"La séduction a toujours été une histoire de manipulation." de François Raux
Signe(s) Particulier(s)
Menteur, même contre son grès. Un besoin de se protèger.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuel
Gabriel Lorcan Lefevre
Physique & Caractère
Apparence & Style: Mon style ? Vous me demandez quel est mon style ? Je vous en pose moi des questions ?! Hmr. Mon style est banal, je veux dire, je n’ai pas une grosse mèche devant les yeux, ni des piercings partout ! Je m’habille dans les boutiques de jeunes, je mets des jeans, normal quoi ! J’ai un tatouage si vous voulez savoir. Ouais, une ancre de bateau, sur le poignet. Ah, et sur l’épaule gauche, j’ai fait tatoué le prénom de ma sœur. Elliott. Beaucoup de filles se méprennent lorsqu’elles le voient. Sinon, je fais de la muscu une fois par semaine, et je cour souvent. Je fais de la boxe, donc j’entretiens mon corps. Normal pour un sportif quoi. Quand je me regarde dans un miroir ? Bah, ma tronche quoi. Ouais ouais. J’ai hérité de la crinière blonde de ma mère, et des yeux bleus de mon père. Il parait que quand je fixe quelqu’un, j’ai un air « glacial » [rires]. On m’a souvent dit que j’avais une tête d’ange. Mais qu’est ce ça veut dire, une tête d’ange ? Vous avez déjà vu un ange ? Moi, jamais. Donc, je n’irai pas jusqu'à dire que j’ai une tête de chérubin avec des petites ailes dans le dos qui se balade à poil tout le temps. Mais je sais que je plais, ça c’est sur. Les filles m’aiment bien, elles pensent que je suis « romantique ». Je ne suis pas le dernier des salops non plus, mais entre niaiseux et salop, il y a surement un milieu non ?
Caractère:Gabriel. Hm, Gabriel.
3 points positifs. (Ou presque)
♦ La constance : Gabriel est quelqu’un qui croit au destin voyez-vous. Quoiqu’il arrive, il sait qu’il pourra le surmonter. Depuis la mort de sa sœur, il est persuadé que tout ce qui n’abat pas, rend plus fort. Quelle belle philosophie. Il ira jusqu’au bout de ses convictions, et n’abandonnera jamais, quoiqu’il arrive. ♦ L’impassibilité (que de mots savants !) : Encore une fois, quoiqu’il arrive, Gabriel ne laissera pas ses émotions prendre le dessus. En apparence du moins. Dans toutes les situations, il ne laissera pas transparaitre son inquiétude. ♦ L’écoute : Gabriel est quelqu’un qu’on pourrait qualifier de « mystérieux » aux premiers abords. Pourtant, il n’en est rien. C’est simplement qu’il écoute plus qu’il parle. Il prendra le temps de vous analyser complètement avant de commencer à nouer quelque chose entre vous et lui.
3 points négatifs.
♦ L’obstination : Pour aller avec la constance, par moment, Gabriel ira trop loin. Il repoussera les limites jusqu'à ce qu’il soit complètement brisé. Tant qu’il n’aura pas ce qu’il désire, il continuera. Cela le mène à de drôles de situations. L’assurance : Pourquoi dans les points négatifs ? Parce qu’il en abuse. Gabriel est tellement sur de lui qu’il ne se fit qu’a sa propre intuition, sans vous laisser l’occasion de vous présentez. Par moment ça paye de se la jouer sur de soi, mais à d’autre moments, ça casse. ♦ La naïveté : Oui oui. A ne pas confondre avec la niaiserie mes amis (si vous doutez, les dictionnaires Robert sont là pour vous.). Gabriel est par moment, naïf. Comme il se fit uniquement à ses impressions, il est parfois dans le faux. Et comme il est obstiné, il s’en tape de se prendre des buches. ♦ La rancune : Pour un gars aussi obstiné que lui, difficile de reconnaitre ses torts. Il refusera catégoriquement qu'il a perdu tel partie de babyfoot, ou tel dollar au poker. De la plus petite perte à la plus grande des catastrophes, il répondre absent quand il s'agira de l'avouer.
Je ne suis pas cette personne que vous aimez tant, non. Je ne suis pas le mystérieux jeune homme impossible à avoir, qui cache une grande sensibilité. Je ne suis pas non plus le coureur de jupon par excellence, qui drague comme il respire, tout cela avec une classe impressionnante. Je ne suis pas le poète torturé, le musicien bohème, le rebelle. Je ne suis pas l’intelligence incarné, je ne suis pas le sage. Je ne suis pas ce que vous aimerez que je sois. Qui suis-je alors ?
« Gaby ! Gaby vient ici ! »
La jeune femme s’élance à la poursuite de son enfant. Ses cheveux blonds à faire pâlir un champ de blé se balance gracieusement sur ses frêles épaules. Elle attrape l’enfant qui couine un instant puis rigole. Tel sont les bambins à cet âge, passant d’un sentiment à l’autre en un quart de seconde. La jeune mère rit avec son enfant, sous le regard paisible du père, qui s’avance vers eux.
« Alors bonhomme ? On veut aller plus vite que la musique ? »
L’enfant fixe son père, le héros de sa petite vie. Ce dernier ébouriffe les cheveux blonds de son fils, et repart vers la petite maison qui se dresse sur le bout de jardin. Paris à beau être une très grande ville, on peut toujours y trouver des petits coins, des havres de paix, loin du boucan de la civilisation qui bouge, inlassable.
Je ne suis plus cette personne, cet enfant, cet innocent.
Gabriel Lefevre avance dans la rue sombre qui s’étale devant lui. Du haut de ses 15 ans, il est déjà grand. Ses cheveux, les mêmes que sa mère, se dressent anarchiquement sur son crâne. Ses pas résonnent dans la rue, mais il n’est pas effrayé. Il rentre de son cour de boxe, quiconque s’attaquera à lui goutera à son expérience. D’ailleurs, personne n’attaque jamais Gabriel. On l’apprécie, il est beau, il est gentil, et par-dessus tout, il est sur de lui. Et ça, les gens le sentent.
Après un court moment, Gabriel se retrouve devant chez lui. Il s’arrête un moment, hume l’air. A cette heure ci, sa mère doit être entrain de faire le repas, et son père doit hurler sur sa sœur. Elliott est difficile en ce moment. Gabriel aimerait l’aider, mais sa grande sœur de deux ans son ainée refuse de se confier. Pourtant, les deux adolescents sont proches, ils partagent tout. Elliott pleure toute les nuits, il le sait. Leurs chambres adjacentes ne permettent pas d’intimité. Gabriel a bien aidé, mais la jeune fille le repousse. C’est à ne rien y comprendre.
Pas lui non plus, lui que j’aimais être. A cette époque.
Encore une fois, Gabriel marche. Sa mère s’accroche à son bras, et son père ouvre la marche, en avant. Il n’y a aucun bruit, si ce n’est celui de la pluie, incessante. Comme dans une mauvaise série B, le cimetière est plein et il pleut. Pathétique non ? La famille Lefevre est réunie. Gabriel et ses deux parents sont gentiment assis sur des chaises en plastique inconfortables, tandis qu’Elliott repose, dans le cercueil qui fait face à la famille.
Un suicide. Torturée, elle s’est libérée de la façon la plus horrible qui soit. Silencieusement, Gabriel pleure sa défunte sœur. Il pleure car il ne comprend pas. Il pleure parce qu’il n’a pas pus l’aider.
Encore moins lui.
« Bien, je suppose que je vous dit … Adieu ? »
Gabriel fixe ses parents. Il s’apprête à troquer le territoire français pour les Etats unis. Avoir été accepté à la Fordham University n’est pas rien. Même si cela veut dire quitter la France, et tout ce qu’il avait là bas.
« Au revoir Gabriel, au revoir. »
Son père lui sert une main affectueuse et se recule. Depuis la mort de sa fille, le père de Gabriel est distant. Sa mère, elle, l’enlace et verse une larme. Gabriel les fixe une dernière fois, et s’en va.
Oui, lui.
Behind the computer
Prénom: Ayako Âge : 15 ans Avatar choisi : William Moseley Comment as-tu connu ce forum ? : Par Google 8D Ton avis (design, contexte, ...) : Il est beaaau ! & j'aime ce genre de contexte " réel " qui retrace la vie qu'on voudrait avoir. (Ou pas) Présence sur le forum : 5/7 Autre(s) compte(s) : Non Exemple de RP :
Spoiler:
Elle a le cœur lourd, le cœur sourd. Rien ne changera, le ciel restera le même au fil du temps et les espoirs finiront par disparaitre. Un jour, peut être que la blessure cicatrisera. D'ici là, il ne lui reste que ses mains pour prier et ses souvenirs pour pleurer. Kathleen passe la main dans sa chevelure anarchique. L'air de novembre est vif, lui griffant presque les poumons. Respirer, se donner la peine de vivre est devenue un fléau. Elle reste là, à la merci du froid et du vent, revêtue du manteau de la nuit, elle devient invisible. Comme elle l'a toujours été. Jusqu'à lui. Il n'était même pas intéressant.Il n'avait aucune conversation et passait le plus clair de son temps à dessiner. C'était la magnificence de ses dessins qui avait réussi à toucher le cœur de Kathleen. Comme un bout de vie, sous les doigts d'un garçon perdu. Le dessin prenait vie, tandis que l'artiste se mourrait. Kathleen en était tombée amoureuse et Daniel avait succombé à la douceur de la jeune femme. Seulement, ils n’étaient pas seuls dans ce couple. Daniel cachait cette part de son être qu’il se refusait à avouer. La maladie. Leucémie. Un mot, une définition, une conséquence. L’absence. Kathleen essuya la larme qui roulait sur sa joue brûlante comme mortifiée par le froid. Elle se releva péniblement, ses membres ankylosés lui arrachant un soupir. Tandis que les dernières lumières de la ville s'éteignaient, la jeune fille descendît du toit. La petite échelle fléchit sous son poids et Kate posa un pied mal assuré sur le sol. Ce pied ne lui appartenait pas. Complètement anesthésié par le froid, celui ci se déroba, et la jeune fille s’étendit de tout son long sur le sol. Fatiguée, la jeune fille se releva, ravalant son égo bousculé par la chute. Elle ouvrit la baie vitrée et se glissa dans l'atmosphère chaude de l’appartement familial. Comme tous les soirs, les parents hurlaient sur le petit frère insolent, traversant une période de rébellion. Ne prêtant pas attention à la dispute en cour, la jeune fille traversa le couloir et s'enferma dans sa chambre. Petite, douillette, chaleureuse, l'havre de paix de Kathleen représentait la jeune fille qu'elle était. Des affiches brandissant des slogans d’anarchie, des souhaits d’évasion dans chacun des tableaux, reflétant la personnalité d’une adolescente de 17 ans. 17 ans. L'âge de toutes les folies, de toutes les passions. Un âge de liberté. L'esprit pense par lui-même et la personnalité se fait découvrir. Les chaînes se brisent et on devient celui qu'on a toujours été. Sauf dans certains cas. On devient aigrie, seule et renfermée. On ne rit plus, face à l'interminable attente. On vit aux dépends d'une fin malheureuse, d'une mort prévue. On reste aux aguets, vivant notre jeunesse à moitié. Ne jamais s’accrocher, ne jamais être à la merci de quelqu’un d’autre était devenue les deux seuls principes de Kathleen. Jamais elle n'était tombée amoureuse. Daniel était l'exception. L'exception qui allait renforcer ces principes. À quoi bon, si la fin n'est que souffrances, s'accrocher à quelqu'un qui partira ? Pour finir meurtrie, regardant cette personne partir avec la moitié de votre être, la moitié de votre âme et l'absoluité de vos sentiments.
Ne prenant pas le temps d'ôter ces vêtements, Kathleen s'allongea sur son lit, laissant son regard vagabonder sur les diverses photos ornant les murs. Huit mois d'amour résumés en une pléiade de clichés. Des sourires cachant les larmes et des baisers masquant le mal-être. Prise d'une pulsion de colère, Kathleen se saisit des photos et les arracha violemment du mur. Les bouts de souvenirs volèrent, se plissant sous la poigne enragée de la tristesse. Les visages furent déchirés, les baisers rompus. Comme une pluie de cendres après un incendie, les photos volèrent, retombant en petits morceaux sur le sol. La colère n'étant toujours pas rassasiée, la jeune fille se saisit des cadeaux, des objets symboliques et les jeta au sol. Les figurines, les bijoux, les cadeaux explosèrent en une vague de verre. Kathleen visualisa la scène au ralenti, sa main lâchant lentement la boule à neige sur le sol. La tour Eiffel chuta durement, les flocons se déversant par terre, telle la neige se posant timidement sur un sol mouillé, et transportant tout ce spleen si propre à un mois de décembre. Haletante, Kathleen fixa le champ de bataille qu’était devenue sa chambre. Les souvenirs matériels n’étaient plus. Comme dans un état de transe, Kathleen jeta les débris d’amour dans la poubelle. Les yeux rouges de larmes, elle se jeta ensuite sur son lit et attendit patiemment que les bras de Morphée l’emportent. Elle lui en voulait. Inconsciemment peut être, mais elle lui en voulait. Elle lui en voulait de l’avoir laissée s’attacher à lui, elle lui en voulait de lui avoir touché le cœur. Elle regrettait de s’être arrêtée devant ses dessins. Il n’était rien, pourtant il représentait tout. Kathleen s’en voulait aussi, d’avoir été bernée par quelque chose d’aussi futile que les sentiments. Elle s’en voulait de ne pas s’être protégée des conséquences. Aussi insensible qu'elle était devenue aux coups, Kathleen ressentie les vestiges de sa veillée tardive lorsqu'elle ouvrit les yeux. Le drap blanc qui entourait son corps, comme un dernier linceul, se refusait à laisser sortir la jeune fille. Pourtant, si elle voulait répondre à un avenir correct, il lui fallait se lever et étudier. Tout en joignant le geste à la pensée, Kathleen tenta de se souvenir la date du jour présent. Pour la jeune fille, les jours passaient et se ressemblaient. Kathleen s'habilla rapidement, saisit son sac de cours et quitta la chambre. La maisonnée était encore endormie. Le petit frère avait oublié ses convictions d'apprenti Che Guevara pour une bonne nuit de sommeil et les parents, satisfaits, avaient fait de même. Kathleen fixa un moment son café. C'est toujours le même refrain, comme dans une chanson lassante. Rengaine incessante, élancement que l'on écoute, impuissant, et que l'on apprend à apprivoiser, au fil du temps.Kathleen connaissait ses journées sur le bout des doigts. La couleur du ciel lui rappelait chaque matin son amour déchu. Ce gris, presque noir, ressemblant étrangement aux dessins de Daniel semblait se moquer d'elle. Le monde entier semblait se moquer d'elle. Comme si son pion avait été placé sur la case malchance, mais que personne ne voulait plus jouer. Elle restait donc là, prisonnière de cette période de sa vie. Elle attrapa le premier bus en direction de son lycée. En y pénétrant, elle ne trouva pas de places assises, comme tous les matins. Elle agrippa une barre et se laissa bercer par le ronronnement du moteur durant le trajet. La journée passe, lassante et ennuyeuse. Le tableau recèle d'instructions pour les jours suivants qui lui prendront certainement des heures le soir, mais elle ne prend pas note. Ses soirées sont dédiées à la contemplation des étoiles, à chercher une réponse dans ces diamants célestes. Des réponses qu'elle connait, mais qu'elle se refuse à avouer. Des mensonges à elle-même. Elle se lève, quitte le lycée. Il est 18h, il fait nuit, il fait froid. Son souffle se perd en une brume glacée. Elle n’a plus rien à perdre. Le bus s’arrête devant l’impressionnant manoir. Prenant une dernière inspiration pour se donner du courage, Kathleen avance rapidement vers l’entrée de la clinique. Il l’attend, il est là. Le point de non retour est franchi. La peur est un sentiment complexe. Les enfants ont des peurs irrationnelles, les adultes ont des peurs bêtes. Marcher dans un couloir, regarder quelqu'un qui va mourir est une peur incontrôlable. Pourtant, elle avance. Paisiblement, stoïque, Kathleen avale sa salive et pousse la porte. Il est là. Il n'est plus le même. Les séances de chimiothérapie révèlent son crâne blanc, les tubes qui s'étirent de ses bras lui marquent la peau de tâches bleutés. Il a regard perdu, la mâchoire crispée par la douleur. Kathleen s'avance. Daniel relève les yeux. Elle est là. Aussi belle que la première fois. Ses grands yeux sont humides, il ne veut pas qu’elle pleure. Le silence est pesant dans la chambre, mais tout passe par les regards. Elle lui sourit, comme pour s’excuser. Il tente de lui rendre son sourire, mais cela ressemble plus à une grimace de douleur. Dieu qu’il l’aime. Jusqu’au fond de son être, il l’aime. Elle s’approche et lui saisit la main. Dans un regard, il la remercie, lui dit qu’il l’aime. Et tout fut noir.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Gabriel L. Lefevre le Jeu 23 Déc - 0:41, édité 10 fois
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 21:54
Bienvenue ici Stan Par contre l'avatar est réservé pour un pv ; pv fait qui sera mit en ligne donc disponible bientôt
Je me tiens à ta disposition pour ta nouvelle recherche d'avatar
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 22:16
Bienvenue !
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 22:37
Merci à vous deux ! Hourgh, Stan correspondait tellement bien à l'image que je me faisais de Gabriel. Tant pis ! Je vais chercher un nouvel avatar. Une petite idée ?
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 22:42
T'as un beau prénom
Bienvenue Tu recherchais quel style d'avatar physiquement/moralement ?
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 22:43
Bienvenue, bon courage pour te trouver un nouvel avatar (:
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 22:49
Merci à toutes ! C'est un personnage assez " banal " dirons-nous. Il ment souvent, pour se protéger. Il est d'origine française, et celte. C'est pour ça que Stan lui allait si bien * sort *
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:13
Bienvenue
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:16
Merci !
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:23
Welcome here ! ♥
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:30
Merci !
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:33
Welcome and have fun
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:48
Merciiiiii ! :gaby:
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Mer 22 Déc - 23:59
William bienvenue
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 0:50
Thank ! :10:
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 1:26
Bienvenuuuuue. (très bon choix d'avatar by the way, un nouveau blondinet. ) ça me fait penser qu'à l'époque où j'avais rudy j'ai fait plein d'avatar de William. (a) faudrait que je les poste sur bazzart !
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 8:31
Gabriel, j'aime ce prénom <3 Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 14:32
Un français de plus, nous domineront le forum Je viens de parcourir ta fiche & tout m'a l'air en ordre, donc un admin devrait te valider d'ici peu
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 14:55
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
& Pense à voter de temps en temps sur les top sites, principalement celui d'Obsession, merci.
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 18:50
Merci à tous ! Je sens que je vais vous aimer grand comme ça
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Jeu 23 Déc - 22:27
Bienvenue parmi nous (: Très bon choix d'avatar ♥
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée Ven 24 Déc - 16:57
Merci
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Sujet: Re: Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée
Gabriel - Il n'est rien de plus profitable qu'un mensonge habile. - Terminée
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