âge →17 ans Né(e) à→ Moscou le → 24/12/1997 Métiers → Ballerine à l'opéra de New York Études → Aucune la belle a arrêté depuis ses quatorze ans, préférant perturber le bon fonctionnement que d'être honnête Statut → Libertine Orientation → Bisexuelle Groupe → Beauty Queen
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ • Toujours une casquette sur la tête qu'elle ne quitte jamais, elle n'achète pas non plus de vêtements, vole quelques étoffes chaque semaine pour ne pas terminer nue sous les regards indiscrets. • Elle est riche et, tel le Petit Poucet sème des billets dans quelques squat et bâtiments nauséabonds. Elle exècre les maisons, les villas trop luxueuses à son goût. Jalousie peut-être, elle préfère détruire la beauté. • Terrible, elle reprend toujours les excuses, les paroles, les bavardages incessants des passants ; véritable commère dans l'âme elle raffole des ragots et des magasines people qu'elle déguste sur les bancs des quais de métro. • Elle ne s'attache jamais, principe évident d'une vie de libertine. • Elle se sert de tous ce qu'elle trouve pour abuser des faiblesses des autres ; petite reine délicieuse elle part dans des délires courant d'air chaleureux. • L'esprit de contradiction avec ces chiens que l'on nomme adulte, jamais elle ne posera les pieds dans l'antre d'un grivois majeur, préfère fréquenter le monde des sourds et des drogués. • Elle sourit la divine mais fissuré sur ses lippes vermeilles des stries combattantes qu'elle cache sous des paupières parfumées. • Impulsive, elle fait tout ce dont elle a envie, pas de limite elle se sent vivre. • Vulgaire, elle emploie des mots de fadaises, invente des néologisme qu'elle dessine fière de son auspice. • Les samedi matins elle épouse les sièges des cinémas pour revoir encore et encore le même film, ce Léon d'un artiste inconnu, rubéole de sentiment de cette gamine double qu'elle revoie dans les moments sombres. • Bois une énorme quantité de lait.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Trois soupirs : mortelle ; manipulatrice ; mâture triomphent les peuplades égarées de ses lèvres fragiles des rubans rougeoyants rutilant le pourpre mordu. Amusante, elle s'égaye la Madeleine, danse amoureusement sur les rues jonchées de débris vermines des hommes jouets qu'elle séduit. Dynamique l'ennui est son ennemi costaud, ringard elle se débat d'entre ses griffes ; fume luisant ses perles colorées de nacre de joie que de singer ces simagrées d'adultériens arborés. Extravagante, elle parle, parle, parle, énormément la fillette, abreuve de douces insultes les regards trop courtois, trop polis, trop chichis pour la demoiselle posté au banc de sa cavalcade. Ses habits de poupée épousent ses formes chérubins exquises de garçon manqué une casquette toujours posée sur sa caboche de Gavroche et une paire de soleil opaque sur son nez aquilin. Libertine ; élevée sous les arcs et les alcôves bienséantes des foyers de redressements ; opposée à la dérive des haïs vipères elle se moque affreuse adorable avec ses copains. Enjouée alors elle vocifère des imaginaires bafoués, éclaboussés de malice, ses prunelles adamantines tourbillonnent de l'effervescence de son intelligence soufflé par les reproches, les strictes médusas qu'elle imite aimerait pendre. Naturelle elle vogue des éclats de jouvence sur les navires palpitants la débauche, la pimprenelle jamais ne s'échoue sur les complaisances d'un rite charnel c'est pour elle fascinant d'apercevoir le désir crever les orbes des victimes. Énergique, elle saute, virevolte petite ballerine ; hurle, crie, pépie, joue l'enfant des rues, la misérable Madeleine sylphide.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Jet sa chevelure de fines mèches bouclées repose avantageusement sur son dos mortifère. Poupée aux lèvres pleines quand elle pétrie la débauche de ses mains maigres un regard assassin ô Capucine des chemins mouillés de ces torrents âcres carmins ! Elle ne pensait pas la séraphine d’un poignet éteint, brisé par ce chacal dans cette chambre morbide, macabre où attirée par la flamme des gredins déplumés se faire lâcher par la violence d’un marionnettiste. Sur les quais elle l’apprivoise le malin, un col opalin sur son cou succubin ; une ébauche de films gourmand lorsqu’elle lève ses lunettes opaque dévoilent ses prunelles ocellées des coloris vivaces. La joueuse perfide tisse les âmes goudronnées, les organes arrachés, jetés aux torrents âpres vermeils stagnant les charognes avachies, gardées par les supplices des eaux verdâtres. Pas un mot sautille de la gorge évangélique de la ballerine une feinte, un sourire, une fuite sur les ruines de la mélancolie. Le regard assassin hantant les victimes plus rien n’existe fort taureau virile. Mais. La gamine dans ses bras se coule, une esquisse sublime d’un baiser funeste sur ses lippes pose les rives écarlates de la pomme tentée. Des ongles diaprés de pastels qu’elle appose sur une pièce tragique, sur sa joue rongée par la broussaille piquante. Il est vieux sur quelques rides qu’il arbore elle lit le défi de l’existence un millénaire écoulé et ses prunelles rougeoyantes de plaisirs sacrifiés. Elle les hait. Les déteste. Les abomine. Ces adultes autoritaires ayant détruit sa vie. Elle est jeune, habillée d’une robe grenade voletante les promesses exquises de la mystifiée elle s’y refuse cependant de ses orbes mordorées à enlever les souplesses fiancées de son corps un temple opalescent qu’elle soudoie pour les atrocités commises. Des cadavres balancés au vent, à l’eau croupie des ports dont elle émerveille le sol par ses pas trépidants de rat gracieux. « T’es un enfoiré ! T’avais pas le droit de me faire du mal comme ça ! ». Elle avait sauté sur le tremplin des titans, lui cette tentation de mille feux ; plus ils sont gros, forts, balèzes, plus la sensation de domination, de pénétration, d’invincibilité frissonne sur son duvet soyeux. Elle fuit la gosse des rues nauséabondes, dans la nuit gouffre sans fond elle glisse des vengeances oubliées le lendemain. Un passant mortel qu’elle côtoiera peut-être, piégée par les vertèbres de ses bras, les tentacules de ses marmoréennes dents blanches. Elle ne souvient plus de cet embrasement voluptueux sur ses lèvres sacrées de sainte Judas, la chétive meurtrière sur son seyant chasse les proies abusées de corail.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Vagabonde ; Becky ; 21 ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'ai fais toutes les pages de Bazzart . Ce personnage est-il un double compte ? → Pas le moindre. Présence sur le forum → Un peu tous les jours . Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. Crédit images → Bazzar ; Alaska ; tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
Le père talonnait ses souvenirs distendues, des fils argentés qu’elle aurait aimé bruire, dilapider sur les hautes collines de ses songes apprivoisés, tournaient les danses brumeuses de réminiscences effrangées qu’elle possédait ; une larme invisible sillonna sur sa joue endolorie des marques de son passé, rosie par les froids d’été disparu à jamais. Immonde crachin effacé par les bribes de maux s’écoulant des lèvres de l’amant, il ne savait pas les plaies qu’elle portait sur son dos inamovible alors qu’elle était prête à transporter le vent de sa paume de Vestale amusée par une babiole qu’elle faisait tournoyer dans le centre de ses doigts rongés. Déchirures ensanglantées, veinées de carmin, de terre, l’hémoglobine fusait, papillonnait sur les fresques meurtries d’une condamnée pourtant calme à l’immensité. Elle ne dit rien, incapable de répondre lorsqu’il s’agissait d’énoncer des bâtiments sacrés d’une vie privée démolie par ces sentiments soufflés, ravagés par la démence bourgeonnante voltigeant sur le zéphyr abusé ; elle fuyait ces rubéoles de questions ses pas jalonnant les denrées fanées des paysans affamés. « Il y a pire. ». De ceci elle avoua un semblant de prose s’évadant de ses lippes parfumées à l’odeur des aubes, un hymne de quelques lettres qu’elle déposait sur l’auréole de l’apôtre affligé par les aléas de cette blanche oiselle translucide de gris mortifère ; une vie carnage d’un innocent conditionné. Les patriarches n’étaient pour les pensées du Styx une sourdine famélique ivre de coups à la volée qu’Helle entretenait à coup de peinture pourpre sur des toiles jaunis, des papyrus vieillis ; une sage redevenue juvénile. Elle sublimait en Lysander une magnifique étoffe de bravoure, de courage, de fierté dissimulée, une sagesse secrète qu’il ne montrait jamais ; elle contemplait son esprit vivace pour avoir parcouru quelques dalles à l’ombre des cerisiers enchantés observant les joutes verbales de ce roi incompris, manquant clairement d’une confiance en soi abolie. « Tu sais ce que signifie une lys ? La vierge Marie sur les retables en dédie une à son fils sur sa jambe gauche le tient fermement entre ses bras d’humaine. Le lys c’est la pureté. La virginité. Tu es tout cela pour moi. ». Les mots jaillirent sans contrôle sans préparation, jaillirent, éclatèrent les murs opaques d’un bureau tamisé par les révélations muettes, éclaboussèrent les défenses de la nébuleuse choquée elle-même par ce qu’elle venait de confesser. L’élan d’un désir, d’une feuille, d’un stylo, une cataracte de destruction qu’elle souhaitait s’infliger caressèrent son duvet soyeux d’enfant éprouvée. Une ronde folle sur le parquet, l’agonie d’une vierge décédée par le défaut pendant. Admettre c’était se mordre ; se mordre c’était périr dans le torrent des faibles. Sur l’esquisse se forma des gouttes, des pluies, des cascades incandescentes d’une intelligence martyrisée par les blessures des goulots de bouteilles d’un antécédent débarrassé ; des cris, des pleurs, des supplications requiem foudroyant à l’agonie subite, récalcitrante à apaiser les tourments sautillant. Les mains d’Helle se mouvaient, éclairs mignonnets d’où s’échouaient les stries impropres de bleus sur sa peau incolore ; des nuances écarlates qu’elle apprivoisait souvent dans les contrées de ses bois, de ses falaise ardues. Des ombres forcées, des natures disgraciées ; le matériau rapidement noyé dans les ruines d’un hurlement tu. « Une définition existe-t-elle réellement pour les ennemis ? Quels ennemis vois-tu ? De chacun m’a prêté une voix, je suis ce que tu veux que je sois. ». Divagation des épopées, des quelques livres qu’elle tenait sur les genoux lorsque le soleil brillait des surprises naufragées à deux êtres édentées, deux êtres chétifs près d’une fenêtre ouverture narquoise à la liberté illusoire. Elle bordait son frère les nuits d’opales tandis que la mère s’éjectait sur les rives tissées du tentateur blasé, tandis que les lourds pas des centaures grognaient les menaces éjaculées. Se levant la lune offrit sa main à la nativité, l’ange d’or de ses mèches translucides répéta le geste, embrassa le soyeux épiderme de l’ami profond, désiré ; s’avança encore jusqu’à toucher le fond, entendre les battements rassurants de l’individu à ses côtés. « La liberté. ». Un souffle sur les lèvres, un souffle sur les muqueuses, un symbole sur gravé palpitant sur les souvenirs enguirlandés ; elle l’embrassa.
Dernière édition par Madeleine Malley le Mar 25 Nov - 22:25, édité 11 fois
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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