L'histoire et le caractère de ce personnage est très libre mis à part les points suivant: - Elle est née à New York - Elle est croyante, toute la famille Mendez va régulièrement à l'église tous ensemble dès qu'ils en ont l'occasion (ça se fait de plus en plus rare vu les enfants qui sont tous grands à présent et qui ont des vies bien remplis) - Elle est proche de sa famille. Elle a habité chez une tante à elle avec ses parents et ses frères quand ils n'avaient pas les moyens de garder un toit sur leur tête (à cause des frais d'hospitalisations de Sandro qui coûtent très cher) Ils étaient beaucoup à vivre dans le même petit appartement, ce n'était pas les années les plus faciles. - Elle est la plus jeune de la famille Mendez - La famille Mendez est originaire du Mexique. C'est le grand père Mendez qui s'est expatrié aux USA quand il était jeune. - Mariana est bilingue anglais/espagnol - Elle est étudiante - Elle est dans une association pour lutter contre le Cancer - Elle est toujours souriante, elle cache toujours ses émotions si elle va pas bien
‟ No other city ever made me glad except New York „
Sandro Enrique Mendezfeat Mike Fuentes.
Mariana c'est sa petite soeur chérie. Il la protège du mieux qu'il peut. Elle fait partie de ceux qui étaient presque vingt-quatre heure sur vingt-quatre à son chevet lorsqu'il était encore à l'hôpital (il a eu un cancer des poumons)l. Ils ont beaucoup pleuré ensemble quand Sandro était au plus bas et qu'ils pensaient qu'il n'y avait plus d'espoir. Mariana c'est celle avec qui il est le plus proche de toute sa famille. Maintenant qu'il est rétabli (dans sa 4e année de rémission du cancer) il essaie d'être là pour elle autant qu'elle en a besoin. Elle pourrait l'appeler à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit, il quitterait son boulot en urgence ou n'importe quelle situation dans laquelle il se trouverait pour elle. Il sait qu'elle ne montre pas ses émotions mais il arrive souvent à lire entre les lignes quand il s'agit d'elle. Il est triste quand elle est triste. Il déteste voir sa famille être triste. Il y a eu plusieurs années où ses parents ont dû faire des sacrifices en quittant le domicile familiale pour aller vivre chez de la famille. Ils n'avaient plus assez d'argent pour subvenir aux frais d'hospitalisation de Sandro. Ce dernier sera à jamais reconnaissant de ce que sa famille à fait pour lui. Il serait certainement décédé à présent s'il n'avait pas reçu les soins médicaux adéquat. Sandro essaie de leur rendre la pareille dès qu'il peut.
Dernière édition par Sandro E. Mendez le Mer 4 Déc - 10:47, édité 5 fois
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise Dim 1 Déc - 13:37
Merci d'être venu sur mon scénario <3 Voici quelques points à propos du personnage de Mariana.
# L'avatar est négociable mais bien sûr il faut qu'on voit qu'elle est latino/qu'elle ait l'air latino. Montrez moi avant svp pour que je donne mon avis si jamais vous changez, personnellement je trouve que Victoria correspond vraiment bien au personnage.
# Le prénom et 2e prénom sont libres à choisir, j'ai mis Mariana parce que j'aime beaucoup ce prénom.
# L'histoire et le caractère sont très libre. Si vous voulez modifier certains points noté dans le scénario, il ne devrait pas y avoir de problème, dites moi et on en parle
# J'aimerai que la personne qui prendra Mariana fasse au moins une réponse tous les 10 jours en moyenne dans nos RP. Si c'est plus rapide c'est encore mieux. Aussi j'aimerai quelqu'un qui ait un assez bon niveau de RP pour faire avancer les post. Je suis pas pointilleuse sur l'orthographe mais il faut un minimum quand même
# Je fais des rp allant de 600 à 800 mots, plus si je suis très inspirée.
# J'espère que vous prendrez plaisir à jouer Mariana, c'est quelqu'un de très important pour Sandro
Je vous colle en dessous la fiche de Sandro, ça vous donnera un peu plus de détails sur le personnage et l'histoire commune avec sa soeur. J'ai aussi fait le scénario familiale des Mendez si vous voulez jeter un oeil ici.
Merci d'avoir tout lu et j'espère que vous prendez mon scénario
Fiche Sandro E. Mendez:
FEAT. Mike Fuentes
Sandro Enrique Mendez
26 ans → Né à New York, USA le 25/12/1986 → Technicien du son pour une salle de spectacle célibataire → hétérosexuel → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Sandro en bref c'est la joie de vivre. Toujours souriant, toujours prêt à rendre service, toujours volontaire, c'est un plaisir de le compter parmi ses amis. Pourtant, en apparence il peut faire un peu peur aux gens avec son look de rockeur tout tatoué. L'habit ne fait pas le moine, c'est le moins qu'on puisse dire pour Sandro. Il a plein de tatouage partout sur le corps et il n'est pas prêt de s'arrêter à en faire de nouveau. Il a encore beaucoup de place dans le dos, sur les jambes et le torse. Il trouve ça magnifique, c'est vraiment un art qu'il respecte. Au lieu de s'acheter des bijoux il préfère aller se faire tatouer. Ca reste à jamais sur nous et personne ne peut nous le retirer. Il affiche fièrement ses tatouages qui pour certains ont une signification importante pour lui, d'autre ont été fait plutôt pour le fun, juste par envie d'un nouveau tatouage. Il ne regrette rien pour autant. Tout a commencé quand il a voulu simplement cacher quelques unes de ses cicatrices avec un tatouage. Il mord la vie à pleine dents, il relativise énormément grâce aux épreuves qu'il a dû affronter durant son adolescence. Il a aussi quelques piercing, dont un au dessus de la lèvre supérieure. Il a toujours une casquette sur la tête. Il n'a pas tellement de cheveux, c'est pour ça surtout qu'il couvre tout le temps son crâne.
Sandro est un peu tête en l'air, il oublie souvent son portefeuille, son téléphone, son écharpe, ou tout autre objet. Il pose les choses à un endroit et puis il oublie, et ceci peut être à n'importe quel endroit, dans la rue, dans un café, chez quelqu'un, à l'université. A cause de ce côté étourdit il a dû faire changer les serrures de son appartement plusieurs fois déjà, car il perd régulièrement ses clés. Il essaie d'être plus sérieux à ce sujet car ça coûte quand même pas mal d'argent de faire changer une serrure, et puis c'est aussi du temps de consumer. Il n'aime pas perdre du temps, il en a perdu assez par le passé, maintenant il veut vivre pleinement toutes les minutes qui s'écoulent.
Sandro c'est un fou de concert. Il en fait au moins un par semaine. Que ce soit des gros groupes super connu, ou des petits groupes qui commencent tout juste, il est ouvert à toute sorte de musique et il prend plaisir à découvrir des nouveaux sons. Il sait jouer de la batterie, il en joue remarquablement bien, il fait des remplacements de temps à autre pour des petits concerts locaux. C'est rare mais il prend toujours son pied dans ces cas là.
Le jeune Mendez est parfaitement bilingue Anglais/Espagnol.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Sandro c'est le mec qui ne s'énerve jamais. On peut croire que sa devise est « I don't give a single fuck » car il ne se prend jamais la tête, il prend toujours énormément de recul, mais la vérité c'est que tous les jours que Dieu fait sont une bénédiction pour lui, car il a frôlé la mort plusieurs fois par le passé et il ne veut pas gâcher son temps pour des broutilles de la vie de tous les jours. Oui tout le monde a des problèmes, lui aussi, mais c'est pas grave, on peut trouver une solution. Toujours. Il y a toujours une solution. Et puis s'il n'y en a pas, c'est pas grave. On est toujours en vie, c'est ce qui compte. La famille et les amis c'est ce qu'il y a de plus important pour lui. Les repas du dimanche chez ses parents pour voir toute sa famille, il ne les loupe jamais, ou presque.
On peut dire que Sandro est un vrai bisounours. Très tactile et adorable avec ses amis, il trouve qu'il ne passe pas assez de temps avec eux. Toujours à faire des câlins à ses amis dès qu'il en a l'opportunité, certains n'aiment pas ça d'ailleurs, trouvant que ça fait trop « gay », mais Sandro s'en fou, il n'a pas ce genre d'apriori. Il aimerait être riche pour pouvoir donner son argent à son entourage pour que les gens arrêtent de se suer au travail et profite des gens qu'ils aiment le plus possible.
Il est un coeur d'artichaut, il tombe assez facilement sous le charme d'une fille. Il n'est pas très discret quand une fille lui plaît, il essaie de passer le plus de temps avec elle afin de pouvoir faire le premier pas au moment opportun. Il a déjà eu quelques relations qui n'ont pas duré plus de deux ou trois mois. Il ne cherche pas le grand amour, mais il n'est pas contre s'il lui tombe dessus. Sandro a beaucoup d'amour à donner. Il veut une grande famille comme la sienne quand il aura trouvé la femme de sa vie, mais c'est encore bien loin tout ça dans son esprit.
Il est très sociable et a plus de 1000 amis sur facebook. Bien sûr, il n'est pas proche avec tous. Il y a beaucoup de gens qu'il rencontre et sympathise pendant les multiples concerts où il va et qu'il recroise par hasard de temps à autre.
Well... It's my story...
C'est à New York City que Sandro voit le jour, un petit matin de Noël en 1986. La famille Mendez s'agrandit. Monsieur Mendez, Luis, et Madame Mendez, Maria, sont déjà comblés avec un petit garçon âgé de trois ans. Ils n'ont pas beaucoup d'argent mais les parents Mendez travaillent dur. Heureusement la famille Mendez est grande, les enfants sont souvent gardés chez les tantes et oncles qui habitent aussi dans la Grande Pomme. C'est une vie simple qu'ils ont, mais ils sont heureux. Le plus important pour eux dans la vie étant de donner tout l'amour qu'ils pouvaient à leur famille. Les Mendez sont très croyant, allant à la messe tous les dimanches. Sandro grandit avec des valeurs, il ne va pas au catéchisme, car c'est payant, mais sa grand-mère maternelle enseigne la bible tout aussi bien à la ribambelle de cousins et cousines Mendez. Cinq ans plus tard, Sandro accueille avec son frère, et ses parents une nouvelle venue dans la famille, une petite soeur.
Sandro grandit dans le Bronx, il n'est pas ignorant des problèmes de gangs qui sont très présents dans les quartiers les plus défavorisés de New York. Il se fait de très bons amis, il a une enfance des plus normales jusqu'au jour où il se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Une balle perdue. Il a 15 ans et Sandro est blessé par balle alors qu'il était tranquillement en train se rentrer chez lui après l'école. Il est emmené d'urgence à l'hôpital, ses parents sont mis au courant très rapidement. Le jeune Sandro est au bloc opératoire et la famille patiente durant de longues heures avant d'avoir des nouvelles de son état. Sandro est stabilisé, la balle n'a pas touché d'organe vitaux. Le chirurgien vient annoncer cette nouvelle aux Mendez qui sont soulagés, mais une autre nouvelle va bouleverser leur vie. Les radios laissent voir des tumeurs sur les poumons de Sandro. Ils ont décelé un cancer de stade trois. Sandro se remet à peine de sa blessure par balle qu'il doit subir une autre opération pour son cancer. Le jeune Mendez passe de long mois à l'hôpital pour se remettre sur pied. Le cancer n'est pas parti, loin de là, mais ils ont pu enlever quelques tumeurs. C'est triste à dire, mais s'il n'avait pas été touché par balle, Sandro aurait pu mourir de son cancer, car non traité à temps. Le médecin rassure les Mendez en leur disant que les cancers, c'est différent pour tous les patients. On peut être au stade 3 et survivre, ou au stade 1 et passer de l'autre côté. Aussi, le mental est très important dans l'équation. Sandro est bien sûr complètement terrifié, il ne veut pas mourir, il n'avait que 15 ans !
Il prie beaucoup. Toute sa famille prie avec lui. Il est jeune, il est fort, les médecins sont optimistes. Les espoirs de la famille Mendez s'envolent quand ils voient la facture à payer à l'hôpital. Ils n'avaient pas tout cet argent. Toute la famille Mendez, oncles, tantes, cousins, cousines les aident pour payer les frais. C'est le coeur bien lourd que les Mendez décident de continuer le traitement de chimio pour leur fils dans une clinique gratuite. Ce qui n'est pas l'idéal du tout. Luis et Maria travaillent d'arrache pied afin de cumuler plus d'argent pour pouvoir fournir les soins adéquats pour la remise sur pied de leur fils. Beaucoup de larmes, énormément de larmes entre les murs du petit appartement des Mendez. Sandro n'en mène pas large. Il est faible, surtout après ses chimio. Il passe la plupart de son temps dans sa chambre, allongé dans son lit. Il lit beaucoup quand il ne dort pas. Voilà à quoi se résumait sa vie pendant quelques années. Lire et dormir. Ses copains de l'école viennent le voir de temps à autre, mais petit à petit ils viennent moins. La lutte contre le cancer est longue et éprouvante. Sandro a 17 ans quand il frôle la mort de nouveau. Beaucoup plus faible que d'habitude, sa famille se relaie à son chevet pour être sûr qu'il ne manque de rien. Quand il ne se réveille pas un jour, il retourne rapidement aux urgences. Il est très faible et le personnel médical suggère à la famille Mendez de commencer à dire leurs revoirs à Sandro. Les médecins leur font comprendre très clairement qu'il ne passera pas la nuit. Sauf que le lendemain il est toujours parmi eux. Toujours très faible, mais c'est un début. Les médecins n'en reviennent pas. Les Mendez savent que s'ils enlèvent leurs fils de cet hôpital pour des raisons financières, il ne tiendrait pas longtemps. Alors ils travaillent encore plus. Ils ont déjà quelques sous de côté qu'ils ont mis pendant deux ans pour éviter d'être mis au pied du mur une nouvelle fois avec une facture exorbitante imprévue de l'hôpital. Les Mendez prennent quelques décisions importantes. Ils quittent leur appartement pour avoir le loyer en moins à payer. Ils s'en vont vivre chez leur famille, c'est petit, oui, ils sont nombreux, oui, mais ils ne veulent pas être responsable de la mort de leur fils, jamais ils ne se le pardonneraient. Toute la famille était très soudée pendant ces temps difficiles.
Après un nouveau check-up, ils lui trouvent de nouvelles tumeurs. Une fois de plus c'est un coup dur. Le cancer se propage un peu sur d'autres organes. Les Mendez se demandent si cet enfer s'arrêtera un jour. Sandro est toujours très fort, il essaie de garder le sourire devant sa famille, il sait combien de sacrifices ils font pour lui. Quand il est seul il pleure, beaucoup... C'est tout ce qu'il fait, pleurer, dormir, manger, lire quand il en avait la force. De nouveau les médecins peu optimistes, préviennent la famille Mendez de passer le plus de temps possibles avec leur fils s'ils le pouvaient, car il n'avait certainement pas plus d'un mois ou deux. Toute la famille se relaie à son chevet pour l'occuper, pour lui faire penser à autre chose. Sandro décide d'utiliser son voeux avant de passer de l'autre côté. Cette association qui met tout en oeuvre pour réaliser le voeux des enfants qui ont le cancer. Sandro n'est plus un enfant à ce moment là, il a 18 ans, mais ça fonctionne tout de même. Il utilise son voeux pour offrir un toit à ses parents, son frère et sa soeur. Généralement les enfants utilisent ce voeux pour aller à Disneyland avant de faire le grand saut de l'autre côté, mais non, pas Sandro, il a vu combien sa famille souffrait dans toute cette situation et il voulait leur redonner un peu de liberté de ce côté là. Quand ses parents sont mis au courant, c'était bien trop d'émotion. Ils n'ont pas de mot pour remercier leur fils. A proprement parler ils n'ont pas gagné un appartement, mais ils seraient logés dans des locaux sociaux, gratuitement pour quelques mois. Ils auraient ensuite un loyer très moindre à payer. Ils vont de nouveau pouvoir avoir un semblant de vie normale, malheureusement cette vie serait certainement sans Sandr. Mais le fait est que Sandro ne part toujours pas.
Personne ne pourra expliquer comment Sandro s'en est sorti, mais il commence à aller mieux. Au fil des mois, son état s'améliore petit à petit. Quatre ans plus tard après maintes et maintes chimiothérapies, radiothérapies, plus aucune tumeur ne sont visibles aux radios. Un vrai miracle. Sandro a 22 ans, et il peut enfin commencer à vivre « normalement » ou presque. Il ne faut pas qu'il fasse d'excès. Il faut aussi qu'il retourne régulièrement à l'hôpital pour vérifier s'il y a d'éventuels retours de tumeurs, mais ce n'est pas cher payer pour vivre. Il mord la vie à pleine dents et il va bien tenter de vivre le plus longtemps possible. Aussi il décide de jouer très très régulièrement au loto, il rêve peut être, mais il a envie de gagner pour rembourser tout ce que ses parents lui ont donné pour le soigner. Il ne pourra jamais les remercier assez pour tout ce qu'ils ont fait pour lui.
A présent, il n'a toujours pas gagné le gros lot au loto, mais dès qu'il y gagne quelques dollars il les donne à ses parents, ou bien leur offre quelque chose dont ils ont besoin. Sandro a 26 ans, il est dans sa 4ème année de rémission. Encore une année et on peut parler de guérison complète. En attendant, il bosse depuis trois ans en tant que technicien du son dans une salle de concert, il ne se fait pas des millions, mais il peut dire qu'il aime son boulot. Il sait jouer de la batterie, de la guitare, il aime écrire des chansons, il songe d'ailleurs à les proposer à des groupes. Il n'a pas envie d'être connu, mais jouer de temps à autre sur scène avec des amis c'est vraiment quelque chose qu'il aime.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Am ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Il était une fois, en février 2013, une convention PLL avec Margaux ★Ce personnage est-il un double compte ? → Un... Quatrième compte, adieu Addison ★Présence sur le forum → 7/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Instagram de ce beau Mike Fuentes & moi avec photofiltre
Mon exemple de RolePlay:
→Je vois dans le regard d'Erika qu'elle est reconnaissante de ma petite intervention par rapport à ses chats. Pour une fois que je suis avec des gens que j'apprécie dans l'appart', je n'ai pas envie que ça change. On est comme une petite famille. Enfin, presque. Parce que je ne vois pas souvent Erika et Katerina interagir ensemble. C'est peut-être que moi qui suit bien parmi elles et je suis comme le chef de famille qui doit veiller sur ses filles. Ouais c'est à peu près ça. Je souris quand Erika tire la langue à Dimitri. Au moins il sait qu'il est entré dans un univers hostile. On est pas du genre à se laisser faire ici. Kat ne perds pas de temps pour me remettre à jour par rapport à sa relation avec Dimitri. Elle dit qu'il y a rien entre eux.
« Okay okay, je retire. »
Je n'ai pas envie de l'emmerder là dessus, même si ça m'amuse plus qu'autre chose au fond. Je vois mes deux colocs se lier contre Dimitri pour attaquer sa xbox au moindre pet de travers. C'est bien qu'il nous ait dit d'emblé combien il l'aimait sa console. On avait quelque chose pour le faire chanter le petit. Kat veut vraiment le faire partir tout de suite de l'appart' et j'hausse les épaules, je ne peux rien faire pour l'instant, le propriétaire l'avait accepté, content d'avoir un 4e loyer à se mettre dans la poche. L'amitié naissante entre Erika et Kat a l'air d'être déjà de l'histoire ancienne. Je ne sais pas ce que Erika a dit pour la faire exploser de la sorte mais ce que dit Kat en retour me fait sourire. Franchement c'est drôle comme situation. Peut-être parce que je suis pas directement touché par tout ça, ou peut être parce que y' a un peu d'action pour une fois ici. C'est quand même super rare qu'on soit tous les trois à l'appart' en même temps, et dans la même pièce qui plus est, je crois que ça n'est jamais arrivé. Kat parle d'Erika qui ramène un type toutes les semaines et j'en profite pour faire passer un message très clair à Dimitri.
« Message à caractère informatif... » dis-je en me tournant vers Dimitri. « ... je ramène aussi des mecs. Pas toutes les semaines par contre, plutôt toutes les deux semaines je dirai. »
Je réalise que je suis pas très différent de Erika, mis à part qu'elle joue sur les deux bords et moi qu'un. Manquerait plus qu'elle ait été mal traité étant enfant et ça me ferait presque flipper qu'on soit si similaire sur beaucoup de tableaux. Kat commence à nous sortir quelques unes des facettes de monsieur le quatrième coloc et je fronce le nez. Je ne sais pas si elle exagère ou si c'est vrai, mais ça ne présage rien de bon. Le petit Dimitri prend la parole pour se justifier de tout ça et nous raconter un peu sa vie, oui il faut l'avouer c'est un peu ça qu'il est en train de faire. J'imagine limite les violons retentir quand je l'écoute. Je le laisse parler jusqu'à ce qu'il ait terminé sans le couper. Une fois son petit monologue achevé je le regarde.
« Tant que le loyer est payé en temps et en heure, et que ma bouffe disparaît pas par magie, tu peux rester. A condition bien sûr que tout se passe bien avec les autres aussi. »
J'ai l'impression de passer pour le grand chef de famille mais c'est quelque chose d'évident ce que je viens de dire. Je n'ai pas abusé sur quoi que ce soit, c'est comme ça se ça se passe dans toutes les cohabitations. J'aimerai bien rajouter quelques trucs juste pour lui, genre lui donner une corvée mais qui je suis pour l'obliger en quoi que ce soit ? J'aimerai bien qu'on ait une agréable surprise de l'avoir parmi nous. Vu comment ça a commencé alors que ça ne fait pas trente minutes qu'il est arrivé, il doit sûrement être un peu flippé le pauvre petit.
« Viens je vais te montrer ton placard. Hem... Je veux dire ta chambre. »
Je plaisante bien sûr, je ne sais pas s'il l'aura pris comme ça, mais c'est vrai que sa chambre est minuscule. Dans tous les cas il est déjà au courant de la situation, ce n'était pas un secret que la chambre était si étroite, c'était noté dans l'annonce. Un lit double, un placard, et y'a la place pour rien d'autre. Ce qui veut dire qu'il y a de grandes chances qu'il squatte le salon à la place, mais bon, je pense que si je me ramène avec un mec y'a de grandes chances que je le fasse fuir, enfin, j'espère un peu, comme ça j'aurai ma tranquillité. Apparemment ce gosse n'a pas de boulot, je me demande ce qu'il fait de ses journées du coup. Par contre manque de bol sa chambre est juste en face de celle de Kat. Je lui fais faire un tour rapide, en même temps c'est pas immense. Y'a qu'un couloir et toutes les portes des différentes chambres, et la salle de bain. De retour dans le salon - où on a quand même beaucoup plus de place - j'annonce :
« Pour la salle de bain, y'en a qu'une, on a jamais eu de problème jusqu'à maintenant, mais s'il le faut on instaurera un planning pour pas qu'on se marche dessus. »
Heureusement que les chiottes sont à part, sinon c'est un coup à se pisser dessus le matin quand quelqu'un est en train de se préparer. L'histoire du planning j'ai vu ça déjà dans d'autres coloc et je dois avouer que quand tout le monde commence à la même heure le matin ça doit être super chiant. Je regarde les autres pour leurs avis si jamais ils ont un truc à dire.
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise Mar 3 Déc - 15:36
Ensemble, nous prendrons le pouvoir xD MENDEZZZZZZZZZZZ THE BEST !
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise Mar 3 Déc - 16:01
Ouiiiiii Merci encore d'avoir pris mon scénario
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise Mar 3 Déc - 16:15
De rien
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise Jeu 5 Déc - 17:22
SCENARIO PRIS. Je déplace.
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Sujet: Re: (F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise
(F) DANIELLE CAMPBELL, Petite soeur, prise
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Voici quelques points à propos du personnage de Mariana.
