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Friends are heart's Family [ PV Eliana

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Heaven J. Callaghan
Heaven J. Callaghan
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MessageSujet: Friends are heart's Family [ PV Eliana Friends are heart's Family [ PV Eliana EmptyDim 18 Mai - 23:49


Les amis, c'est une famille qu'on se choisit soi même au fond..On les accueille dans notre vie, on se rapproche d'eux, on s'y accroche de toutes nos forces et très rapidement leur absence devient un véritable manque pour nous, on a envie de les retrouver au plus vite pour partager d'autres moments privilégiés. Je ne pouvais compter mes véritables amis que sur les doigts d'une seule main, mais ce n'était pas plus mal au fond, à quoi bon avoir une flopée d'amis si on ne peux pas réellement compter dessus ou si on ne les connais même pas vraiment? Moi en tout cas ça ne m'intéressait pas le moins du monde. J'avais encore plus d'amis masculins que féminins,et si on me demandais de parler d'une seule fille ça serait sans aucun doute d'elle, Eliana, ma grande soeur de coeur, celle que j'aurais aimé avoir dans ma vie depuis toujours et que j'avais rencontré dans le cadre de mes examens médicaux assez fréquents. Elle avait été si douce, si bienveillante, nous avions eu envie de nous connaitre mieux, s'en était suivi des sorties shopping et autres entrevues. Elle m'offrait toujours un petit quelque chose pour le bébé quand on se voyait, c'était plus fort qu'elle d'après ce qu'elle me disait et d'après ce que j'avais vu de ses pulsions acheteuses je n'en doutais pas une seule seconde, et à près de 8 mois de grossesse d'ici début juin je commençais a accumuler les petits cadeaux mignons de la part de mes amis. J'avais tenue à l'inviter chez moi histoire de passer du temps ensembles, ça faisait déjà quelques jours qu'on avait pas trop parlé elle et moi et que doncon avait pas eu trop de temps pour discuter autant que nous aimions le faire durant nos sorties entre filles. Je n'étais pas sortie de chez moi depuis bien deux semaines pour autre chose que aller à l'épicerie à côté de chez moi, ou encore tout simplement me rendre à la boite aux lettres. J'étais épuisée, vidée de mon énergie. Mon bassin frêle et mon dos peu habitué aux charges peinaient à tenir sans trop de souffrance face à cette grossesse non prévue arrivée très tôt, trop tot même, très certainement. Ne voulant pas risquer d'accoucher prématurément je suivais à la lettre ce que m'avais demandé mon médecin en me retrouvant chez moi à ne rien faire d'autre que me reposer, encore et encore, faire des petits étirements, laisser venir une infirmière de temps en temps pour surveiller mon état, enfin bref, un bonheur..Donc nous n'avions pas vraiment d'autres choix pour se voir, c'était chez elle ou alors chez moi, et comme j'étais seule à la maison aujourd'hui je la laissais faire la petite route qui séparait nos deux habitations en perspective de cette soirée entre filles que j'éspérais à l'image de les autres que nous avions déjà pu avoir dans le passé, drôle, réconfortante, pleine de sincérité, et surtout de simplicité. Avec elle pas de prise de tête, j'étais juste moi même, elle aussi, et ça nous convenait parfaitement. On ne se sens pas à l'aise avec les gens qui se forcent. Les sourires forcés sont démasqués, les paroles hypocrites ne font pas plaisir car elles sonnent faux. Quand j'étais avec elle je savais qu'elle ne me jugeait pas, que je n'avais aucune étiquette. J'étais Heaven.. Et ça me suffisait amplement.

Plus que de juste la voir, je ressentais le besoin express et pressant de lui parler..De lui confier mes peurs et mes angoisses. Elle était mon modèle féminin, une sorte de substitut de figure maternelle pour tous les conseils féminins dont je pourrais avoir besoin et la tout de suite c'était un peu le bazard dans mon esprit. Quand les médecins parlaient de l'accouchement ils oubliaient parfois qu'ils avaient en face d'eux une ado de 16 ans. Ils oubliaient combien pour moi ce n'était pas naturel, combien mon corps peinait déjà par moments..ils oubliaient que je n'avais pas de mari pour me tenir la main et attendre avec impatience l'arrivée d'un fils chez qui avec émerveillement il rechercherait des similitudes au niveau des traits à peine né. Ils oubliaient que j'étais terrifié à l'idée de la douleur qui m'attendais quand je donnerais la vie.. Terrifiée à l'idée de me retrouver perdue et de ne pas savoir être une bonne maman parce que jamais je n'avais eu de mère pour me servir d'exemple à suivre.A qui en parler? Mon gynéco? Surement pas..Je l'aime pas beaucoup. Mon père? Il n'avait rien de féminin et.. Je n'avais pas tellement envie de l'embêter avec des inquiétudes déjà que je lui imposais cette situation délicate. Donc ça serait à elle que j'en parlerais, elle trouvait les mots à chaque fois que j'en avais besoin sans pour autant les choisir de façon à ce que ça me plaise. La vérité, rien que la verité toute la vérité. Et même si elle n'est pas toujours facile à entendre, ce qui est logique.. Une vérité dite est plus utile qu'un mensonge, car on peux s'en servir pour arranger les choses. Je voulais bien faire, ça oui c'était mon plus grand désir. Elle n'avait peut être pas plus d'experience que moi en matière de maternité, mais elle elle avait une maman dont on avais déjà beaucoup parlé toutes les deux et qui semblait être formidable. Donc elle saurait sans doute me dire quoi faire pour me rassurer.. Pour me réconforter et me dire, je l'éspérais que je saurais quoi faire pour prendre soin de mon fils comme il le méritait.

Dans la journée j'avais préparé toutes sortes de petites choses à grignoter en plus des différents trucs achetés qui trônaient sur la table basse du salon tout près des différents DVD que j'envisageais de visionner avec elle. Et finalement j'étais allé me préparer aussi, enfilant un short en coton assez confortable et un t-shirt ample qui n'écrasait pas mon énorme ventre digne du film alien. Etalée comme une baleine échouée, avachie assise dans le sofa, je ne me relevais pas en entendant qu'on sonnait à la porte, me contentant de lancer d'une voix forte:

- Entre c'est Ouvert! Je suis au salon !
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MessageSujet: Re: Friends are heart's Family [ PV Eliana Friends are heart's Family [ PV Eliana EmptyLun 26 Mai - 1:34

Friends are heart's Family.
Heaven & Eliana



J'ai toujours aimé être la dernière de ma fratrie. Être la petite sœur de mes trois grands frères, être la petite préférée, celle qu'ils devaient protéger. J'ai grandit à leur côté, parfois dans leur ombre et je n'aurais échangé ça pour rien au monde. Ils étaient des modèles, chacun à leur façon. Des garçons accomplis, au physique d'éphèbes grecques que toutes les filles voulaient. Leurs admiratrices, je les détestais souvent. Je ne voulais pas les partager, je voulais être la seule qu'ils aiment plus que tout, la seule dans leur cœur. En grandissant, j'ai été plus conciliante, mais j'ai toujours eu comme un droit de véto sur leurs conquêtes. Mon avis était important pour eux, comme le leur l'était pour moi. Après tout, nous nous connaissions mieux que quiconque. Toute fratrie a ses hauts et ses bas, mais malgré nos chamailleries, nous avions toujours été relativement proches, nous savions tout ou presque des uns et des autres, alors qui d'autre pour nous conseiller mutuellement ? Mais voilà, j'étais la seule fille et la cadette en plus. Automatiquement, il y a bien sûre eu des sujets, que je ne pouvais aborder, avec mes frères. Tous les petits tracas d'une adolescente et les garçons. Chaque fois qu'un représentant de la gente masculine tentait quelque chose, mes trois gardes du corps officiels étaient là pour empêcher toute approche trop osée. J'étais à leur yeux encore, cette éternelle petite fille qui couraient derrière eux pendant leur partie de rugby, qui faisait parfois office de ballon et qu'ils avaient devoir de protéger coûte que coûte. Donc, inutile de préciser à quel point ce fut difficile pour moi d'établir la moindre relation à l'époque. Car, mis à part ma timidité maladive, je devais également faire face à ce paramètre. Il y a bien eu des audacieux, mais seul Aaron a véritablement réussi à se mettre mes ainés dans la poche. Lui seul avait réussi à leur inspirer assez de confiance pour devenir mon petit-ami. Ce ne fut pas facile, mais c'est en partie pour ça que je l'ai aimé si vite et avec autant d'intensité. Il avait eu la fameuse approbation des garçons Wellington et cela comptait plus que tout pour moi. J'avais besoin de ça. Et je suis presque sûre, que s'il n'avait pas été dans la faveur de mes frères, notre histoire aurait été différente. Ils sont tellement disons presque parfaits, à leur façon. Bien sûre, comme tous, ils ont des défauts, mais leurs nombreuses qualités les pardonnent. Aiden par exemple a beau se montrer des plus agaçants, il a le cœur sur la main, se montre toujours attentif et je peux difficilement lui reprocher quoique ce soit lorsque je vois la passion qu'il investit dans chacune de ses conneries. Oui, Aaron et moi ça n'aurait pas été pareil sans cette fameuse approbation. Pourtant, même après ça, il m'était impossible de l'évoquer dans une conversation banale, ils restaient mes frères. Je me voyais difficilement aller les voir pour leur demander des conseils sur une première fois avec un garçon. Ils auraient été capable de le priver de ses organes génitaux. Non, pour ce genre de sujet, j'avais eu la chance de pouvoir compter sur des amis fidèles. Des gens qui ne m'avaient jamais fait faux bon et répondaient toujours présent lorsque j'en avais besoin. Pendant la major partie de ma vie j'avais été entourée et je ne pouvais qu'être reconnaissante pour ça. Je me devais de l'être et de faire en sorte de ne pas me montrer égoïste. Mon éducation m'y avait de toute façon forcée. Les œuvres sociales, les voyages humanitaires avec ma mère m'avaient appris à donner, partager.  
Ici à New-York, j'étais bien moins entourée qu'en Angleterre, où se trouvait la major partie de ma famille, mais je n'avais jamais regretté ma décision de déménager. C'était pour mon bien et après un an enfin, je commençais à voir les prémices des améliorations que je recherchais. Tout d'abord, je travaillais beaucoup moins. Mes heures à l'hôpital avaient considérablement diminué et je retrouvais un réel plaisir à pratiquer la chirurgie. L'autre conséquence majeur de l'allégement de mes horaires, c'était l'augmentation du nombre de mes sorties. Des soirées, des après-midis loin de cet atmosphère aseptisé qui m'ont aidé à m'échapper quelque peu du cercle vicieux où je m'étais moi-même enfermée. Ce n'était que le début. J'en étais pleinement consciente, mais après cinq ans à ruminer, culpabiliser, m'attrister, je ne pouvais que me réjouir, même pour si peu. Certes, je restais aussi exigeante qu'auparavant, ma nature profonde n'avait pas changé, mais j'étais moins obsessionnelle, plus vivante. Je n'arriverais sans doute jamais à me départir de mon perfectionnisme, mais je pouvais au moins agrémenter ma vie d'un brin d'insouciance. Après tout je n'avais que vingt-quatre-ans et comme me le soulignait si souvent Heaven, si je ne me bougeais pas, je risquais de finir vieille fille. Pour ce qui était des rencontres, ça suivait aussi son cours et une s'était particulièrement démarquée des autres. Celle avec l'entraineur des Knicks. C'était d'ailleurs la seule notable que j'avais faite pour être honnête. Jamie était le seul dont j'avais accepté un rendez-vous en plusieurs années. Je n'en avais parlé qu'à une ou deux personnes. La dernière chose que je voulais, c'était un emballement général. D'ailleurs, celle à qui je rendais visite aujourd'hui ne savait rien, pas encore. Je gardais ce sujet de conversation bien au chaud. Peut-être serait-il mis sur le tapis, peut-être pas. Tout dépendait de ce qu'on allait faire. Je lui avais laissé programme libre. C'était à elle de décider, même si j'avais une petite idée de ce qu'on allait faire. Son état ne lui permettait pas de faire des folies, alors les choix se limitaient à des activités d'intérieur.
En arrivant devant, j'eus une petite appréhension. Cela faisait un moment que je ne l'avais pas vu. Son ventre avait dû grossir encore plus maintenant et faire un sacré contraste avec son corps frêle. J'avais depuis longtemps accepté le fait qu'elle soit enceinte à seize ans, mais je ne m'étais pas pour autant habitué à la voir dans cet état. C'était sans doute parce qu'elle était plus qu'une patiente à présent pour moi. Je me sentais le devoir de la protéger, comme une grande-sœur. Et la voir peiné avec cette proéminence antérieur me faisait un peu mal au cœur. Je devais prendre sur moi et qui plus est, je mourrais d'envie de la revoir et de lui offrir un petit quelque chose de particulièrement mignon que j'avais déniché en faisait les magasins. En sonnant à la porte, elle m'invita de suite à rentrer et j'obéis ne manquant pas d'enlever mes baskets au passage pour plus de confort. Heaven se trouvait au salon, avachi sur le canapé et cette vision m'arracha un immense sourire. Je m'avançais vers elle pour la serrer dans mes bras, autant que son état lui permettait et lui tendit le petit paquet contenant de magnifiques chaussons blanc brodé d'un nounours et le bavoir qui allait avec. « De rien. Tu n'as pas le droit de refuser. » lançais-je pour couper court à toute contestation. Je pris ensuite place à ses côtés en attendant sa réaction. À la télévision se jouait un match de l'équipe de basket fard de New-York et un instant, mes yeux furent attiré par un visage particulier qui se dessinait sur l'écran. Jamie Madden. Mais, voyant qu'Heaven m'observait, je reportais mon attention sur elle, lui adressant un sourire éclatant et non plus béat pour chasser les soupçons pouvant être occasionné. Bon, son expression me disait que c'était raté, mais je pouvais toujours rattraper le coup. « Alors, ça te plait ? » lui demandais-je pour changer de sujet tout en toussotant.

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Heaven J. Callaghan
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MessageSujet: Re: Friends are heart's Family [ PV Eliana Friends are heart's Family [ PV Eliana EmptyJeu 5 Juin - 7:31


Mes journées me semblaient de plus en plus longues et déprimantes. Je voyais mon père partir au travail..La nounou débarquer avec son stupide accent qui m'énervait au plus haut point quand elle me parlait. La moitié du temps je n'écoutais même pas vraiment, en tout cas elle prennait mal le fait que je lui ai dis que si elle s'occupait de mon bébé une seule fois je la fichais dehors. Pas question d'avoir besoin de l'aide de qui que ce soit. Alors quand mon ex avait débarqué à la maison y'a pas si longtemps pour une énième discution la ça avait été la troisième guerre mondiale dans sa tête et elle s'était sentie obliger de nous faire la leçon, en particulier à moi qui soit disant remettait ses compétences en question. Résultat nous avions eu toutes les peines du monde à pouvoir parler tranquillement sans que l'autre vienne y mettre son grain de sel. Puis elle faisait la cuisine et je mangeais devant une des émissions terriblement barbantes qui passaient à longueur de journée avec des personnes stéréotypées absolument superficielles. L'après midi je commatais, allongée sur mon lit et faisais une petite sieste de une heure ou deux. J'essayais désesperement de voir par dessus mon ventre sans succès, mes jambes devenaient très difficiles à voir. Ensuite..Je prenais une douche parce que rien faire ça donne chaud! Je grignotais encore, et me branchait à une de ces machines fournies par mon médecin pour controler mes constantes avec l'aide d'une infirmière qui passait faire un check up tous les 4 jours environ, surveillant ainsi l'état de mon coeur. Quand mon père revenait, nous discutions vaguement et chacun retournait à ses occupations. Vous voyez maintenant à quel point ma vie pouvait être passionnante ces derniers temps pendant que des tonnes de filles de mon âge ne se préoccupent que d'une chose, avec quel gloss et quel sac vont elles associer leurs tenues demain. Et ceci était à peine exagéré, certaines allaient plus loin en assortissant la tenue de leur chihuahua, chien qui tenait plus du rat que du loup on est bien d'accord sur ce point. Mais par chance Eliana allait aujourd'hui mettre fin temporairement à cette routine qui me dégoutait de plus en plus chaque jour, et je l'avais attendue avec impatience aussitot levée. J'aurais bien sauté de joie alors que l'heure approchait, mais décoller mes pieds du sol sans avoir un canapé sous les fesses me semblait physiquement impossible pour le moment, à mon plus grand désespoir.

J'éspérais que mon cri d'accueil avait été tout de même plein de joie malgré que je ne puisse pas courir l'accueillir.  Bientot.. Bientot. C'est ce que je me répétais, mais bientot semblait encore bien loin tout de même. Je lui avais accordé le plus grand sourire que j'avais en stock, me redressant pour la serrer tout contre moi. C'était si bon de la retrouver enfin! Je fermais brièvement les yeux face à la zenitude qui me traversait chaque fois qu'elle était auprès de moi, je ne blaguais pas quand je l'associais à ma famille, elle étais la grande soeur que j'aurais aimé avoir, une éspèce de petite maman trop adorable à qui je devais vraiment beaucoup. Je me reculais et serrais juste ses mains dans les miennes le temps de la regarder, elle semblait en forme, moins fatiguée qu'avant. J'avais été bien contente quand elle m'avait appris qu'elle avait un petit peu allégé ses horaires, je lui en avais déjà souvent parlé et peut être que comme ça elle finirais par avoir une vie sociale, ce que je lui rabachais sans relache également! A force j'avais bon éspoir qu'elle finirais par céder juste pour que je lui fiche la paix, et ça serait parfaitement compréhensible. Mon regard fut attiré par le paquet qu'elle me tendis et je levais les yeux au ciel. « Comme si je pouvais dire non de toute façon, tu ne me laisses jamais le choix. Au départ on avais dis UN cadeau quand on a été à la boutique tu te souviens? Et maintenant ça devient systématique. Ca ne va pas du tout! Je ne sais plus quoi faire de toi! » Je levais les yeux au ciel et m'installais à nouveau pour déballer le joli paquet avec précaution de peur d'abimer quelque chose, souriant de plus belle en découvrant ses achats. C'était tellement mignon! Il faut bien profiter des bébés pour leur mettre du blanc, une fois que ça rampe par terre et que ça court dehors dans l'herbe mieux vaut éviter ce genre de couleurs sauf dans les grandes occasions. Et le nounours ressemblait beaucoup a une des peluches qui occupait le lit en attendant son arrivée. « C'est trop trop mignon. Merci beaucoup! Je suis sur que ça lui iras à merveille! Et en bonne future marraine si ce post te conviens toujours.. J'adorerais que tu m'aides dans mon choix de prénom aujourd'hui! »

Oui c'était LA question du moment pour moi et je devais me dépêcher de choisir. Nous en avions un peu parlé quand j'avais vu le papa, bien qu'il n'était toujours pas décidé à être dans sa vie il n'était pas contre quelques photos de temps à autres tant que je ne lui imposais rien. Donc on avait parlé de quelques noms et il me laissait finalement la décision. La première personne à qui j'avais pensé était Eliana. Elle avait tant fait pour moi,elle ne pouvait qu'être la marraine de mon petit ange adoré. Je m'adossais alors confortablement contre mon amie avec un sourire franc et plein de douceur, ma tête basculée contre son épaule. Je respirais un peu son odeur très agréable, son parfum que je connaissais par coeur maintenant. C'était relaxant. « J'ai pensé à Alex, Josh, Max, Elias, Caleb, Kyle, Elliott, Aiden. J'ai vraiment pas d'idée fixe enfait mais toi tu rencontres plein de gens tu pourras peut être m'aider! » Suggérais-je en lui jetant un regard suppliant.  Je ne voulais pas qu'il voit le jour sans avoir de prénom bien à lui, et je savais que jamais je ne tiendrais un mois de plus! Mon corps ne tiendra pas,, les médecins m'avaient bien prévenu de ne pas paniquer si ça arrivait...Ce qui n'aidait pas.. Accoucher me terrifiait tellement.

Je jouais avec mes longs cheveux, entortillant des mèches autour de mes doigts fins avant de reposer les yeux sur elle dont l'attention semblait être sur tout autre chose. Je haussais doucement un sourcil et la suivait des yeux avec curiosité. Qu'est ce qu'elle fixait avec cet air bizarre que je ne lui conaissais pas. On aurait dit un végétarien affamé devant le nez en carotte d'un bonhomme de neige fallait la voir! Je pouffais doucement de rire à cette pensée, je me trouvais moi même affligeante par moments à direvrai.Sans rien lâcher je continuais à chercher donc sur l'écran, une petite moue pensive aux lèvres avant de sourire en remarquant que c'était bien l'entraîneur  qu'elle mattait comme ça. Pas mal. Un chouilla trop vieux pour que je puisse baver dessus avec elle mais j'étais ravie que mon amie ai des bons gouts. Je lui donnais un doux petit coup de coude en sifflant. « Quelque chose me dit que ce ne sont pas que ses talents en tant  qu'entraîneur que tu admires de cette façon! Je me trompe? » Un petit rire satisfait m'échappa à nouveau alors que je me redressais pour déposer un petit bisou rapide sur sa joue. « Je me disais aussi qu'une fille qui aime le basket pour autre chose que matter les garçons n'est pas normale. Regarde moi tous ces muscles la! Et ils sont immenses! Au moins 1 bon mètre 90 non? A côté j'aurais l'air d'un oompa loompa. Ca dure depuis longtemps ce petit.. coup de coeur pour monsieur l'entraineur Madden ? Tu ne me l'avais pas dis petite cachottière!» Je lui souriais de toutes mes jolies dents, bien curieuse d'en apprendre plus à ce sujet, et je ne comptais pas la lâcher, pas du tout.
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