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C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner]

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MessageSujet: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptySam 26 Juin - 20:12

    La maladresse est un vilain défaut, mais est un bon moyen de lancer la conversation.. ou pas.
    C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] Drew-Fuller-drew-fuller-473965_100_100C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] Evan-3-evan-rachel-wood-6286750-100-100


Des fois, elle aimerait bien avoir un interrupteur pour éteindre ce truc jaune flashy se trouvant dans le ciel qui éclaire toute la ville et plus particulièrement, sa chambre.
Ce n’est pas que le soleil est désagréable, loin de là, c’est super de l’avoir au dessus de nous, rien que pour le beau temps et le bronzage. Mais quand on vient de se faire une nuit blanche, et qu’on a oublié de fermer les volets, le soleil est un vrai chieur. Après c’est sûre, on n’avait qu’à pas oublier le nécessaire pour avoir une bonne journée de sommeil mais dans la tête d’Eléonore, à midi, là où cette boule de chaleur illumine la jolie petite tête de la jeune femme comme si c’était le nouveau messie, celle-ci ne se dit pas que c’est de sa faute et tente tant bien que mal de se mettre sous la couette, mais une fois réveillée c’est foutu, il faut se lever, il faut bouger, il faut impérativement quitter cet aimant de lit qui la tient enchaînée dans les draps et les oreillers. Elle se mit sur le dos, les sourcils froncés, les bras le long du corps et regarda le plafond. « Il faut que je me lève, il faut que je me lève… Lève-toi espèce de loque ! » Et d’un bond, Eléonore se redressa, assise sur son matelas, elle se frotta le visage, histoire de tenter de se réveiller complètement. L’étudiante resta tout de même dans cette position quelques minutes, ses jambes ne réagissaient à aucun appel de son cerveau. Peut-être qu’elle devait investir dans un chien, pour que celui-ci la tire du lit. Quelle bonne idée ! Elle y réfléchira… plus tard. Après une concentration des plus fatigantes, Eléonore quitta son lit, en trainant des pieds, direction cuisine ou salle de bain ? Arf. Manger ou un petit décrassage ? Risque de se planter un couteau dans la main en coupant la tartine ou de se noyer dans la douche ? Tiens, elle est dans la salle de bain. Gueule de bois. C’est ignoble, elle voit tout flou, elle cherche désespérément un moyen d’enlever ses sous vêtements, moyen trouvé, il faut maintenant ouvrir la porte de la douche. Une fois ceci fait, la jeune femme a du rester bien une demi-heure sous l’eau. Bonjour la facture d’eau ! Elle sort de la douche, plus réveillé qu’avant, l’heure de la préparation vestimentaire, capillaire et tout le bouiboui féminin est arrivée. Comme le truc jaune flashy se trouvant dans le ciel est présent, et que par conséquent, il fait une chaleur d’enfer, un petit top sans manche blanc imprimé et un petit short noir ne seront pas de refus. La masse capillaire rousse d’Eléonore séchée rapidement, et maintenant en bataille, n’aura pas de brushing particulier aujourd’hui. Une chevelure décoiffée, une tenue de playa. C’est l’été quoi ! Question maquillage, un coup de fond de teint, un peu de gloss pâle et un far à paupières sombre mettant en avant ses prunelles bleues.
Quelle heure est-il ? Purée ! Treize heures trente. Elle a glandé dis donc. Son estomac avait une envie de café en plus. Ou plutôt elle avait une envie de café. Etrange après une soirée bien arrosée, mais Eléonore fonctionne bizarrement ou est-ce l’habitude des fêtes qu’il l’a rendu ainsi. Bref. Plus de café chez elle. Quelle veine. Bon et bien, la jeune femme va aller dehors. Enfourchant ses talons de dix centimètres, et son sac à main, sans oublier ses clés bien entendu, elle quitta son appartement et alla en bas de l’immeuble, sur le bord de la plage. Ca ressemble à Los Angeles, la plage de New York, sauf que l’eau, n’est pas turquoise. Le long de la plage, trois tonnes de magasins nommés « Attrape-couillon ». Vous savez, là où les touristes vont se ruiner, pour s’acheter un stylo bille. Mais parmi ces boutiques, il y a des petits snacks où les cafés servis dans leur fameux pots en espèce de cartons Macdonald, ne sont pas mauvais. Arrivée devant « Chez Bob », la jeune femme commanda un café. Un merci, un sourire, une fois que celui-ci atterrit dans les mains d’Eléonore et que son billet, lui, se gara dans la banane du commerçant, certainement Bob. La jeune femme partit se balader le long de la côte, buvant son café tranquillement, lunette de soleil taille XL sur le nez, elle regarda partout, mais surtout les vitrines des magasins de vêtements. Elle ne roule pas sur l’or, elle est peut-être endetté, mais purée, qu’est ce que c’est bon de s’acheter des trucs pour remplir son placard déjà bien remplie. Dépensière compulsive ? Mais non ! C’est en voyant une magnifique robe d’été violette et longue dans une vitrine, que le chemin d’Eléonore dévia complètement, et s’arrêta net sur quelqu’un, renversant son café sur une pauvre personne qui passait sûrement par là, pour passer par là, et non pour faire un câlin tout de caféine à l’étudiante. La bouche grande ouverte, elle regarda cette tâche sur l’inconnu. Ce qui est incroyable c’est qu’Eléonore n’a reçu aucune gouttes de cafés, à par sur ses pieds.

    Han ! Désolé ! C’était pas voulu ! Mon dieu… Vous m’en voulez pas ?


Elle leva la tête, se mordant la lèvre inférieure, peur de se faire engueuler, mais aussi gênée par sa bêtise et l’ignorance de ce qui peut l’entourer dans des moments d’excès de lèche vitrine, sans oublier, un petit air de chien battu pour attendrir la victime de l’attaque du café tueur de t-shirt, de chemise de vêtements de passants.

    Faut mettre de l’eau, sauter dans la mer, je sais pas faîte quelque chose, sauvez votre vêt’ quoi ! Me rendez pas plus fautive que ça, si jamais cette tâche s’imprime définitivement dessus, je vais devoir vous en repayer une.

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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyDim 27 Juin - 3:05


Aujourd'hui, treize heure et vingt-neuf minutes à l'horloge, endormis dans le fauteuil de son salon, Thomas Kerner, jeune étudiant Français de l'université de Fordham à New-York avait eu le malheur de tomber de sommeil devant un film bidon à la télé. Treize heure et trente minutes à l'horloge, le mobile du jeune homme vibre sur la petite table basse en verre, le faisant se réveiller en sursaut. Putain de merde, le rendez-vous! A croire qu'aujourd'hui les gens s'était bien décidé malgré eux, à ne pas lui faire louper ce rendez-vous. Ce matin, Shelly lui avait envoyé un rendez-vous pour lui souhaiter une belle journée, grâce à elle, il s'était réveillé à tant pour se laver, se préparer et manger avant le rendez-vous. Maintenant c'était Margot, de sa France qui venait le réveiller... Monsieur Kerner, Dieu aujourd'hui veille sur vous et est bien décidé à vous y amener à ce rendez-vous, coute que coute. Ça donnait un peu cet effet et Thomas se foutait lui même de penser ça, mais il n'y avait pas que ce signe. En partant par exemple, en attrapant son porte feuille sur la petite table de l'entrée, le Français avait fait tombé par maladresse un chemise en carton sur le sol, juste devant ses pieds. Quel con, il allait oublié les papiers pour la l'acquisition de son futur appartement!

Il avait tout de même finis par sortir de chez lui, persuadé de ne rien avoir oublier pour une fois. Chemise sous le bras, porte-feuille en poche, portable dans l'autre et surtout sourire aux lèvres. Aujourd'hui rien ne se mettrait en travers de son chemin. Aujourd'hui tout était parfait et bien fait pour qu'il y aille à son rendez-vous et qu'il achète cet appartement qu'il convoitait depuis un moment. Le jour était arrivé oui, et Thomas était si enchanté que la bonne humeur s'était emparé de lui depuis son réveil. Une bonne humeur qu'il serait véritablement impossible de lui sapé. Impossible? Vraiment impossibe? Dévalant rue après rue, le jeune homme atteignait rapidement la grande rue qui longeait l'océan, cet bel océan qui donnait envie d'y plonger là maintenant, tout de suite! Non... Pour le moment, monsieur Kerner devait acquérir son nouvel appartement. Thomas Kerner heureux propriétaire d'un appartement dans le quartier District of Beaches. Il y avait de quoi rêver! Toujours autant de bonne humeur, jeune homme? Et cela, vous met-il d'aussi bonne humeur? A vrai dire, Thomas aurait pu l'éviter s'il n'avait été plongé dans ses rêveries, encore que, lui n'avait jamais cesser de regarder devant, lui au moins. Et contrairement à lui, elle avait les mains bien pleine. Sans qu'il ne puisse l'éviter, Thomas heurta violemment une passante, ou plutôt elle l'heurta. Si ça ne s'était contenter que de ça, il n'y aurait pas eu de malaise, il aurait reprit sa route après s'être excusé. Non, la collision s'était accompagné d'une volée de café chaud sur une chemise blanche. Sa chemise blanche. Alors la bonne humeur était toujours aussi forte?

Et bien oui! Et c'était presque en rigolant que l'étudiant évaluait les dégâts. Bon seulement la chemise blanche qu'il portait avait été touché. Thomas redressa bien vite la tête pour observer son agresseur, ou plutôt celle qui semblait vouloir être cette embûche qui l'empêcherais d'y aller à ce rendez-vous! Elle avait les yeux rivés sur l'énorme tâche de café, s'embêtait, s'embrouillait de mille excuses pour pardonner sa maladresse, elle semblait si confuse et gêné que c'en était plutôt drôle finalement...
« -Euh... Si je ne vous en veux pas? Et bien, c'est difficile à dire... Si je vous avoue que cette chemise était ma préférée jusqu'à que vous l'arrosiez de café, vous sentiriez vous encore plus fautive ou pas? Parce que j'avoue que c'est assez comique de voir que vous êtes de nous deux la plus inquiète concernant le destin qu'aura ma chemise après ce petit accident, que j'ose espérer involontaire! », répondait Thomas définitivement de trop bonne humeur pour se brouiller les idées pour des broutilles pareilles. Non, Thomas était de si bonne humeur qu'il riait même de voir sa belle chemise autrefois blanche, absorbée si vite ce café au lait au couleur chocolat. De toute façon il était impuissant et tenter d'essuyer le tout serait une erreur, il risquerait au contraire d'aggraver la situation en l'étalant. Amusé, le jeune homme observait silencieux la complice de ce tueur de chemise, j'aime à dire le café. Une jeune femme brune qu'il n'avait pas le souvenir d'avoir croiser sur le campus non. Il faut dire qu'ils étaient tellement nombreux à Fordham.

De toute façon, tout aujourd'hui n'était pas que le fruit du hasard. Depuis son réveil, jusqu'à maintenant, les choses étaient tourner de telle façon qu'elles l'accompagnait jusqu'à son rendez-vous. Devait-il interpréter alors cet accident comme la rencontre qu'il avait tout intérêt à faire avant l'ultime rendez-vous? De toute façon, il n'avait que ça a faire maintenant, puisqu'il ne pouvait pas se rendre à son rendez-vous dans cette tenue, il n'avait plus qu'à annulé puisque rentrer lui prendrais plus de temps que ce dont il disposait encore. En gros taper la causette avec cette fille pouvait être amusant, surtout en la voyant se faire vraiment du soucis pour la chemise foutu, tandis que lui s'en foutait véritablement. Peut-être que Dieu tout là haut voulait se la jouer Cupidon sur les bords: Désolé monsieur, je suis déjà casé!

« -Que je fasses quelques chose? Mais c'est vous mademoiselle qui avez renverser votre café dessus, pas moi. Détendez-vous, de toute façon si cela peut vous rassurez, j'aurais beau plonger dans la mer c'en est finit pour cette chemise. Enfin... je dis ça, je n'en suis pas non plus persuadé. Peut-être que l'eau de mer sera ultra efficace! Si je plonge, vous plongez avec moi? Après tout, c'est de votre faute cette tâche! », répliquait le jeune Kerner en riant légèrement toujours. Plonger dans la mer habillé, en pleine après-midi, devant tous de monde... Lui en était capable, elle... peut-être pas, mais qui ne tente rien à rien.
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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyDim 27 Juin - 17:12

De toute façon, la robe dans la vitrine n’était pas pour elle. Le destin lui a choisit spécialement un obstacle pour arrêter sa course. Un homme, ayant une magnifique chemise blanche, maintenant recouverte de café. Sa chemise préférée qui plus est ! Fautive ? Là oui. Eléonore aurait piqué sa crise si c’était elle qui avait reçu le café. Mais l’inconnu quand à lui, avait l’air de prendre ça du bon côté. Certainement parce qu’il trouvait ça comique que la jeune femme soit la plus inquiète des deux. Inquiète ? Elle l’est ! Mais c’était surtout son sort à elle qu’il la rendait ainsi, plutôt que celle de la chemise. Mais faut dire aussi, que les vêtements c’est sacré, et qu’une tâche de café c’est un blasphème. Ce qu’il la rassura est que le jeune homme avait l’air d’en rire, et que sans doute Eléonore n’aurait pas le droit à une engueulade. Tant mieux ! Ce n’était pas le jour à se disputer pour du café renversé sur une chemise portée par un inconnu qui se trouvait être sur le chemin d’une demoiselle qui a grillé le cédez le passage. La demoiselle regarda l’inconnu, sourire en coin.

    Vous essayez de vous faire payer une nouvelle chemise, c’est ça hein ? En effet, je suis inquiète pour le sort de ce vêtement qui avait l’air très joli avant qu’il subisse la fureur de mon café, et que même si vous me rassurez quelque peu en prenant ça à la rigolade, je me sens terriblement fautive. Et sachez que si j’avais une bouteille d’eau sous la main elle finirait, elle aussi, sur votre chemise pour tenter de la sauver.


Oh oui, une bouteille d’eau, un sceau d’eau ! De plus, si elle en avait la force, elle aurait certainement attrapé le jeune homme par le slip pour le jeter à la mer. Heureusement pour lui, elle ne pouvait pas le faire. Puis même si cela était possible, ça relèverait de l’agression, et le jeune homme aurait peut-être – sans doute – perdu sa bonne humeur, et son engueulade, elle aurait eu là Eléonore. A croire qu’elle aurait préféré se faire disputer, n’empêche elle aurait trouvé ça plus normal… plus naturel. M’enfin, elle se poserait moins de questions. Bref, comme elle n’avait rien pour l’aider c’était bien entendu à lui de faire un truc pour sauver sa chemise, mais on dirait qu’il ne l’entendait pas de cette oreille. Bah merde. Maintenant faudrait qu’elle culpabilise ? Oui en effet, c’est Eléonore qui a renversé son café, à moins que ça soit le café qui ait voulu se renverser tout seul ! Il aurait très bien pu rester dans son gobelet en carton Macdonald, au lieu d’aller faire une virée en extérieur alors que le gosier d’Eléonore et aussi son estomac avait préparé le terrain pour l’accueillir, tels des gérants de camping. Revenons à la chemise… L’eau de mer peut la sauver, ou pas. Il veut faire un plongeon ? Il voudrait bien qu’Eléonore vienne. Aller prendre un bain dans l’atlantique, tout habillé, là comme ça, sans se poser de questions. Elle soulève ses lunettes, le regardant, un sourcil relevé, regard intrigué. Vu sa tête, la seule phrase qui pourrait venir se joindre à l’expression faciale serait un petit « Vous êtes fous. » Mais c’est de sa faute à vrai dire, et le bon moyen d’éviter de se ruiner dans un magasin, est bien un plongeon dans le grand bassin.

    Vous voulez vous venger c’est ça ? Je viens de tâcher votre chemise et vous voulez me noyer dans l’eau ni vu ni connu ? Comme si j’allais traversé la plage en courant comme une délurée histoire de me faire pardonner...


Bien. Elle enleva ses lunettes de sa tête, les rangea dans son sac à main, enleva ses talons, elle retourna à son mètre soixante, jeta son gobelet de Macdonald dans la poubelle d’à côté. Refila tout ça, au commerçant derrière. Oui, le commerçant pourrait voler le sac, mais c’est un honnête commerçant. Quoi ? Eléonore le connait pas ? Mais si, elle connaît presque tout le monde. Bref. Elle se retourne vers l’inconnu.

    Mais si telle est ma punition. Le premier à la flotte à gagner !
Grand sourire.

Comme une gamine, elle s’est mise à courir, regardant à droite et à gauche avant de traverser la route tout de même, manquerait plus qu’elle se fasse renverser par une voiture. Ca serait le pompon ! Une fois sur la plage, elle continua sa course en évitant de manger le sable et d’en envoyer chez les bronzeurs du début d’après midi. Bon, voir une nana traversée la plage comme ça, on pourrait se demander c’est quoi le délire, mais à vrai dire, la belle rousse, s’en fou. Elle balança des pardons à tout bout de champs aussi, pour éviter de renverser les passants qui … passaient sur la plage. Elle évita deux trois gamins qui étaient à faire des pâtés de sables, des blondasses Pamelatisée de temps en temps croisait son chemin, mais à vrai dire, là, elle ne fit pas du tout attention. Les Bimbo quoi. Mais après quelques minutes de courses, elle plongea tête la première dans l’eau. Elle ressortit la tête se mettant les cheveux en arrière et bien trempé. Top bien trempé aussi, elle est certaine de gagné la palme du T-shirt mouillé. L’eau lui arrivait à la taille, et la jeune femme se rendait maintenant compte que la plus part du monde la regardait, étrangement. Elle tira la langue à une blondasse qui ne fit pas grande preuve de discrétion quand elle hurla à son copain que la nana qui venait de passer en courant était une folle, une atteinte, une fille à interner.
Bon, où qu’il est l’inconnu ? Plus à la ligne de départ en tout cas…Hm, non… Il a pas fait ça quand même ? La laisser partir toute seule, dans l’eau sans réfléchir ou… tiens...

Sous un air des dents de la mer, la musique du film résonne dans la tête d’Eléonore. Elle se retourne, le cherchant partout, des gars habillés dans l’atlantique au bord de la plage y’en a pas dix mille…Espérons que c'était pas une blagounette.
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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyMar 29 Juin - 14:21

« -Tenter de sauver ma chemise en la noyant d'eau en plus du café? Je doute sérieuseent de l'efficacité de votre idée... Vu comme ma chemise absorbe ce café -qu'elle semble apprécier tout particulièrement on dirait-, elle risque de saturée plus qu'autre chose, la pauvre petite chose. C'est un coma hydraulique qu'elle fera, vous aurez sa mort sur votre conscience! Je suis finalement bien content que vous n'ayez pas d'eau dans votre sac. Croyez moi, ma chemise est très bien comme elle est... Loin de vous, elle se porte encore mieux! », lui répondait-il en faisait mine de prendre ses distance en attrapant les bras de la jeune femme entre ses mains et l'éloignant légèrement de lui. Il blaguait et bien que cette taquinerie ne fasse surement rire que lui, il s'en foutait. Rendre mal à l'aise les gens Thomas adorait ça.. Ce n'était pas de la méchanceté qui plus est, il rigolait vraiment pour lui décrocher un sourire et surtout détendre l'atmosphère. Rien ne pourrait entamer sa bonne humeur, en revanche ce qu'il pouvait essayer de faire, c'était de donner un peu de son sourire à la complice du café bourreau. La faire rire avec ses blagues débiles, il y parviendra facilement. Cette fille se sentait si coupable de l'accident, qu'il pourrait bien lui faire gober n'importe quoi. De toute façon, il ne comptait pas non plus lui extirper de l'argent, il n'était pas a ça près de toute façon, et puis cette chemise avait fait son temps, si elle avait connu un si triste destin d'après Dieu aujourd'hui, il était venu le temps pour elle de tirer le rideau... Bon le seul ennuie maintenant était juste de devoir en acheter une autre prochainement. Dieu qu'il détestait les magasins... Shelly se ferait un plaisir de l'y tirer au moins, il fallait voir le bon côté des choses, ça ferait une sortie qui lui ferait plaisir: les magasins.

« -Exactement, vous avez tout compris. Pour tout vous dire, je compte me venger en attaquant à mon tour vos vêtements. Certaines matières détestent l'eau salé il paraît, c'est tout du moins ce que l'on m'a toujours dit, et au fond de moi je suis impatient de savoir si ce que vous portez font partit de ces matières délicates. Hmmm... sérieusement, prenez ça comme une vengeance oui, mais nous serrons quitte au moins, et puis aller tout seul à l'eau voyez-vous c'est tellement moins marrant! Je vous assure, un bain tout habillé en plein jour, c'est fort plaisant! ». Le jeune homme affichait un large sourire, a vrai dire il prenait plaisir à taquiner gentiment cette passante qui lui était parfaitement inconnu, parce qu'elle était plutôt sympa finalement. C'était tellement rare de le voir discuter avec une femme sans qu'il lui fasse du rentre dedans, et encore le fait qu'il insiste pour qu'elle l'accompagne dans l'eau pouvait être interpréter comme de la drague. Pas du tout, Thomas avait l'esprit bien ailleurs qu'à vouloir se brancher avec une nouvelle nana. Non pas qu'il était cleen maintenant, mais presque, il voulait se contenter d'un seul et unique amour, sa Shelly. Il avait juste envie de s'amuser, cette fille il ne l'a reverrait surement jamais, et puis elle lui avait niquer une chemise elle lui devait bien un plongeon dans l'eau pour passer le temps qu'il avait devant lui -puisqu'en plus à cause d'elle, et surtout de sa maladresse, il ne pouvait plus se rendre à THE rendez-vous-ultraimportantqu'ilattendaitavecimpatientedepuisdesmoisentier! « -Vous me le devez bien tout de même... Vous craignez peut-être... », commençait Thomas avant de s'auto couper la parole. Tandis qu'il avait reprit la parole, il la vit ôter ses talons-super-compensé, retirer ses lunettes de soleil de son nez et donner le tout au vendeur de café meurtrier qui se trouvait tout près d'eux deux. Elle n'avait pas peur pour son sac la demoiselle, il existait plus inconscient que lui alors! Il ne pensait pas vraiment qu'elle le prendrait au sérieux, d'ailleurs il ne devait pas être si bien réveiller qu'il n'en paraît, car manque de jugeote le pauvre débile Kerner n'avait pas douter un instant qu'elle se préparait à la baignade. La regardant faire, Thomas s'était donc auto-couper la parole... La bouche entrouverte, à la fois surpris et admiratif. Le premier à la flotte a gagné? Il n'eut pas le temps de dire ouf qu'il l'a voyait déjà partir à vive allure en direction de la plage, pour atteindre son but final: l'océan. Prenant soin de guetter les voitures avant de traverser la rue, elle avait déjà rejoint la plage... Lui la regardait encore stupéfait. Il était surpris oui, parce que mademoiselle perché sur ses plate-formes avec ses lunettes ultra à la mode, ne semblait pas si inquiète de l'image qu'elle pouvait rejeter finalement, au contraire elle osait en plein jour affronter le regard insistant et méprisant de tout ce monde installé sur la plage.

C'était plutôt bien connu, Thomas était très joueur... et pas spécialement mauvais perdant non, il aimait juste perdre en sachant avoir tout fait pour tenter de gagner. Là, s'il restait planter à la regarder, il s'avouerait vaincu en ayant même pas essayer d'atteindre l'eau avant elle. Le Français se mit alors à courir, courir le plus vite qu'il lui eut possible. Guettant toujours la brunette sur la plage, le sable l'avait lourdement ralentit, et slalomer entre les nombreux plagistes n'était pas chose facile. Il l'a perdit tout de même de vu quand ce fût à son tour de traverser la rue, prenant soin de ne pas se faire faucher par une voiture, il n'attendit cependant pas que l'une d'elle le laisse passer. Prêt à tout pour mettre toute les chances de son côté, il se jetait presque sous l'une d'elle en traversant. Il n'avait rien, plus de peur que de mal, c'était plutôt le conducteur qui s'était fait une frauyeur au point de s'arrêter brusquement, évitant de peu malgré tout l'accident. Bousculant les passants, et toutes ces personnes qui se mettaient en travers de son chemin, en balançant des centaines d'excuses à tord et à travers, le jeune homme rejoignis vite la plage, il prit deux secondes top chrono pour retirer ses chaussures qui le ralentissait considérablement, puis reprit sa course aussitôt, chaussure à la main, portable, clef et porte-feuille dans l'autre, chemise en carton sous le bras -ça serait vraiment con de perdre quelque chose pour un truc aussi idiot-. L'eau enfin se rapprochait, après avoir slalomer à son tour entre les estivants, il venait le temps de gouter à l'océan. Posant ses chaussures près d'un château de sable abandonné pour mieux les repérer, il y glissa à l'intérieur le tout portable, clef, porte-feuille, et les recouvra de sa chemise en carton rouge. Rien d'étonnant que les gens de dévisagent longuement en le voyant pénétrer tout habillé dans l'océan glacé, Thomas s'amusait d'ailleurs à les dévisager en retour, comme s'il était normal que de plonger en bermuda et chemise. Sérieusement, ce n'était pas la première fois que le garçon faisait des trucs aussi con, alors le regard de tout ces gens ne le dérangeait pas. Ce qui le dérangeait plus, c'était ne pas apercevoir son agresseuse.. Thomas s'était avancé dans l'eau, doucement mais surement, mine de rien elle donnait envie, mais de loin seulement, une fois qu'on y était il était plus difficile d'y gouter, c'était plus se forcer qu'autre chose. Scrutant le bord de mer, forcé de constater que la brunette avait jouer la maligne en n'accomplissant pas sa punition, Thomas soupirait... Il se sentait con, vraiment très con. Au milieu de l'eau, perdu, seul et tout habillé, il n'osait même plus regarder les bronzeurs... C'est fou ce que l'horizon est intéressant dans ce genre de gros moment de solitude. Et c'est là qui l'a vit enfin, émergée de l'eau. Cette fille avait surement plus de couille que tous ces mecs réunit, il fallait croire! Elle ne l'avait visiblement pas remarquer, puisque ce fût à son tour de s'inquiéter, de loin il la vit le chercher du regard... A chacun son moment de solitude, mais il avait un peu de pitié, et préférant de pas la laisser seule face à tout ces gens peu ouvert d'esprit, Thomas l'a rejoignit mais lentement puisque l'eau ne lui permettait pas de réaliser de grande enjambé. Naturellement, il se mit à l'applaudir en riant légèrement, puis lorsqu'il arriva à son niveau, le jeune homme prit la parole.


« -Je n'avais pas préciser de baigner jusqu'à y plonger la tête... Mais j'avoue que vous m'impressionner encore plus! Moi qui croyait que vous seriez comme certaine derrière, à craindre de faire dégouliner votre mascara... Je l'avoue, j'hésite vraiment à plonger cette tâche de café dans l'eau, faut dire, l'eau est froide mine de rien. Vous n'avez pas trop froid, j'espère? », lui dit Thomas avec un sourire narquois, satisfait de la voir tremper jusqu'aux os, et ce inutilement. C'était une belle contre-partie, ils étaient quitte au moins maintenant.
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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyMer 30 Juin - 19:19

Qui l’aurait cru. Une heure à peine après s’être levée, Eléonore se trouvait dans l’eau habillée, après avoir traversé la plage comme une dératée. Tout ça pourquoi ? Pour se punir d’avoir renverser du café, sur un pauvre inconnu. Tout partait de là ? Seulement ? Non, la folie est une belle raison pour avoir poussé Eléonore à se barrer en courant jusqu’à se mettre la tête la première dans l’eau. De plus, en faisant ça, elle s’est tenue loin du jeune homme, et de la chemise de celui-ci qui l’avait bien demandé.

Sur le moment quand même, elle eu un doute, quand l’inconnu l’avait éloigné de lui. Eléonore, n’est pas du genre à porter la poisse, c’est juste que quand elle est tête en l’air, elle l’est pour de bon et rien ne peux l’empêcher de l’être. Il y a des jours comme ça… Bref, avant de finir dans l’eau, certainement pour se remettre les idées en place, Eléonore se demandait toujours si le gars plaisantait ou non, difficile à savoir quand la culpabilité envahit notre âme. Surtout quand il ajouta, qu’effectivement, si il proposait d’aller se baigner habillés c’était pour noyer la pauvre étudiante qui avait tout simplement vue une robe qu’elle n’aura jamais dans une vitrine. Il voulait s’attaquer à ses vêtements… De toute manière comme elle a finit par le faire, si ses vêtements étaient foutus, l’enquête policière finirait à la conclusion d’un homicide volontaire réalisé par la propriétaire. Un sourire en coin, un sourcil relevé, le sac et les talons passés à Bob, Eléonore était déjà partie dans l’eau. Elle aurait bien aimé voir un appareil photo pour immortaliser la tête de ce pauvre jeune homme subissant la folie imprévisible de l’étudiante. Elle est capable de tout, rien que pour s’amuser et s’occuper. Son image, elle en a une, mais elle se fou de ce que les autres peuvent penser d’elle. La jeune femme est ce qu’elle est, c’est une abrutie heureuse, une gamine encore dans sa tête, enfin, une gamine autre de ce qu’elle était, elle s’amuse, elle profite de la vie, parce que qui sait, demain elle peut rendre l’âme en se prenant le pied dans son tapis de salon et s’être cognée la tête contre sa table basse. On ne prévoit pas le lendemain, alors vivons dans l’insouciance et l’amusement enfantins. Elle ne reste pas une grande folle pour autant, elle sait être sérieuse, mais si aujourd’hui ce n’est pas partis pour. Mais on va mettre ça sur le dos du faîte que c’est une artiste. C’est bien connu, les artistes ne vivent pas sur la même planète que les autres. Dans le cas d’Eléonore elle doit venir d’un autre univers, carrément… On pourrait la croire schizophrène quand son degré de folie passe du millième au zéro, en l’espace de quelques secondes. En tout cas, là tout de suite maintenant, elle n’était pas prête de s’arrêter.

Elle cherchait l’inconnu, se demandant si ça n’avait pas été un coup foireux du passant. Elle aurait pu se sentir idiote, devant ses trois tonnes de bronzeurs, de bimbos, de gamins qui scrutaient, ou plutôt faisait semblant de le faire, la jeune femme qui ne trouvait pas la victime de son café. Elle attrapa un type qui pataugeait non loin d’elle. Enfin attraper c’est un bien grand mot, elle l’interpela plutôt.

    Vous auriez pas vu un grand dadet habillé dans l’eau ? Je veux dire, en chemise est bermuda.. fin, vous comprenez ?


Des gros yeux de la part de l’interlocuteur, qui partit un peu plus loin. Quoi ? C’est si fou de chercher quelqu’un en vêtements de ville qui fait trempette au bord de la plage ? Il aurait pu au moins dire non. Ce couillon. Y’a des baffes qui manquent, je vous le dis. Elle continua de chercher, purée, si elle était filmée, Eléonore ne devait pas être très fine. Ainsi va la vie. Et même si c’était l’une des représentantes des je-m’en-foutistes, le regard appuyé de toute la population touriste ou non commençait lourdement à ennuyer Eléonore.

Ce sont des applaudissements qui l’a sortit de sa légère inquiétude. La jeune femme se retourna voyant l’inconnu, qui rigolait quelque peu tout en frappant dans ses mains.

    Oh ? Vous n’aviez pas précisé de plonger la tête ?Elle leva les yeux, se mordant l’intérieur de la joue et repris la parole en regardant de nouveau l’inconnu. Hm, c’est que j’ai du savoir que l’eau était froide, et on m’a toujours appris d’y aller d’un coup sans réfléchir aux risques de passer des heures les doigts de pieds dans l’eau à se demander si elle ne va pas se réchauffer. Sourire en coin


Et oui, ce n’est pas le genre de nana qui on peur de la pluie, de l’eau, et de tout ces liquides qui risquerait de ternir leur esthétiques. Eléonore n’a pas froid aux yeux, mais je crois que maintenant, toute la plage l’a compris.

    Vous hésitez à tremper la chemise ? Ne soyez pas chochotte, maintenant que vous êtes dans l’eau, et pour qu’on soit quitte pour de bon, j’exige que vous soyez trempé de la tête aux pieds. Si j’ai réussi à le faire, vous pouvez. L’eau n’est pas si froide, une fois qu’on y est. Enfin, y’a eu la tâche de café certes, mais, vous m’avez laissé poiroter ici toute seule, devant tout le monde, et je considère malgré le faite que je zut toute la populace qui se trouve ici même trouvant que mon comportement n’est pas digne de tout les coincés réunis ici, que vous devez tremper cette chemise dans l’eau de mer. Et dîtes vous, que si vous le faîte pas, c’est moi qui le ferais.


Bon, à cause de l’eau, impossible de jouer à la rudbywoman en faisant un plaquage dans l’océan. Mais, la jeune femme à des bras, et le moulin à eau supersonique peu s’activer, histoire de bien arroser l’inconnu. D’ailleurs, il s’activa, et splash. Bras en arrière, la jeune femme ramena une masse d’eau vers l’avant, s’étalant sur le jeune homme se trouvant en face d’elle.

    Oups ! Pardon, mais y’avait une blondasse derrière qui avait ses orbites qui sortaient de sa tête de morue. Et vous étiez devant…


Sourire en coin, et elle regarda vers la blondasse en question, qui enfaite, marchait sur la pointe des pieds pour éviter de mouiller sa perruque décolorée, mais qui en voyant Eléonore et l’inconnu habillés dans l’eau, ne put s’empêcher de regarder, offusquée, ce qui pourrait être considérés dans sa tête, les deux énergumènes. Maintenant, en la voyant elle, Eléonore ne pouvait pu s’empêcher de rigoler. La blondasse jurer de tout les noms, sa peinture faciale, le maquillage quoi, dégoulinait tout le long de sa tête de Barbie refaite, ces cheveux trempés, elle rêvait sûrement d’étrangler l’étudiante qui n’en pouvait plus de rigoler. Elle la regarda partir, roulant des fesses comme ce n’est pas permis, bikini trois trop petit, très en colère la Barbie. On l’entendait s’éloigner prenant ses affaires, pestant…

    Désolée, franchement… Mais j’allai pas tenir. Fallait qu’elle se barre d’ici. On est vraiment quitte maintenant d’ailleurs.


Large sourire sur le visage. Espérons qu’il garde sa bonne humeur. Là à vrai dire, Eléonore n’avait aucune idée du comment il allait réagir. Peut-être allait-il riposter. Peut-être qu’une bataille d’eau était prévu.

    Me noyez pas hein ! Il y a trop de témoins ici, vous allez pas faire ça, ça serait complètement idiot n’est ce pas ? A moins que vous vouliez finir en taule, même si tout deux somme bon pour finir dans un hôpital psychiatrique. Je risque de finir à l’hôpital aussi, si vous décider de vous venger sévèrement et que vous vous alliez au peut-être, petit copain bodybuilder de la blondasse d’y il a deux minutes.


Tout ça dit, sur un ton amical, après avoir contrôler son fou rire.
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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyJeu 8 Juil - 0:50

C'était la saison des bains après tout, et puis il faisait assez chaud pour oser mettre les orteils dans l'eau un peu... Alors pourquoi Kerner ne parvenait pas à se détendre et profiter de ce délicieux bains de début d'après-midi? Peut-être parce qu'elle était tout simplement... GELÉE ! Cela avait bien refroidit ses ardeurs, et cela l'avait calmer, il regrettait souvent d'avoir des idées aussi saugrenue. Prendre un bain avec une femme au premier rendez-vous, ce n'était surement pas dans ses habitudes. Qui a parler de rendez-vous? Et puis d'ailleurs, cette fille il ne l'a connaissait pas, mais étrangement le feeling passait bien et puis lui qui aimait faire de nouvelle rencontre, celle ci était plutôt hors du commun... C'était bien le genre de rencontre qui marque, marque qui, quoi, a vous de voir, en tout cas Thomas commençait à apprécier la compagnie de cette audacieuse inconnu. Pauvre naïve, elle avait plongé, tête la première sans réfléchir... et sans penser qu'elle serait la seule à se lancer à corps perdu dans l'océan... Lui n'était pas assez con pour ça, passer le cap du bassin dans l'eau avait déjà été assez difficile comme ça. Ils étaient planté là au milieu de l'eau, l'un en face de l'autre silencieux... Thomas gardait son éternel sourire narquois aux lèvres, elle était mignonne à faire son speech. Vraiment? Elle pensait pouvoir le convaincre de plonger entièrement dans l'eau? Non, il n'était pas assez con pour risquer d'être malade demain, parce que lui avait des projets demain et ne comptait pas faire une croix dessus encore par sa faute à la p'tite dame au talon plate-forme. Les bras croisés sur son torse, s'il s'était écouté il l'aurait nargué en tirant la langue et en faisant son demeurer, mais jugeant cela un peu trop enfantin il riposta mais avec des mots... Parce que ça faisait plus... Classe!

« -Essayez ne serait-ce que d'envoyer une petite gouttelette de cette eau sur ma chemise et vous le regretterez mademoiselle. », susurrait-il entre à mi-mot, la fixant longuement sur un air de défis, son sourire narquois toujours pendu aux lèvres. Il avait penser trop vite, penser qu'elle y réfléchirait deux fois avant d'agir, mais non. Non ses paroles ne l'avait en aucun cas effrayer... Non, il se payait l'affiche devant toute cette bande de New-Yorkais outré par leur attitude, mais il n'empêcha rien. La brunette avait répondu à son regard et dans une simplicité incroyable d'un coup de main lancé en arrière elle déplaça un grosse masse d'eau en sa direction. Thomas était arrosé, pour ne pas dire trempé. Comment réagir? Au moins il avait la tête au frais, les idées claires et... fraiches? Elle l'avait fait exprès franchement non? Quand il l'entendu s'excuser et s'expliquer, il jeta un coup d'œil par dessus son épaule... C'est bizarre comme sensation, l'impression d'être un alien, ou tout du moins d'avoir un gros nez rouge qui choque tout le monde. Il aurait été dans un mauvais jour, Thomas se serait venger mais méchament et il n'aurait pas attendu l'avis de sa camarade de bain pour l'attraper et la noyer dans l'eau... Non, puisqu'aujourd'hui Dieu avait déjà de jouer les cupidons, Thomas gardait sa bonne humeur.... sa fraiche, bonne humeur.

« -Non... en effet malheureusement je ne peux pas vous noyez, trop de témoin, j'encours gros. Cependant, sachez mademoiselle que la vengeance est un plat qui se mange froid... Au moins vous pouvez être satisfaite, ma chemise a goûter à l'eau salée et glacée, et non pas que je craigne la crève qui m'attend demain -oui je suis extrêmement frileux!-, pourrions nous, si bien sûr cela vous plait mademoiselle, regagner la plage. En effet, j'ai d'autre projet de vengeance pour vous... Mais non plus dans l'eau. Vous serez ravie d'apprendre que les éventuels projets que vous aviez pour cet après-midi sont annulés. Vous m'avez pourris mon après-midi, chacun son tour. », répondait Thomas avant de faire volte face, direction la plage et ses petites affaires soigneusement entassé, en vérité pour le moment il n'avait strictement aucune idée chose à faire maintenant, mais il finirait bien par trouver... vu comme il débordait d'imagination parfois, il trouverait et ne se faisait aucun soucis pour ça. Allait-elle le suivre? Après tout vu ce qu'elle venait de lui prouver à l'instant en plongeant dans l'eau tout habillé, rien ne semblait lui faire peur... Vraiment, rien? Jetant un coup d'œil par dessus son épaule, le Français à l'accent de son pays, reprit d'un air narquois à son égard : « -Venez avec moi miss, je vous emmène.... Mais n'ayez crainte, il ne vous arrivera rien de malheureux.... enfin je crois. ». Bon oui, il regrettait de ne pas pouvoir se pointer au rendez-vous, mais la tournure que prenait ce malheureux accident, il se pourrait que ses regrets ne deviennent des soulagements « heureusement que.. ». C'était si anormal de plonger dans l'eau tout habillé? Mon dieu, ce que les New-Yorkais manque d'imagination! Tout les estivants qui une minute auparavant prenaient soin de griller au soleil sans avoir la moindre marque de vêtement, étaient d'un coup passé en mode Némo. Étrange et vraiment comique, lorsqu'on ne se sentait plus seul dans cette situation, on profitait plus aisément du spectacle. Thomas venait tout juste de regagner la plage, frigorifier de la tête aux pieds et bien que le soleil soit assez chaud pour la période, cela ne suffisait pas à calmer les tremblement. Sa camarade de baignade le suivait de près.

« -Vous m'avez prouvé que vous n'étiez pas une de ces nanas pot de peinture... Êtes-vous d'accord avec moi pour dire que le ridicule ne tu pas? Et puis, tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, n'est-ce pas? Que diriez-vous de prendre un verre... A condition, d'assumer avec moi le fait d'être trempé jusqu'aux os. Après vous miss.. », lui cédant enfin le passage pour traverser la masse de Némo à l'affût, Thomas en profita pour récupérer rapidement ses quelques affaires entasser près de l'eau. Puis il la suivit de près, ignorant les regards fixe qui ne les lâchaient plus. Bientôt ils atteignirent la trottoir, ils traversèrent la rue -en prenant soin de laisser une trace de leur passage par le filet d'eau qui dégoulinait derrière eux (des petits poucets des temps moderne!). Ils étaient de retour devant la boutique du gros monsieur à qui la jeune femme avait confier toute ses affaires. Non loin de là se trouvait un grand café, assez simple mais distingué. « -Prenez vos affaires, j'ai repérer un endroit où nous passerons surement pas inaperçu... Vous marchez? ». C'était vraiment devenu un jeu, Thomas cherchait à tester cette nouvelle connaissance, était-elle vraiment prête à tout pour prouver qu'elle n'avait pas froid aux yeux. Lui saisissant la main sans attendre son accord, le Français emmenait avec lui la brunette jusqu'à la terrasse de ce café luxueux. Il fallait cependant rester naturel une fois engager sur cette grande terrasse.... Serrant fort la main de sa compagne pour réprimer son fous rire, Thomas la guidait alors vers une petite table libre sous parasol, la grande classe, tous les deux avaient juste l'air de pouilleux au milieu des petits bourgeois en costume cravates et belles robe blanche, escarpins et chapeau sont de sortit pour mesdames. Le français gardait son air très décontracté bien qu'un nouveau Némo fasse surface, il ne sentait pas de trop... au contraire. Le serveur lui, ne semblait pas si ravi de les voir débarquer sur sa terrasse... « -Que prendriez-vous madame? Le serveur arrive en furie en notre direction, je suis sûr qu'il sera ravi de prendre notre commande. », chuchotait le jeune homme à sa nouvelle complice, en lui adressant un discret clin d'œil... L'entrée en scène du serveur pourrait être amusant, à condition seulement que la demoiselle joue le jeu.. aura-t-elle assez de cran, seulement?
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MessageSujet: Re: C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] C'est pas que j'aime pas ta chemise, c'est juste que je t'ai pas vu [Thomas Kerner] EmptyMer 14 Juil - 17:07

L’eau était… froide. Très froide. Et maintenant, Eléonore sentait bien cette fraicheur glaciale lui monter jusqu’au cervelet. Peut-être allait-elle réfléchir à deux fois avant de se jeter dans les défis proposés par cet inconnu. Eléonore est une gamine quant elle s’y met. A ne pas réfléchir avant d’agir, elle finira à l’hôpital ou en taule. Enfin, une fin pas vraiment jouasse pour la jeune femme. Aussi faut dire, les folies de l’autre, c’est tentant, et puis sa bonne conscience pour se faire pardonner lui était un peu trop présente au point qu’elle n’écoute plus sa raison.
Elle venait de l’arroser. Malgré sa menace. Rien à foutre comme certains diraient. En plus, son excuse n’était pas que pure mensonge. Il y avait cette blondasse derrière, bon ce fut une opportunité pour limiter les dégâts. Le diable sur son épaule est que fière de l’attaque d’Eléonore sur l’inconnu. Maintenant, il y allait avoir certainement les représailles. Bras croisés, un peu recroquevillée sur elle-même, car elle commençait légèrement à se les peler, la jeune femme écouta les belles paroles se transformant en discours sur quelconque vengeance du charmant monsieur qu’il l’avait forcé à se mettre dans l’eau. Bon, pas forcé, mais c’est un peu de sa faute aussi à vrai dire. Normalement, si rien ne c’était passé, Eléonore serait à se ruiner dans les magasins, point positif, elle ne sera pas à découvert. Le jeune homme aimerait sortir de l’eau, Eléonore aussi. Demain, elle risque d’avoir une journée au lit. Mais nous ne sommes pas demain, loin de là, nous sommes aujourd’hui, n’est-ce pas fou ? Bon, d’autres projets de vengeances ? Eléonore aimerait bien voir ça. Projets de l’après midi ?

    C’est balot pour vous, mais j’avais rien prévu !


Lança la jeune femme quand l’inconnu quitta l’agréable chaleur que nous offrait le magnifique océan. Ironie pour la chaleur, Eléonore quitta aussi cette eau inhumainement fraiche pour rejoindre la plage. Elle devait aller reprendre ses affaires chez Bob. Le commerçant vendeur de café à qui la jeune femme lui avait confier son sac à main et ses chaussures.

    Je vous suis mon cher, je vais continuer à faire l’innocente enfant qui fais tout ce qu’on lui dis pour simple satisfaction du demandeur. Mais prenez-garde, je ne suis pas si docile que cela.


Dit-elle, sourire en coin. Certes, elle n’est pas Madame Pot de Peinture. Certes le ridicule ne tue pas, et le ridicule, elle le cherche. C’est un défi interminable pour une étudiante en art du spectacle. Sur scène, il lui arrive d’avoir des looks et des comportements que seuls un artiste pourrait réussir à trouver une signification autre que ridicule. Dans la vie, il faut être audacieux, avoir un grain de folie, et se différencier. Etre pareil que les autres être une banalité qui nous rend inintéressant. Même si chaque être est unique, la plus part cherche à se fondre dans le paysage en suivant la mode vestimentaire, sociale, morale… Alors qu’une minorité cherche tout simplement à ne pas suivre cette marche commune, mais elle choisit un chemin différent, remplie d’obstacles. Effectivement, il faut aimer l’aventure pour chercher la différence. Mais au moins notre vie mérite d’être vécu.

Revenons à la situation. Allez dans un café tout en étant trempé. Zut, la jeune femme était à deux doigts de demander une serviette de bain à une famille à côté. Bon bah c’est raté.

    Très bien. Allons boire ce verre.


Tout sourire, et hochant la tête pour remercier le jeune homme et sa galanterie. Oubliant totalement la présence des personnes sur la plage, Eléonore avançait vers le « Chez Bob » pour récupérer son précieux sac à main et sa paire de talons hauts. Un grand sourire de politesses, et des yeux globuleux de poissons, le Bob, sans dire un mot rendit gentiment les affaires de la demoiselle. Celle-ci vérifia si tout était là, prenant ses lunettes de soleils et les mettant sur le nez, plisser les yeux donne des rides. Non, elle ne cherchait absolument pas à être incognito, de toute manière, tout le monde savait ce qu’elle avait fait et ce n’est pas en mettant des lunette que cela changera. Une pince dans les cheveux, histoire de les mettre en arrière. Ainsi rien ne dégoulinera dans le verra d’Eléonore. Le jeune homme avait de la chance, niveau capillaire, c’était plutôt court alors c’est certain que l’eau n’allait pas dégouliner. Et puis, pour lui, sa tête séchera plus vite, vu le soleil qu’il y a. Question avantage, pour le moment, c’est l’inconnu qu’il l’a. Pas le temps d’accepter l’invitation, que le jeune homme lui pris la main pour l’embarquer dans l’endroit qu’il avait trouvé. De toutes manières, Eléonore n’aura pas chercher à aller ailleurs. Elle attend patiemment, l’occasion de faire une nouvelle bêtise durement réfléchie. D’un calme et d’un assume-tout incroyable, les deux jeunes gens s’installèrent à une terrasse des plus bourgeoises qui soient. Ils faisaient tâches c’est incroyable. Eléonore regardait aux alentours, et n’hésita pas un faire un petit coucou à une gars assez mignon derrière accompagné de sa copine, vu comment celle-ci lui faisait du pied. Histoire de la mettre en rogne et puis, de leur dire aussi, « Et oui je suis trempée, je suis fringuée comme une membre du sous peuple, sinon ton mec est canon ». Bref, l’inconnu lui fit sortir de ses pensées. Le serveur arrivait pour les commandes. Vu la tête heureuse qu’il avait, il était sans doute contente de server Eléonore et l’accompagnateur. Hm. Parfait. Elle va commander un truc, qu’on trouve nulle part. Sourire en coin, regard joueur. Le serveur arriva et avec cet accent bourgeois qu’on ne trouve que dans ce genre d’endroit.

    Bonjour, Madame, Monsieur. Que puis-je vous servir ?


Allons jouer la chiante. Eléonore demande ce qu’il proposait en vin, puis en autres alcools, en cocktails, en jus de fruit, en café, en glaces etc.… Demandant bien entendu des détails sur l’origine de certains produits. Cela à bien durer vingt minutes et au final elle demanda ceci.

    Hm, alors je voudrais si cela est possible, un jus d’ananas, mélangé à un peu de vodka, avec une dose de martini, un fond de sirop de pêche, agrémenter d’une rondelle de citron jaune venant d’Italie et plus précisément de Florence. La Vodka doit être fraichement ouverte, de même pour le martini, le jus d’ananas doit être fait maison et préparer en smoothie. La rondelle de citron doit mesuré exactement zéro virgule sept millimètre d’épaisseurs, et doit avoir aucune graine. Je veux aussi une brochette de deux olives noires et une olives vertes fraîches elles aussi. Ceci doit être déposés au milieu et horizontalement de la coupe et j’exige aussi que celle-ci est sont rebord entouré de sirop de violet et de sucre de canne. Bien entendu, tout les produits doit se révéler de l’agriculture biologique.


Vu la tête du serveur, cela ressemblait à de l’impossible.

    Vous êtes un établissement reconnu je suppose vu votre clientèle, alors ce que je vous demande est réalisable, faites donc ou je crée le scandale. Vos gorilles ne me font pas peur, et je connais des personnes haut placé qui peuvent mener votre lieu de travail à votre perte. Je n’ai pas la tenue qui peut le prouver, mais j’ai la carte bancaire.


Du pipo et encore du pipo. Mais Eléonore s’est montrée assez persuasive. Il y a certaines choses qui ne peuvent être biologique, mais elle compte faire le scandale. La jeune femme verra ceci lorsqu’elle sera servit. Elle tourna la tête vers son complice. Essayant de lui faire comprendre que c’était à son tour de commander un truc aussi compliqué que celui de la jeune femme.
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