Depuis quand, quelqu'un touche mes cheveux? Depuis jamais, en faite. La seule personne qui -avant aujourd'hui- y avait touchés était Joh' et peu être ma mère quand j'étais trop petit pour 'en souvenir.. En deux de ces deux femmes la, personne, n'avais le droit de remettre une mèche en place, de passer ses mains dedans, sauf moi. Pourtant, elle venait de le faire et pourtant, je n'avais rien dit, juste une expression d'animal se sentant en danger, ou juste énervé était apparut sur mon visage; En plus de jouer avec le feu, elle comprenait trop vite les choses. Mentir ou ne pas dire toute la vérité qui m'était moi même inconnu, c'était mieux. Ce que moi je pensais de ça..Elle n'avait pas besoin de le savoir tant que mes propre idées n'était pas mises au clair. Ethan, c'est à lui de lui révéler ses sentiments pour elle.. En espérant, juste un peu, qu'elle se trompe et qu'ils se mettent ensemble. En espérant que les choses se calmeraient et que Riley et moi nous soutenions dans ces épreuves de merde auquel nous sommes confrontés, tout ça pour le bonheur d'Ethan le cœur d'artichaut. « Tu sais que tu es drôle quand tu veux? Même si je n'ai pas le cœur à rire encore..Le rapport entre nous? Ethan, c'est ton meilleur ami, tu passe du temps avec. Riley est jaloux car c'est son jumeaux et même si ils ne sont pas identiques, il a peur d'Ethan te préfère à lui. Riley et moi sommes proche, Ethan est proche de toi, c'est un peu comme si..il nous "trahissait", nous abandonnait.. enfin Riley plutôt. Je ne suis pas jaloux moi, mais personne ne peut comprendre. J'arrive pas moi-même à comprendre ce qui m'arrive, Riley lui..Il arrive à savoir ce que j'ai dans la tête. En faite ce doit être nous les jumeaux dans l'histoire, ou nous sommes triplés.» J'ai déjà vécu ça, les tentatives de suicide de cette façon la, la plus conne qui soit. Ou boire jusqu'à ne plus rien sentir et espérer tomber dans le coma, à vie. mais vous ouvrez toujours les yeux sur un plafond blanc, une odeur de médicament et un tube en plastique sous le nez, des transfusions dans le bras à l'hôpital de Londres. Le nombre de fois que j'ai atterris à l'hôpital, où j'ai passé des jours à pleurer avant qu'on ne m'autorise de rentrer. Le nombre de fois où on m'a envoyé chez un psy qui ne pouvait rien faire avec moi, qui refuse de parler. J'ai passé un an dans mon mutisme et aujourd'hui, ma voix ne reviens que rarement, comme la, où je suis confronté à quelqu'un, forcé de parler. Je ne veux pas avoir à lui rendre visite à l'hôpital ou au cimetière. Je préfère qu'elle vienne de son plein grès me voir, que je la rassure. Je sais que Ethan remplit déjà cette fonction..Mais je suis certains qu'il lui à mentit pour protéger mon secret. Je veux lui prouver que je suis l'homme de ces lettres, juste en un peu différent car seul. Ethan ne m'avait rien dit sur ses marques, je suis certains qu'il en connaît l'existence et la cause mais ne m'a rien dit. Dans la famille, on évite de me parler de ça à moi, le suicidaire qui voudrais plus que tout rejoindre celle qu'il aime. En gros, je n'ai plus le droit de toucher à tout ce qui coupe sans la surveillance de quelqu'un, je touche plus au médicament et j'ai un "chien de garde" qui surveille une éventuel pendaison, étouffement , noyade dans la piscine. Même si tout ça me fait rire car j'ai bien d'autre moyen de me tuer autre qu'avec mon rasoir le matin, qu'un est pas toujours derrière moi à m'espionner. Je sais que si je veux, je peux essayer même tout de suite mais il y aura toujours une part de moi qui ne voudra pas en finir, qui me forcera à rester ici; Pour elle, ou pour mon bébé, je ne mourrais pas sans avoir trouvé la raison de vivre qui pourrais me faire tout oublier à petit feu. On se regardait dans le blanc des yeux aux bords des larmes alors que je venais de lui garantir être la, quoi qu'il arrive. J'avais juste envie de ça, redevenir celui que j'étais avant ds qu'elle ne va pas bien, le confident un peu moins stupide que celui utilisé en général. Ethan est con, aveugle et amoureux. Moi je suis..moi, juste Ellie. Aucun avis sur elle, sur "nous" et sur ce que je penserais éventuellement de ce qu'elle venait de me dire sur elle et Ethan. Je caressais sa joue en souriant, me voilant la face sur cette promesse qu'elle ne tiendra surement pas pour moi. Après tout qui suis-je ? Un pauvre mec borné, muet, cousin de son meilleur ami, incapable de dire les choses tels qu'elles sont et qui lui fait promettre de ne jamais ce tuer. Vu de l'extérieur, c'est sur que j'en aurais rien à foutre mais moi, qui aimait tant ma Johanna je ne veux pas qu'Ethan perde la sienne si l'on peut dire, vu qu'elle n'avait pas l'intention d'être la sienne.. Et la mienne? Est-ce que j'avais le droit d'y songer ? Non, je suis un Hashwood, autrement dit un con de bourgeois incapable de penser à autre chose qu'a son nombril et au futur filles qu'il pourra se foutre dans son lit pour ensuite les jeter comme des merde à poil dehors. Je l'est jamais fait hein, elle était habillée, et j'étais plus "gentil" que ça.. Mais c'est pas ce qu'elle allait dire et c'est l'une des rumeurs pourrîtes qui planait au dessus de moi -et de Riley- qui se répandait en dehors de notre cercle d'ami et connaissances. Donc les gens qui ne nous avait jamais vu autres que par les portraits de famille qui circule en ville. Reportant moi attention sur Joyce et sur ses yeux prêt à pleuré j'essuyais une larmes tombée sur ma joue en souriant..«Tu as intérêt à tenir ta promesse Joy, parce que si tu te loupe Riley va venir t'écorcher vive pour l'avoir laissé avec deux madeleines inconsolables..Un jour, tu me dira ? Et je te donnerais l'explication des mienne et tout ce que tu veux savoir..» Elle récupéra son visage avant qu'un truc étrange ne se produise et que je ne sente ses lèvres se déposer sur ma joue. Moi qui était devenu mâle il y a cinq minutes, voila que ma peau reprenant ses tons rougit alors que j'effleurais ma joue du bout des doigts. C'était déjà rare que j'embrasse quelqu'un, même sur le front mais encore plus que je ne reçoive un baiser sur la joue de quelqu'un comme elle, qui pourrais être mon "amie". Un petit raclement de gorge gêné lorsqu'elle releva les yeux vers moi avant de me frotter le bras nerveusement, ne sachant pas vraiment quoi faire maintenant.«On redescend ?».

OK by Macky.