clair que j'avais très envie de le revoir. Autant dire que le baiser que nous avions échangé avait été magique. Un premier baiser -et je l'espérais, pas le dernier- à la hauteur de ceux dans les films avec les feux d'artifice en fond. Il avait été sauvage et en même temps très doux. Passionné quoi. Tout ce que j'aime. Et puis embrassé un joli garçon, ce n'est jamais de refus. Même si c'était en sacré contraste avec notre rencontre.. Bref j'étais donc venu au rendez-vous. Alors que j'étais debout devant lui, un sourire aux lèvres, je me sentais déjà bien. Ce n'était pas encore tout à fait naturel puisque je devenais soudainement assez timide, mais je me sentais tout de même très bien. Je l'avais donc salué rapidement et je m'étais assise. Il me répondit avec la même aisance. Il souriait même et ce petit sourire qui partait légèrement sur le côté de sa bouche me donna des frissons -c'était de ça dont je parlais avant-. Il me faisait craquer, c'était indéniable. Puis il me souhaita la bonne année, la santé et l'amour. Effectivement c'était la nouvelle année. Et à force de le rabâcher je ne sais combien de fois dans les quelques semaines qui suivaient le réveillon, j'avais finis par oublier de le dire. Je ne me souvenais pas forcement des personnes à qui je l'avais souhaité, et des fois, je n'avais même pas envie de le souhaiter puisque les personnes ne le méritais pas forcement. Mais j'avais rencontré Bradley dans l'année 2011, et nous nous étions embrassés quelques jours avant l'année 2012. C'était certainement un signe. Et l'évocation, dans la présentation de ses vœux, de l'"amour" me fit tilter. Ce mot prononcé dans cette bouche prenait un sens particulier. Mais j'avais tellement peur que ça signifie quelque chose pour nous que je faisais de mon mieux pour ne pas y penser.. « Merci beaucoup. Je te souhaite également une très bonne année. » J'étais beaucoup plus soft puisque je détestais m'étaler sur les vœux de nouvelle année. De toute façon, ils ne se réalisaient pas les trois quarts du temps alors pour gaspiller de la salive pour rien. C'était bien jolie cette petite discussion sur les vœux de nouvelles année, mais je ne pense pas qu'il m'avait envoyé un texto simplement pour me dire ça. Il y avait quelque chose de plus sérieux que cela. Enfin je l'espérais. Alors qu'un serveur passait par là, je lui commandais un café. Puis je repensais à ce merveilleux baiser. C'était certain qu'il voulait dire quelque chose. Mais si nous n'abordions pas le sujet, je ne risquais pas de savoir si c'était vraiment le cas. Je pris donc mon courage à deux mains. « Ecoute pour l'autre soir.. » au moment où j'allais parler, le serveur arriva avec mon café. Je m'interrompis donc. Mais en regardant Bradley, j'espérais qu'il comprenne ce dont je voulais parler, et qu'il ai la même idée en tête que moi.
Le code règlement:
’ j. est ok.
Dernière édition par Tulisa A. Errington le Lun 20 Mai - 17:36, édité 11 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:07
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:10
bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps n'hésite surtout pas à passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:21
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:22
Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:23
Merci à vous deux
Est-ce qu'on pourrait me réserver la jolie Autum Reeser svp ?
EDIT: Merci à vous 5
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:24
Je te la réserve pour trois jours :brigitte:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:25
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:33
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:35
bienvenuue parmi nouus & bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:52
Bienvenue à toi =D
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 22:58
AUTUUUUUUUUUUMN. Elle est magnifique. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. Si tu as la moindre question n'hésite pas. J'en ai profité pour valider ton code du règlement.
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Mer 9 Jan - 23:08
Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Jeu 10 Jan - 23:12
Merci à tous !!
Alexei je suis bien d'accord
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Ven 11 Jan - 18:12
Bienvenuuuue parmi nous
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Sam 12 Jan - 0:58
tout est en ordre, je te prévalide donc avec plaisir. un admin passera rapidement dans ta fiche pour t'ajouter à ton groupe. bon jeu parmi nous.
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Sujet: Re: (tula) i hate these blurred lines Sam 12 Jan - 1:02
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le petit flocon (a)