Le jeune professeur entretenait sa ligne et son corps sportif quand il pouvait. Il avait prévenu vers 20h Noah qu’il sortait. Il lui avait proposé de le suivre mais son fils n’avait aucunement envie de sortir ce qui était compréhensif après une grande journée de cours.

Donc c’est en short large et un marcel collant son torse musclé en blanc. Et il couru jusque la plage pour courir sur la plage. Et ensuite il la longea courant le long de la plage il était 21h15 quand il s’arrêta de courir marchant.

Et ensuite s’arrêta fit quelques étirements. Et s’installa assis en tailleur pour regarder le couché de soleil. Il remarqua qu’il n’y avait pas âme qui vive sur la plage. Il se sentait bien, en sueur, quelques cheveux collés sur son front.

Et ses yeux bleu méditerranéen, posé sur l’océan de l’atlantique. Il se laissait aller au couleur dorée du soleil. C’était doux et agréable.

Le jeune homme était là assis ailleurs. Seul sur le sable les yeux dans l’eau son rêve était trop beau. Il glissa sa tête dans sa main. Il adorait cette sensation de chaleur. Il n’y croyait pas tellement c’était agréable. Jusqu’au moment ou un élève passa dans l’eau.

Il semblait regarder ailleurs, se sentant pas convenu de le déranger dans sa marche son regard était posé sur lui et finalement se détourna totalement regardant le soleil en face.

Il se demandait pourquoi il ne voulait pas lui parler ? Il ne souriait pas. Il se demandait d’ailleurs pourquoi il voulait éviter le professeur.

Ses cheveux se soulever légèrement au vent. Ses yeux de nouveau dans le vague. Il pensait à beaucoup de choses en même temps comme d’habitude.

Mick fut soulagé que son prof ne le remarque pas, ou ne l'interpelle pas tout du moins. Il continua donc à marché, plongé dans ses pensées, cependant, une idée lui traversa l'esprit. S'il continuait à resté seul ainsi, il n'allait pas s'en sortir de ses souvenir, et puis ce n'est pas comme si son prof risquait de descellé qu'il n'avait pas plus le moral que sa.

Mick fit don demi tour et se dirigea vers son prof. Sans rien dire, il s'assit à coté de lui. Sans le regardé. Le silence régna un court instant, durant le quel Mick admira le couché de soleil laissant les rayon le réchauffer. Puis Mick tourna la tête vers son prof et le détailla un peu mieux. Il était un peu rouge, et transpirait. Vu sa tenu, il avait du courir un peu.

- En vous voyant je m'étais douté que vous deviez vous entretenir.

Il ne dit rien de plus, c'était la chose stupide qu'il avait trouvé à dire. Il souria, laissant ses souvenir s'effacer petit à petit.

Kyllian restait assis toujours dans la même position. Ses mains lovées sur son visage. Il regarda passé le jeune homme et finalement il fit demi tour et s’assit à coté de lui. Quelle surprise. Au bout de quelques minutes il se décida à parler ce qui fit sourire le professeur. Il tourna fit la tête vers l’élève.

« Oui, et a quoi voyez vous ça ? »

Il dit cela tout en souriant, c’était un moyen d’engager la conversation. Il glissa finalement une main dans ses cheveux, il continuait de regarder Mr Warren, toujours assis en tailleur. Il se tenait droit maintenant.

« Et vous venez faire quoi par ici Mr Warren ? »

Il se montrait toujours bien sympathique avec tous les jeunes gens de l’université. A par les teignes et ceux qui ne mérite pas d’être là il se montrait sévère avec eux et avec les autres élèves plus sympathique et strict pour qu’il s’affirme un peu plus.

« Je vous ais comme élève ? »

Il fit un large sourire, blanc en plus. Il passa de nouveau une main dans ses longs cheveux chatains.

Mick n'écoutait son ancien professeur qu'à peine. Il le regardait fixement, perdu dans ses pensées. C'était comme si son cerveau était passé en mode automatique, et que pendant qu'il répondait bêtement à ses questions d'une voix rêveuse, son esprit lui tourbillonnait au milieu de ses souvenir froids, sombres et des rayons du couché de soleil rayonnant, chaud.

- Vous avez une musculature développez qui se remarque facilement sous vos vêtement.

Son visage, cette journée de pluie un plein mois de juillet. Le terme orage serait il plus correcte ? Peut importe, à l'instant où il avait entendu cette nouvelle, tout avait disparu autour de lui, le temps avait continué son cour, alors que lui était resté piégé dans le passé. Maintenant il se réveillait lentement, prenant chaque fois un peu plus conscience d'elle, de ça.

- Marcher, réfléchir.

D'ordinaire, il aurait retourné la question à son ancien professeur, mais ce n'était pas lui qui répondait. Alors que son professeur se montrait sympathique, Mick lui devait paraitre totalement désintéressait par la conversation, ce qui était le cas, mais uniquement parce qu'il pensait, sinon, il se serait montré un peu plus bavard, un peu plus attentif.

- Avais.

Cette dernière question venait d'activer une autre partie de la mémoire du jeune homme. Un jour de rentrée, la rentrée suivant ce terrible jour de juillet. Mick ne s'était toujours pas remit de la nouvelle ce jour là, mais allait en cour normalement, et souriait comme si rien ne c'était passé, et comme si elle était toujours au près de lui. Mick secoua la tête effaçant l'image de M. Etienne faisant son discours de rentrée des classes, pour revenir au M.Etienne du présent, qui avait les cheveux un peu plus long, cheveux que sa main ne cessait de remettre en arrière.

- Excusez moi, je ne suis pas très bavard. C'est juste que je pense beaucoup en ce moment... Alors, qu'est ce que vous faites par ici, à cette heure là ?

Il ne pensait pas à entendre ça de la part du jeune homme, mais il avait l’impression de parler à quelqu’un d’éloigner et c’était assez étrange en soit. Il parlait avec quelqu’un qui n’était pas là. Il ne savait comment expliquer ce phénomène.

Et quand il lui demanda pourquoi il était là, il répondait par de simples mots même plus des phrases Kyllian était totalement perdu. En fait il avait l’impression d’être invisible. Il l’avait eut comme élève. Il ne savait pas quoi dire de plus. Il n’en revenait absolument pas de la façon totalement désintéressée qu’avait l’élève avec lui, il avait presqu’envie de partir.

Et soudainement il se réveilla, comme si il y avait son cerveau qui c’était remis en route comme un ordinateur. Il resta silencieux. Et finalement il fit un sourire.

« Je….Suis venu ici pour me vider la tête. Je suis venu courir sur cette plage car je sais qu’à cette heure si il y a personne. »

Il décida de prendre le problème, le jeune homme avait l’air pas bien, et Kyllian n’aimait pas voire des élèves qui n’allaient pas bien.

« Vous pensez beaucoup. Mais qu’est ce qui ce passe pour que vous réfléchissiez autant ? Vous avez des problèmes. Je peux vous aider ? »

Il posait beaucoup de questions mais Kyllian était altruiste même beaucoup trop pour un avocat. Mais il était comme ça.

Aussi bon comédien que soit Michael, dans ces conditions, il ne pouvait que très difficilement caché ces émotions. Et quand bien même il y arriverait, il y aurait toujours une trace de ces émotions dans son regard. Cependant, ici, il n'avait pas réussit à caché son mal, et le professeur, l'avait perçu aussi facilement qu'une étincelle au milieu de l'obscurité la plus totale.

Il releva légèrement la tête vers le professeur et le regarda dans les yeux. Son regard bleu lui apportait une certaine sérénité, comme une lueur vers la sortie d'un long tunnel, sa voix le guidait vers la surface du présent, comme un phare pour un bateau en pleine mer pendant un orage.

- Ne vous inquiétez pas je vais bien, je suis juste un peu fatigué. C'est surement du au fait que nous ayons pas mal de boulot en ce moment.

Il lui fit un sourire peut persuasif tout en le regardant dans les yeux espérant que Mr Etienne, n'y verrait rien et goberait son histoire, même si les chances pour cela était très faible. Prenant en compte qu'il y avait énormément de chance pour qu'il ne croit pas sa petite histoire de fatigue et de travail, il réfléchissait déjà à une autre histoire qui tiendrait un peu mieux la route, seulement il avait beaucoup de mal à réfléchir.

Puisqu'il n'arrivait pas à inventer d'histoire potable, une autre idée lui vint en tête. Changer de sujet.

- Vous courrez souvent ainsi ? Je veux dire, vous m'avez dit que vous aviez besoins de vous videz la tête, alors je me disais que peut être vous aviez souvent besoins de vous videz la tête.

Peut être aurait il mieux fait de ne rien dire, car ses propos étaient confus, et n'avait presque pas de sens. Mais bon après tout, l'espoir que le professeur ne pose pas plus de question était toujours présent.

Le jeune homme n’avait pas du tout une fête fatigué, il eut enfin son regard dans le siens, il ne bougeait pu du tout. Il avait plutôt une tête de quelqu’un qui avait des soucis et ne savait comment s’en sortir, Kyllian ne savait pas quoi faire, torturer entre deux idées, insister et demandait ce qui n’allait vraiment pas. Mais de peur que le jeune homme ne se braque quand il lui demanderait, il passa une main dans ses cheveux restant totalement immobile.

Il opta finalement d’agir avec beaucoup de tact avec le jeune homme. Réfléchissant bien aux mots qu’il allait dire.

« Je…Pense pas à la fatigue. Ni au travail. Je ne vais pas chercher à savoir ce qui se passe. Mais sachez une chose, c’est que si vous avez un problème comptez sur moi, je suis une oreille attentive et une tombe. Et je suis capable aussi d’aider. Donc c’est tout ce que j’ai à te dire. »

Il fit un sourire rassurant, qui était rassurant, il se demandait si le jeune homme lui parlerait mais il n’allait pas le forcer à le faire ce n’était pas son objectif, il eut un petit rire. Si il avait besoin de courir souvent, ça oui il en avait besoin.

« Oui, je viens courir environ 4 à 5 fois par semaine ici. J’aime bien…C’est tellement agréable. »

Il frotta un peu ses épaules, tout en souriant toujours au jeune homme. Il avait un peu froid, il en avait marre d’être ici.

« Je t’invites à boire un verre chez moi. Ma maison n’est pas très loin de la plage. Et je te laisse pas le choix. Ca te dis ? »

Mick ne su pas quoi répondre, son ancien professeur avait bien vu que son histoire était fausse, mais n'allait pas cherché à savoir la raison de son état. Quel soulagement, de toutes façons, Mick serait partit s'il avait insister un peu plus, prétendant avoir quelque chose à faire, quelqu'un à voir, ou tout autre raison qui lui aurait permis de filer sans pour autant paraitre déplacé.

- Merci, mais je suis certain que vous ne pourrez pas m'aider. J'apprécie tout de même votre geste.

Sa voix et son expression le rassurait, comme le voulait le professeur. Mick nota, malgrè son refus, que s'il avait besoins d'aide, il pourrait toujours se tourner vers lui. Après tout, il ne en aurait surement besoins dans quelques temps, avec sa situation à lui, à elle, à eux. Pour l'instant, c'était stable, mais il savait que du jours au lendemain tout pouvait basculer.

- Je ne suis pas très sportif moi, et marché me suffit à me décontracter.

Il sourit à son professeur l'imaginant venir courir ici tous les soirs après les cours. Mick balada aussi discrètement possible son regard sur le corps du professeur, et constata, cette fois si un peu mieux et pas à travers des vêtement, que son corps était musclé et certainement épilé. L'épilation montrait qu'il prenait soin de lui, et la musculation pouvait soit appuyé ce soin, soit s'expliquer par d'autre fait. La perspicacité de Mick lui permettait d'analyser le comportement le physique des personnes et d'en déduire des petites choses sur leur caractère, leur vie ou d'autre petite chose.

- Je veux bien, il commence à faire froid, et je n'ai pas de veste. J'espère au moins que vous ne faites pas sa parce que vous avez cru voir que je n'allai pas très bien... Je ne voudrais pas vous importunez.

Il se leva en même temps, et alors il se surprit à déshabiller son professeur du regard et ressentit un drôle de petit quelque chose au fond de lui.

Il aurait certainement pu croire qu’il n’avait pas besoin d’aide et laisser ça là, mais il prévenait simplement Mickael qu’il pourrait compter sur lui tout simplement. Il devait y croire, et que si il avait besoin il pourrait compter sur lui.

Il remarqua le regard du jeune homme sur lui, et Kyllian fut surpris, et cela pu se lire dans ses yeux. Il accepta finalement de venir boire un verre avec lui. Kyllian se releva ainsi que Michael et ils allèrent à pied jusqu’une maison, plutôt belle même très belle, il ne fallut qu’une dizaine de minutes mais Kyllian ne parla pas. Il préférait se préserver. Il ouvrit le portail électrique, aboiement de Nell, qui arriva jusque lui. Quand le portail fut ouvert et il prit son Golden Retriever dans les bras.

« Je te présente Nell Michael, il n’a que trois mois mais c’est déjà un chien de garde. »

Le chien donna des coups de langue sur le visage de son maître et ensuite ils suivirent l’allée montant jusque la maison. Pelouse tondue. II ouvrit la porte et ensuite alluma les lumières, ils entrèrent dans une maison classe. Il lacha le chien qui se dirigea directement dans la cuisine pour manger.

« Entre vient… »

Il fit signe à Michael d’aller dans le salon, il y avait un piano à queue, un grand canapé, un fauteuil propriété de Kyllian il s’installait toujours dedans, la table en verre au centre de la pièce sur un épais tapis blanc. Un écran plasma assez grand. Et une décoration High Tech. Il retira son débardeur noir se mettant torse nu face au jeune homme.

« Installe toi…Je reviens. »

Il alla dans sa chambre retira son short enfila un jean et resta torse nu retournant dans le salon fit un sourire à Michael.

« Que veux tu boire ? Jus de fruit ? Alcool ? »

Il avait un minibar dans l’angle du salon, un beau meuble en ébène, sculpté. Ou était posé une carafe de Whisky avec les verres et en-dessous la console, qui contenait les bouteilles.

Mickael ne vit même pas que son ancien professeur de droit avait vu ses regards et en était surpris. D'ailleurs, lui même n'en comprenait pas vraiment le sens, c'était comme si son corps cherchait à satisfaire une envie.

Le trajet jusqu'à la splendide maison dura plusieurs minute qui parure pourtant très courte à Mick, qui regardait droit devant lui, pensant à ses problèmes, et tentant en même de ne pas regarder son professeur pour ne pas ressentir cette étrange trouble en lui. Aucun des deux hommes ne lâche ne serait qu'une syllabe, pas un mot.

Arrivé devant un portail, Mr Etienne l'ouvrit et tout de suite se firent entendre quelques aboiement annonçant l'arrivée imminente d'un petit Golden Retriever du nom de Nell, trois mois.

- Il est magnifique. J'adore les animaux, surtout les félins. Je crois que si je n'était pas dans un appartement, j'aurais déjà un chat et surement un chien.

Mickael osa approcher sa main de la petite tête du chien pour le caresser, tenant sa main éloigné du torse du maitre qui le tenait dans ses bras, ignorant l'effet que cela aurait si un simple regard sur lui le troublait.

- T'es trop mignon.

Ils continuèrent à remonté l'allée jusqu'à arrivé devant la porte. Mick regarda le jardin magnifiquement entretenu pendant que le prof ouvrait la porte. La pelouse était d'un vert émeraude ravissant, et donnait envie de se rouler dedans.

- Vous devez passer énormément de temps à entretenir votre jardin,

Une fois la porte ouverte, ils entrèrent et passèrent dans la cuisine avant que Mick n'aille lui dans le salon. Il n'y avait que du matériel High-tech, et le design s'y accordait parfaitement. Il balada ses doigts sur les touches du piano. Des images lui revinrent en mémoire : ses fins doigts, glissant sur chaque touche jouant une somptueuse mélodie de sa propre création, et son petit rire timide lorsqu'il lui disait qu'elle jouait divinement. Il retira vivement ses doigts du piano, refoulant ses souvenirs heureux, et se tournant vers son ancien professeur. La seule proposition qu'il entendu, ou plutot voulu entendre fut :

- Alcool... s'il vous plait.

Il alla s'assoir sur le canapé, se doutant que le fauteuil était réservé au maitre de maison... Bien entendu, il avait remarqué que son professeur avait changé de tenu, et son short avait été remplacé par un jogging tandis que son débardeur lui... n'avait pas été remplacé du tout. Mick regardait partout où son prof et son magnifique torse nu musclé n'était pas.

Il adorait aussi les animaux et trouvait rassurant d’avoir un chien chez lui cela faisait une âme de plus sous le toit et cela lui fit vraiment du bien. Le jeune homme caressa la tête du chien en disant qu’il était mignon et fit une remarque ensuite sur son jardin, Kyllian se mit alors à rire très franchement. Si Kyllian avait le temps d’entretenir son jardin cela se saurait.

« Non un jardinier vient trois fois par semaine pour s’en occuper et deux fois par an un paysagiste vient faire les plans et me refait le jardin. »

Il dit cela en souriant, il n’aurait pas le temps de faire ça tout seul, derrière cela ne se voyait pas, mais sa piscine était recouverte pour l’hiver. Sinon en été il allait se baigner et c’était vraiment très pratique.

Ils étaient rentrés, et n’avait pas vu le moment ou il avait touché les touches de piano car il était en train de se changer. Il revint ensuite dans le salon, et il entendit le mot alcool, il fut surpris sans phrase, comme deux mots bruts, d’un langage d’homme préhistorique, un langage primaire.

Il prit le plateau avec la carafe de Whisky, et servit deux fonds de verre, il s’installa dans son fauteuil, et se posait de multitude de questions.

« Pourquoi tu n’oses pas me regarder Michael ? J’ai fait quelque chose de mal. »

Il bu une gorgée de Whisky, l’alcool brûlant sa gorge. Il se sentait peut-être pas bien dans cette maison. Cela le gênait, on avait l’impression qu’il faisait tout pour éviter de le regarder le professeur était perplexe quand au réaction du jeune homme.

« Tu m’as pas dit…Tu aimerais faire quoi plus tard dans ta vie ? »

Bien entendu, un jardinier... Après tout, prof était un boulot à plein temps, si en plus de courir, il avait le temps de s'occuper de son jardin, cela signifierait surement qu'il avait trouver un moyen de se dédoubler.

Regardant toujours chaque recoins de la pièce, s'arrêtant sur l'écran plasma, le sympathique minibar d'où Mr Etienne venait de sortir un plateau avec une carafe de whiski et deux verres, les détails de la table en verre sur laquelle il venait de poser le plateau, le ravissant tapis blanc sur lequel était la table en verre, jusqu'à arriver sur les pied du piano.

Cet été n'avait pas été plus chaud que les autres, Mick n'avait rien fait de bien extraordinaire, mais c'était pourtant un été qui resterait gravé dans sa mémoire. Le vieu manoir de ses parents était vide, et tous les deux avaient décidé d'y passé quelques jours en amoureux. Elle s'amusait à joué du piano pendant que lui lisait quelque vieux livres reposant sur des étagères couverte de poussière. Ils ne se regardait pas, mais sentait la présence l'un de l'autre, le parfum de l'autre, et parfois les discret regard que l'autre portait sur l'un.

Pourquoi il n'osait pas le regarder ? Très bonne question à laquelle Mick aurait aimé pouvoir répondre franchement. Mais cela était trop difficile d'exprimer ce qui se passait en lui lorsqu'il le regardait.

- Je vous voir encore comme mon professeur de droit, et de vous voir ici, chez vous, dans une tenu autre que celle que vous portez en tant que professeur me trouble. Mais je devrai m'y faire.

Il le regarda cette fois ci droit dans les yeux, tentant vainement de contrôler ce chamboulement. Après tout, ce n'était qu'un prof, un homme comme les autres alors pourquoi être impressionné et aussi troublé ?

- Je fait des études de médecines, et je ne sais pas trop encore dans quoi je vais me spécialiser, mais je penche plutôt vers la chirurgie.

Il est vrai que cela était rare de le voire dans une autre tenue, il était habillé le plus souvent en costard quand il était professeur, et préférait tout de même quand il rentrait le soir, se remettre dans une tenue décontractée, la cravate cela serrait pas mal le cou.

Il bu encore une gorgée de son whisky et se mit à sourire. Il regardait le jeune homme qui était mal à l’aise cela se sentait.

« Bien, alors tu me découvre sous un nouveau jour et c’est tout. »

Sans faire exprès, il déversa un peu de Whisky sur son torse et prit une serviette pour s’essuyer cette partie d’une façon tout à fait sensuelle, et ensuite se remit assit, juste en face du jeune homme tout en l’écoutant.

« Ah ! Mon fils veut aussi faire des études de médecine. Et je crois en lui…En tout cas il est à l’université. »

Il faisait tourner l’alcool dans son verre tout en regardant le jeune homme droit dans les yeux, finalement il se leva et alla s’assoir à coté de lui, se trouvant trop loin pour discuter avec lui. Il préférait être proche.

« Et quelles sont tes autres passions que celle de tes études ? »

Finalement il posa les livres et alors s'assoir au près d'elle devant le clavier du piano. Son sourire magnifique lui inspirait tellement de belle chose. Elle voulut essayé de lui apprendre à joué. Sa main dans la sienne glissèrent sur les touches les une après les autres, décomposant une des nombreuses mélodies qu'elle avait l'habitude de joué à elle seul. Sa peau était douce. Son regard quitta leurs deux mains pour remonté dans son magnifique regard à elle.

Mickael attrapa le verre de Wiski et en but une grande gorgé comme pour noyer ses souvenir. Le regard du professeur, son torse nu, son attitude envers lui tout le troublait anormalement.

- Oui c'est tout.

Lorsque le wiski dégoulina sur le torse du professeur, Mickael eut la tête qui tourna comme si son cerveau explosait, ce qui ne fit qu'empirer lorsqu'il essuya son torse. Mickael ne se rendait pas compte de ce qu'il se passait, il perdait une foie de plus tout contrôle.

- J'ignorais que vous aviez un fils, tenta t il de dire bien que l'accentuation de sa phrase était anormale.

Lorsque son prof vint s'assoir à coté de lui, il recula légèrement. Quelque chose émanait de lui et impressionnait Mick. Celui ci but d'ailleur le reste du contenu de son verre d'un trait, ignorant les brulures de l'alcool, et tendit son verre :

- J'en reprendrai bien un peu.

Cela éloignerait un peu le professeur le temps qu'il lui en resserve. Ce ne devait pas être n'importe qu'elle wiski, un bon wiski même, mais là Mick ignorait le gout.

- Mes passions ? Euh... Je n'en ai pas vraiment de bien déterminé. Mis à part m'amuser et la médecine, surtout le corps humain.

La fin de sa phrase n'avait pas vraiment sa place ici, mais ses quatres derniers mots étaient sortit tout seuls.

Il fut surpris de l’accentuation de la phrase du jeune homme, ce n’était pas une façon de marqué sa surprise, au mieux une gêne pire il avait l’impression nette que le jeune homme était attiré par lui mais n’osait absolument pas se l’avouer. Mais il fit comme si de rien n’était. Il bu encore une gorgée de son verre.

« J’ai un fils de dix huit ans, je l’ais eut assez jeune…Mais cette histoire est bien trop compliquée. »

Il lui redemandait du whisky et il refusa tout net de lui servir, il n’avait pas envie que le jeune homme ne se soul chez lui. Il voulait bien lui servir un verre mais il y avait des limites, non qu’il était radin. Loin de là, mais le whisky était un alcool fort.

« Désolé mais vous avez assez bu, non loin de là l’idée de vous contrarié. »

Il s’amusait, et la médecine et l’étude du corps humain, il se rapprocha du jeune homme, il lui offrait une perche. Mais Kyllian en avait marre de voire le jeune homme agir d’une manière tellement étrange, il passa son doigt pour retirer ce qui collait sur sa peau, sur son pectoral droit ; et releva les yeux parlant franchement à Michael.

« Qu’est ce que je vous ais fait ? J’ai l’impression de vous mettre mal à l’aise , vous reculez quand je m’assois à coté de vous, votre voix est étrange et vous n’osez pas me regardé. »

Et pourtant il n’avait eut aucuns gestes ambigües envers lui. Ce qui était assez étrange tout de même.

Ils s'embrassèrent langoureusement, et eurent leur première, et unique, relation sexuel sur le divan du salon, tandis qu'un vieux tourne disque repassait d'ancienne musique. Quelques mois plus tard, ils étaient séparé.

Mick ne sut trop quoi faire quand il refusa de lui servir encore un verre. Il posa donc son verre sur la table en verre et regarda le professeur une fois de plus troublé. Qu'est ce qu'il lui arrivait ? Il avait déjà ressentit cette sensation étrange, mais n'arrivait pas à mettre un nom dessus. Il commençai à avoir un petit peu chaud, et ses joues devait même commencer à rougir. Ses yeux manquèrent de sortir de leurs orbite lorsqu'il passa ses doigts sur pectoraux, et son trouble s'aggrandit encore un peu plus.

- Je neuh... Enfin je veux dire queuh... Vous ne m'avez rien fait... C'est juste moi qui ne me sens pas très bien, je sais pas ce que j'ai... Hmmmmm... il fait chaud ici.

Mick ferma les yeux lorsqu'il se rapprocha un peu plus de lui. Même si leur deux corps étaient à une assez bonne distance, Mick percevait sa chaleur, et sentait son odeur, mêlé à la transpiration qui n'avait pas quelque chose de dégoutant, bien au contraire.

Impulsivement, perdant tout contrôle de lui, les mains de Mick vinrent caresser les biceps du professeur descendant sur ses pectoraux puis ses abdos parfaitement dessiner pendant que ses yeux suivaient les trajet de ses doigts sur son corps. C'était la première fois que cela arrivait. Le trouble était toujours présent, mais quelque chose d'autre venait s'y mêlé. Mick se rapprocha un peu plus du professeur.

Sa jambe gauche toucha sa jambe droite, sa main caressait plus fermement sa peau. La chaleur de son corps augmentait cette étrange sensation que ressentait Mick.

Soit il était dans une caméra cachée, soit l’élève était devenu totalement dingue à coté de lui. Il avait les yeux écarquillés tellement il était mal à l’aise devant cette situation qu’il ne comprenait pas, mais il commença à se douter de quelque chose quand il dit qu’il faisait chaud ici, et là son visage marqua la plus grande surprise de la soirée.

Les mains du jeune homme venant toucher d’abord ses bras, d’une douceur infinie, et il continua sur ses pectoraux, le frisson parcourant de plus en plus son corps. Il le regardait droit dans les yeux, l’élève se rapprocha, sa jambe frôlant la sienne. Et de plus en plus il continuait.

Kyllian glissa sa main dans la nuque du jeune homme et approcha ses lèvres et finalement déposa un smack sur les lèvres du jeune élève. Et enfin il recommença, glissant sa langue délicatement dans sa bouche, pour caresser sa jumelle, d’une façon douce, s’enroulant et pétrissant celle-ci. Kyllian avait fermé les yeux savourant, ce moment qu’il ne contrôlait pu non plus. Mais ce n’était pas du tout attendu à ça.

Son autre main se posa sur la cuisse du jeune homme. Et remonta doucement pour passer sous la chemise du jeune homme pendant ce baiser, et déboutonna boutons après boutons la chemise du jeune homme. Lui retirant ensuite.

[HJ : Pour pas avoir de soucis j’abrège les détails….Désolé]

Alors qu’il se caressait mutuellement et s’embrassait, ce que semblait apprécier Michael, Kyllian se leva de sa place, et souleva Michael dans ses bras. Il avait assez de force malgré le poids du jeune homme et l’emmena dans sa chambre impeccablement rangée et nettoyée, elle était totalement blanche. Des armes étaient accrochées au mur, des sabres japonais, ainsi que des armes françaises, mais cela restait des armes blanches et non à feu.

Il déshabilla le jeune homme une fois qu’il fut sur le lit, et se mit totalement nu aussi. Et ensuite s’allongea sur lui pour continuer de l’embrasser. Et ensuite ils passèrent deux heures formidable, ou les deux corps fusionnèrent ensemble. Ou chacun prit un plaisir phénoménale. Allant et venant, se frottant l’un contre l’autre. Et faisait divers choses sexuelle jusqu’au moment ou Kyllian s’allongea sur le dos. Totalement transpirant après que le moment culminant soit arrivé.

Il avait tout contre lui blottit Michael, il restait silencieux après ce moment particulièrement intense entre les deux hommes.

« Tu as aimé ça ? Je veux dire j’ai bien sentit que c’était la première fois. »

Et comme à chaque fois Kyllian avait envie de pleurer, mais il se retenait, reprenant doucement sa respiration. Non de pleurer pour le moment qu’il venait de passer, ce fut formidable, mais encore une fois ce n’était qu’une nuit, et que le lendemain il se sentirait à nouveau seul.

Deux heures intenses de chaleur, de plaisir, de contact. Mick avait déjà eut des relations sexuelle, mais jamais avec un autre homme. C'était différent, mais tout aussi plaisant. Pendant ces deux heures, Mick c'était vidé lé tête, il était sortit de ce monde pour s'isoler avec son ancien professeur dans un monde de plaisir et de bien être.

Maintenant, il était épuisé, et en sueur, seulement, il prenait peu à peu conscience qu'il venait d'avoir une relation avec un autre homme. Il ne savait pas quoi en penser. Il avait prit du plaisir, c'était sentit bien, mais ressentait quelque chose d'étrange maintenant. Personne n'en saurait rien, bien entendu c'est ce qu'il espérait, mais quand bien même, qu'est ce que lui devait en penser ?

- Oui, j'ai aimé.

Il se sentait totalement vidé, il avait envie de dormir et de partir en même temps. Que choisir ? Finalement il se leva, et dans l'obscurité de la pièce, trouva ses vêtement à taton, puis les enfila.

- Je resterais bien, mais je dois y allé.

Il regarda son professeur nu sur le lit. Il ne savait pas trop ce qu'il devait faire ni dire. Alors finalement il ne lui dit rien. Il descendit au salon, prit sa chemise qui était resté par terre, l'enfila et partit. Cette nuit resterait gravé dans sa mémoire, et des tas de question allaient le hanté pendant quelques jours, jusqu'à ce qu'il se soit fait à sa. Une chose était sur, il ne verrait plus jamais son professeur du même oeil lorsqu'il le croiserait dans les couloirs.

Si Kyllian c’était attendu à ça. Le jeune homme avait aimé mais l’avait laissé en plan, et n’avait même pas prit le temps de rester une nuit il n’avait pas eut le temps de le retenir. Kyllian, se mit à pleurer, cette fois fut encore pire que les autres.

Un moment intense de bonheur pour n’avoir qu’ensuite un vide immense et surdimensionné, qui le laissait totalement seul. Et ça c’était horrible pour lui, il n’avait même pas Noah avec lui ce soir. Il se leva tranquillement, et enfila sa robe de chambre en soie noire, qui ressemblait plus à un Kimono. Et une chose le fit sourire, le jeune homme avait oublié ses chaussettes.

Il lui laverait et lui rendrait, et ensuite descendit au salon, rangea le whisky, et lava les verres et entra ensuite dans son bureau. Le seul moyen de passer sur le vide était de le remplir, et allait sûrement travailler tard dans la nuit.

Il s’installa donc dans son siège de bureau, mit ses lunettes ouvrit le premier dossier et se mit enfin à travailler comme si rien ne c’était passé ce soir.