Âge : 28. Date & Lieu de naissance : 28/07/1982 Eischtat Allemagne. Groupe : Adulte. UFR : Professeur Étude :Histoire Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Je suis d’un commun sans pareil. Pas très grand,mince, des épaules assez larges. Je suis loin d'être un Appolon ou une Schwarzeneger. Non, mon "charme" me vient d'ailleurs, de mon comportement plutôt que de mon physique, j'ai toujours privilégié l'esprit par rapport au corps. Disons que j'ai plutôt le look du british scholar. Visage blafard, yeux cernés, barbe de trois ou quatre jours, cheveux en bataille, j'aime bien avoir l'air légérement négligé. Ce qu'il y a de plus frappant chez moi ? Sans doute mon regard, j'ai des yeux très clairs, verts c'est assez particulier. Mon regard est le plus souvent hagard mais il peut se faire perçant. J'arbore toujours un petit sourire ironique, c'est ma marque de fabrique. En matière de style, je ne suis pas vraiment très eccentrique. Pantalon, jeans, chemise. Du classique quoi, mais de la classe.
Caractère :
. “Allez y dites moi tout, je vous écoute” Bon alors voila, depuis quelques temps, à peu près 28 ans, il y a quelque chose qui cloche chez moi. Enfin quelque chose, faut le dire vite. Tout sonne faux chez moi. D’abord, il y a ce problème, oh trois fois rien ; je ne suis jamais heureux. Moi la vie je ne la vois pas en rose, mais en gris et noir, enfin surtout en noir. Je suis dépressif, je le sais et je n’arrive pas à m’en sortir, peut-être parce que je ne le veux pas. C’est important la volonté, moi je n’en ai pas. Je suis malléable à loisir. Pour sortir de mon trou noir, j’ai essayé pas mal de choses: boisson, drogue, sexe, Schopenhauer… mais rien n’y fait. Je ne vois pas le but de l’existence, de la mienne en tout cas, les autres ils font ce qu’ils veulent si ça les amuse de monter leur rochet sur la montagne pour ensuite le voir dévaler la pente et recommencer ad nauseam, je n’ai rien à dire contre ça, paraît même que « Sisyphe est heureux ». La beauté est peut-être la seule chose qui me sorte de ma torpeur, je la recherche comme un homme assoiffé se précipite sur un courant et j’en deviens saoul. La poésie de Keats brûle mon âme, je peux me perdre dans les descriptions de Virginia Woolf ou de Wordsworth et l’extase me saisit lorsque je parcours les vers de Milton. Je peux aussi rester des heures devant un tableau, j’aime ce qui est beau. Si seulement la grâce et la beauté pouvaient s’incarner alors je n’aurais aucun mal à aller vers elles. Bon mis à part ça, je suis aussi légèrement antisocial. Le nombre de mes fréquentations se compte sur les doigts de la main. Faut dire que je ne suis pas l’homme le plus facile au monde. Je peux passer des jours sans ouvrir la bouche, même en société, il m’est arrivé de répondre par monosyllabes au cours d’un dîner. En même temps, de quoi vais-je bien pouvoir parlé. Les seules choses qui m’intéressent dans la vie ce sont l’histoire (ma spécialité c’est le bas Moyen Age, ça limite les conversations vu que ça n’intéresse personne) et moi même. C’est sûr qu’en boîte c’est un peu léger pour aborder « hey beauté, au fait ça te dit quelque chose le schisme de 1054 ? non, tu veux que je t’explique, non plus, dommage ». Paraît que je suis brillant dans mon domaine, en tout cas je suis le plus jeune expert. Enfin, c’est ma passion, je m’y suis jeté corps et âme depuis l’enfance et alors qu’à la fac, les autres allaient en boîte se trémousser sur le dernier tube à la mode moi je restais le nez plongé dans d’obscures textes écrits dans des langues que personne ne connaît, youpi tralalala on voit le résultat aujourd’hui ! J’accorde une grande place à la culture et à l’art j’ai été élevé comme ça. Mon autre centre d’intérêt c’est moi. J’ai déjà décidé que les autres m’importaient peu. Nous vivons chacun dans notre sphère et nous aurions besoin de bien plus que d’une vie pour en faire le tour. Les commérages, les ragots, les histoires tout cela ne me touchent pas. Je catalogue les autres par rapport à moi, en même temps quel meilleur étalon ? Mégalomane sur les bords, je n’en reste pas moins terre à terre. Mes besoins passent clairement avant ceux des autres, ce que mes occasionnelles conquêtes d’un soir m’ont bien souvent reproché. Pour tenir les autres à distance, j’ai aussi une arme redoutable : le langage. Ma langue est acerbe, assassine, plongée dans l’acide. Humour décapant, qui en énerve plus d’un. Il faudrait être un saint pour pouvoir me supporter. « My voice is my sword » disait le barde anglais. En tout cas, je maîtrise le langage. De la justesse avant tout, pas d’hypocrisie, pas de mensonge tout dire même si ça blesse l’autre, surtout si ça le blesse. Mais certaines personnes me trouvent amusant. Peu importe si je choque, je cherche ça. Je prends un malin plaisir à pousser les gens dans leur retranchement.
Histoire :
“Allongez vous et reprenez du début” Au début était le verbe… non non plutôt « il était une fois », c’est bien comme cela que l’on doit commencer les histoires. La mienne est plutôt banal, dans le sens qu’il ne m’est rien arrivé de très palpitant. Je suis né par une chaude journée d’été, enfin c’est ce qu’on m’a dit dans une petite bourgade bavaroise. Fruit d’un amour adultérin, enfin ça aussi c’est banal. Mon père était un tout jeune député issu d’une noble famille de Bavière et ma mère une « pauvre » petite institutrice de village qui n’avait pas été plus loin que Francfort. Mon père était venu rejoindre sa famille en Bavière pour passer des congés d’été bien mérités. Ayant vite fait le tour des jeunes filles de bonne famille, il s’est très vite rabattu sur la frêle institutrice qui servait alors de répétitrice à ses petits cousins. Quelques mots et caresses enjôleurs plus tard et voilà que j’étais conçu. Bien sûr, l’été se termina bien vite. Mon père repartit pour Berlin sans un autre regard pour ma mère qui quelques semaines plus tard découvrit qu’elle était en ceinte. Pas la peine de vous faire un tableau, pour le jeune député montant et sa famille, il n’était pas question qu’une petite gourde mal dégrossie et un gosse viennent entraver une sublime carrière politique. On étouffa l’affaire, on essaya de faire avorter ma mère mais la libération sexuelle étant passée par là, les femmes avaient un peu plus d’emprise sur leur vie et ma mère refusa. On la fit donc partir lui faisant promettre de ne rien dire en échange d’une maigre pension. L’exil se fut et wilkomen to England. Là, ma mère a décidé de tout reprendre à zéro. En même temps, ce n’était pas avec la maigre pension qu’on lui envoyait qu’elle pouvait faire grand chose mise à part s’occuper de son gosse. Le jour de ma naissance, elle accoucha dans un hôpital de la banlieue de Londres, toute seule. Elle m’a nommé Horatio en mémoire de mon grand-père qui se nommait ainsi, le W. est en fait William en hommage au plus grand poète anglais et Stein est le nom de jeune fille de ma mère. Les premiers temps ont été des plus difficiles. Elle a du jonglé entre moi, ses études à la fac de psycho et son métier d’appoint pour arrondir les fins de mois. Mes premiers souvenirs cohérents remontent à mes trois ans, je suis seul dans l’appartement, ma mère rentre tard et elle se couche immédiatement toute habillée. C’est une vieille dame de l’immeuble qui me garde la journée, la crèche étant trop chère. Dans ces temps là, j’étais une petite chose timide en manque d’amour. Les adultes ne faisaient pas attention à moi. Ensuite ma mère a rencontré ce metteur en scène, qui a été charmé par son accent charmant et sa douce figure de petite sainte nitouche. Là, notre vie à tous les deux à basculer, nous sommes allés habiter dans les beaux quartiers, je suis entré dans une école huppée, ma maman s’est mariée. Beau père numéro un a vraiment été le meilleur. Loin de me rejeter, il est le premier à s’être intéressé à moi, à m’avoir ouvert l’esprit, à m’avoir initié à la lecture. Il vivait dans son monde mais il voulait me le faire partager et rien que pour cela je l’adorais. Avec lui j’ai découvert le théâtre, les pièces de Shakespeare, le monde du spectacle et l’hypocrisie ambiante. Ce fut un choc, une rencontre frontale. Malheureusement, ma mère se lassa vite de cet homme qui s’intéressait plus à son métier qu’à elle. J’avais 12 ans lors de son premier divorce. J’ai appris bien plus tard que Beau père numéro 2 avait été l’amant de ma mère bien avant son divorce. Le numéro 2, n’a pas fait grand cas de moi. Il m’a d’ailleurs envoyé en pension avec la bénédiction de ma mère. Je ne peux pas vraiment dire que cette dernière soit totalement responsable de ce que je suis aujourd’hui, elle n’était pas prête à être mère et la solitude ne lui a pas réussi, elle s’est laissée captée par les plaisirs faciles et la paresse. La jeune fille fraîche du petit bourg allemand s’est métamorphosé avec l’aide des tracas et des désillusions en une femme faible et peu maternelle dont seul le joli visage lui permettait d’entrer dans certains cercles mondains de Londres. En pension, je me fis mon seul véritable ami. Un solitaire comme moi. Son père était diplomate et l’avait enfermé dans un pensionnat anglais plutôt que de l’emmener avec lui parcourir le monde. James lui en voulait beaucoup, moi je me contentais de hausser les épaules. A l’école nous étions les « forts en thème », ceux que tout le monde déteste, même les professeurs. Seul M. Jenkins le prof d’histoire m’avait à la bonne. C’est lui qui m’a donné l’envie de devenir historien. J’ai toujours aimé le passé, pas le miens mais celui des autres, de l’humanité et puis j’ai cette soif du détail. J’ai passé 6 ans en pension, de 12 à 18 ans avant d’entrer à Eton et d’accéder à l’indépendance. Pendant ce temps là, ma mère s’était encore remarié et cette fois ci avec un homme qui avait des enfants. J’ai fait la connaissance de ma demi sœur par hasard et elle m’a tout de suite plu, une fille douce et pleine de finesse qui est d’une timidité maladive mais d’une grande tendresse. Il n’en a pas été de même pour mon demi frère de deux ans mon aîné. Nos relations sont toujours houleuses. Monsieur parfait qui ne veut as avouer ses faiblesses et surtout ses penchants déviants et qui porte sa frustration sur tous ceux qui passent. A cette époque je m’étais mis à fréquenter un cercle libertin surtout au niveau des idées mais aussi des mœurs. C’est James mon camarade de pension qui m’avait introduit. Là je m’abandonnais à tous les plaisirs alcool, drogue, sexe avec des filles et des garçons peu importait, nous ne recherchions qu’une chose notre plaisir. Mon monde s’écroula, lorsque j’ai retrouvé James le crâne défoncé, il s’était suicidé. L’objet de ses désirs n’ayant pas voulu de lui. Ce fut une déchirure pour moi, la moitié de mon âme s’en était allée. C’est mélancolique et amer que j’ai pris le chemin de Cambridge pour continuer des études d’histoire. Là, je trouvais le salut dans le travail, je me passionnais pour des choses insignifiantes, des périodes de l’histoire inexplorée qui ne demandait qu’à être déflorée. Je me suis littéralement jeté dans mon travail pour ne pas voir la vacuité de mon existence. Après 7 ans d’étude, mon diplôme en poche, on m’a gentiment congédié de Cambridge et je me suis retrouvé hors de mon havre de paix en proie au désespoir ambiant. Pendant deux ans, j’ai touché le fond. Je me suis laissé aller à la dérive. Je ne vivais plus que la nuit, je fréquentais les milieux les plus glauques de Londres et puis j’ai reçu une lettre d’Allemagne qui a tout changé. Une reconnaissance tardive d’un père atteint du Sida qui à la veille de s’éteindre voulait voir son fils. J’y suis allé, j’en suis revenu encore plus amer qu’avant mais j’étais sorti de ma torpeur de ce lent engourdissement de mes sens. J’ai décidé de tout plaquer, de changer radicalement. L’Angleterre ne m’avait rien apporté de bon qu’à cela ne tienne, je me suis expatrié en direction du nouveau monde et de la big Apple. Cela fait un peu moins d’un an que j’habite à New-York. Je viens juste de retrouver du travail à l’université, l’histoire est une de mes spécialités après tout. De mon ancienne vie, je n’ai gardé aucun contact.
Signe(s) particulier(s) :
Ni tatouage, ni percing. J'ai la plupart du temps une cigarette à la bouche,ça occupe.
Orientation Sexuelle :
Bisexuel, seul le plaisir compte, peu importe avec qui.
Citation favorite :
«Where ignorance is bliss, it is folly to be wise»
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Yann. Âge : 19. Comment as-tu connu ce forum ? : top site. Ton avis (design, contexte, ...) : forum au design superbe et à l’ambiance qui a l’air très welcoming . Présence sur le forum : 4/7. Autre(s) compte(s) : non. Exemple de RP :
Spoiler:
On ne sait jamais vraiment sur quoi l’on peut tomber. La vie c’est comme une grosse boîte de bonbon, on ne sait pas quel goût on va piocher. Horatio se souvenait vaguement d’avoir vu un film à ce sujet, traité de façon un eu niaise il est vrai mais qui au fond donnait un bon aperçu de ce à quoi les gens aspirent : une petite vie tranquille remplie de choses formidables. Malheureusement, il en allait souvent autrement. Il en avait lui même fait l’expérience et cela lui laissait toujours un goût amer en travers de la bouche. Non mais vraiment, celui qui a sorti que la vie n’était pas un conte de fée avait un sérieux problème d’évaluation des choses, bien sûr que la vie n’est pas un conte de fée, s’en est tout l’inverse sinon ce ne vaudrait pas le coup de vivre. Enfin, si on savait déjà que tout allait bien se finir il n’y aurait pas de raisons de vivre. Ce qui fait le piment de la vie ce sont ses imprévus, toutes les galères que l’on traverse et qui nous montrent notre appartenance à la race humaine, l’angoisse, le doute… Parfois Horatio aurait aimé que la vie soit néanmoins un conte de fée. Sans savoir vraiment pourquoi, il se sentait extrêmement lasse depuis quelque temps. Même allait donner ses cours n’avait plus aucun charme pour lui et le soir quand il rentrait il se retrouvait dans cet appartement vide et sinistre dont l’atmosphère l’étouffait plus que tout autre chose. Il avait envie de changer de vie, mais pas la volonté pour. Oh bien sûr, il aurait voulu partir, changer radicalement de vie mais pour faire quoi ? pour aller où ? L’aventure ça va bien un temps mais ça perd vite de son charme et n’est pas aventurier qui veut ! Alors se retranchant derrière des idées beaucoup plus commune, il avait décidé de parcourir les couloirs du métro. Drôle d’idée, alors que certains auraient décider de s’envoyer en l’air ou de changer de coupe de cheveux, lui il s’était retranché derrière cette idée absurde de voyager dans le métro. Il se consolait de la sensation de mouvement que lui procuraient ses trajets et du bruit qui l’entourait. Le métro est un endroit tout à fait particulier où vous êtes entouré tout en étant seul. Ce soir là, il venait de finir de donner des cours de tutorat à un de ses fils à papa qui étudie l’histoire car il n’ a pas réussi son droit et ne comprend aux affaires. En tout cas, il faut bien arrondir ses fins de mois et dès fois que le tutorat puisse faire des miracles en faisant entrer quelques notions dans cette tête creuse. Enfin ne soyons pas trop optimiste ! Les couloirs du métro étaient quasi déserts et mis à part un balayeur et un homme adossé au mur, il n’y avait pas âme qui vive. Horatio soupira doucement. Il aimait cette ambiance particulière. Dans quelques instants la rame arriverait et il commencerait son périple. En attendant, il s’assit et sortit un livre de sa poche, une édition à bas prix de nombreuses fois cornée qui portait à l’intérieur les nombreuses notes que son propriétaires lui avait affligées. Horatio repris sa lecture où il l’avait laissé la veille. Il s’était forgé ce rituel, rien ne le retenait chez lui et il se sentait plus libre d’une certaine façon. Des pas se firent entendre sur le quai mais Horatio resta imperturbable enfin jusqu’à ce qu’une paire de jambes s’arrête dans son champs de vision. Là, le jeune homme leva les yeux de son livre et tomba nez à nez avec …
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Lo' ♥
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Horatio W Stein le Lun 11 Oct - 20:22, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 22:07
Bienvenue sur NYCL \o/ (quel avatar charmant <3)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 22:09
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 22:09
CASEY Bienvenue parmi nous && Bonne continuation (a)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 22:22
Thanks everybody !
Je me dépêche de terminer!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 22:26
Bienvenue ♥ ^o^
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Rooooh je m'attendais trop à Horatio Cain des experts XD Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 23:02
Bienvenue !!! (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Sam 9 Oct - 23:29
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Dim 10 Oct - 1:20
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Dim 10 Oct - 9:29
bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Dim 10 Oct - 12:01
Merci pour l'accueil :10: :colleserre:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Dim 10 Oct - 12:43
Welcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Lun 11 Oct - 19:21
Il faudrait que tu ajoutes deux icons à "sweet about me". Il manque également la partie " signe particulier " que tu as oublié de remplir. Je t'invite également à relire le règlement car le code n'est pas le bon. Pour le reste, rien à dire, bonne continuation (a)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Lun 11 Oct - 20:28
Thanks Ok pour les icons c'estfait ! Pour la partie "signes particuliers" je ne l'avais pas remplie parcequ'il n'y avait pas grand chose à dire mais c'est done ! Et pour le code c'est vraiment pervers le coup du code
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Horatio W. Stein Mer 13 Oct - 14:28
C'est pas pervers, ça prouve votre fénéantise à ne jamais lire jusqu'au bout Validé Si tu as du mal à t'intégrer dans un premier temps, un système de parrainage a été mis en place sur le forum ici. Nos parrains seront heureux de répondre à tes questions & Puis pense à voter pour nous sur les topsites le plus souvent possible (a) en particulier sur celui ci ;
& surtout : HAVE FUN
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Sujet: Re: Horatio W. Stein
Horatio W. Stein
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