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fix you - melody&tobias

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Melody L. Dashwood
Melody L. Dashwood
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MessageSujet: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 16 Oct - 18:27

tobias & melody
behind the blue eyes
Voilà, 48 heures que ma vie avait changée. Oui, bon, un type était entré dans ma vie. C’était bien loin de toute approche qu’on attend mais bon. Il fallait avouer que c’était étrange. L’employé de la boutique craignait un peu de ce nouvel individu. Je l’avais apparemment embauché alors que je pense qu’un enfant lui fait plus peur qu’un… gros molosse. Mais soit. Ma vie devait paraitre normale et surtout ma routine. Je ne me sentais pas moins à l’aise que d’habitude. C’était plus un garde du corps qu’autre chose en fait. Enfin… disons que dans toute cette bizarrerie, cela y ressemblait sans vraiment l’être. Ma matinée avait donc était classique hormis mon invité. J’étais debout de bonne heure pour ouvrir la boutique. Comme toujours dans un slim, cette fois, il était noir en jeans avec un débardeur classique couleur crème. La tenue basique. Je m’étais levée, j’avais été rapidement chercher des petits croissants pour aller à la boutique qui était pourtant pile en face de ma maison. Rien d’anormal, je l’avais choisie rien que pour cette raison et c’était mon choix. La journée débutait bien. Je devais vendre autant à des adultes que des enfants. C’était bien plus agréable qu’il n’y paraissait de trainer avec des bambins de tous les âges. J’adorais ça. Exploitant un peu le pauvre Alvin, je le faisais faire les choses que personne n’aimait faire. Et oui, il foutait le bazar dans ma maison, je foutais le bazar dans son emploi si l’on veut. La mi-journée était par contre calme. Le mardi, nous avions des heures creuses. Les enfants étant tous à l’école et les gens au boulot. C’était assez complexe. Bien sûr mon employé rentrait chez lui. J’étais seule, ou presque on dira. J’avais… un ange gardien insoupçonnable qui passait la serpillière. Super. Je me contentais d’ouvrir la caisse enregistreuse et faire le bilan de la matinée. Ce quartier ouvrait des possibilités pour ce commerce. Il n’y avait pas de librairie trop proche qui vende réellement des bouquins parfois rares. Les gens avaient beaucoup d’enfants dans le coin. Des familles riches comme moyenne et comme parfois pauvre. Il devait être aux alentours de 14 heures. J’étais affamée, vraiment. Je sentais presque l’odeur d’un bon plat cuisiné à la maison et j’avais l’impression que ça serait bien mieux ainsi. Oui, sous un plaid avec des spaghettis. Rêveuse, j’imaginais déjà la scène en souriant doucement. C’est alors que la clochette de la porte tintait. Je sortais de ma rêverie avec mon sourire magique. Holland, une cliente régulière arrivait en me regardant avec son sourire sournois. « Bonjour, je sais pourquoi tu es là ! », disais-je en fronçant les sourcils. « Ah oui ? », pendant ce temps, je posais ma main sous le comptoir, sortant une version rare du petit prince. « Je l’ai trouvé ! », retorquais-je en souriant. « Il doit vraiment être important pour que tu ne me donnes ce défi ! », disais-je en riant nerveusement. « J’ai presque dû tuer pour avoir celui-ci ! », bien sûr, je plaisantais car parler de meurtre n’était point une solution en ce moment. Pas du tout. Il valait même mieux éviter. Elle me souriait. « Tu es un amour ! », disait-elle en prenant le bouquin en main. « Il a l’air en bon état ! », elle l’ouvrait, découvrant la dédicace de l’auteur et me regardant. « Et comme je le voulais ! », rajoutait-elle. « Depuis quand je n’arrive pas à avoir ce que tu désires ? », disais-je en riant légèrement. « Tu veux un emballage cadeau ? », proposais-je alors que j’enregistrais l’article. L’avantage était qu’elle connaissait déjà le prix qui était loin d’être charmant. « Tu es sûr pour ton budget ? », demandais-je en fronçant les sourcils. Elle n’était pas la femme la plus riche du monde. Elle était comme moi et acheter un exemplaire d’un bouquin à plus de 200 dollars ? Etais-ce réellement une bonne idée. « L’amour n’a pas de prix ! », disait-elle en souriant doucement alors que j’hochais la tête. L’amour ? Un domaine bien perplexe pour moi en ce moment. Mais qui était mon fiancé ? Je regardais d’un coin de l’œil l’autre client de la boutique. « Pas besoin de l’emballer ! », disait-elle en me donnant l’argent en cash que j’encaissais aussitôt en lui souriant et lui tendant la facture. « Tu as bien raison ! », soufflais-je pas vraiment emballée au sujet de l’amour. « Bonne journée ! », l’entendais-je alors me souhaiter, j’en fis de même avec un petit signe de la main et soupirant doucement en regardant alors rapidement mon portable. 5 appels en absences. Encore ? Il était tenace mais je n’étais pas d’humeur à parler avec mon père. Je ne savais pas trop comment en fait. J’étais observée après tout. J’inspirais doucement en retrouvant rapidement le sourire comme d’un claquement de doigts et regardant la seconde personne dans la boutique. « Bonjour, puis-je vous aider ? », demandais-je.
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Tobias J. Waters
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 16 Oct - 20:08

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 « C'est l'anniversaire de son fils Tobias ! » hochant les épaules, j'avais l'impression d'être un monstre en ne voulant pas que Anita parte plus tôt. Je ne savais pas ce qu'étais une vie de famille, et je ne savais encore moi ce que représentaient les anniversaires aujourd'hui mais j'avais encore besoin de mes employés pour tout le reste de la journée  « Tobias, je sais que tu ne peux pas comprendre, et je sais aussi que tu n'as pas beaucoup d'amis ici, mais moi je suis ton ami, et ce, depuis que tu es dans l'entreprise. Elle ne demande pas la lune, elle voudrait juste partir une heure plus tôt ce soir pour pouvoir préparer l'anniversaire de son fils. »  Anita était mère célibataire. C'était bien la seule chose que je savais d'elle. Je ne connaissais pas grand chose sur mes employés et je sais que ce n'était pas la meilleure façon de se faire apprécier par son personnel mais je n'avais pas le temps de tous les connaître. Heureusement, Franck était toujours là et m'aidait du mieux possible. Je n'étais pas le plus tendre, et je n'étais pas non plus le plus cool des employés mais je voulais que le travail soit bien fait et il l'était toujours, ce qui me satisfaisait le plus. Soufflant, assis sur ma chaise, je ne savais pas quoi faire. Si je lui accordait cette heure, je changeais d'avis et je sais que les gens le verraient assez mal. Je n'aimais pas changer d'avis, je n'étais pas du genre à changer d'avis mais avec Franck qui me mettait la pression, je ne savais que faire. Je faisais très bien mon boulot mais les relations humaines n'étaient pas du tout mon fort  « Je sais bien que c'est l'anniversaire de son enfant et que c'est une mère célibataire mais si je dis oui à l'une, je devrais dire oui à tous les autres  Franck » j'essaie tant bien que mal de me débattre mais je n'ai pas grand chose à dire. Je sais qu'elle va m'en vouloir, et qu'elle va penser que je suis cruel, mais je n'ai pas envie de commencer à donner mon bras pour qu'on me prenne tout le reste ensuite. Je ne veux pas être trop gentil avec mes employés et je ne veux pas qu'après tout le monde vienne me demander de partir plus tôt ou toute autre chose. La journée venait à peine de commencer que j'avais déjà un mal de tête qui pointait le bout de son nez. J'avais tellement de choses à faire aujourd'hui, que je ne savais même pas par où commencer. Il fallait que je vois mon avocat, j'avais aussi une réunion a 15h pour parler du budget de l'année prochaine et je devais aussi jeter un œil à la nouvelle campagne de communication que nous avons remporté. Mes employés sont dessus depuis plus de 48h et ils ont travaillés sans relâche. Je suis très fier de l'équipe que j'ai et je sais que je peux compter sur eux. Je n'aurais jamais pensé qu'être à la tête d'une entreprise serait aussi compliqué que çà mais j'essaie de tenir le coup et je m'efforce de garder la tête haute. Franck m'aide aussi beaucoup et heureusement que je l'ai à mes côtés.  « Allez Tobias, fais un petit effort, juste aujourd'hui ! Elle est toute seule, tu l'as dis toi même, alors laisse la partir au moins une heure plus tôt aujourd'hui. Elle fait toujours du très bon travail et on te verra déjà un peu plus avec un cœur » Franck se mit à rire. Quant à moi, je me contente de lever les yeux au ciel. Je sais qu'on me qualifie de monstre ou bien de sans cœur mais je suis comme çà et je ne vais pas changer pour les gens.  « D'accord, mais ne lui dis rien pour l'instant, j'irais faire une course à midi et je lui annoncerai ensuite. » Franck plisse alors les yeux se demandant ce que je pouvais bien avoir à faire mais je ne comptais pas lui montrer que j'allais acheter quelque chose pour le petit. Enfin, si, j'avais finalement encore besoin de lui et il allait se foutre de moi.  « Quel âge à l'enfant ? »  « Non... Tobias a donc réellement un cœur ?! Tu vas lui acheter quelque chose admet le ! » Voilà je venais de réveiller une nouvelle fois la bête !  « Va t'en ! » sifflais-je en retournant à mes dossiers. Ce qu'il pouvait être pénible celui-là. A midi tapante, je pris ma veste de costume ainsi que mon portable et parti rapidement. Je n'avais pas envie de tomber sur Franck pour le reste de la journée. Je regarde mon téléphone et voit un sms. Franck. J'espère qu'il ne se fiche pas de moi encore une fois mais non, je suis surpris de voir qu'il vient de me donner l'âge du fils d'Anita.  D'accord, à 5 ans qu'est-ce que l'on peut bien aimer ? Je ne sais plus. Et est-ce que je l'ai déjà su ? Je soupire et rentre rapidement dans une petite boutique. C'est mignon, je vois deux femmes qui discutent, j'ai besoin d'aide mais je ne vais pas les déranger. Je flâne alors un petit peu autour des rayons pour voir s'il n'y a pas quelque chose qui me taperait directement dans l'oeil mais rien. « Bonjour, puis-je vous aider ? » oui oui oui tu peux m'aider ! Je me râcle un peu la gorge et toujours avec mon air bien trop sérieux lui répond  « A vrai dire oui... je cherche quelque chose, sans trop savoir quoi chercher. C'est pour un petit garçon qui va avoir 5 ans » Je ne sais pas ce qu'il aime, je ne sais même pas ce que les enfants aiment en général  « Je ne sais pas ce que les enfants aiment à cet âge là, et pour tout vous dire, c'est un cadeau de dernière minute » j'avais l'impression d'être stupide.
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Melody L. Dashwood
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 16 Oct - 20:47

tobias & melody
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Ce qu’il y a d’extraordinaire dans ce boulot c’est que mine de rien… aucunes journées ne se ressemble. Les clients sont tous différents et ont tous des besoins différents même s’ils ne veulent qu’une chose dans le fond : un bouquin. Etais-ce difficile de satisfaire ? Je pense que beaucoup dirait que oui, pour ma part ? C’était bien différent. Quand j’avais le client ou plus vite le lecteur devant moi, tout devenait plus facile. Etais-ce une chose qui rendait la boutique si magique ? Les gens me disaient souvent que c’était une partie de sa popularité. J’étais trop modeste. Je ne me voyais pas aussi clairement qu’eux. Je souriais doucement alors que j’avançais vers cet homme auquel je proposais mon aide. Dans le fond, il avait l’air paumé. Je les reconnaissais facilement. Les gens qui ne savaient pas du tout comment choisir un livre était du genre… totalement distrait. Ils regardaient tout sans vraiment de but. Ils se remarquaient facilement. C’était comme s’ils avaient un néon en couleur qui clignote devant eux. Bip bip bip… Toujours souriante, je l’écoutais. Je fronçais doucement le nez. « A notre époque, ils ne jureraient que par une console ! », disais-je en plaisantant un peu mais bon. « Ils seraient tellement plus heureux avec de la lecture ! La technologie ne remplace pas le papier ! », disais-je en regardant rapidement en direction de cet homme un peu plus loin qui s’occupait de prendre les poussières. Bon, je surveillais tout de même qu’il ne me regarde pas un peu trop et ne passe pas pour suspect. Enfin, il ne fallait rien montrer. Nada. « Je vais voir ce que je peux vous proposer ! », disais-je en retournant mon regard vers ce client propre sur lui et je dirais même qu’il n’était pas repoussant enfin si je n’avais pas ma bague de fiançailles encore accrochée au doigt. Je n’arrivais pas à m’en défaire même si… Je me dirigeais alors vers un rayon un peu plus loin. Celui des contes pour l’âge de ce petit garçon. « Je suppose que ce n’est pas votre fils ! », disais-je en tournant le regard vers lui avec un sourire. « Vous pouvez m’en dire un peu sur lui ? Ses gouts, ou même… il aime les animaux ? », demandais-je en récoltant quelques ouvrages. J’en prenais 3 ou 6, les mettant sur une tablette et les étalant alors. « Je vous propose plusieurs classiques qui plaisent toujours… », Présentais-je en souriant. « Tout d’abord, on a Les Alligators invisibles de Hayes Roberts, c’est un grand classique. Ils sont en ruptures de stock depuis 12 mois. C’est une ancienne publication. », je pointais alors un bouquin qui était travaillé à l’ancienne. Une reliure comme l’on n’en fait plus vraiment, une couverture solide et une illustration. « Ensuite le plus grand classique : le petit prince. C’est vraiment un classique pour les enfants de son âge… mais c’est dangereux, un enfant l’a souvent déjà. Un fantôme nommé, Fred par ici de Benchley, une édition rare également et dédicacée. », je souriais, montrant alors le dernier. « Et le plus grand classique bien qu’il ne pourrait pas le lire tout seul… Peter Pan ! », disais-je en fronçant les sourcils. « Mais en fait, je pense qu’il vous conviendrait plus. », disais-je en mettant les mains sur le bord de la tablette et y prenant appui en fronçant le nez. « Vous avez trop grandi, un retour au pays imaginaire pourrait faire votre bonheur ! », taquinais-je alors le client avec un doux sourire.
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Tobias J. Waters
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 16 Oct - 22:42

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J'étais CEO d'une entreprise de communication alors que je ne savais même pas communiquer avec la plupart des gens qui m'entourent. C'était ironique, n'est-ce pas ? J'étais bon dans mon métier, je n'avais pas de réelles lacunes et même si je n'étais pas forcément le plus doué en tant que chef d'entreprise, du moins du point de vue de ma relation avec mes employés, j'arrivais parfaitement bien à gérer mon entreprise. Je ne savais toujours pas pourquoi, l'ancien dirigeant me l'avait légué à sa mort mais j'essayais de faire au mieux pour ne jamais le décevoir. Je me donnais toujours à fond dans le travail, ce que pouvaient bien me reprocher mes employés. Je n'avais aucune relations avec eux, j'étais dans mon travail et n'étais pas beaucoup présent pour eux. Je ne savais pas comment faire çà, il ne fallait pas m'en vouloir. J'ai toujours été seul dans la vie, et même si j'ai été traîné de maisons en maisons, je n'ai jamais eu ma place dans aucunes d'elles. La seule forme de communication que je connaisse est la violence et je ne veux pas que cela se reproduise autour de moi. J'ai assez donné et je banni autant que je peux la violence. Mais je ne suis pas le genre de personne à communiquer. Je sais que c'est un défaut. Dans cette boutique, je suis complètement perdu. Je ne sais pas ce que pourrait apprécier un enfant qui va avoir 5 ans. Je ne m'y connais absolument pas.  «  Certainement... » elle devait me prendre pour un imbécile de ne même pas savoir çà mais en matière d'enfants, je n'étais pas le plus calé.  « Je le saurais si j'avais un enfant... ce qui n'est pas mon cas » haussant alors les épaules, je ne pouvais rien dire concernant la technologie car j'étais constamment avec mon téléphone à la main. Je ne me voyais absolument pas sans et j'en avais besoin en permanence même si je sais que ce n'était pas pareil. Je me voyais mal débarquer avec un jeu vidéo ou quelque chose de ce type pour un petit garçon qui allait avoir 5 ans. Je le trouvais bien trop jeune pour avoir tous types de jeux vidéos. Et sa mère me tuerait très certainement.  « Merci » soufflais-je lorsqu'elle se mit à rechercher quelques petites choses. Je ne savais même pas par où chercher tant je ne connaissais pas ce petit garçon. Je ne connaissais même pas son âge deux heures auparavant alors en savoir plus sur lui serait assez compliqué. Voilà encore une preuve que je ne m'intéressais absolument pas à mes employés.  « Vous supposez très bien mademoiselle » lui répondis-je essayant de sourire un petit peu. Oui, ce n'était pas facile pour moi mais elle avait ce sourire assez communicatif, qu'il fallait que je fasse un effort  « A vrai dire... je ne connais rien de lui. Je ne sais pas du tout ce qu'il aime ou ce qu'il n'aime pas.. c'est le fils d'une de mes employés... » tout le monde aimait les animaux non ? Un petit de 5 ans çà doit aimer les animaux, enfin je pense. Je regarde la jeune femme prendre quelques livres  « Je... je pense que tous les enfants de 5 ans doivent aimer les animaux, non ? » je ne sais pas pourquoi je lui posais la question, elle ne devait pas réellement le savoir mais elle semblait connaître son métier aux vues des livres qu'elle avait étalé.  «  J'ai peur qu'il ne l'abîme assez vite si c'est une ancienne publication.. » soufflais-je alors en regardant le premier livre qu'elle me proposait  « Vous ne pensez pas que les alligators pourraient lui faire plus peur qu'autre chose ? » lui demandais-je d'un air assez hébété. Que m'avait-il pris d'aller dans cette boutique pour chercher un cadeau pour un enfant que je ne connaissais même pas. Cela dit, le bouquin était tout de même très beau.  « Un classique pour les enfants mais pas pour moi... je n'ai jamais lu le petit prince, j'en ai tout simplement vaguement entendu parler... » avouais-je alors à la jeune femme qui commença alors à me regarder avec de grands yeux surpris. Je n'aurais certainement pas dû lui confesser ce genre de chose.  « Ce livre m'a l'air pas mal du tout » lui dis-je en pointant le livre de Benchley  « Mais je pense entre vous et moi qu'il se fiche bien qu'il soit dédicacé » je ne voulais pas lui casser son sourire mais à 5 ans je pense que ce n'était pas la priorité des enfants. Peter pan ! Voilà un livre que j'avais lu, ou bien du moins un dessin animé que j'avais regardé. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ?  « A moi ?  » lui demandais-je surpris alors qu'elle continua ses propos.  « Et vous je pense que vous prenez bien trop à cœur votre travail je pense » voilà que j'étais encore méchant. Je prenais toujours tout mal mais que voulez vous, on ne se refait pas  « excusez-moi... je ne voulais pas... »
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Melody L. Dashwood
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 16 Oct - 23:27

tobias & melody
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La clientèle parfois peut faire des misères mais pourtant je n’étais pas une femme difficilement vexée ou que sais-je. J’étais toujours sympathique et surtout difficile à impressionner. Ce n’était pas Alvin qui allait dire le contraire. Insolente, je pouvais par moment me montrer un peu piquante mais c’était assez rare. Ce cas de figure était le plus souvent dans la situation privé et non dans mon boulot enfin et encore, c’était rare aussi en privé. Il fallait que je sois en colère. Je souriais doucement en penchant la tête, regardant alors cet homme qui me disait ne rien connaitre de cet enfant. Normal si c’était l’enfant d’un employé et surtout s’il n’avait lui-même aucuns enfants. Je souriais doucement en hochant doucement la tête pour le fait qu’ils doivent aimer les animaux. « Il y a tout de même des exceptions. », disais-je en pensant à ceux qui étaient effrayés par certains. Il fallait avouer que je comprenais ses enfants un peu paniqué. Je me contentais de chercher avant de sortir les quelques bouquins et lui présentant rapidement en riant quand il avait peur de la couverture ou même s’il ne risquait pas d’avoir peur des alligators. Il était bien amusant. « Je pense qu’un auteur comme Roberts éviterait de faire peur à ceux qui remplissent son portefeuille. », disais-je en fronçant le nez, taquine mais vraiment amusée par cette question. « Je vous assure, il y a des gentils crocodiles ! », disais-je aussitôt en l’écoutant parler de la dédicace et lui souriant. Je continuais à présenter, souriant à ses commentaires sur la dédicace tout en étant un peu triste pour le petit prince aussi. On ne lui avait jamais raconté l’histoire du mouton. J’étais surprise. Cet homme m’intriguait réellement en fait. C’était un fait. On m’intriguait assez facilement pour tout et pour rien et surtout pour tout avec une bonne dose de pour rien. Parlant alors de Peter pan, je souriais de sa surprise et le regardant alors qu’il me surprenait de son commentaire. Il avait raison. Je n’allais pas le cacher. Je bossais trop et j’étais accroc à mon boulot. Un peu trop. J’y tenais. Haussant les épaules, je riais doucement. Non, je ne le prenais pas mal. « Vous n’êtes pas le premier à me le dire et vous avez raison ! », disais-je en fronçant les sourcils. « Vous voulez savoir la magie d’un livre ? », demandais-je sous le ton de ces questions auxquels nous n’attendons jamais la réponse pour continuer. « Un livre n’est pas seulement un livre. Les enfants qui seront attachés à ces pages, ces histoires… ils s’en souviendront toujours. Certains les conserveront car ils n’auront pas l’impression que c’est seulement un bouquin mais un souvenir. La dédicace, une couverture de collection… tout ça, ce sont des choses qu’ils entretiendront s’ils y tiennent. C’est donnant donnant, soient ils vont y tenir ou alors pas du tout mais plus tard… quand ils auront notre âge par exemple et qu’ils ouvriront une boite en voyant ce livre dans le souvenir identique, ce livre unique à leurs yeux avec les imperfections, peut-être les usures par exemple ou même une dédicace, cela aura une valeur sentimentale qu’importe la personne qui lui offre, cela seront les souvenirs que l’enfant se construira autour… tous ses détails vont les rendre magnifiques à leur yeux… », je souriais doucement. « Oui, vous avez raison, je prends trop mon travail à cœur ! », disais-je en le regardant attentivement, presque dans les yeux. « Je suis triste pour vous d’ailleurs… vous devriez connaitre le Petit Prince… », je lui souriais en allant derrière le comptoir et prenant un papier ainsi qu’une feuille. Je prenais alors cette feuille et le style dessinant un mouton en fronçant le nez. « Tous les petits garçons méritent d’être un petit prince même quand ils ont grandis ! », je lui tendis alors la feuille avec le mouton. « Vous avez sûrement passé l’âge mais il n’y a pas d’âge pour un livre, il faut juste l’ouverture d’esprit. Vous devriez le lire ! », disais-je en fronçant le nez. « Vous me direz ensuite si vous l’avez regretté ! », oui bah j’étais une personne qui s’ouvrait facilement même avec des inconnus. J’étais ce genre de femme qui était à l’aise avec tout le monde. Un peu trop, peut-être ? Je m’en fichais bien. Je lui souriais.
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Tobias J. Waters
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyMer 22 Oct - 4:02

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J'avais beau travailler dans la communication, je n'étais toujours pas doué pour communiquer avec les gens. Mon plus gros défaut était bel et bien celui ci. Je ne savais pas comment faire mais je n'essayais pas non plus de m'améliorer. J'avais des amis, d'ailleurs, je trouvais cela assez étrange car je n'étais pas du genre très sociable en général mais à la surprise générale j'avais quelques amis qui étaient toujours là malgré ma mauvaise humeur ambiante. En y repensant, ce n'était pas vraiment de la mauvaise humeur, c'était plus une envie de rester seul, ou du moins un sentiment que je n'arrivais pas vraiment à contrôler. La communication m'avait appris pas mal de chose mais pourtant, je n'arrivais toujours pas à mettre en pratique ce que j'apprenais au fil du temps. Je n'étais pas un très bon élève.  « Si vous le dites » oui, je sais bien, on ne pouvait pas faire pire que moi je crois et il n'était encore qu'une question de minutes avant qu'elle ne me trouve totalement ennuyeux et qu'elle se lasse de me donner de bon conseils.  « Comme je vous l'ai dis, je n'y connais absolument rien aux enfants et je ne suis pas certain de le vouloir de toute manière. » je n'étais pas non plus du genre à lire un bouquin. Je n'avais pas le temps pour çà et je n'avais pas non plus le temps d'être ici, à parler avec elle.  « N'en soyez pas aussi certaine mademoiselle. Il peut avoir envie de faire peur mais aussi de remplir son porte feuille. Les enfants doivent avoir le droit à tous types de bouquins et même s'ils font peur, ils se vendent certainement très bien » soufflais-je à la jeune femme. Je ne savais pas pourquoi j'avais commencé à lui répondre de la sorte, mais je n'étais pas du tout un expert en la matière, alors qu'elle, l'était déjà beaucoup plus que moi.  « Mais je n'en doute absolument pas ! » répliquais-je pratiquement aussitôt. Elle était bien sûre d'elle et avait apparemment une très forte envie d'avoir le dernier mot. Elle avait sans doute raison, elle s'y connaissait bien plus que moi en la matière et ce n'était certainement pas moi qui allait lui dire le contraire. Simplement, je pense que ce genre de bouquins n'était peut-être pas pour le fils de mon employée. Enfin, que pouvais-je en savoir ? Je ne connaissais même pas mes employés, alors leurs enfants... Elle se mit alors à parler de Peter pan, en me disant par la même occasion que je devrais peut-être le lire pour arrêter de grandir. J'avais certainement grandis trop vite mais avec un passé comme le mien, il était bien difficile de lire des bouquins comme celui de Peter pan, et de rester un petit enfant. Je n'avais pas eu la chance de grandir comme tout le monde, ce qui n'était pas normal mais c'était ainsi.  « Au moins, vous êtes au courant, c'est déjà pas si mal que çà » et pour la première fois de la journée, j'esquisse enfin un petit sourire. Elle est des rares personnes qui me voient sourire quand je décide d'enfin me montrer un petit peu moins froid que je n'y parais. Elle me demande alors si je veux savoir la magie d'un livre, je n'ai même pas le temps de dire quoique ce soit qu'elle se lance alors dans un monologue assez surprenant. Je ne sais pas quoi dire à la fin. Elle... elle est réellement passionnée par ce qu'elle fait. C'est une chose admirable je dois l'admettre.  « Vous avez bien trouvé votre vocation en tout cas.. çà se voit, vous aimez les bouquins et vous aimez votre métier. Il n'y a pas de doutes là dessus. Votre discours est vraiment très beau mais je ne suis toujours pas certain d'y adhérer malheureusement mais voir autant de passion chez une personne reste très admirable quand même. » oui, j'étais un homme assez difficile je le reconnais et même après un discours comme celui-ci, je ne savais pas si les livres étaient réellement dotés d'une telle magie.  « Mais c'est tout à votre avantage d'aimer de la sorte votre travail » lui répondis-je alors que je cherchais toujours un bouquin qui serait assez bien pour le petit de mon employée.  « Parfois, nous ne pouvons pas tous lire les mêmes livres vous savez. Je ne connais pas, je suis désolé de vous décevoir ! » lui soufflais-je toujours en farfouillant dans les bouquins qu'elle m'avait exposé. Je fronce alors les sourcils en la regardant dessiner un mouton  « Pourquoi ce mouton ? » eus-je la malchance de lui demander  « Je ne suis pas certain que je pourrais être un prince même si je le voulais » et j'ajoute alors  « Je n'ai pas le temps de lire un bouquin, j'ai bien trop de travail » je n'avais pas non plus envie de le lire. Je n'étais pas assez curieux.  « Quel livre devrais-je prendre pour ce petit garçon ? »
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Melody L. Dashwood
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyMar 28 Oct - 19:23

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Je souriais doucement en entendant cet homme, il était amusant à sa façon et distrayant. C’était ce que j’aimais dans ce boulot ou même dans tous les boulots qui nous permettent de voir des personnes variées et de tous âges. Bon d’accord, je voyais beaucoup des enfants mais aussi des adultes et même… Les enfants étaient tous différents tout en étant pareil. Ils ont juste des circonstances qui font que certains sont plus épanouis et d’autres plus isolés mais j’arrivais toujours à savoir ce qui les rendait tellement heureux. C’était étrange et beaucoup me disaient que je ferais une maman géniale mais non, je me sentais bien trop jeune et pas prête pour ça. J’avais plus peur de faire un test de grossesse que d’affronter Edward qui devait bien s’en foutre qu’un type du FBI me suive à la trace et empiète dans ma vie. Et dire que je programmais un rendez-vous ou j’allais… tenter de prouver à moi-même que mon fiancé est un connard. Mais soit. Cet homme dont je ne connaissais pas encore l’identité avec un petit quelque chose de différent. Etais-ce par ce que je voyais une partie de moi en lui ? C’est étrange oui mais il semblait être plus sceptique de certaines choses tout comme je me sentais septique d’autres en ce moment. Il avait ses idées, ses théories que j’avais remarquées alors qu’il me disait que les livres devaient être vendus même s’ils sont effrayants. « Celui-ci ne fait pas peur tout comme on est heureux que le crocodile mange le capitaine crochet et face tic tac. »,disais-je en souriant à celui-ci. Dans le fond, je n’avais pas grandie avec une image effrayante d’un crocodile. Et je gagnais au fil de la conversation un sourire. Autant dire que j’adorais les sourires autant que je pouvais sourire. Parfois en ce moment, j’en perdais bien trop souvent ma joie de vivre. Il fallait dire que ma situation ne s’y prêtait guère mais au boulot, j’oubliais presque tôt. C’était comme un antidépresseur ou un bon verre d’alcool. Le boulot avait cet effet de chimère sur moi. Et pour preuve, je me lançais dans un monologue. Ça m’arrive d’être bavard, je vous jure. Un peu trop. Et je souriais à ce qu’il me disait en discours. Et je riais doucement quand il disait ne pas y adhérer. Je souriais en l’écoutant toujours et même qu’il ne me décevait pas vraiment même si… comment un parent ne peut pas vouloir lire des livres à son enfant ? C’était peut-être moi qui avait cette habitude mais dans le fond, c’était d’autres familles, d’autres enfants et beaucoup même. « Cela ne serait pas drôle si j’arrivais à vous faire rejoindre la secte des passionnés de lecture aussi facilement ! », disais-je en souriant. « On ne peut pas tous aimer les bouquins et les livres à notre époque ! », disais-je avec une petite moue. C’était dommage. Les tablettes et tous les bouquins informatisés étaient la chose… la moins vraie et réelle que l’on pouvait avoir. Ce n’était qu’un fichier que l’on perdait une fois dans la corbeille. Je n’aimais pas vraiment cette facilité de la vie. Tellement plus pratique que du papier imprimé d’une belle encre. Je me contentais de lui dessiner un mouton. Je l’écoutais réagir au mouton et au petit prince en haussant doucement les épaules. « Par ce que ce mouton et ce livre ont appris à un petit prince… les valeurs de l’amitié mais surtout leur importance ! », disais-je avec un doux sourire avant qu’il ne me demande quel livre il devrait prendre. « Si vous voulez le faire rêver, Peter Pan. Si vous voulez lui apprendre que les crocodiles ne font pas peur… celui-ci ! », disais-je en montrant le bouquin. « Si vous voulez lui apprendre que l’amitié est existentielle et que nous n’allons jamais au bout des choses sans embûches, le petit prince ! », disais-je en fronçant le nez. « Et offert par la maison, ce conseil, c’est le temps que l’on n’utilise pas pour voyager à des prix fous que l’on gagne quand on lit. », disais-je en souriant. « Prenez le temps de regarder avec le cœur et pas seulement avec les yeux, vous découvrirez des personnes qui pourront combler vos journées même si ce n’est pas à travers un livre. », je cernais vite les gens en fait, un peu trop vite. Il me parait solitaire et renfermé pour ne pas connaitre les enfants de ses employés ou du moins enfin je sentais cette petite chose. Ce côté accro au boulot, un peu réservé que j’avais vu aussi chez Alvin. J’avais vu cette chose qui fait qu’un homme se renferme comme une huitre. Etais-je folle ? Non. Habituée, mon frère était pareil sauf avec moi. C’était étrange, ce n’était pas juste cette impression que j’avais eue avec Alvin mais aussi avec Cameron. Il était pareil concernant la lecture. Il était celui qui préférait rester à se brosser les temps quand maman me lisait un livre car ses sottises ne l’intéressaient pas. « En fait, j’ai l’impression de voir mon frère en vous ! », lâchais-je alors subtilement. C’est étrange sachant qu’il est mort mais chut.
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Tobias J. Waters
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyLun 3 Nov - 16:45

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Je n'aurais certainement jamais dû m'aventurer là dedans mais maintenant, je n'avais plus le choix, et je ne me voyais pas partir sans rien. J'essayais de faire un effort pour mes employés et j'avais envie de le faire en premier lieu pour ce petit garçon. Car bien que je dise que je n'avais pas d'enfants, je sais qu'il ya un peu moins d'un an, Tulisa a donné naissance à un fils. Mon fils mais je n'ai jamais voulu assumé et je ne sais pas si aujourd'hui je l'assumerai de toute manière. A chaque fois que je crois me sentir bien avec moi même, il y'a toujours quelque chose qui arrive et finalement, tout dérape.  « Je vais le prendre dans ce cas, et j'espère qu'il aimera sinon je vous tiendrais pour responsable.  » soufflais-je alors que la jeune femme commençait à me convaincre de prendre certains bouquins qu'elle m'avait montré. J'allais certainement tous les prendre de toute manière comme çà, j'étais certain qu'il allait au moins en aimer un. Mais je ne voulais même pas que sa mère lui dise que cela venait de moi, je m'en fichais pas mal finalement, je voulais juste lui prouver que je n'étais pas l'homme sans cœur que tout le monde au bureau pouvait bien croire.  « Vous avez des étoiles dans les yeux quand vous parlez de vos bouquins, vous avez la passion, c'est bien de voir çà chez les gens.. vous avez des enfants ? » je ne sais pas pourquoi j'avais fini par lui demander cela mais c'était trop tard pour faire marche arrière. La passion qu'elle avait été une chose admirable et même si çà ne prendrait certainement pas avec moi, je voyais qu'elle se donnait à fond pour son travail et c'était une chose rare de nos jours.  « Vous êtes la gérante ou simplement une employée ? » elle devait commencer à prendre peur avec mes questions mais cela sortait vraiment tout seul. Je pris le livre des crocodiles et jeta de nouveau un coup d’œil sur les autres bouquins. Il y avait tellement de choix de nos jours pour les enfants que je ne savais même plus où donner de la tête. Je ne connaissais absolument rien aux bouquins. Ma mère m'en lisait quand j'étais petit, mais elle n'a jamais eu le temps de me faire découvrir le petit prince. Elle n'a jamais eu le temps de m'en faire découvrir beaucoup. J'avais des petits livres étant petit, la vie du petit ours brun, je ne me souviens plus exactement du titre mais quant au reste, ma mère m'avait simplement lu quelques histoires par ci par là. J'étais donc assez limité niveau histoire. Et ce n'était pas mes familles d'accueil qui auraient fais l'effort de me conter des histoire.  « Ce ne sera pas du tout facile vous savez donc autant abandonner tout de suite !  » lui répondis-je avec un petit sourire. Je ne souriais pas souvent, voire jamais alors c'était une chance. Elle m'inspirait confiance, elle avait quelque chose qui faisait que je commençais à l'apprécier.  « C'est vrai. Il en faut pour tous les goûts n'est ce pas ?! » je ne connaissais pas plus que çà les bouquins. Je n'en avais jamais réellement lu étant petit, alors la passion avait bien du mal à se prendre au jeu avec moi. Je n'utilisais mon téléphone que pour le travail, j'en avais toujours besoin et je ne pouvais donc m'en séparer, et j'avais une tablette mais qui me servait à lire le journal, voilà tout. Je n'étais pas très tablettes, téléphones, informatique. Je n'étais pas grand chose au final.  « Mais c'est un mouton comme les autres ! » oui je ne comprenais pas le fin mot de cette histoire. Je ne comprenais pas le mouton de toute manière. Elle devait me prendre pour un fou.  « Je prend les deux, je n'ai pas envie de faire de choix et au moins, il en aura encore plus et ne deviendra pas ignorant comme moi ! » soufflais-je alors qu'elle commençait à me dire lesquels je pouvais prendre. Je ne pouvais guère me décider et je n'avais pas envie de le faire.  « Je.. je ne le lirai pas, je n'ai pas le temps vous savez » oui, oui, j'avais toujours de très bonnes excuses.  « Je vais le prendre mais pour le petit aussi comme çà il les aura tous et pourra découvrir la valeur de l'amitié dont vous vantez les mérites dans ce bouquin » elle parlait avec tellement de passion que çà en était assez déconcertant. Je ne buvais pas ses paroles mais elle commençait à me rendre un peu plus curieux déjà.  « Si j'avais déjà du temps pour moi ce serait bien !  » rétorquais-je alors qu'elle commençait à me cerner un peu trop. Je n'avais pas le temps pour çà. Alors que je mis ma carte dans le bocal qui se trouvait à côté de nous, elle me dit avoir l'impression de voir son frère en moi. Je fronce alors les yeux et la regarde.  « Votre frère ? Et de quelle façon mademoiselle ? »
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Melody L. Dashwood
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyMer 12 Nov - 22:57

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Des enfants ? En avais-je ? Au départ quand il parlait de mes étoiles dans les yeux, j’avais souris et finie par baisser le regard alors qu’il me posait cette question. Comment y répondre ? Sérieusement, je n’en savais rien. Ma vie était simple avant alors que pourtant j’étais fiancée et nous ne vivions pas ensemble, j’avais une ou deux fois laissée émettre l’hypothèse d’avoir un bébé mais… j’avais vite ravalée mon envie. Baissant le regard, je secouais doucement la tête en me souvenant des raisons : pas maintenant, c’est trop tôt… me disait-il toujours mais en fait, je commençais à me poser des questions. Pourquoi après 8 ans en couple ? Trop tôt ? Non mais dans 20 ans aussi ? Il était sûr que je retardais le mariage pour ma part et pour diverses raisons depuis la mort de mon frère mais bon. Je fus rassurée de la question qui suivait. « Gérante ! », disais-je en lui souriant doucement alors bien plus à l’aise avec cette question que la précédente. Je souriais doucement continuant la conversation avec cet homme qui m’intriguait. En fait, c’était étrange mais oui, il m’intriguait réellement. Ses sourires semblaient faciles mais quand je lisais en lui, je me demandais qui il était. Comment la vie pourrait avoir mené à l’éloigner de la lecture avant de dormir. Comment ? Je souriais alors qu’il me disait d’abandonner. Fronçant le nez, je le regardais dans les yeux. « Je n’abandonne jamais ! », disais-je alors avec attention alors qu’il me disait réellement la vérité, il en fallait pour tous les gouts. Les petits garçons ne liront pas la collection de bouquins qui parlent des chaussures de filles. Ils liront plus des trucs neutres ou alors ceux qui parlent de motos ou de voitures ce qui était logique. Enfin bon n’oublions pas le petit garçon efféminé qui lisait des livres de princesses tous les mercredis caché dans un coin. Je me demandais s’il ne deviendrait pas gay dans l’avenir. Ce qui est cool pour lui, aucunes mauvaises réflexions là-dessous. Je n’avais rien contre. Je souriais doucement alors qu’il disait que c’était un simple mouton mais dans le fond, il n’avait pas tort. Je souriais quand il disait être ignorant en fait, c’était amusant mais oui, plus je parlais avec lui et plus je pensais à une personne que j’avais malheureusement perdue. Je souriais doucement. « On a toujours du temps pour lire ! », disais-je en gagnant ce grand sourire alors qu’il avait décidé de le prendre et je comptais bien lui faire lire. En prenant les livres qu’il avait choisie je les scannais rapidement en le regardant et lui parlant alors de mon frère tandis que j’avais bien remarquée sa carte se poser dans le seau. Et lui souriant à cette question, je laissais un tendre sourire un peu triste. Parler de Cameron n’était pas chose facile pour moi. « Loin de l’idée qu’il ne soit plus de ce monde et vous si… Je ne sais pas, comme vous, il semblait être bien trop occupé pour lui ou quand j’étais petite, il ne comprenait pas pourquoi je n’arrivais pas à dormir sans qu’on me lise une histoire et à la mort de ma mère ou même quand elle était malade… j’allais toujours dans son lit avec un livre pour le supplier de me faire la lecture… », je souriais doucement, un peu tristoune sur le coup mais parler de Cameron ou ma mère n’était pas une chose facile et pourquoi je lui en parlais ? Je n’en avais pas la réponse. Cela venait tout seul aussi étrange soit ma raison. « Et il n’arrivait pas à me résister… je n’abandonne jamais, c’était ce qu’il me disait toujours… Oui, Melody n’abandonne jamais ! », disais-je en souriant doucement. « Voyez-vous, il pensait que j’avais une mission… il était persuadé que j’étais arrivé sur cette planète pour ouvrir une secte de lecture du coup… mon but dans la vie est que vous soyez dans ma secte dès maintenant ! », lui disais-je en le regardant dans les yeux.
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyDim 16 Nov - 18:36

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Je veux juste un bouquin. Un petit bouquin, ce n'est pas trop demander, si ? Je n'ai pas le temps de discuter, d'en savoir plus sur ce qu'elle aime, sur ce qu'elle préfère dans les bouquins. D'accord, elle est passionnée, elle aime son travaille et elle s'y connaît très bien en bouquins mais par pitié, il fallait que je retourne tout de même travailler un petit peu, non ? Je sais que je peux faire ce que je veux car je suis le CEO de ma boîte mais tout de même, je n'ai pas encore envie de voir mes employés me lancer des regards noirs. J'en ai déjà tout le temps, çà ira. Elle est tout de même sympathique, je ne peux pas le nier, elle est cool et je l'aime bien. Elle aurait pu être être dans mon cercle d'amis si je la connaissais d'avant et si j'étais un petit peu moins froid. Mais elle avait tout de même de la chance car avec elle, j'étais beaucoup moins grincheux et froid que je pouvais l'être avec les autres. Je ne sais pas pourquoi, j'avais l'impression qu'avec elle, c'était bien plus facile que je ne l'aurai cru possible. Elle était cool, et c'était assez facile de discuter avec elle même si je reste tout de même toujours un peu sur la réserve.  « Et bien, je comprend maintenant pourquoi vous êtes autant attachée à vos bouquins. Votre boutique est très jolie » pourquoi je viens de dire çà ? Je ne sais pas mais je l'ai dis. Elle semblait faire du bon travail, la boutique est bien rangée, et très bien soignée. Il n' y a pas grand chose qui traîne partout et c'est donc tout à son honneur. Elle sait donc tout comme moi ce que sont les responsabilités et je l'apprécie donc déjà un peu plus encore. Elle me dit ensuite qu'elle n'abandonne jamais, je crois que je l'ai bien compris depuis qu'elle me parle. Mais je ne suis pas certain que lire le petit prince m'apportera quelque chose de gratifiant. Quelque chose de plus dans ma vie en fait.  « Je crois que je le vois bien... mais pourquoi je lirai le petit prince ? Je veux dire, cela ne m'apportera rien de plus vous savez » je n'ai vraiment pas le temps de lire et surtout pas un bouquin pour enfants. Mon travail me prend beaucoup trop de temps et je dois aussi recoller les morceaux et essayer de voir mon fils. Je ne l'ai pas reconnu, j'ai lâchement laissé Tulisa à l'hôpital, ne voulant rien avoir affaire avec elle. Je n'aurais pas du et j'ai très mal agit. En parlant avec la jeune femme, je prend de plus en plus conscience que malgré ma froideur et ma mauvaise humeur constante, des gens prennent toujours la peine de me parler. Je crois qu'il faut que je fasse autre chose de ma vie et que je commence à être un peu plus responsable. Ma mère ne serait tellement pas fière de moi à cet instant. Elle me sort alors de mes pensées en me disant qu'il y'a toujours du temps pour lire. Non, je n'ai vraiment pas le temps de lire et je ne vais tout de même pas me justifier envers elle quand même ? Je soupire, je ne sais pas quoi lui répondre à vrai dire. Je veux juste prendre mes bouquins et rentrer au bureau. Je ferai certainement un petit détour par le starbuck du coin pour prendre un bon café au passage.  « Croyez moi, je n'ai pas du tout le temps pour lire mais je vais tout de même prendre votre fichu bouquin car je ne sais pas pourquoi mais je pense que vous n'allez pas me lâcher sinon ! » je pris tout de même tous les bouquins y compris le petit prince pour qu'elle soit bien contente de voir que je le prenais. Mais je sais très bien que je n'aurais jamais le temps de le lire. Je ne suis pas du genre lecture, je n'aime pas perdre mon temps à lire une histoire alors que j'ai ma propre histoire à vivre et à écrire. Je compris rapidement que j'avais peut-être fait une boulette en voyant sa mine assez tristounette. C'était tout moi çà...  « Je.. je suis désolé. Donc les bouquins ont une grande signification pour vous, je comprend donc pourquoi vous aimez lire et vous occupez de cette librairie mais pour moi les bouquins n'ont rien d'une signification. Je n'ai jamais grandi avec des livres, on ne me faisait pas vraiment la lecture et je ne suis pas très doué pour la faire à quelqu'un non plus. » Ma mère me faisait un petit peu la lecture avant qu'elle ne meurt dans son accident de voiture avec mon père mais elle ne me lisait pas grand chose. J'avais toujours eu le droit aux aventures du petit ours brun, ce petit ours trop mignon que j'avais toujours considéré comme mon ami imaginaire étant petit. Pour le reste, elle préférait ne pas me faire la lecture, car elle estimait que je devais le faire moi même. Elle restait tout de même une femme très aimante, ma maman. Ma défunte mère.  « Vous êtes du genre à ne rien lâcher, je l'ai bien compris même en quelques minutes. Je vous aime bien. Vous savez ce que vous voulez et vous êtes passionnée. Mais croyez moi, je ne lirai pas le petit prince. Je le prend surtout pour vous faire plaisir vous savez. Parce que votre sourire est ce qu'il y'a de mieux dans ma journée d'aujourd'hui. » je ne la draguais absolument pas. .Elle était très mignonne bien évidemment mais ce n'était pas du tout mon genre de femme.  « Une secte ?! Rien que çà ! C'est une théorie assez intéressante mais vous allez avoir beaucoup de mal avec moi, je vous le dis. »
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyLun 17 Nov - 0:55

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Je souriais doucement en l’entendant. En fait, je savais pertinemment ce que ce bouquin pouvait apporter. Je l’avais souvent vu autant sur des adultes que sur des enfants. Il donne une part de rêve et une part d’espoir mais pas seulement, heureusement. Il donne l’idée que nous ne sommes pas seuls mais que nous devons tous être là pour les autres. Ce n’est pas seul que l’on retrouve ce chemin mais en s’ouvrant aux autres et créant des amitiés. Bien sûr, je me contentais de sourire en le regardant attentivement. Mon dieu, il était amusant tout de même. Je ne répondais pas directement à sa question pour ce que cela pourrait lui apporter et sûrement pour la bonne raison… que je ne voulais pas le faire trop vite. Je n’avais pas encore finie de bien le cerner… mais j’avais remarquée qu’il était plus associable qu’autre chose mais ça lui donnait un côté attachant qu’il ne soupçonnait sûrement pas. Je souriais, satisfaite alors qu’il disait qu’il allait le prendre et même si c’était pour que je le lâche. En fait, j’étais juste fière de moi. Ceci n’est pas avoir le sens des affaires mais simplement avoir envie d’aider les gens et même si l’on insiste. Passionnée, je voulais ouvrir les portes des autres et partager ma magie avec eux. Dans le fond, il n’y avait rien de plus beau qu’un livre pour enfants, un livre qui donne une leçon de vie et fait rêver. Je souriais doucement quand il s’excusait mais en fait, j’étais plus triste pour lui qu’autre chose. « Ne vous excusez pas, pas à moi mais à vous. Je suis plus triste pour vous, un enfant a besoin de rêve… et si vous n’avez jamais eu de lectures ou trop peu, c’est triste ! », je souriais doucement. « Personne ne peut me déprimer ou gâcher ma passion ! », disais-je en penchant la tête et je souriais en l’entendant me dire que j’étais ce qu’il y avait de mieux dans sa journée. Dans le fond, je ne pensais pas qu’il me draguait surtout par ce que j’avais toujours cette petite étoile dans les yeux qui faisait rapidement du bien aux autres et j’en avais l’habitude. Si toutes les personnes qui se disaient aimer ma présence me draguaient, je n’en aurais pas terminée. Forte heureusement. Je riais légèrement quand il me reprenait sur la secte alors que j’haussais doucement les épaules. « Je suis tenace ! », disais-je en lui laissant alors un clin d’œil. J’emballais alors totalement les bouquins et lui souriant en lui donnant le montant de la facture et penchant la tête avant de poser les coudes sur la table. « Mais j’aime bien que vous vouliez déjà me faire plaisir ou d’être une chose positive de votre journée. », disais-je alors avec un beau sourire. « C’est bien mieux que si cela aurait été mon décolleté la chose positive de votre journée ! », disais-je alors en fronçant le nez et lui tendant une sucette qui était dans un panier juste à côté et lui souriant. « J’en donne à mes clients les plus adorables et les plus mignons par ce que moi aussi, je vous aimes bien, vous êtes attachant en quelques sortes, je vous en donnes aussi alors même si vous avez passé l’âge… », disais-je en fronçant les sourcils. « Et je vous rassure… », disais-je en montrant mon autre main avec la bague. « Je suis fiancée ! », enfin un truc du genre car tout était compliqué dans ma tête mais c’était toujours bon à annoncer, non ?
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 20 Nov - 1:19

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Alors que je ne la connaissais pas et que j'étais dans la boutique depuis à peine dix minutes, elle avait réussi à me chambouler et à chambouler par la même occasion toutes mes idées. Je n'aurais jamais le temps de lire un bouquin et en toute franchise, je n'étais pas le genre d'homme à lire un livre. Je n'ouvrais quasiment jamais un livre et je laissais toujours les gros dossiers à mes employés. Oui, je crois que j'étais un peu paresseux sur les bords mais que voulez-vous, après avoir tant donné à la vie, j'avais besoin de faire un petit break. Je sais que je me reposais beaucoup sur mon passé, mais je ne pouvais arrêter d'y penser et j'avais encore très souvent des cauchemars. J'avais l'impression que même si j'arrivais à vivre ma vie comme je l'entendais, mon passé arriverait toujours à me rattraper. Triste réalité mais j'essayais tant bien que mal de faire abstraction et de poursuivre ma vie. Les choses n'étaient pas aussi simples qu'on pouvait bien le croire. Tout le monde pensait que ma vie était une vie rêvée et que je n'avais aucun soucis. Bien au contraire, j'étais l'exemple parfait pour montrer que l'argent ne faisait parfois pas du tout le bonheur. Ma carapace était en train de se fêler en sa compagnie et j'avais peur qu'elle ne découvre la personne que j'étais réellement bien trop rapidement.  Je ne la connaissais pas, mais elle m'intriguait et elle me donnait envie d'avoir confiance de nouveau en une personne. Bizarrement, je suis du genre à sortir avec tout ce qui bouge, mais elle, c'est tout le contraire. Elle est jolie mais elle me donne plus envie de parler qu'autre chose. C'est un signe de changement ?  « Ce n'est pas si triste que çà vous savez... J'ai rêvé d'une toute autre façon c'est tout, mais j'ai tout de même rêvé... un petit peu en tout cas. » j'avais cessé de rêver lorsque mes parents sont morts et que j'ai dû me faire ballotter de foyers en foyers. Alors là, j'ai rêvé d'une toute autre façon, pensant à la liberté, au bonheur envolé depuis que mes parents m'avaient laissés tomber. J'ai rêvé d'avoir une enfance plus joyeuse, qu'une famille m'aime et ne me frappe pas en permanence. J'ai rêvé qu'un jour j'arrêterais enfin de pleurer et qu'on m'aimera aussi fort que mes parents m'ont aimés. J'ai rêvé de retrouver une famille douce mais mes rêves se sont avérés rapidement inconcevables... Le monde n'est pas parfait et j'en ai fais les frais.  « Je vois çà.. j'aurai pensé que je pouvais le faire mais je vois que vous êtes vraiment tenace, et c'est important de rester comme çà surtout » je lui fais un clin d’œil, chose que je ne fais que très rarement et d'ailleurs, elle a eu le droit à pas mal de sourires de ma part, ce qui est une chose assez rare.  « Même pas une petite remise pour un homme aussi adorable que moi ?! » d'accord c'était de l'ironie mais j'avais au moins l'audace d'essayer. Je lui tends finalement ma carte bancaire et règle le tout.  « Il faut tout de même que cela reste un secret encre nous, d'accord ?  » je baisse alors la voix et prend un air assez sérieux sans réellement l'être  « sinon je serai forcé de vous tuer et ce serait dommage car cet endroit est sympa et que vous l'êtes tout autant ! » je place alors ma carte dans le petit pot qu'il y'a sur le comptoir.  « Loin de moi l'idée de regarder dans votre décolleté ! » oui, pour la première fois je n'avais pas eu envie de regarder le décolleté d'une femme... c'était une première et j'espère qu'elle retrouverait ma carte et qu'elle m'appellerait.  Elle était intéressante, la revoir serait intéressant aussi. Je fais une grimace alors qu'elle me tend une sucette. Je me fais un peu désirer et fini par la prendre même si je sais qu'elle va finir à la poubelle. Je la mets alors dans ma poche  « Vous êtes intéressante.. pas comme toutes les femmes d'aujourd'hui. Un peu étrange et dans votre monde mais soit je la prend parce que vous venez de me faire un compliment. » je regarde ensuite la bague et souris  « Je vous rassures aussi... vous ne m'intéressez pas... du moins pas dans ce sens là ! Mais très jolie bague en tout cas, félicitations. » Je récupère ma carte bancaire avant d'ajouter  « Mais dîte moi juste que ce n'est pas un geek et un fondu de lecture comme vous ? Histoire qu'il y ait un bon équilibre !  »
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Melody L. Dashwood
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyJeu 11 Déc - 10:11

tobias & melody
behind the blue eyes
Je souriais doucement, qu’est-ce que lire le petit prince peut apporter à un être humain ? En fait, cette question était existentielle un peu. Dans un sens, il peut apporter plusieurs choses dans plusieurs sens. Ce livre renferme une humanité pour les grands et les petits. Bien sûr, je me contentais de sourire. Une partie de moi me disait qu’il pourrait en apprendre une grande leçon. Dans le fond, l’adulte du bouquin était tellement renfermé alors que ce petit prince débarque dans sa vie pour lui apprendre des choses qu’il apprend en même temps que cet homme. J’avais tellement été bercée par ces textes. Une part de moi se disait que je devrais peut-être le faire lire à Alvin aussi. L’avait-il lu ? Dans mon ignorance, je tournais un bref regard vers lui. Avant de reporter mon attention sur Tobias donc je ne connaissais pas le prénom en fait. Je ne savais pas contre la marque de sa cravate. Je reconnaissais tellement cette marque. La même que mon père. Je pourrais presque penser qu’il se cache derrière comme l’on se cache derrière un buisson mais non, ce n’était pas mon père encore moins un transsexuel car même si j’étais prise… et bien je ne pouvais pas mentir, il était autant sexy qu’Alvin qui était à deux mètres. Des hommes qui pourraient sans nuls doutes séduire la brune que je suis. Fiancée. Alors qu’il me disait avoir rêvé, je souriais. Le rêve est tellement différent d’une façon ou d’une autre mais tellement important en grande dose. Je riais doucement alors qu’il disait que j’étais tenace et j’hochais la tête en riant a son clin d’œil. En général j’avais tendance à trouver ça faux. Peut-être par ce qu’Edward m’en faisait toujours des tonnes ? Oui, les siens sonnaient tellement faux mais ceux de cet inconnu étaient différents. Je ne saurais l’expliquer. « Très important, dans ce monde de fous… il faut rester tenace sinon on se ferait manger par un crocodile et il n’y a pas partout des palmiers auquel s’accrocher… », disais-je en souriant doucement. Pourquoi je disais ça ? Simplement par ce que ça m’inspirait tellement de choses. Je sortais sûrement cette idée d’un bouquin. Une phrase d’un auteur qui abuse du space cake avant d’aller à son clavier pour composer son prochain chef d’œuvre ? Sûrement, oui. Je riais doucement en l’entendant demander une remise. « Vous n’avez pas 5 ans… vous n’aurez qu’une enveloppe brune magique avec une réduction sur le parking de la rue à côté ! », disais-je alors en penchant la tête. « Offert par le quartier ! », rajoutais-je en riant doucement. C’était un type en jeep qui venait tous les vendredis à 14 heure pile pour déposer une boite d’enveloppe. Il devait faire ça depuis les années 80 vu son âge mais surtout l’âge de la voiture. Il y avait d’ailleurs une affiche qui disait ou se trouver le parking et à partir de combien d’achat on offrait les tickets. Je n’avais jamais compris ce principe mais aimant faire plaisir et même s’ils ne venaient sûrement pas tous se garer là-bas. La plupart de mes clients venaient du quartier donc n’avaient pas besoin spécialement d’une voiture sauf qu’il y en avait de Staten Island et d’autres endroits qui eux étaient plus rares. Je l’écoutais alors que je faisais tout ce qu’il faut avec sa visa et riant en l’entendant. S’il savait toutes les personnes qui avaient pointés une arme dernièrement sur moi… enfin une seule personne et elle était à un mètre. J’étais heureuse qu’il l’ait dit tout bas. J’imaginais déjà Alvin sortir son arme en pensant qu’on était grillé. « Faites attention, je pourrais prendre la menace au sérieux ! », disais-je en lui souriant alors que j’haussais les épaules pour mon décolleté en penchant la tête. « Ouf ! », soufflais-je tout simplement, rassurée dans un sens. Je n’aimais pas les hommes qui louchaient bien trop souvent surtout que j’étais une femme avec un look assez différent d’une minute à l’autre. Même si je me trouvais tellement inconfortable dans des robes, par moment… j’aimais en mettre ou je devais en mettre surtout pour sortir. Je riais en l’entendant me dire que j’étais étrange alors qu’il venait d’accepter la sucette et je penchais doucement la tête en lui souriant. « Merci ! », disais-je pour les félicitations même si je ne souriais pas comme toutes les femmes heureuse surtout que ça faisait 7 ans que j’étais fiancée… vive les fiançailles et par ce que je me sentais tellement étrange en ce moment. Je lui rendais sa carte en soupirant doucement à ce qu’il me demandait. Si seulement c’était un geek mordu de lecture. « Non, c’est un fichu riche qui ne voit que son nombril ! », disais-je en riant doucement. C’était vrai mais le ton employé était sur l’humour. « C’est un type bien enfin… », je fermais doucement les yeux en inspirant car j’avais des doutes en ce moment surtout qu’un type l’accuse d’avoir tué sa femme et veut que je l’aide à faire croire que non. « … bien que j’en doute, c’est compliqué… c’est comme enfin c’est très compliqué en ce moment… je doute… », non pas que je doute d’être cocufiée mais c’était bien plus important que ça. « On dira qu’il bosse… pour des gens bien et ces gens bien me disent qu’il bosse pour des gens pas bien et que ces gens pas bien ce sont même des gens que j’aime ! », disais-je en arquant un sourcil. Punaise pourquoi je disais ça avec un inconnu ? Mon visage devenait un peu plus triste, un peu plus sombre. Ça tombait d’un coup. J’inspirais doucement en refaisant un semblant de sourire. « Enfin rien de grave ! », je le regardais aussitôt. « D’ailleurs… » je me tournais en prenant un bouquin que j’ouvrais à la première page en prenant un stylo. J’y écrivais alors « Merci pour cette rencontre tellement étrange mais tellement agréable et n’oubliez jamais de rêver même si vous êtes un grand enfant ! », écrivais-je alors sur cette page en signant de mon nom. Je le fermais en lui souriant et lui tendant. « C’est un cadeau… pour vous. Ce n’est pas un rabais… mais… », je souriais. Ce livre étant le mien et le nom de l’auteur étant aussi le mien. « Melody Dashwood… n’oubliez pas cette auteur car vous l’avez juste en face », soufflais-je alors que je venais de lui tendre un exemple de mon bouquin nommé : Quand petit ourson perd sa maman !
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Tobias J. Waters
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MessageSujet: Re: fix you - melody&tobias fix you - melody&tobias EmptyDim 14 Déc - 23:20

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Je l'aime bien. Elle est l'une des seules personnes a m'avoir fais sourire ne ce serait qu'un instant en tout cas. Elle est passionnée, elle aime son métier et c'est une chose assez rare à présent. Je ne peux pas dire que je n'aime pas mon métier, au contraire, j'aime ce que je fais mais tout le monde pense toujours que je n'aime pas car je suis toujours froid et que je ne souris jamais. Mais je suis comme çà et il faut s'y faire. Je ne changerais pas pour les gens et je ne m'en veux absolument pas pour çà. Je n'ai jamais réellement connu les bouquins. Bien évidemment je lisais beaucoup quand j'étais à l'école puisque nous étions obligés de lire des livres qui parfois pouvaient être d'un ennui assez mortel mais j'avais toujours pris le temps de tous les lire même si les familles d'accueil dans lesquelles je pouvais être n'étaient pas vraiment pour cette lecture. Elles y étaient forcées et gagnaient tout de même de l'argent pou pouvoir au moins me mettre à l'école. Mais les livres d'école et ceux que les enfants de mon âge pouvaient lire chez eux n'étaient pas du tout la même chose et je n'avais pas eu la même chance que les autres. Mais ce manque de lecture ne m'a pas réellement frappé même si il est vrai que j'aurais certainement apprécié une bonne lecture. La discussion que j'ai avec la jeune femme est intéressante. C'est assez rare que je parle autant et je suis surpris de toujours être dans cette boutique alors que je pourrais déjà être de nouveau au travail. En toute franchise, je ne suis pas vraiment pressé de retourner au travail même si j'ai encore pas mal de choses à faire avant de partir ce soir. Je suis assez perfectionniste sur les bords et j'aime finir tout ce que j'ai à faire avant de rentrer à la maison. De toute manière, ce n'est pas comme si j'ai quelqu'un qui m'attend à la maison donc l'heure importe peu finalement.  « C'est certaine qu'à New York en tout cas, nous n'avons pas la chance d'avoir des palmiers ! » dis-je à la jeune femme avec un sourire.  « Je pensais que dans ce mon de fous on trouvait plu^tôt des requins prêts à nous dévorer  » finis-je par ajouter ne perdant pas le petit sourire qui s'est posté sur mon visage. Première fois que je souris autant, je crois. Je prend alors la petite enveloppe brune que la jeune femme me tend même si je ne suis même pas venu ici en voiture...  « Je ne pense pas qu'elle me sera d'une grande utilité, je ne suis pas venu en voiture jusqu'ici.. Je ne travail pas vraiment très loin en fait et je préfère marcher surtout dans cette ville ! » j'ai une voiture mais je ne l'utilise que très rarement ou bien je prend le taxi. Je ne prend pas vraiment les transports, je ne me souviens même plus quand est-ce que j'ai pris les transports pour la dernière fois en vérité. Je n'aime pas le métro, et le bus çà ne sert à rien, si ce n'est rester aussi coincer dans les bouchons. La marche à pieds reste donc le meilleur moyen de rentrer tranquillement  la maison même si en général quand je m'en vais du bureau, il peut-être neuf heure et plus personne n'est sur la route ! Je lui tend l'enveloppe, préférant la lui rendre avant qu'elle ne se perde dans une poubelle du coin  « C'est très gentil mais je préfère vous la rendre pour qu'elle soit utile à une toute autre personne.  » je ne suis pas le genre d'homme à regarder le décolleté d'une femme, surtout en étant très peu discret. Bien évidemment je trouvais les femmes vraiment très jolies et j'étais du genre à enchaîner les aventures car je ne suis pas le genre d'homme à me poser. Du moins je ne le suis pas encore en tout cas. Je n'ai trouvé personne et je ne crois de toute manière pas u tout à l'amour du coup il m'en faut beaucoup pour me jeter dans la gueule du loup.  «  Je crois que la meilleure chose à faire est de ne pas me prendre au sérieux je crois..  » souffle-je en haussant les épaules. Remettant correctement mon costume, je récupère finalement ma carte de crédit.  « Alors pourquoi êtes vous avec lui dans ce cas ?» lui demande-je. Je sais, je deviens un petit peu trop curieux mais elle a commencé, autant terminé non ? Ce n'est pas bien, je ne suis pas comme çà d'ordinaire et je n'ai jamais pensé que je pourrais devenir un homme assez curieux. Mais je l'aime bien, elle est intéressante et c'est la première fois que je me vois bien rappeler quelqu'un pour en savoir un peu plus. C'est comme çà que les amitiés commencent non ?  « Vous n'êtes pas vraiment convaincue par ce que vous dites, vous savez » je plisse les yeux et elle se livre un petit plus alors qu'elle aurait très bien pu ne pas le faire. Cela me fait plaisir même si je sais qu'elle aurait pu rapidement me rembarrer car elle ne me connaît après tout pas du tout.  « Je vois... toutes les relations sont plus au moins compliquées même si je ne sais pas trop ce que je dis puisque je ne suis pas vraiment doué pour les relations amoureuses comme pour les relations tout court en fait. Mais si je peux me permettre de vous dire quelque chose.. de vous à moi, une chose que je sais parfaitement c'est que lorsqu'on doute c'est que ce n'est pas vraiment fait pour durer vous savez.. » et je sais de quoi je parle. Pour moi, tout est blanc ou bien noir, il n'y a pas de juste milieu si vous voulez. Surtout lorsqu'il s'agit des relations, quel qu'elles soient. Pour être bien dans sa vie, il ne faut pas laisser de place aux doutes.  « woow. » finis-je par souffler essayant de suivre ce qu'elle peut bien me dire. J'ai l'impression qu'elle me fait confiance, et qu'elle a surtout besoin de parler. Et je ne sais pas pourquoi mais je reste là et veut être à son écoute.  « Je vous préfère quand vous avez le sourire et non le visage tout triste. » ais-je ajouté avec une petite moue.  « Si vous voulez parler à quelqu'un qui n'est pas un espèce d'imbécile sur un sofa.. ma carte  » je lui tend alors que je l'ai déjà mise dans le petit bocal avant  « C'est de la triche mais tant pis ! » je plisse les yeux lorsqu'elle me donne un bouquin. Je souris lorsqu'elle me dit que c'est un bouquin qu'elle a écris. Je le lirai celui là, elle pouvait en être certaine.  « Melody ? C'est un joli prénom.  » souffle-je avant d'ajouter  « Celui ci, vous pouvez être certaine que je le lirais » lui dis-je  « Bonne journée et surtout gardez votre joli sourire. » et je finis par sortir du magasin. Une rencontre qui ne restera cette fois inachevée...

to be continued..
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