Quel est le caractère de ton personnage ?
you terrorized the Big Apple→ Paisible + Optimiste + Romantique + Dynamique + Solidaire + Attentive + Fidèle + Ponctuelle + Consciencieuse + A l’écoute + Aimable + Empathique + Indulgente + Persévérante + Intuitive + Naturel + Minutieuse + Polie + Réfléchie + Sincère + Sociable + Prudente + Réaliste + Protectrice + Patiente + Anxieuse + Distraite + Maladroite + Bordélique + Naïve + Sensible + Susceptible + Têtue + Persévérante + A pas une grande confiance en sa personne.

La chirurgienne option, « gynécologie obstétrique » diplômée avec un an d'avance depuis quelques mois est, selon plusieurs personnes de son entourage : « Une personne qui ne compte pas ses heures de travail afin de réussir ce qu’elle veut que ce soit dans sa vie professionnelle et / ou personnelle. » - « Une personne sociable, agréable, patiente, à l’écoute des autres ce qui explique les raisons pour lesquelles le contact, le suivi des patients (es) de l’hôpital se déroule toujours dans une ambiance convivial, sans problèmes où les discours aux opinions diverses ne s’entremêlent pas donnant des conflits. » - « Une personne intuitive, naturelle, persévérante, réfléchie et minutieuse dans son travail mais aussi dans toutes les choses qu’elle entreprend dans sa vie personnelle. Ces traits de caractère étant les clefs qui ont permis à l’étudiante d’obtenir des résultats aussi brillants à ses examens tout au long des années mais aussi d’être un « espoir » de la chirurgie de la gynécologie obstétrique. » -  « une personne distraite, maladroite dès que ça ne touche pas les gestes médicaux, le contact avec les patients (es) ou avec la hiérarchie. C’est sûrement l’expression d’un relâchement de son cerveau, de ses muscles. » - « Une personne naïve parce qu’elle ne peut s’empêcher de donner sa confiance à quasiment tout le monde. » - « Une personne sensible à la peine des personnes, aux difficultés physiques, financières ou matériels d’autres. Pas seulement aux personnes mais aussi aux animaux d’où son travail de quelques années à la SPA. » - « Une personne susceptible face à certaines critiques d’autrui. Bien sûr, ce n’est pas excessif. Tout dépend des circonstances, le ton de la voix mais, si c’est répétitif assez rapidement ça la vexe ou pire, la blesse. »

Well... It's my story !
and as charming as sad as it is, plays !
it does not begin with once upon a time

---

Vers l’âge de trois ans, dans le salon de l’appartement se situant dans la capitale française, la demoiselle assise sur les genoux de son père vînt à aborder des questionnements occupant son esprit d’enfant notamment sur « l’image de la famille conventionnelle : un papa et une maman » qu’elle retrouve à la télévision mais aussi à son école maternelle. Pourquoi ce Monsieur Moriarty qu’elle nomme « papa » fréquentant l’appartement quasiment tous les jours de la semaine quand il n’est pas en déplacements à Londres, ne vit avec elles ? A la fin du programme télévisuel, la demoiselle vînt attirer l’attention de son paternel en tirant sur sa chemise. « Dis papa, pourquoi tu ne vis pas avec nous ? » Tandis que la demoiselle le regardait les yeux grands ouverts, l’homme dû se racler la gorge cherchant ses mots, le regard parcourant un instant la pièce avant de venir à nouveau se poser sur la demoiselle. « Je sais que ce n’est pas facile à comprendre à ton âge mais, écoute Lys. » Il fit une pause de quelques instants, se pinçant la lèvre. « Va me chercher l’album avec les photographies que tu as depuis ta naissance. S’il te plaît. » Elle fit un mouvement de la tête positif avant de remettre les pieds sur le sol du salon se dirigeant vers sa chambre où se trouve sur l’étagère son livret avec des photographies que ses mères ajoutent au fil des années ou des évènements. La demoiselle revînt quelques minutes plus tard, les bras chargés. Son père la remit sur ses genoux avant d’ouvrir l’album. « Elise, ta maman, c’est une amie d’enfance. Quand, accompagnée de ton autre maman, Lisbeth, elles sont venues m’annoncer qu’elles voulaient que je les aide à avoir un enfant, je n’ai pas pu refuser. » Son regard vînt se poser sur la première photographie : les deux femmes avec la demoiselle dans les bras dans la chambre de l’hôpital dans lequel elles y sont restées quelques jours. « Et, je ne le regrette absolument pas. » Il vînt déposer un baiser sur la chevelure brune de la demoiselle. « Mais, tu vois, certains enfants ont un papa et une maman, d’autres deux papas et d’autres enfants ont deux mamans. Toi, tu as deux mamans. Ce sont tes parents. Et moi, je suis ton père. Un père qui fait partie de ta vie parce que tes mamans le veulent mais, je ne peux pas vivre avec vous. Un jour, j’aurais une famille aussi. Mais, je serais toujours là pour toi, Princesse. » Il fit une étreinte à sa progéniture. « D’accord. Je t’aime, papa. » Elle vînt déposer un baiser sur sa joue. « Je t’aime aussi. Ne l’oublie jamais. » Ils se serrèrent la main, laissant échapper un rire avant que les deux continuent à regarder l’album de photographies tout en faisant le récit de quelques souvenirs. […] A l’âge de 22 ans, mon paternel vînt à l’appartement en début de soirée m’annoncer qu’il venait de recevoir les résultats des examens médicaux qu’il avait dû faire quelques jours auparavant. Malheureusement, ils montrèrent l’existence d’une masse cancérigène. Après des traitements de chimiothérapies, plusieurs opérations ainsi que plusieurs rémissions, il réussit à « survivre » trois années. Cependant, trois mois en arrière, un malaise le fit entrer à l’hôpital de la Grosse Pomme. Ce n’est qu’il y a quelques jours que l’état global de Monsieur Moriarty vînt à se dégrader graduellement, les médecins demandant aux trois Breeland-Watts de se préparer au départ de l’être proche. En d’autres termes, ça signifiait qu’elles devaient faire leurs « aurevoirs » à l’homme malade. Ainsi, entrant une énième fois dans la chambre, elle vînt s’asseoir sur le bord du lit, prenant la main de son paternel. « Prend le papier et l’enveloppe qui se trouvent dans le couloir Lys, s’il te plaît. » Sans plus attendre, la chirurgienne fraîchement diplômée ouvrit le tiroir de la commode, prenant le bout de papier en question. « Tu te souviens quand t’étais enfant, je t’ai dit qu’un jour j’aurais aussi une famille. » Elle fit un signe positif de la tête, fronçant les sourcils ne sachant pas encore où il voulait en venir. « Oui mais, quel est le rapport avec ce bout de papier ? » Il fit une pause de quelques secondes, avalant sa salive, prenant une grande inspiration tout en cherchant ses mots. « Sur ce papier, il y a écrit le prénom et l’adresse d’un garçon résidant ici. C’est, mon fils. Aksel. C’est pour ça que pendant quelques années, je ne pouvais que t’écrire des lettres. J’ai eu un enfant, une famille à Londres. » Ne sachant ce qu’elle devait répondre à la confidence de son paternel, la jeune femme vînt à se lever, venant poser son regard par la fenêtre quelques instants. Elle ouvrit le bout de papier découvrant l’adresse du jeune homme avec lequel elle partage le même ADN. « Pourquoi, maintenant ? Pourquoi, au moment où tu sais que tu vas nous quitter ? Je. » Les larmes montèrent aux yeux de l’étudiante en médecine qui vînt croiser ses bras contre sa poitrine, se mordant la lèvre. « Qu’est-ce que tu attends de moi ? » Il fit signe à sa fille de venir s’asseoir à ses côtés. « Si j’avais eu le courage après toutes ses années de silence, j’aurais fait le premier pas vers lui en me rendant à cette adresse mais, je ne voulais pas qu’il me rejette ou qu’il passe un peu de temps avec moi seulement parce qu’il aurait su que j’allais mourir. » Les larmes coulèrent sur les joues de l’homme malade. Même constat chez la jeune femme. « Alors, je veux que tu lui donnes cette lettre, s’il te plaît, Lys. » Elle fit un mouvement de tête positif. « D’accord, tout ce que tu veux. » Un fin sourire vînt s’afficher sur ses lèvres. Elle vînt s’allonger à ses côtés. Il lui fit un baiser sur sa chevelure brune. « Ne m’en veut pas. » Sa respiration se faisait de plus en plus difficile. Elle vînt poser son regard sur son paternel. « Non, bien sûr que non. Je. Je t’aime, papa. Tu. Tu peux partir en paix. » Ses deux mères venaient d’entrer dans la chambre, venant se mettre près du lit. « Je t’aime aussi ma Princesse. Je vous aime toutes. » Les deux femmes déposèrent un baiser chacune leur tour sur la joue de l’homme. Quant à elle, la chirurgienne se tenait toujours allongée près de son père. « Tu vas me manquer. » Suite à ce chuchotement, le monitoring vînt retenir dans la pièce. [...] Maintenant, elle devait se rendre à cette adresse, rencontrer ce jeune homme, donner cette lettre tout en lui annonçant que son père qu’il n’a pas vu depuis longtemps et à qui il en veut certainement de n’avoir pas fait beaucoup partie de sa vie qu’il est mort.

Ton prénom ou ton pseudo & ton âge  → moo' & vingt et un ans.
Comment es-tu arrivé(e) ici ? → j'y suis depuis pas mal de temps maintenant
Ce personnage est-il un double compte ? → oui
Présence sur le forum → tous les jours.
Personnage inventé ou scénario ? → personnage inventé mais en collaboration avec tia .
Crédit images → made by glass (avatar) - tumblr (gifs) - nenes & tumblr (icon)

Mon exemple de RolePlay: