Sujet: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:23
« Yeva Gabrielle Soloviev » Feat. Barbara Palvin
Âge : 18 ans Date & Lieu de naissance : Saint Pétersbourg, le 14 octobre 1992. Groupe : Populaires UFR : UFR 11 Étude : Mannequinat Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Une jeune fille avance dans la rue. Sa silhouette mince semble un peu plus fragile à chaque pas qui la rapproche et pourtant, quelque chose dans son regard exprime une force stupéfiante. On se perd sans difficulté aucune dans ces iris bleus immensément profonds qui ont l’air de rêver, perdus au loin. Elle avance, d’une démarche nonchalante mais toutefois gracieuse, effacée dans ce monde qui semble ne pas être le sien. Sa longue chevelure brune ajoute une part de mystère à ce personnage déjà intrigant, les mèches savamment ondulés encadrent son visage et ajoutent un côté sophistiqué à cette silhouette longiligne. Elle est habillée d'une manière simple et pourtant recherchée : ses vêtements soulignent sa minceur, ses hauts talons la placent sur un piédestal qui semble inaccessible. Elle est décalée dans cet univers et pourtant quelque chose d'inexplicable l'y rattache irrémédiablement. Un léger sourire fend son visage délicat, il semble qu'elle ne s'en est, elle-même, pas rendu compte. Un visage d'ange qui dégage une sérénité et une douceur certaine et pourtant un regard qui traduit une violence surprenante. Un maquillage léger souligne ses grands yeux turquoise, sa main manucurée dégage une mèche de cheveux, une multitude de bracelets s’entrechoquent dans un bruit de métal lorsqu’elle relaisse tomber son bras le long de son corps. Et puis soudain cette fille passe devant vous. Une fragrance sucrée et suave mélangée à une odeur de tabac froid chatouille vos narines. Vous avez à peine le temps de tourner la tête qu'elle a déjà tourné au coin de la rue en laissant pour seule preuve de son existence ce parfum entêtant. Elle n'aura représenté qu'un bref instant de votre vie et pourtant son visage reste inscrit dans votre mémoire, car il n'est pas de ceux que l'on oublie. Cette fille et son attitude de ballerine dépravée vous intrigue et c'est normal. Personne n'oublie Yeva.
Caractère :
A la fois discrète et exubérante, fragile et forte : Yeva n’est peut être pas la fille la plus énigmatique au monde, mais apprendre à la connaître nécessite du temps, savoir l’apprivoiser encore plus. Il faut montrer de la patience pour venir à bout de la jeune fille qui accorde sa confiance difficilement. Élevée par des professeurs intransigeants, son éducation à été sans faille et particulièrement strict ; certaines de ses manières témoignent parfois de cela. On pourrait la juger hautaine, son fort accent russe ajoutant encore plus à son personnage de reine des glaces : mais ce serait tirer des conclusions hâtives et infondées. Lorsqu’un sourire se fend sur son visage on comprend l’erreur : une personne aimable et juste un peu trop réservée se cache. La Yeva de jour n’est pas nécessairement la fille la plus drôle du monde, mais celle du monde de la nuit est une toute autre personne. Elle ose tout et n’importe quoi, du moment que cela lui plait et lui fait envie. Joueuse jusqu’au bout, elle ne se laisse pas faire pour autant, même si l’insouciance est une de ses caractéristiques fondamentale. Quoiqu’il en soit, ne demandez pas à la jeune Russe de vous parler d’elle et de son histoire, vous n’auriez alors qu’à vous contenter d’un rire léger et d’une question rhétorique avant qu’elle ne s’éclipse.
Histoire :
Le suicide est défini comme étant l’action de celui qui veut se donner la mort. Et dans la mesure où l’on n’essaye pas de préserver sa vie que se passe-t-il ? Si l’on en croit cette définition tout droit sortie d’un dictionnaire bon marché, je me suicide depuis près de 1 an et 3 mois. Je n’ai pas avalé de pilules, ni posé de canon contre ma tempe, encore moins enfilé une corde autour de mon cou, j’ai juste arrêté de vivre pour me contenter d’exister. Comment réagir autrement lorsque l’on a perdu tout ce qui régissait sa vie, je vous le demande. Ma famille est consternée, mes parents effarés, mes amis déstabilisés, mais moi je me sens bien dans ce rôle de spectatrice de ma propre existence. C'est tellement plus simple de se moquer de tout, que l'on en oublierait presque ce qui nous a rendu aussi passif, ou alors on fait semblant de l'oublier et on l'enfouit au plus profond de soi pour que personne n'en sache jamais rien et on sourit au monde entier en pensant à cette magnifique mascarade...
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Le carrelage de la salle d’examen était trop blanc, la table trop froide et l’atmosphère beaucoup trop tendue. Je fixai le troisième carreau de la quatrième ligne du mur depuis près de vingt minutes : tous les prétextes étaient bons pour ne pas avoir à regarder mon genou enflé et brunâtre, de plus l’observation de cette surface parfaitement lisse et immaculée était tout a fait passionnante. Le médecin entra subitement. Je sursautai. Un sourire aimable de sa part, un soupir de la mienne. Mon dossier à la main il se contenta d’arpenter la pièce pour aller chercher un stylo sur son bureau, sans m’adresser plus qu’un rictus. Pourquoi ne donnait-il pas tout de suite les nouvelles, le suspense leur apportait-il une prime quelconque ou était-ce juste une petite envie de sadisme prépondérante ? Je le regardai prendre son tabouret et le faire rouler pour se poster face à moi, toujours assise, les pieds dans le vide. Il fit mine d’inspecter l’hématome, je soupirai de nouveau. Il prit alors les examens qu’il avait gardés à la main et lut attentivement chaque phrase de chaque ligne d’une manière infiniment longue. Je repris la contemplation de mon carreau sans prêter plus d’attentions au docteur toujours plongé dans ses rapports. Bien sur je mourrais d’envie de connaitre les résultats, bien sur je voulais combien de temps ma convalescence allait durer, mais ni lui, ni moi n’étions à ce moment capable d’ouvrir la bouche pour prononcer un mot. Lui avait peur de heurter la sensibilité d’une jeune fille de 16 ans, et moi j’avais peur de sa réponse. Plus de trois semaines serait impossible. Ni tenant plus je baissai les yeux vers lui, la moindre minute représentait du temps perdu pour me rétablir. Son crâne dégarni me faisait face, il avait beau être l’un des médecins les plus réputés de tout Moscou, je ne voyais en lui qu’un homme qui bégaye et essaye de vous faire boire lors des barbecues entre voisinage pour vous dévergonder un peu. Mais à présent j’avais besoin du diagnostic de ce gros pervers bedonnant.
- Когда я смогу танцевать? (Quand vais-je pouvoir danser à nouveau ?) Dis-je sur un ton qui traduisait mon impatience et ma mauvaise humeur.
Alors il leva les yeux sur moi. Il remonta ses lunettes et s’éclaircit la voix bruyamment. L’avantage d’être fille de psy était de savoir décrypter un minimum les expressions des gens sans qu’ils n’aient besoin d’ouvrir la bouche. Une légère goutte de sueur perlait le long de sa tempe qui palpitait sous la pression de son sang dans ses veines. Ici on pouvait très nettement distinguer l’appréhension. Son regard fuyant chercher un point sur lequel se poser, l’horloge derrière moi semblait faire très bien l’affaire.
- Вы сделали очень плохо падения… (vous avez fait une très mauvaise chute…)
Ses lèvres bougeaient et débitaient un flot de parole que je n’écoutais plus, ou plutôt que je ne voulais pas entendre. J’étais déjà tombée trois mois auparavant et je savais qu’il m’avait déjà ménagé : je devais arrêter la danse pour prendre le temps de bien me rétablir. Mais justement, je n’en avais pas, du temps. Les auditions pour le Kirov étaient dans moins de deux semaines et il fallait que ma prestation soit parfaite si je voulais avoir la chance d’intégrer la troupe. Je serais alors la plus jeune danseuse étoile ayant encore jamais dansé sur le parquet du Théâtre Mariinsky… Mais avec ce genou, et le regard navré du médecin qui me faisait face: ce rêve semblait d’autant plus inaccessible. Malgré plus de douze années à danser, une scolarisation dans la meilleure école de danse Russe et une volonté de fer, je n’y arriverais pas à cause de ce que ce soit disant spécialiste était en train de me dire. J’étais figée, le carreau me semblait alors tout autre. Je pensai à la Vaganova, à tout ce que j’avais fourni pour en arriver là, à tout ce que j’avais manqué dans ma vie pour me consacrer à la danse : pas de loisirs, pas de petits amis, pas de fête, pas de cigarette, encore moins de nourriture grasse ou d’alcool, tout ça pour rien. J’étais passée à côté de mon enfance et de mon adolescence pour finalement entendre que j’avais fait une très mauvaise chute qui m’empêcherait de danser à nouveau. Adieu Noureïev, Makarova et Barychnikov. Le carrelage de la salle d’examen était trop blanc, la table trop froide et l’atmosphère beaucoup trop tendue. C’était le début de la fin.
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Bonjour New-York, au revoir St-Pétersbourg. La Vaganova me semblait bien loin maintenant. Assise sur ce sofa, dans l’une des boites branchées de la Grosse Pomme, je contemplais ce qu’était devenue ma vie. Rien. Elle n’avait plus aucune signification depuis que j’avais perdu ce que j’étais, la danse. Et pourtant, je n’étais pas malheureuse : une agence de mannequin m’avait contacté quelques semaines après mon accident, j’avais pris un avion pour les Etats-Unis et ma carrière était lancée. Je n’avais pas eu besoin de journées entières d’entrainement ou de m’user les pieds à répéter les pas : juste à être moi et à sourire pour gagner des milles et des cent. Je n’avais plus de talent particulier, hormis d’être « spéciale » comme disait mon agent : à savoir incroyablement mince avec un visage qui changeait de la normale. J’avais perdu mon identité en perdant la danse et devoir revêtir un rôle différent à chaque shoot n’arrangeait pas les choses. Qu’importe, la vie m’ennuyait : c’était plus simple de faire la fête et d’oublier encore un peu plus à chaque verre. Ici, personne ne savait qui j’avais été, pas même mes amis les plus proches, et cela m’arrangeait bien. Voir la déception dans leurs yeux lorsqu’ils auraient constaté ce que j’étais devenu ne m’aurait pas plu, mais cela ne m’aurait pas vexé, je ne savais même pas si j’étais encore capable d’être déçue ou blessée à force de l’avoir été trop profondément.
La musique retentissait dans cet endroit étouffant, je n’avais plus envie de m’amuser. Mes souvenirs m’avaient ramené trop loin en Russie pour que je puisse sourire encore ce soir. Je récupérai mes affaires et quittai l’endroit malgré les protestations de mes amis. Le trajet fut rapide, les taxis à cette heure là étaient tous vide : il était trop tôt pour les sorties de soirées et trop tard pour les sorties de travail. J’entrai rapidement dans mon appartement. Un chez moi qui me ressemblait encore moins que la personne que j’étais à présent. Mais j’aimais ces lignes épurées et ce style minimaliste qui caractérisait mon intérieur. J’entrai dans ma chambre et pris une boite cachée sous mon lit avant de m’installer confortablement sur les draps. Une longue respiration me permit de me calmer, toucher du bout des doigts le couvercle en satin me ramena à la réalité à laquelle j’étais déconnecté chaque jour de ma vie. Ma paire de pointes était telle que je l’avais laissée le jour de mon accident : maculée de colophane et extrêmement poussiéreuse. Elle avait été ma préférée d’entre toutes, la plus usée aussi mais par conséquent la plus confortable à mes yeux. Ma professeure de l’époque me répétait souvent que les meilleures ballerines du monde avaient les chaussons les plus infâmes. J’étais la meilleure de ma classe, la plus talentueuse aussi. Tout me promettait un avenir florissant dans le monde de la danse : j’aurais été une étoile après avoir été un petit rat pendant mon enfance. Non.
Je refermai rapidement la boite sans avoir ne serait-ce que touché à ces reliques. Trop tôt surement, ou peut être que finalement je ne serais jamais prête à tourner la page. Mais à quoi bon, quand finalement la vie n’a plus de sens et que même la mort ne semble pas être une perspective si horrible… Je me levai doucement et rejoignis ma salle de bains. J’ouvris un petit flacon posé sur le bord du lavabo et ingurgitait rapidement deux pilules que j’en avais sorti. Ma nouvelle addiction.
Signe(s) particulier(s) :
Problème de circulation sanguine ou peut être juste qu'elle est frileuse, mais Yeva a toujours les mains froides. Moins original qu'un piercing ou qu'un tatouage peut être, mais c'est son seul signe particulier.
Orientation Sexuelle :
Yeva aime les hommes, cette sensation de protection lorsqu'elle se trouve dans les bras de ses amants et tous les autres détails aussi futiles qu'importants. Pourtant l'idée de partager le lit d'une femme ne la dégoute pas, elle n'y a juste jamais pensé.
Citation favorite :
« Je crois qu’à la base, je voulais faire le bien autour de moi. Ça n’a pas été possible pour deux raisons : parce qu’on m’en a empêché, et aussi un peu parce que j’ai abdiqué. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Man' Âge : 16 printemps Comment as-tu connu ce forum ? : Top obsession Ton avis (design, contexte, ...) : Me gusta (y) Présence sur le forum : 4 ou 5/7 si on ( et par on j'entends mes profs adorés ...) ne me submerge pas trop. Autre(s) compte(s) : Nop. Exemple de RP :
Spoiler:
C’était donc ça l’amour ? Un enchainement perpétuel de déceptions entrecoupé par d’ardents mais bien éphémères épisodes de bonheur… Et bien Alice n’en voulait plus. Pas pour la vie, non, juste pour cette journée, pour ce moment ou elle se trouvait en face de Paul qui ne s’arrêtait plus de la perturber toujours un peu plus. Comment réagir, comment se comporter avec lui qui ne savait visiblement pas ce qu’il voulait ; lui qui, quelques minutes auparavant, lui annonçait qu’elle était importante à ses yeux et qui, à présent, se refusait de l’embrasser. C’était une énigme bien trop compliquée à laquelle la jeune gemme ne voulait plus chercher de réponses… pas tant qu’elle n’aurait pas fait le point et rétablit un minimum d’équilibre dans son esprit. Elle pourrait alors comprendre. Comprendre si elle aimait Paul Peyton ou non, si elle lui portait une affection aussi forte que celle qu’elle avait eu pour son petit ami de l’époque ; si ce qui s’était passé avec Brianna était grave ; si cela pouvait être oublié et surtout, si le jeu en valait la chandelle. Car oui, il fallait être clair, il était évident que pour l’instant, la chose qui leur servait de relation à elle et à Paul ne représentait qu’un jeu. Ni l’un ni l’autre ne s’était impliqué, trop effrayé par la perspective de bouleverser son petit monde savamment construit et avec tant de soins. Ainsi, ils n’avaient fait que se séduire, échanger des regards qui signifiaient énormément, certes, mais qui finalement s’avéraient n’être que des regards. Et Alice en avait clairement assez des coups d’œil en coin et des mains qui s’effleurent le temps d’un instant. Elle, elle voulait une relation, une vraie, avec son lot de disputes quotidiennes, mais aussi de réconciliations brûlantes et passionnées. Elle voulait se promener en amoureux, un sourire imprimé sur le visage pour la simple et bonne raison qu’elle aurait été heureuse. Elle aurait aussi voulu gouter aux lèvres de Paul pour la première fois, dans cette même rue, sous cette même pluie, à cet instant précis et peut être ainsi marquer le début de quelque chose qui, à un moment ou a un autre, aurait ressemblé à ce petit coin de paradis qu’elle avait imaginé.
Mais non. Paul ne l’avait pas embrassé, il avait préféré se rétracteur au dernier moment et commencer à se justifier pour des choses qui n’auraient plus eu d’importance à cette heure ci, s’il avait posé doucement ses lèvres sur les siennes pour effleurer du doigt un instant qui n’aurait appartenu qu’à eux. Mais il y avait apparemment trop de monde dans les dires de Paul pour qu’ils ne puissent être qu’ensemble, rien que lui et elle, elle et lui, devant cette bibliothèque. Tout aurait été tellement plus simple si, au lieu d’essayer de clarifier la situation, il avait clairement agi et fait ce qu’il avait eu l’intention de faire deux secondes auparavant. Au lieu de cela, il avait parlé et était probablement allé plus loin qu’il n’aurait dû, que la bienséance le voulait et qu’Alice ne pouvait le supporter. La dernière phrase qu’il avait prononcée avait un arrière gout amer aux yeux de la jeune fille qui ne parvenait pas à la chasser de son esprit. Ainsi il estimait que son attitude n’était pas assez limpide pour laisser transparaitre ce qu’elle ressentait à son égard… et bien il gagnait, elle ne lui dirait rien. Pas aujourd’hui, et peut être jamais en fait.
« Je vais te répondre par une autre question. Toi, est ce que tu vas pouvoir me dire, quand je serais partie, en quoi le simple fait que je ne désire plus te parler te troublera à ce point pour que tu m’en veuilles autant ? »
Voila. Elle jetait les armes, le regardait une dernière fois, une expression indéchiffrable inscrite sur son visage aux traits si fins, et s’en allait sans jeter un coup d’œil à une quelconque réaction de sa part un seul instant. S’en était fini d’Alice et Paul, de Paul et Alice pour la journée, et probablement pour les deux ou trois autres suivantes. Si aucun des deux n’était prêt à faire des concessions, il n’était plus utile de continuer ce massacre, c’était ce que se répétait la jeune fille en courant pour rentrer chez elle. Cependant, si elle avait été honnête, ne serait-ce qu’avec elle-même, comme Paul le lui avait demandé, elle aurait réalisé qu’elle aussi avait eu trop peur pour lui avouer quoi que se soit. Que sa fuite à elle ne valait pas mieux que son recul à lui et que, finalement, ils étaient bien plus complémentaires qu’il n’y paraissait. Elle attendrait son appel, son message, sa visite, tout ce qui aurait représenté un signe de vie de la part de Paul à ses yeux, en sachant pertinemment que son orgueil à lui l’empêcherait de revenir la voir. Tout comme son orgueil à elle l’avait empêché de répondre clairement : « j’t’en veux parce que je t’aime ».
Code du règlement :
Spoiler:
fordham rocks
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Yeva G. Soloviev le Dim 7 Nov - 22:51, édité 10 fois
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:30
Bienvenue !!
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:33
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:45
Bienvenue sur NYCL !
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:57
:breane: Bienvenue!!!!
Bon courage pour ta ficheuuu
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 0:58
Tu veux que je te prête une pelle pour que tu puisse creuser encore ? ^^
Bienvenue
Fighting pour ta fiche !
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 2:13
Bienvenuuue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 2:20
Bienvenue Miss ^^
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 11:37
Bienvenue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 12:37
BARBARAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA OMGOMGOMGOMG
:gaby: :07:
Tu l'auras compris, très très TRÈS bon choix d'avatar *-* Bienvenue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 12:39
Bienvenue :breane:
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 14:35
Bienvenue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 15:07
Bienvenue Miss
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 21:45
Merci tout le monde
Alyssa > si t'en as une, j'suis preneuse hein x)
William > Avec Ole j'peux que te retourner le compliment
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 21:48
Bienvenue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 22:08
Bienvenue & Bonne chance pour la suite de ta présa
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 23:35
Merci
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mar 2 Nov - 23:39
Elle est belle Bienvenue
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mer 3 Nov - 11:06
Barbaraaa. Bienvenue ici & bon courage pour ta fiche. :yeahh:
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mer 3 Nov - 13:46
OMG excellent choix d'avatar j'exige un lien wééélcome
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Sujet: Re: Yeva ♠ "Let me see you're mean." Mer 3 Nov - 22:59
Merciiii
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.