EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes
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Sujet: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Sam 15 Nov - 7:15
Ezra James FALCONER FEAT. NICOLAS SIMOES
âge →23 ans Né(e) à→ New York le → 19/03/1991 Métiers → voyou professionnel, spécialiste en troc de substances plutôt illicites et autres sacs volés Études → pardon ? Statut → éternel célibataire Orientation → hétérosexuel Groupe → rebels
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici de tout ce qui différencie votre personnage. S'il a des tatouages, des allergies, des piercings, une mimique particulière, tout ce qui selon vous le rend différent. Vous pouvez également parler de son physique, ses habitudes vestimentaires, bref tout ce qui le caractérise, tout simplement. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici du caractère de votre personnage. Comment se comporte-t-il avec les autres ? Est-il du genre fleur bleue, rancunier, tenace ? Bref, tout ce que vous estimez important de savoir sur son caractère. Quinze lignes minimum. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Zoé, Balderdash, 19 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Via Bazzart Ce personnage est-il un double compte ? → Non, c'est mon tout premier ici Présence sur le forum → Autant que me le permettent mes études de médecine Personnage inventé ou scénario ? → Complètement inventé! Crédit images → chevalisse + tumblr
Mon exemple de RolePlay:
flash-back ► appartement des ddc, 10 mars 2014, 01h20. Une frêle silhouette aux cheveux écarlates s’extirpait hâtivement d’un véhicule jaune, intimant avec empressement au chauffeur de garder la monnaie, et se dirigea au pas de course vers le grand immeuble qui se dressait devant elle. Elle ne portait qu’un gilet aux couleurs de son université par-dessus une nuisette noire, et les quelques passants qui sillonnaient encore les rues de San Francisco à cette heure tardive ne manquèrent pas de lui lancer un coup d’œil intrigué, mais Alaina Selwyn n’avait jamais été aussi peu soucieuse des opinions qu’elle pouvait bien susciter. Fébrilement, elle monta les escaliers au pas de course, son esprit alarmé encore envahi par les images violentes du cauchemar qui l’avait tirée du sommeil un peu plus d’une demi-heure plus tôt.
La chaleur était étouffante, et autour d’Alaina, toute la pièce était masquée par de gigantesques flammes d’un rouge écarlate et d’un jaune aveuglant. Prise au piège, elle hurlait à l’aide, mais tous les étudiants s’empressaient de quitter cette horrible fournaise sans même lui accorder un regard. Tous, sauf Matthias. Il n’hésita pas un instant, alors qu’à peine plus d’une semaine plus tôt, elle l’avait blessé comme elle avait rarement blessé quelqu’un. Il n’hésita pas non plus lorsque, après l’avoir tirée des meubles qui la gardaient prisonnière, il la fit passer devant lui afin qu’elle soit plus proche de la sortie – alors qu’à peine plus d’une semaine plus tôt, il avait décrété ne plus jamais vouloir la voir. Il hésita encore moins lorsque la poutre enflammée s’écrasa sur lui, et qu’il lui hurla de s’en aller et de le laisser là – alors qu’à peine plus d’une semaine plus tôt, elle ne s’était pas gênée pour le planter là, le soir de son anniversaire, après qu’il lui avait fait une déclaration plus belle que tout ce dont elle aurait pu rêver. Elle parvint à l’extirper de la poutre, puis du bâtiment enflammé, mais il était déjà trop tard. Trop tard. (…) Les jours, puis les semaines passèrent, et petit à petit, dans son lit d’hôpital au service des soins intensifs, Alaina se remettait de ses sévères brûlures. Mais il était évident qu’elle ne se remettrait pas des blessures psychologiques et des terribles souvenirs qu’avait laissés cette nuit. Elle avait raté l’enterrement, incapable de regarder dans les yeux ceux qui pleuraient la mort d’un homme disparu par sa faute. (…) Un entrepôt sinistre, un propriétaire qui ne l’était pas moins, malgré ses airs faussement charmeurs. Un revolver chargé d’une unique balle, qu’elle pointait lentement à sa tempe. La sensation, comme une promesse, d’une délivrance toute proche. Délivrance de toute la violence et la dépravation dans lesquelles elle s’était enfermée dans l’espoir, vain, d’oublier son chagrin. Elle appuya sur la détente, presque soulagée, mais la détonation ne vint pas. Au lieu de quoi, il la chassa, lui intimant l’ordre de ne plus jamais revenir. (…) Une pierre tombale qui se dressait devant elle, majestueuse et sobre, arborant le nom et les dates de l’homme dont elle était éperdument amoureuse. Enfin, les mots lui vinrent à la bouche, alors que les larmes revenaient mouiller ses yeux. Et alors qu’elle déclarait son amour à cette pierre aussi sourde qu’aveugle, elle réalisait pleinement combien elle peinerait à faire ce deuil.
Hors d’haleine, Alaina arriva devant la porte de l’appartement des Dupont de Calendre, et se mit à tambouriner sur celle-ci, incapable de se défaire de l’appréhension monstrueuse qui lui tenaillait le ventre. « Matthias, tu es là ? » appela-t-elle, la voix empreinte d’une urgence nettement distinguable. « Matthias ? MATTHIAS ! » Son poing commençait à la lancer, mais elle le remarqua à peine. Et alors qu’elle s’apprêtait à l’appeler une nouvelle fois, réveillant au passage la totalité des habitants de l’immeuble, la porte s’ouvrit sur un Matthias à l’air passablement endormi, mais bien vivant. Lanie s’interrompit en plein dans son mouvement, et plongea son regard paniqué dans celui, perplexe, du jeune homme. Quelques fractions de seconde s’écoulèrent, alors qu’une vague de soulagement s’emparait d’Alaina – mais ce n’était pas suffisant, elle avait besoin de le sentir, de s’assurer qu’il allait réellement bien. Alors, sans réfléchir, sans même se dire qu’il n’avait probablement pas envie de la voir, encore moins de la toucher, elle se jeta dans ses bras, l’emprisonnant dans une étreinte étonnamment forte. L’odeur familière de Matthias s’engouffra dans ses narines, et elle se détendit enfin. « Tu n’as rien ! Oh, Matthias… » La réalité la rattrapa alors, et elle se rendit compte que lui n’avait probablement pas rêvé d’elle, et que sa colère à son égard avait de fortes chances d’être encore intacte. Elle recula donc à contrecœur d’un pas, scrutant le regard de Matthias en balbutiant d’une voix encore tremblante : « J’ai fait un cauchemar… Je… J’ai cru que… » La simple pensée de ce qu’elle avait vécu dans ce rêve lui était insupportable, et elle manqua de céder une nouvelle fois aux larmes qui l’avaient réveillée un peu plus tôt. Elle tenta de trouver les mots pour expliquer à quel point ce qu’elle avait vu l’avait bouleversée, mais n’y parvint pas. Au lieu de quoi, guidée par une impulsion à laquelle elle ne put résister, elle s’approcha à nouveau, se hissant sur la pointe des pieds, pour s’emparer des lèvres de Matthias, dans un baiser chargé de tout l’amour du monde.
appartement de matthias, 29 septembre 2014, 23h40. Une frêle silhouette encapuchonnée s’extirpa, hésitante, d’un véhicule jaune en provenance de l’aéroport, avant de se diriger avec une appréhension presque intenable vers le grand immeuble qui se dressait devant elle. Alaina revenait de la demeure de ses grands-parents à Los Angeles et, par extension, de l’un des pires étés de sa vie. Mais, étrangement, elle avait l’impression que les ennuis qui l’avaient forcée à passer plusieurs mois avec ses anciens bourreaux et ce sans pouvoir entretnir de contact avec qui que ce fût d’extérieur à la famille n’étaient rien en comparaison à ce qui l’attendait, quelques étages plus haut. Alaina savait qu’après être partie en ne fournissant que quelques explications aussi vagues que rudimentaires et en ne donnant que de maigres et rares nouvelles pendant toute la durée de l’été, elle ne pouvait certainement pas s’attendre à un accueil chaleureux de la part de son petit ami – si tant est qu’elle pouvait encore le considérer comme tel, car elle avait le mauvais pressentiment que cet écart-ci avait été l’écart de trop, et que Matthias risquait de l’envoyer bouler une bonne fois pour toutes en la voyant apparaître sur le pas de sa porte. Mais quand bien même était-elle terrorisée par ce qui l’attendait dans les minutes à venir, elle savait qu’elle n’avait pas d’autre choix que de confronter ses problèmes, et qu’attendre ne ferait qu’envenimer davantage la situation – raison pour laquelle elle avait pris le chemin de l’appartement de Matthias à l’instant où elle avait atterri. S’exhortant au courage et au calme, elle gravit les escaliers avant d’arriver sur le palier familier de l’appartement de Matthias. Hésitante, elle leva une main et frappa à la porte, l’estomac tenaillé par une terreur sourde, et le corps tout entier envahi par un tournis qui indiquait qu’elle n’était pas loin de l’évanouissement. Au bout de quelques instants interminables, la porte s’ouvrit, sur un Matthias dont l’air surpris ne tarda pas à se faire imperturbable, et surtout, glacial. Leurs regards se croisèrent mais cette fois, le petit bond habituel que fit le coeur d’Alaina dans sa poitrine n’était probablement pas tant dû aux sentiments qu’elle nourrissait pour le jeune homme qu’à la peur grandissante qui l’habitait toute entière. Après quelques secondes d’un silence assourdissant, Alaina finit par murmurer d’une toute petite voix : « Salut… » Bien entendu, aucune réponse ne lui parvint, et elle sentit une brique lui tomber dans le creux du ventre. « Matthias, je… » Mais elle n’eut même pas le courage de terminer sa phrase, tant le regard de Matthias était froid et hostile. Elle aurait tout donné pour pouvoir se jeter dans ses bras et oublier l’atroce été qu’elle venait de passer, avec tout le lot d’angoisse, de douleur et d’horribles souvenirs que celui-ci avait su apporter avec lui. Elle aurait tout donné pour sentir la présence apaisante et réconfortante de Matthias, ses bras musclés qui la serraient contre lui et sa voix douce qui lui murmurait que maintenant, tout irait bien, et que ses problèmes étaient derrière elle pour de bon. Mais elle savait pertinemment qu’elle n’aurait rien eu de tout ça, et qu’il l’aurait repoussée sans l’ombre d’une hésitation. Et elle n’eut d’autre choix que de se résoudre à l’idée que ce soir, Matthias n’aurait aucun réconfort à lui offrir, mais probablement seulement des mots de colère et de rancœur – et ça, c’est si elle avait de la chance.
Dernière édition par Jimmy Falconer le Sam 15 Nov - 7:43, édité 3 fois
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Sam 15 Nov - 7:16
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Veuillez écrire ici l'histoire de votre personnage. 30 Lignes complètes minimum.
Petite remarque au passage, si certains d'entre vous seraient tentés par un lien histoire que je puisse déjà installer le cadre pour mon Jimmy, n'hésitez pas à vous manifester Je remplirai déjà une partie de la fiche dans la journée histoire que vous puissiez vous faire une idée du personnage
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Sam 15 Nov - 19:16
ooh ola bienvenue sur nycl, enjoy la rédaction de ta fiche bon malheureusement je n'ai pas d'idée de lien à proposer pour t'aider pour le coup mais bref j'espère que tu trouveras ce qu'il te faut
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Dim 16 Nov - 5:19
Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Mar 18 Nov - 21:56
Bienvenu sur le forum
Pandorà M. Mendez
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SAY SOMETHING ♥ i’m giving up on you
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Dim 23 Nov - 21:25
Coucou mon cœur, Bon j'aimerais bien t'annoncer de bonnes nouvelles mais au lieu de ça, je t'annonce qu'il te reste jusqu'à samedi soir pour faire ta fichounette ma caille. Si t'y arrives, promis t'auras un gros bisous sur le fesse. Mais tu sais, elles ne dorent pas au soleil donc quittes le un peu pour ne pas trop te dorer la pilule. Je t'en supplie pour moi, pour nous et pour la paix dans le monde. C'est important. Bon pour te motiver, je te fais un bisou sur le nez enfin imagines que je t'en fais un *-* ! Bisous -surlenez- !
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes Lun 24 Nov - 0:27
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes
EJF ★ tore the muscle from your chest, used it to stub out cigarettes
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