Sujet: (candice) misery business Mar 30 Déc - 0:09
Candice Abigail Eubanks FEAT. TROIAN BELLISARIO
âge → vingt-trois ans. Né(e) à→ new-york. le → 04/06/1991. Métiers → tente de percer dans le milieu de la danse mais ne travaille pas. Études → n'étudie pas. Statut → célibataire. Orientation → prétend être hétérosexuelle. Groupe → yellow cabs.
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ De longs cheveux bruns et légèrement bouclés tombent en cascade sur ses jolies épaules bien sculptées. Candice est jolie mais elle n’a rien d’extraordinaire. Bien qu’elle prétende le contraire, la jeune Eubanks n’apprécie pas réellement son physique. Nez grossier, traits trop gros, pas assez fin. Elle a même parfois l’impression que Dieu s’est amusé à faire d’elle un personnage de dessin animé. Bien entendu, si vous venez à lui poser la question, elle vous répondra en vous énumérant les raisons qui font d’elle l’être le plus merveilleux qui soit et cela pendant une trentaine de minutes environ. Elle n’en pensera pas un mot mais après tout, qui s’en soucie. Candice ne possède pas de tatouages ni même de piercings. Elle n’a ni l’argent, ni le temps et n’apprécie pas vraiment ces choses-là. Son corps est son instrument de travail mais elle n’a jamais exclu l’hypothèse d’un jour se faire tatouer. A son sens, un tatouage est une chose précieuse, un dessin qui raconte une histoire. Mais la jeune femme n’a pas d’histoire à raconter. Pour le moment.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Candice sourit. Candice sourit souvent. Peut-être même trop. Derrière ce sourire se cache tout sauf de la joie. De l’hypocrisie, de l’ambition, une satisfaction liée à une réussite quelconque. La jolie brune paraît agréable au premier abord mais quiconque la connaît un tant soit peu se méfiera toujours de son doux rire si agréable à entendre. Pour certains, Candice est l’incarnation du diable. Pour d’autres, ce n’est qu’une pimbêche en mal d’amour qui ferait tout se faire aimer et désirer de n’importe qui. Mais la jeune Eubanks est bien plus complexe que cela. Derrière ses réflexions amères et son sourire enjôleur, Candice souffre d’un mal-être profond qui la ronge un peu plus chaque jour. Depuis le décès de son frère jumeau, la jeune femme redouble d’efforts en matière de danse et met toute son énergie et sa créativité pour faire de la vie de ses ennemis, un véritable enfer. Plus elle fera du mal, moins elle sombrera. Enfin, c’est ce qu’elle croit. Mais la vérité est bien différente. Son cœur saigne, ses mains tremblent, les larmes coulent mais elle essaie de rester impassible. Depuis le décès de celui qui comptait le plus à ses yeux, la vie a un goût amer, bien plus acide que lorsqu’il était encore présent. Ses sourires s’estompent, s’effacent avec le temps. Elle boit, elle fume, elle fête plus que de raison. L’on croirait voir le parfait stéréotype de la garce brisée. A ses yeux, Candice est parfaite. Les critiques ne l’atteignent pas et ne font que la frôler. Elles n’écoutent pas, n’en fait qu’à sa tête et aura toujours raison, peu importe le sujet. Elle n’est pas parfaite mais jamais elle ne le reconnaîtra. Ce serait avouer ses faiblesses et tout le monde sait qu’à part l’ail et les crucifix, les pestes ne craignent pas grand-chose.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → pas de pseudo fixe. j'ai dix-sept ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → je connais le forum depuis très longtemps, je me suis déjà inscrite mais je n'ai pas vraiment accroché. cependant, je connais ce scénario depuis plus d'un an mais il était pris à cette époque et j'en étais tombée amoureuse. Ce personnage est-il un double compte ? → pas du tout. Présence sur le forum → six jours sur sept. probablement sept jours sur sept mais je préfère mettre moins que trop. Personnage inventé ou scénario ? → sublime scénario de katerina. Crédit images → tumblr pour icon & gif, fragile bird pour l'avatar.
Mon exemple de RolePlay:
Un verre, deux verres, trois verres. L’alcool était une addiction à part entière. Si j’étais alcoolique ? Je n’en avais aucune foutre idée. Toutes ces choses qui se passaient, toutes ces choses qui me rendaient un peu plus folle. Je voulais juste oublier. Certains aimaient se vider la tête en courant, moi je préférais l’amertume d’une bonne bouteille de whisky. Et peut-être qu’au fond, j’avais besoin d’une aide que je n’avais jamais su trouver. Ou plutôt, d’une aide dont je n’avais jamais voulu. Combien de fois avais-je été dans cette situation ? Je m’étais encore blessée. Je m’étais encore fait mal. Physiquement, mentalement, sans même m’en rendre compte. A la sortie du bar d’Andrew quelques nuits auparavant, j’avais juste… j’avais juste abandonné. J’avais laissé tomber Ashley. Je l’avais laissé seule. Je n’arrivais plus à la regarder droit dans les yeux sans penser à Jane. Je n’arrivais plus à l’embrasser sans imaginer les lèvres de ma meilleure-amie à la place des siennes. J’étais idiote. J’étais conne. Je l’avais toujours été. J’étais le vilain petit canard de la famille. Je travaillais dans un secteur qui faisait rire n’importe qui. Je n’avais pas une situation financière stable et si la photo ne m’avait pas encore arrêté en état d’ivresse, c’était à cause de ma situation familiale. J’étais la fille de la maire. J’étais la fille de celle qui était à la tête de cette ville pourrie jusqu’à la moelle. J’étais la sœur du propriétaire du bar le plus connu et fréquenté de Nome. J’étais la ratée. J’étais l’idiote. J’étais la garce, la peste. J’étais l’alcoolique, la droguée, celle qui profitait de la renommée des membres de sa famille pour exister. Alors, ce matin, le cœur lourd, je m’étais emparée de cette foutue bouteille de whisky qui me faisait sentir si bien. Je l’avais débouché et sans même prendre le soin de me servir un verre, j’avais bu au goulot. J’avais bu, encore et encore. Je voulais oublier mon cœur qui battait la chamade lorsque je croisais le regard de ma meilleure-amie. Je voulais oublier la douleur de mon âme lorsque je pensais à Jane. Je voulais oublier cette étrange sensation d’être observée toute la putain de journée. Et par-dessus tout, je voulais oublier à quel point j’étais une personne pitoyable. A quel point, j’étais incapable de me prendre en main. Alcoolisée, sur le point de vomir, je m’étais rendue dans la chambre de Tess. Et lorsque je me suis rendue compte qu’elle n’était pas là, mon cœur a tout simplement cessé de battre. Elle avait découché. Pour je ne sais quel foutu rencard qu’Hayley lui avait présenté. Je m’étais écroulée sur le tapis, bouteille en main et sans raisons apparentes, je m’étais mise à pleurer toutes les larmes de mon corps avant de me relever pour jeter la bouteille presque vide contre le mur de sa chambre. Je la haïssais. Je la détestais. Et la seule chose dont je me souvenais de cette matinée animée, c’était les éclats de verre qui avaient pénétré la paume de ma main droite et mon visage. Je n’avais pas ressenti la douleur. Je souffrais déjà beaucoup trop pour m’en rendre compte. Mais lorsque Tess est rentrée, accompagnée d’Hayley et qu’elle a pénétré dans sa chambre que je me suis rendue compte de l’énormité de la situation. Écroulée sur le tapis, la main et le visage ensanglanté, elle s’est précipitée vers moi pour m’aider à me relever. Et puis plus rien. Le trou noir. J’ouvrais doucement les yeux, le cœur lourd. Et lorsque je découvris les quatre murs trop blancs pour être vrais qui m’entouraient, mon cœur loupa un battement. J’étais probablement à l’hôpital. Et c’était probablement Tess qui m’y avait amené. Je pestais avant de me redresser, arrachant ma perfusion, encore trop alcoolisée pour me rendre compte de ce que j’étais en train de faire. Je me levais avant de finalement m’écrouler, les jambes tremblantes, incapables de supporter le poids de mon corps. Probablement alertée par le bruit de mon corps tombant au sol, une infirmière arriva, prête à me crier dessus. Mais lorsque son regard croisa le mien, elle soupira simplement, se ravisant. Elle m’aida à m’assoir sur le lit et je soupirais doucement. « Je vais partir. » Claquais-je simplement, comme si c’était une évidence et qu’elle n’avait rien à y redire. « Mon frère m’attend. Je lui ai envoyé un message. » J’étais une bonne menteuse et c’était probablement pour cette raison qu’elle me laissa quitter la salle des urgences dans laquelle l’on m’avait mise. Encore alcoolisée, peut-être moins qu’en ce début de matinée catastrophique, des plaies au visage et à la main, je me dirigeais vers le hall, le cœur vide, pour signer ma sortie. Je sortis une clope de mon paquet, la glissant entre mes lèvres simplement pour me détendre. Je l’allumerais une fois sortie de cet enfer. Je me saisissais de mon téléphone, envoyant un SMS à Tess, simplement pour lui demander des nouvelles. Je savais parfaitement qu’elle refuserait de me répondre car j’étais la pire connasse qui pouvait exister. Je finis par m’assoir dans la salle d’attente, balançant ma tête contre le mur avec douceur, fermant les yeux. Un doux parfum me vint aux narines et j’entrouvris légèrement les yeux, persuadée que je connaissais ce dernier. Et lorsque j’aperçus Andrew, je fronçais les sourcils. Je me levais, titubante, avant de m’assoir à côté de ce dernier. « Qu’est-ce que tu fous là, Andy ? » Aucune idée de pourquoi je le surnommais ainsi, c’était bien la première fois. Je retins un fou rire devant l’énormité de la situation. « Ça te va bien, Andy. C’est mignon. Comme le mec dans Toy Story. Tu sais, celui qui… » Je me coupais avant de baisser la tête. « C’est pas important. » Murmurais-je. Non, il se fichait bien de ce que je pouvais dire. Andrew n’avait jamais eu de considération pour moi. Et depuis la mort de Jane, il passait son temps à me le faire comprendre. Ou plutôt, c’était moi qui passais mon temps à jouer le répulsif anti-frère aîné trop protecteur qui ne veut pas perdre son autre sœur. Je rejetais la faute sur les autres car j’étais incapable de me regarder dans le miroir sans avoir en envie de régurgiter. Je me dégoûtais.
Dernière édition par Candice A. Eubanks le Mer 31 Déc - 18:21, édité 13 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (candice) misery business Mar 30 Déc - 0:09
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Candice est née le 4 juin 1991 à New-York, quelques minutes après son frère jumeau, Michael. Fille d’un père chirurgien et d’une mère manager, la jeune femme n’a jamais manqué de quoi que ce soit durant son enfance, ses parents faisant d’elle la petite princesse gâtée qu’elle avait toujours souhaité être. Mais le quotidien de la famille Eubanks fut chamboulé alors que les jumeaux allaient sur leurs cinquièmes années d’existence. Ses parents adoptèrent la jeune Katerina, une jeune finlandaise dont l’arrivée bouleversa complètement la vie de la jeune Candice, alors encore trop jeune pour se rendre compte de ce qui était en train de se passer. Une jalousie presque maladive naquit dans le cœur noircit de la petite fille qu’était la jumelle de Michael.
C’est à six ans, pour dépenser son trop plein d’énergie et passer le plus de temps loin de sa « petite-sœur » que la jolie brune commença la danse classique. Et très vite, ce passe-temps devint une véritable passion pour la petite fille. Au fil des années, elle se diversifia, passant de la danse classique à la danse contemporaine, de la danse contemporaine au break dance en passant par le modern jazz. Elle était douée, elle le savait et elle ne pouvait s’empêcher de s’en vanter auprès de sa famille et de ses camarades de classe. Très vite, la si innocente Candice aimée de tous devint l’ignoble peste envieuse et jalouse, prête à tout pour briser la vie de ces camarades, de ces personnes qu’elle n’appréciait pas et qu’elle refusait d’apprécier un jour. Katerina, celle qu’elle refusait de considérer comme sa sœur, en faisait partie.
A seize ans, Candice n’était plus une enfant. Et elle refusait que l’on la considère comme une adolescente, se jugeant bien trop mature pour un jour recevoir cette appellation. A ses yeux, elle était une jeune adulte prête à tout pour réaliser ses rêves. Une chaude soirée d’été, Michael et elle décidèrent de se rendre à une soirée pour fêter la fin de l’année scolaire. Mais un accident de voiture manqua de tuer les jumeaux alors que Michael était au volant. Candice eut la cheville fracturée et de multiples entailles, notamment sur les jambes, les bras et le visage. Hospitalisée durant quelques jours pour alitée pendant toute la période des vacances scolaire, la jeune femme qui touchait son rêve du bout des doigts, celui d’entrer au conservatoire de danse, dut tout abandonner suite à cette accident. Étonnamment, elle ne détesta jamais son frère pour cette histoire, malgré son caractère rancunier.
Cet accident chamboula sa vie. Une fois soignée, bien qu’encore interdite de danse, Candice joua le tout pour le tout, reprenant la danse petit à petit malgré les interdictions de son médecin. La douleur était désagréable mais elle lui rappelait pourquoi elle se trouvait dans cette salle à s’étirer : pour un jour voir ses rêves se réaliser. Elle n’abandonna jamais, ne négligeant pas le lycée pour autant, se jurant se battre Katerina sur tous les terrains, simplement pour montrer à ses parents que leur fille naturelle valait mieux que cette petite finlandaise adoptée par pure pitié. Elle se considérait comme une véritable reine d’un royaume merveilleux. La vérité était toute autre. Elle était simplement la reine d’un royaume déchu, brisé, silencieux et aussi sombre que pouvait l’être son cœur.
Si Candice prétendait le contraire, elle était bien loin de se trouver jolie. Elle détestait son corps qu’elle trouvait trop gros, son visage qu’elle trouvait trop grossier. Et depuis quelques années, dans le silence de la salle de bain, elle jetait la plupart de ses repas dans les toilettes. Si elle était malade ? Elle refusait de le reconnaître. Elle se contentait de pleurer devant le miroir, de jeter ses repas, de ne manger que le soir et parfois pas du tout. Candice pouvait paraître sure d’elle. Candice pouvait paraître odieuse, peste et narcissique mais au plus profond d’elle, une plaie béante refusait de cicatriser. Alors elle saignait, un peu plus chaque jour. Elle ne comprenait pas les raisons de cette tristesse, elle ne comprenait pas ce qui la poussait à se détester à ce point. Elle gardait ses doutes, elle gardait ses secrets, elle séchait ses larmes dans le silence de sa chambre plongée dans le noir le plus complet. Candice criait sa perfection mais jamais elle n’avait autant mentit.
Âgée de dix-neuf ans, diplômés depuis une année, Candice avait refusé d’aller à l’université, préférant se concentrer sur la danse et plus particulièrement sur le tissu aérien qu’elle avait découvert quelques années plus tôt. Ses parents avaient accepté son choix sans broncher, persuadés qu’elle avait un bel avenir devant elle. Mais un soir, lors d’une dispute avec Katerina, Candice fit la chose la plus horrible qui puisse exister. En criant presque, elle annonça son adoption à celle qu’elle n’avait plus à accepter comme étant sa sœur. Par la suite, la jeune femme éprouva des remords qu’elle préféra taire, voyant sa famille se déchirer à cause de son égoïsme. Sa relation avec Katerina devint un peu plus tumultueuse encore. En plus d’être jalouse de sa jeune sœur, elle devait vivre avec ces stupides remords qui la rongeaient un peu plus. Mais la site peste Candice les oublia bien vite, préférant les ranger dans un coin de son cœur que d’avoir à vivre avec jusqu’à la fin de ses jours.
Quelques jours après l’anniversaire des jumeaux, Michael eut un accident de voiture. D’abord en état de mort cérébrale, la question de le débrancher fut rapidement posée et la jeune Eubanks s’opposa fermement à cette décision alors que Katerina était pour. Leur relation empira suite à ça. Et lorsque Michael fut débranché et officiellement déclaré mort, le cœur de Candice se brisa une ultime fois. Se plongeant dans la danse un peu plus, passant le plus clair de son temps enroulée dans des tissus à trois mètres de hauteur, elle essaya d’oublier tant bien que mal le fantôme de son frère qui flottait au-dessus d’elle. Le poids était bien trop difficile à supporter.
Au premier abord, Candice est une jeune adulte passionnée par la danse, obnubilée par son image et celle qu’elle renvoi aux autres. Une peste fêtarde prête à tout pour briser ces adversaires et les personnes qu’elle déteste au plus haut point, que ce soit par jalousie pour par simple envie de faire le mal autour d’elle. En vérité, Candice est bien loin d’être cette fille-là. Mais l’on ne s’en rend vraiment compte que lorsque l’on l’entend tirer la chasse d’eau après un repas ou que l’on la voit pleurer à trois heures du matin, cachée dans ses draps satinés. Mais il est plus facile d’ignorer la vérité que de la voir sous sa carapace. Car tout ce que vous verrez, ce sera une coquille vide et brisée. Candice éprouve des remords pour Katerina, tout en se jurant de la haïr et de faire de sa vie un véritable enfer. Candice est malade, trop maigre, anorexique mais elle préfère prétendre se trouver belle et ne pas avoir de complexes que d’avouer ses problèmes. Candice est morte le jour où Michael a été débranché, se plongeant dans des fêtes sans intérêt, redoublant d’efforts pour percer dans la danse et réaliser ses rêves. Candice peut prétendre aimer les hommes autant qu’elle aime la danse mais la vérité est bien loin d’être celle qui sort d’entre ses fines lèvres. Candice n’est pas cette peste que l’on peut voir dans les films d’adolescents. La jeune Eubanks est simplement elle-même, une coquille vide, un cœur brisé, remplit d’animosité pour une personne qui n’en mérite pas tant que ça. Une refoulée, qui refusait d’un jour avouer que les femmes sont plus jolis que tous les hommes qu’elle a pu fréquenter. Une pauvre fille.
Dernière édition par Candice A. Eubanks le Mer 31 Déc - 19:30, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (candice) misery business Mar 30 Déc - 0:43
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (candice) misery business Mar 30 Déc - 1:12
Sujet: Re: (candice) misery business Ven 2 Jan - 0:52
Bienvenu sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (candice) misery business Ven 2 Jan - 3:33
merci à toi.
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
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▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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Sujet: Re: (candice) misery business Sam 3 Jan - 12:29
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Sujet: Re: (candice) misery business
(candice) misery business
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