Âge : 19 ans.
Date & Lieu de naissance : 14 novembre 1991.
Groupe : Studieux.
UFR : UFR 1 .
Étude : Musique et danse.
Prédéfini ou Inventé : inventé.

Physique & Style :

une brise légère, une douce caresse, un papillon blanc ... voilà ce à quoi fait penser Lou. Physique mensonger. Apparence trompeuse. Semblant d'innocence. Son physique de petite fille incite la plupart des gens à la prendre sous leur aile. Elle ressemble à une enfant innocente et perdue, un oisillon qui n'a pas encore étendu ses ailes. C'est sur qu'avec son mètre 50, elle est loin d'être imposante. Petite silhouette frêle, elle semble sur le point de s'envoler avec la première bourrasque. Ses cheveux blonds encadrent son visage encore enfantin, au teint blanc, tel une poupée de porcelaine. Il n'y a que ses yeux qui ne mentent pas. Ses prunelles grises qui reflètent tous ses états d'âme. Vestiges d'une douleur encore enfouie dans son coeur. Loin de son apparente sérénité, son regard est un flot d'émotion, révélant pour qui sait regarder, les épreuves que la jeune femme à dû traverser, sa force de caractère qu'on serait bien loin de soupçonner au premier abord. Avant, son regard pétillait. Mais c'était avant. Lorsqu'elle était heureuse. C'était il y a bien longtemps. Maintenant, même lorsque ses lèvres sourient, son regard pleure, son regard hurle.
Elle n'est pas du genre à faire des chichis. Loin de toutes les fioritures qu'affectionnent les filles de son âge, elle préfère le naturel. Cela ne l'empêche pourtant pas d'orner son délicat visage de quelques traces de maquillages, ni d'être coquette et soignée comme toute les demoiselles. Et surtout, cela n'altère en rien la beauté naturelle de la jeune fille. Une beauté faîte de fraîcheur et de douceur qui lui donne un charme et une grâce dont elle n'a pas conscience.

Caractère :

«  Blessée dans ses désirs les plus intimes qu'on lui tordais comme des chiffons »

Douce jeune femme au coeur d'or. Gentille, serviable, généreuse. Peut être un peu trop. Lou aime faire plaisir aux autres, c'est certain. Elle aime voir un sourire sur le visage de ceux qu'elle aime et ne supporte pas de voir la tristesse, la douleur autour d'elle. Malgré ses propres souffrances, ses propres soucis, elle n'hésitera pas à aller aider les autres, se concentrant parfois plus sur les problèmes de ses amis que sur les siens. C'est peut-être un moyen d'échapper à sa propre douleur, un moyen d'oublier un instant, un moyen de se dire qu'elle n'est pas seule à souffrir, un moyen de se sentir utile. Mais c'est surtout qu'elle ne peut s'en empêcher. Elle tient énormément à ses amis. Pour elle, l'amitié, l'amour, sont d'une importance capitale. Lorsque Lou ouvre son coeur, elle ne le fait pas à moitié, c'est tout ou rien. Digne de confiance, elle sait écouter et conseiller si besoin est. Mais elle s'appuie aussi beaucoup sur ses amis. Malgré son grand coeur, elle est loin d'être un pilier robuste sur lequel tout le monde peut se reposer et qui résiste à toutes les tempêtes. Lou est émotive est sensible. Elle a beau ne pas exprimer ses sentiments profonds, il n'en n'est pas moins qu'elle les ressent, dans son coeur. Il en faut peu pour la rendre heureuse, peu pour la rendre triste. Elle s'attache à des détails qui, à priori n'ont pas d'importance, mais qui à ses yeux sont essentiels. Il n'est pourtant pas facile de savoir ce qu'elle pense au fond d'elle même. Elle enferme ses émotions pour paraître forte, elle cadenasse son coeur pour tout emprisonner à l'intérieur. Rare sont ceux qui ont pu trouver la clé de ce sanctuaire, rare sont ceux qui la connaissent pour de vrai, pour ce qu'elle est : une jeune femme faible et abîmée par la vie.
Timide, Lou déteste être le centre de l'attention. Mis à part lorsqu'elle monte sur scène pour chanter, elle ne supporte pas les regards insistants, les murmures, approbateurs ou désapprobateurs. Elle préfère de loin se faire oublier. Mais lorsqu'elle se lâche, lorsqu'elle chante, c'est différent. Complètement impliquée dans son art, elle se sert du chant et de la danse pour extérioriser toute la souffrance qui la ronge. Lou aime aller au bout des choses. Lorsqu'elle fait une promesse, que ce soit à elle ou à n'importe qui d'autre, elle met tout en oeuvre pour la tenir. Mais ce qu'elle souhaite par dessus tout, c'est réussir seule. Elle n'aime pas demander de l'aide à qui que ce soit. D'abord à cause de sa timidité mais surtout à cause d'une certaine fierté. La jeune femme a des choses à prouver non seulement à sa famille, à tous ces abrutis qui se moquent constamment d'elle, mais surtout à elle-même. Elle manque cruellement de confiance en elle et ces défis personnels lui permettront, elle l'espère, de pouvoir un jour se dire : « tu vois, tu n'es pas si stupide que ça ». Mais pour ça, elle a besoin de se débrouiller seule, au risque de réagir parfois comme une enfant avec sa philosophie du « moi toute seule ! ».
Ce manque de confiance en elle lui gâche la vie. Elle a tendance à se laisser marcher sur les pieds, convaincue que tout le monde est mieux qu'elle, convaincue qu'elle ne vaut rien. Elle a aussi tendance a être très jalouse. En amitié comme en amour, elle se sens inférieure et peut vite arriver à penser que les sentiments de l'autre sont faux, qu'il lui ment et qu'il préfère en réalité la grande brune qui passe dans la rue tous les matins.
L'amour, parlons-en. Lou ne crois pas en l'amour. Ou du moins, elle crois que l'amour entraîne forcément une immense souffrance. En fait, elle est convaincue que chaque petit bout de bonheur se paie. Que les joies entraînent forcément la tristesse. Or, l'amour est la plus grande joie qu'on puisse trouver sur terre, c'est dont la plus grande douleur. Elle a peur d'aimer, peur d'avoir mal. Lorsque Lou pense à l'amour, elle imagine déjà la séparation. Ce qui explique le fait qu'elle soit restée célibataire depuis son arrivée à New York, trop peureuse pour s'engager dans quoi que se soit.
Lou est donc une jeune fille brisée qui fait pourtant face avec hargne et courage, en rêvant toujours à un lendemain meilleur.

«  Blessée mais toujours prête a se relever et a redresser le menton »

Histoire :

« blessée depuis un jour perdu dont elle ne se souvient même plus »

L'abandon est une chose à laquelle on ne peut rien. On se contente de le subir et d'en souffrir chaque jour un peu plus.

Ma vie n'est qu'une longue suite d'abandon. Ça a commencé avec mon père. J'ignore si c'est parce que nous n'étions pas assez bien pour lui, ou s'il trouvait que s'occuper d'une famille avait trop d'inconvénients et pas assez d'avantages. Toujours est-il qu'un beau matin de juillet, il prit ses clics et ses clacs est partit tenter sa chance ailleurs. Nous n'avions jamais su où il s'était rendu. En fait, nous nous en fichions. Nous avions bien d'autre chose à penser. Enfin surtout ma mère, parce que, ma soeur, Candice, et moi, nous étions trop jeune pour penser à ces choses de grandes personnes. Ma mère avait arrêté de travailler lorsque nous étions nées. Des jumelles, ça prend du temps. Mais ce jour là, elle aurait tout donné pour revenir en arrière et pour récupérer son travail. Mais c'était trop tard. On ne revient pas en arrière. On fait face au présent, plus ou moins courageusement. Ma mère à fait preuve d'un courage exceptionnel. Sa priorité était de trouver un emploi, et elle savait très bien que ce n'était pas dans notre petit village de campagne qu'elle allait faire fortune. Elle décida donc de partir. Seulement, elle craignait de nous entraîner dans une galère. Comment ferait-elle, si elle ne trouvait pas d'emploi, sans maison, sans argent, sans rien et avec deux petites filles à nourrir. Elle fit donc la chose la plus difficile de sa vie, la plus triste et la plus raisonnable. Elle nous confia à ses parents. La séparation fût douloureuse. Nous n'avions jamais rendu visite à nos grands parents avant. Ma mère s'était fâché avec eux il y avait bien longtemps, parce qu'ils n'aimaient pas l'homme avec lequel elle voulait faire sa vie, notre père. Ce fût donc avec de nombreux cris, de nombreuses excuses, de nombreuses explications et de nombreux reproches que ce fit leurs retrouvailles. Finalement, Nos grands parents acceptèrent de nous garder et maman leur promis de leur envoyer de l'argent dés qu'elle le pourrait.
J'ignorais qu'elle ne reviendrait jamais.
Ce fût le début d'une galère incroyable. Mes grands parents passaient leur temps à nous faire des réflexions sur notre père, sur le fait qu'on soit ses filles, sur tous les défauts qu'il avait et qu'ils retrouvaient chez nous ... J'eus très vite besoin d'un échappatoire, pour déverser ma rage et mon chagrin. Je me lançai dans la danse. Plus les mois passaient et plus je m'investissais dans ce nouveau domaine qui me passionnait. Candice réussit finalement à se faire une place. Elle était si belle. Personne ne pouvait résister bien longtemps à ses yeux pétillants de vie, à sa frimousse d'ange ... Moi, je ressemblais tellement à mon père. Ils me haïssaient.
Oui, Candice était parfaite. Elle était bonne élève, jolie, drôle, serviable, polie, généreuse, obéissante ... Alors à coté d'elle, Je paraissais bien fade.
Pourtant, elle n'était pas l'enfant parfaite pour laquelle elle se faisait passer.
Dés l'age de 13 ans, elle commença à sortir le soir, par la fenêtre, en me demandant de la couvrir.
Elle avait des tas d'amis, contrairement à moi, qui passait mon temps à étudier dans l'espoir de ramener une note convenable, et d'entendre autre chose que : « Ah, elle a bien hérité de l'intelligence de son père », à chaque fois que mes grands parents recevaient mon bulletin de note.
Oui, Candice était parfaite. Et très vite, elle se désintéressa de moi, sa jumelle ratée, sa caricature. Elle m'abandonna à son tour. À sa façon. Deux jumelles séparées tel l'eau et le feu.
Mais je tenais bon. Je m'investissais de plus en plus dans la danse et je m'étais mise au chant aussi. Je faisais tout ça pour moi, bien sûr, pour me sentir mieux, l'espace d'une chanson, mais aussi pour ma mère. J'avais décidé de la rendre fière de moi. C'était le mieux que je pouvais faire, la meilleure vengeance que je pouvais prendre sur la vie, sur Candice, sur eux tous. Je voulais que, quand ma mère reviendrait nous chercher, elle me préfère à ma soeur.
Nos premières vacances, nous les passâmes dans le nord de l'Angleterre.
Nous avions 15 ans
C'est ici que je rencontrai celui qui deviendrait mon premier petit ami.
On ne peut pas dire que ce fut le grand amour, que je l'aimais d'une passion débordante ou autre chose dans ce genre là. En fait, j'avais surtout envie d'être amoureuse. Il était le premier à s'intéresser à moi et je sautai sur l'occasion.
C'est à ce moment que je commençai à sortir sans permissions, le soir. C'était difficile car ma soeur refusait de me couvrir. Mais je parvins tout de même à sortir plusieurs fois pour le retrouver.
La fin des vacances signa malheureusement la fin de notre histoire d'amour.
Mais cette expérience m'avait ouvert les yeux sur moi même. J'avais autant le droit que ma soeur de m'amuser, de prendre du bon temps, d'avoir des amis, que cela plaise ou non à mes grands parents.
Je laissai tomber les études. De toute façon, je n'y arrivais pas alors ...
Je me consacrai uniquement au chant et à la danse.
Je réussis à me trouver des amies. Je n'étais plus la pestiférée de la classe. Et je rencontrai Julian.
Julian. Celui qui me montra la différence entre aimer et avoir envie d'aimer. Lui, je l'aimais, vraiment. J'avais 17 ans, lui en avait 20.
Nous sommes sortit ensemble pendant 1 an, jusqu'à ce que ... jusqu'à ce qu'il me détruise le coeur.
Je voulait lui faire une surprise pour son anniversaire et je sortis sans permission de la maison. Il n'y avait personne. Mes grands parents étaient chez des amis aussi vieux que sourds et Candice était partie je ne sais où.
Je frappai plusieurs fois sans obtenir de réponse. J'avais pourtant vérifiée qu'il n'avait rien prévu cet après midi là. Déçue que ma surprise soit tombé à l'eau, je me mit à faire le tour de la maison. Je ne sais pas ce que je cherchai. Peut être espérais-je le trouver assoupit dans un fauteuil ou sous sa douche, ce qui aurait expliqué pourquoi il ne m'avait pas ouvert. Je ne m'attendais pas à Ça.
En passant devant la fenêtre de sa chambre, j'aperçus un mouvement dans la pièce. Il était là. Il était bien là. Mais il n'était pas seul. Il était avec ma soeur et ils semblaient prendre du bon temps ... Je restai un long moment sans bouger, pétrifiée devant la fenêtre. Comment était-ce possible. Comment avait-elle put. Finalement, Julian tourna la tête vers moi. Lorsque nos regards se croisèrent, il blêmit.
Je ne pouvais en supporter davantage. Je fis volte face et me mis à courir. La suite se passa comme dans un rêve. Je pris le peu d'argent que je possédais, je montais dans un taxi, je payai un vol jusqu'à New York et je débarquai en terre inconnue, complètement anéantie par la trahison de ma soeur.
Mes premiers mois à New York furent très difficile. Je m'étais inscrite à l'université mais je ne pouvais pas passer tout le temps que j'aurais voulu à étudier. Je devais travailler. J'avais besoin d'argent pour survivre dans mon nouvelle environnement. J'enchaînais petits boulots sur petits boulots, passant de caissière dans un supermarché à conseillère dans un centre de beauté, du baby-sitting à la distribution de tracts dans la rue. Mais j'étais incapable de me stabiliser. Blessée au fond de mon coeur, j'avais perdu la peu de confiance en moi qu'il me restait. J'avais perdu le goût de vivre. Autant dire que je ne satisfaisais pas mes employeurs qui se hâtaient de me trouver des remplaçantes. Pourtant, petit à petit, je réussis à refaire surface. Mes études artistiques me donnaient une raison de rester à New York, je fis mes premières rencontres, qui se transformèrent en amitiés et qui me donnèrent à nouveau le plaisir de sortir, de m'amuser, de vivre simplement. Et puis, je m'étais fixé un but, et je comptais bien mettre en oeuvre tous les moyens nécessaire pour l'atteindre. Je voulais retrouver ma mère et je voulais que, le jour où je la retrouverais, elle puisse être fière de moi. Pourtant, une chose reste ancrée en moi, une cicatrice reste ouverte, celle de la trahison. Le fait de m'être fait trahir par mon petit ami et par ma soeur en même temps avait détruit une partie de mon coeur. J'étais désormais persuadée de ne pas être faîtes pour le bonheur, persuadée que, la joie se paie, un jour ou l'autre, par une souffrance immense. J'avais peur de m'ouvrir au bonheur, peur d'être heureuse, peur d'avoir trop mal après. Je savais que je ne pourrais pas supporter un nouvel abandon, une nouvelle trahison, une nouvelle souffrance. Je repoussai donc sans cesse les garçon qui me tournaient autour, refusant de m'engager dans une relation tant que mon coeur serait encore marqué par cette douleur.

« Blessée par un passé qui la poursuit comme la nuit poursuit le jour »

Signe(s) particulier(s) :

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Orientation Sexuelle :

Hétérosexuelle..

Citation favorite :

« Blessée oui mais pas morte encore »

Prénom : Emilie
Âge : 17 ans ( et toutes mes dents ok c'est pas drole ... hum )
Comment as-tu connu ce forum ? : c'est quelqu'un qui m'en a parler mais qui ? Je ne sais plus.
Ton avis (design, contexte, ...) : Franchement ? C'est nul ! Mais noooon, je rigole, c'est SUPER. le desing est top et les membres ont l'air bien sympa ! C'est cool.
Présence sur le forum : Alors, la partie qui fache. J'aimerais pouvoir marquer 7/7 mais c'est pas vraiment ça en fait. Disons que j'ai beaucoup de travail au niveau scolaire ( et quand je dis beaucoup c'est beaucoup beaucoup ... ) Mais je trouve toujours du temps pour rp, donc à ce niveau là ça devrait aller. Mais j'ai un autre problème : ma connexion internet marche que quand elle est de bonne humeur. Donc il se peut que je n'ai pas internet pendant plusieurs semaines, c'est déjà arrivé, à mon plus grand désespoir. Donc voila, je préfère prévenir maintenant ...
Autre(s) compte(s) : //
Exemple de RP :

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