Sujet: BILLIE // une héritière à NY Lun 19 Jan - 1:08
Billie P. Van Heslin FEAT. Selena Gomez
âge →21 ans Né(e) à→ Los Angeles le → 1/01/1994 Métiers → héritière Études → aucune Statut → célibataire Orientation → bisexuelle Groupe → Central Park
Quelles sont tes caractéristiques ?
→Mes manies ? Je ne les ais pas relevés moi-même. Les tabloïds s’en sont chargés. « Billie est bisexuelle, ayant une préférence pour les femmes. Ϟ La fille Van Hesling fume comme un pompier. Ϟ Impossible pour elle d’avoir une relation sérieuse. Ϟ Surnommée « Queen Billie » à La ϟ aime maintenant se faire appeler « Queen Poppy » ϟ aime parler d’elle à la troisième personne ϟ aurait voulu être actrice mais n’a pas de talent réel ϟ a cotoyé 80% du gratin mondial ϟ a refusé de faire une télé-réalité ϟ réalise peu à peu que les photos d’elle dans les magasines lui manquent. Ϟ On a inventé un adjectif pour parler d’elle : « Billicious » ϟ a un rire énervant ϟ a fait une sex-tape restée secrète ϟ on lui a déjà proposé de faire un album : heureusement pour tout le monde ça ne s’est pas fait. »
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Je sais ce que vous imaginez lorsqu’on vous dit « enfant star » -ou de stars, la nuance est minime : un gosse pire que capricieux. Sachez le, il y a des jours avec et sans. Ma mère me considère comme lunatique : je peux être vraiment une fille appréciable et serviable un jour, et être une capricieuse dès le lendemain. Même si c’est généralement la seconde possibilité qui ressort le plus souvent. La peste Van Hesling –enfin, je ne suis pas une peste de compétition non plus- est souvent celle à qui vous aurez l’occasion de parler. Enfin, même si peste est un fort grand mot. Mais ça c’est pas moi qui l’ai dit ! C’est lez paparazzis. En même temps, faites vous harceler par une horde de photographe et puis vous me direz si vous avez été poli. Je ne suis pas du genre à avoir ma langue dans ma poche et je suis toujours plutôt… Impulsive. Essayez donc de tourner sept fois votre langue avant de parler dans ce cas. Après, je suis plutôt du genre franche, je ne vais pas vous mentir et si une robe vous boudine je vais le dire, si vous êtes pire que chiante, je vais le dire aussi. Après on s’étonne que je manque d’ami(e)s. Et pour revenir au caprice : on m’ a toujours tout cédé quand j’étais gosse. Mais bon, après je peux être vachement agréable –quand je veux. Après ne vous étonnez pas si je parle « mal » sur quelqu’un : je ne suis pas méchante, je suis juste réaliste et le monde qui m’a entouré pendant mon enfance m’a quelque peu forcé à être ainsi. Queen Poppy n’est pas facile à vivre tous les jours que voulez-vous…
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
« Un bon nombre de personnes commencerait à raconter leur histoire en vous disant « Je n'ai pas une vie bien exceptionnelle vous savez ». J'aurais bien aimé pouvoir dire ça. Ma vie sort de l'ordinaire, tout le monde ne vit pas cela. Tout le monde ne vient pas au monde dans une famille hyper médiatisée comme la mienne. Van Hesling. C'est un sacré nom vous savez. Un nom assez lourd à porter d'après moi. Un nom que portait -et porte toujours- mon père : Dominic. Acteur assez réputé d'Hollywood. Il est loin d'être connu comme Tom Cruise ou autre, c'est clair, mais il s'est fait un nom sur la côte ouest, c'est déjà ça. Il a rencontré ma mère, Katie Hamilton, actrice elle aussi, sur un tournage. Six mois après leur rencontre, elle changeait de nom pour devenir Katie Van Hesling. Je vous raconte tout ça, mais c'est sans intérêt. C'est juste pour vous dire, que quand je suis venue au monde le premier janvier mille neuf cent quatre vingt onze, la plupart des magazines people de Californie ont publié un truc du genre « La petite des Van Hesling vient de voir le jour » ou encore « Billie Van Hesling : le même avenir que ses parents ? » Je pourrais vous en sortir pleins d'autre ; ma mère les a tous acheté et les a tous gardé. Autant dire qu'à peine j'avais vu le jour, j'étais déjà connue : sans rien faire.
Ma mère n'a jamais réellement eu besoin de faire des photos de mes sorties : les paparazzis en faisant pour elle. Vous voyez Suri Cruise ? J'étais un peu comme elle. Une mini icône de mode, une mini actrice, une façon pour mes parents d'obtenir encore un peu plus d'attention de la part des journalistes. Je l'ai toujours ressenti comme ça. J'ai toujours eu l'impression que j'avais été mise au monde dans le seul but de faire remonter la côte de popularité de mes parents à Hollywood. Attention, je ne dis pas que mes parents ne m'aiment pas et qu'une fois les photos finies, ils me laissaient dans un coin avec ma gouvernante, non loin de là ! Ce sont mes parents qui m'ont élevé, sur une multitude de plateau de tournage certes, mais ils m'ont élevés et donnés l'amour dont tout enfant a besoin. Je dis juste qu'ils auraient pu éviter de m'exposer à tous les médias etc. Un peu comme Michael Jackson l'a fait avec ses enfants. Enfin je donne des exemples et je m’égare.
Je n'ai jamais aimé être surexposée aux médias comme je l'ai été. Pas que je sois timide ou que je sois le genre de filles qui préfère terminer son devoir de science naturelles avant de sortir avec des amies. D'ailleurs des amies, j'en avais pas tellement que ça. Je fréquentais une école privée, avec pleins d'enfants de riches, de stars etc. Je n'aimais pas trop ce genre de gens. On pourrait croire que ouais, je suis une fille simple recluse etc. Mais non, j’avais pas façon de vivre, loin des paillettes. J’avais deux amies, avec qui je faisais les quatre cent coups. Et chaque personne qui ne connaissait pas mon nom était en sorte une possibilité d’avoir un nouvel ami, un nouvel homme ou quelque chose dans le genre. C'est pour ça que Bridgetown me correspond parfaitement. Enfin presque et puis… Enfin, je m'égare, encore. Enfin non. Je dois parlé de mon choix, de partir de la villa de mes parents. Vous savez c’est vraiment insupportable de sortir acheté un paquet de cigarette et de se faire photographier sous tous les angles, de subir la pression des ses parents, des médias, de se faire constamment surveiller pour ne pas salir la bonne réputation des parents. Du rêve, du rêve. Comment voulez vous vivre paisiblement avec ça ? Ma mère m’a toujours dit de ne pas me faire duper, de ne pas tomber dans le piège que les gens me tendraient. Bah ouais, je suis une Van Hesling, mon patronyme me précède etc. Et puis c’était comme s’il y avait marqué héritière sur mon front. Donc les gens en profitent, abusent de ma bonté et me prennent pour une cruche. C’est pour ça que je déteste ce que je suis. Je déteste mon nom et toutes les complications qu’il m’a apporté dans la vie. Vous voyez, je n'ai pas eu une vie banale. Je suis une Van Hesling. J'ai été surexposée aux médias. J'ai été un moyen d'attirer encore plus l'attention sur mes parents acteurs. C'est pour ça que je suis ici, à New York, où on me reconnait peut être un peu -beaucoup- moins dans la rue. C'est pour ça que j'ai décidé de mettre « Billie » aux oubliettes et -en quelque sorte- commencer une nouvelle vie en devenant « Poppy ». J'aurais aimé dire que je n'ai pas une vie exceptionnelle. J'aurais voulu être normale, une madame tout le monde. C'est ce que je suis venue chercher ici : des gens qui pourrait être capable de m’aimer pour ce que je suis et non pour la popularité et le luxe qu’il peut déclencher. »
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Émeline Comment es-tu arrivé(e) ici ? → bazzart. Ce personnage est-il un double compte ? → non . Présence sur le forum → 7/7!. Personnage inventé ou scénario ? →inventé !. Crédit images → bazzart & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
Une soirée. Une simple soirée. Et pourtant, je me sentais incroyablement mal. Assise seule à une table, au fond de l'Eden'Strip-Club, je contemplais le fond de mon cocktail sans alcool, immobile et silencieuse. Sans alcool, parce que, d'après les médecins, ça m'était « fortement déconseillé ». Tu parles. J'étais d'une humeur morose, d'une humeur à ingurgiter une margarita. Pas un malheureux cocktail aux fruits sans alcool. Une musique envoûtante se déversait par les haut-parleurs, la lumière était tamisée. Quelques danseuses ondulaient des hanches devant des clients graveleux qui se rinçaient copieusement l'œil dans leurs décolletés avantageux. Les regarder me faisait mal. Moi aussi je voulais danser. Je voulais être à leur place. Pourquoi me refusait-on le simple fait de danser ? Ce n'était quand même pas bien grave, cette maladie... Un frisson me parcourut le dos, et je me frottai les bras, dénudés par un tee-shirt. Que faisais-je là ? Santa Monica, c'était fini, terminé. Plus rien ne m'y retenais ! Alors pourquoi... Pourquoi, dès que le bonheur me tournait le dos, j'avais un cruel et irrépressible besoin de revenir en arrière ? Dans cette ville où j'avais jadis tant souffert ? Une danseuse passa près de moi dans son costume léger, et j'eu un instant la tentation de le lui arracher. Etait-ce si égocentrique que ça, de vouloir à nouveau avoir les regards de l'assistance braqués sur soi ? Cela faisait un mois que je n'avais pas dansé. Je me sentais dans la peau d'un drogué en phase de sevrage. Je me réveillais parfois la nuit, haletante, après avoir fais un énième cauchemar. Des fois, sous la douche, j'ondulais des hanches au rythme d'une musique qui passait à la radio. Et, au meilleur moment, je me rendais compte que même ça m'était refusé. C'était grotesque. Et ça me faisait mal. Cependant, je ne pouvais pas nier le fait que je connaissais la réponse à la question de pourquoi j’étais là. J’étais revenue à Santa Monica car mes frères me manquaient. La simple évocation de leur existence devant ce maudit médecin avait ravivé une douleur que je croyais ensevelie. A Boston, j’étais Molly. Juste Molly. Molly Parker. Pas la précieuse Lucia De Conti. Ce n’était pas les De Conti que je voulais revoir. C’était Aidan et Enzo. Mes frères. Les deux personnes qui ont compté pour moi bien plus que la majorité des gens ou des choses. Et maintenant ? Maintenant je ne savais plus. Peut-être m’avaient-ils oubliée. Peut-être me croyaient-ils morte. Au fond, c’était peut-être mieux comme ça. J’allais repartir à Boston, et tant pis si je devais mourir. Après tout, qu’est-ce que la vie avait à m’offrir à présent que le destin avait vidé la mienne de tout sens ? Je doutais que ça puisse remplir encore soixante ans d’existence, âge auquel la majorité des personnes mourraient de leur belle mort. Avec un peu de chance, ça ne remplirait que cinq ans. Et quand bien même ! Qu’allais-je faire pendant tout ce temps, si je ne pouvais plus danser ? Je n’existais plus. Je n’étais plus Molly. J’avais cessé depuis cinq ans bientôt d’être Lucia. Qui étais-je, si ce n’était une ombre pâle au fond d’un bar de Santa Monica ? J’étais vide. Creuse. Comme une coquille vide. Oui, une coquille vidée de toute substance. Lorsqu’une serveuse passa près de moi, je l’interpellai et commandai ce qu’il y avait de plus fort à la carte. Je ne demandais même pas ce que c’était. Je m’en fichais. Après tout, si je n’étais qu’une coquille vide, je n’étais plus malade. Et j’en avais marre d’être raisonnable. Un verre, deux verres, trois verres. Une douce béatitude m’envahissait peu-à-peu. J’avais l’impression que mes muscles s’engourdissaient. Pour tout dire, c’était plutôt agréable, de se sentir planer. Je me sentais tellement bien. Tellement loin de tout. Ca faisait tout de même trois ans que je n’avais pas bu une goutte d’alcool. Trois ans. J’avais l’impression d’être sobre depuis des décennies. Et à présent, sentir le breuvage me brûler de l’intérieur était une sensation douce et cruelle. Comme la dépression. « Il se pourrait que vous ressentiez une légère baisse de morale », avait-il dit. Tu parles Charles ! J’étais au fond du trou. Et encore, s’il y avait un fond au néant, je creuserai toujours. Quand les gens disent, après une dépression, qu’ils reviennent de loin, j’ai toujours pensé que c’était juste un bobard pour dire qu’ils avaient passé six mois à rien foutre de leur vie et à se faire dorloter par leurs proches. Genre le chômage mais version première classe. Hé bien je peux vous dire qu’en fait, ce n’est pas un bobard. Ca fait rudement mal, la dépression. On se lève, sans en avoir envie. On s’habille avec de vieux trucs, parce qu’on n’a pas besoin de plaire à personne. C’est long et douloureux. J’ai l’impression d’avancer dans le brouillard. Un brouillard chargé de lointains et douloureux souvenirs. Quelle idée, aussi, de revenir à Santa Monica ! J’aurais dû rester à Boston. Là-bas, Andy m’aurait aidé et puis… et puis rien du tout. Andy avait toujours espéré recevoir plus que ce que moi je voulais. Ca n’aurait abouti à rien. Je me connaissais suffisamment pour savoir que j’aurais fini par mettre les voiles, de toute façon. Ma garce de patronne m’aurait viré de mon job de danseuse. Avec un peu de chance, elle m’aurait condamnée à faire le service et la plonge jusqu’à perpétuité. Et maintenant je me retrouvai ici. Seule. Avec des remords et des souvenirs. Et une sale maladie qui me rongeait de l’intérieur.
Dernière édition par Billie P. Van Hesling le Mer 21 Jan - 20:30, édité 1 fois
Sujet: Re: BILLIE // une héritière à NY Jeu 22 Jan - 13:42
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Sujet: Re: BILLIE // une héritière à NY
BILLIE // une héritière à NY
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