"L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible." de Woody Allen.
Signe(s) Particulier(s)
A part mes horribles taches de rousseur et mon sale écart entre mes deux dents de devant ? Vraiment, non, je ne vois pas.
Orientation Sexuelle
Ecoute, quand tu es bisexuel, tu as deux fois plus de chances le samedi soir. C’est encore de Woody Allen, me semble. Et c’est bien vrai.
Amedeo Werner Brackenburries
Behind the computer
Prénom: Camille. Âge : 17 ans. Avatar choisi : Oscar Spendrup. ♥ Comment as-tu connu ce forum ? : J'y étais avant. Et y'a quelqu'un qui est obligée de me reconnaître. Sinon je râle. (a) Ton avis (design, contexte, ...) : Le nouveau design est sublimissime, et y'a quelqu'un qui le sait bien. ;3 Présence sur le forum : 5/7 environ. Autre(s) compte(s) : Nope. Exemple de RP :
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Les jours de congé étaient mes préférés. Et dès que le patron de la chaîne m’en donnait un, il faisait toujours beau. J’avais toujours été plutôt chanceux. C’était toujours moi qui trouvais le gros billet perdu en plein milieu du trottoir, qui gagnais les concours par carte postale ou de coloriage et qui ne me faisais jamais choper quand je faisais une bêtise. Je devrais peut-être tenter le loto de Noël, cagnotte d’un million d’euros. J’avais passé la matinée à regarder des émissions stupides avec Gregor, celui-là même qui m’avait pourtant promis qu’il allait chercher du travail. Mais je ne me faisais pas d’illusions. En même temps, je n’étais pas doué pour lui donner envie de partir, à lui cuisiner des bons petits plats et à faire sa lessive. Ouais, j’avais un Tanguy à la maison, quelle joie. Des fois, je me demande sérieusement pourquoi j’avais proposé à mes frères d’habiter tous ensemble. Certes, c’était amusant, bon, pas avec Andreas, cependant, quelquefois, j’avais la nette impression de jouer à la maman. Je préparais des croquemonsieurs pour que Greg ne meure pas de faim lorsque le téléphone sonna. Ne m’attendant pas à ce que mon aîné se lève pour répondre, je décrochai, avec dans une main une tranche de fromage et un couteau entre les dents. Pas évident de parler dans ces conditions. Bref, c’était Panda qui m’invitait à passer l’après-midi avec elle. J’acceptai instantanément.
C’est ainsi que je me retrouvai dehors. Le soleil m’éblouissait, mais il faisait tout de même frisquet. Je marchai d’un pas dynamique, fidèle à mon habitude, le sourire aux lèvres. J’étais quelqu’un de naturellement heureux, c’était plutôt étrange, avec une vie comme la mienne. Chaque soir et parfois le midi, je débitais les pires atrocités du monde sans broncher à travers l’écran de la télévision et j’essayais juste de ne pas y penser quand je rentrais chez moi. Et vu que je me sentais incroyablement proche de toutes ces horreurs, je ne pouvais que profiter de tous les moments que m’offrait la vie. Cela me semblait logique. Je songeai que j’étais légèrement en retard et, comme pour que je le sois encore plus, mon portable se mit à vibrer dans ma poche. C’était Greg qui, naturellement, ne savait pas comment se servir de l’appareil à croquemonsieurs. Je lui dis d’appeler son autre frère à la rescousse et il commença à me raconter des histoires loufoques, il voulait simplement papoter, en somme. A croire qu’il se sentait abandonné dès qu’il n’y avait plus personne chez nous. Le nombre de fois qu’il me téléphonait alors que j’étais en plein briefing dépassait l’entendement. Il était temps de lui dégoter une fille. Je m’en débarrassai du plus vite que je pus, ce qui se révéla être fort long, en réalité.
J’aperçus Pandora plus d’une demi-heure après l’heure fixée pour notre rendez-vous. Je me contentai de lui adresser un sourire des plus angéliques, elle ne s’imaginait plus que je deviendrais ponctuel depuis longtemps. Elle me tendit un milk-shake, chocolat, mon préféré. Je m’assis à côté d’elle au bord de la fontaine. Je fis mine de réfléchir, roulant des yeux, avant de répondre à ses deux questions. « Mmmh. Greg et… Greg. Il m’a téléphoné sur le chemin, tu comprends il est tellement paumé quand il est tout seul, c’est comme un tamagotchi, il faut le nourrir, jouer avec, le soigner quand il est malade, lui chanter des berceuses pour qu’il fasse dodo... » Je marquai une pause. Mon dieu, je n’avais jamais fait de comparaison aussi exacte pour décrire mon frangin. « Quant à la cravate, c’était un pari. On l’a trouvée avant-hier au marché. Je ne pensais pas que mon patron me laisserait passer à l’antenne avec, à vrai dire. Et le fiancé, il va bien ? »
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ok by Dylan
Dernière édition par Amedeo W. Brackenburries le Mer 5 Jan - 21:16, édité 1 fois
Apparence & Style: Je ne me trouve pas beau. Je veux dire, ma mère m’a toujours dit que j’étais mignon, mais… Non. Je suis archi-complexé. Mes cheveux, c’est la seule chose que j’aime. Certes, ils font n’importe quoi et j’ai toujours la flemme d’y passer un coup de peigne, cependant, c’est pratique pour cacher mon visage. Avec une capuche, c’est encore mieux. Après, mes lèvres sont trop roses et trop pleines, j’ai l’impression d’avoir foutu du rouge à lèvres. Mes iris sont bizarres, comme s’ils étaient incapables de se décider pour une teinte, parfois ils sont bruns-verts, style yeux de loup, puis, sans savoir pourquoi, ils virent au gris. C’est perturbant de ne pas pouvoir en dire la couleur. Et pour tout arranger, je les trouve petits et rapprochés. Mon nez me déprime, enfin, il est potable. Mes sourcils sont trop épais. J’ai trop de taches de rousseur alors que je ne suis pas roux. Et je ne souris jamais, parce que sinon on verrait que mes deux incisives du haut se font la gueule. Quant à ma peau, elle est trop sensible et pas assez bronzée. Ok, j’arrête de me plaindre. J’adore les vêtements, car c’est une partie de mon physique que je peux contrôler. Quoique je ne fasse pas franchement d’efforts : la plupart du temps, je me contente de jeans délavés, de T-shirts, de sweaters ou de chemises hideuses lorsque je ne suis vraiment pas d’humeur, avec des baskets datant de l’Antiquité aux pieds. Et pour que l’on me jette des regards méprisants, je rajoute de grosses lunettes en plastique. En plus, c’est bien, ça occulte mes yeux d’extra-terrestres.
Caractère: Attentionné. Je crois que ma mère m’a toujours pris pour un martien à cause de ça. J’ai été un adolescent modèle. Je faisais la vaisselle, mettais et débarrassais la table, passais l’aspirateur, lavais et repassais le linge, préparais les repas, et ce, sans qu’on ne me le demande. J’avais juste envie que ma mère puisse se reposer en paix quand elle rentrait à la maison. Pourtant, elle s’est souvent indignée du fait que j’étais trop parfait. Encore maintenant, j’adore offrir des cadeaux et rendre service, quoique ça me fait rougir quand on me remercie… Timide. La dernière fois que j’ai tenté de m’exprimer en public, il me semble que j’ai fait un malaise. C’est ainsi depuis que je suis né. Attention, j’ai reçu une très bonne éducation. Je n’ai simplement jamais réussi à lancer un bonjour haut et fort à quelqu’un. Et encore, cela s’est amélioré, parce que je le dis. Tout bas, mais je le dis. Lorsque j’étais petit, je n’osais même pas adresser la parole à mes cousins. Autre inconvénient : dès que l’on me fait un compliment, je rougis abusivement. L’horreur. Intelligent. Je n’ai vraiment que ça pour moi. J’ai passé des tests de Q.I. enfant. Il parait que je suis légèrement supérieur à la moyenne. Pas surdoué. Heureusement, parce que j’aurais eu réellement du mal à m’adapter. Je suis seulement précoce, donc on m’a avancé de deux ans, voilà pourquoi je suis entré à l’université à seize ans. Et ce n’était franchement pas une bonne idée. A l’école, j’ai eu des facilités dans tout, sauf en éducation physique. J’ai aussi quelques talents inutiles, comme un don en calcul mental et une moyenne de vingt secondes en casse-têtes. Observateur. Je remarque tous les minuscules détails qui existent. C’est pour ça qu’il ne faut jamais m’emmener dans un musée, je repère les moindres défauts. Ma mère dit que je ferais un bon enquêteur. Moi, je trouve cela dérangeant. Surtout que je suis physionomiste, alors imaginez les hontes que je me tape parce que je reconnais quelqu’un qui lui n’a qu’une vague idée de qui je suis. Je suis le champion en titre de « Où est Charlie ? ». Et non, je n’en suis pas fier. Autonome. En l’absence d’un père et avec une mère ayant des heures sup’ chaque soir, il fallait bien que cela arrive. Au moins, quand j’ai emménagé dans mon appartement tout seul, je n’ai absolument pas été dépaysé. A vrai dire, mon indépendance, je l’ai depuis mes sept ans, et pour moi, ça n’a jamais été drôle. Certaines personnes pensent que j’aurais pu organiser des fêtes d’enfer et compagnie, au lieu de ça je préparais mon concours d’entrée à l’université et commençait déjà à coucher des thèses idiotes sur le papier. Oui, bourreau de travail en prime. Romantique. Sérieusement, le romantisme est la pire pathologie que l’on puisse attraper, de nos jours. Et j’en suis très atteint. Je suis du genre à croire à la belle princesse emprisonnée dans sa haute tour ou au valeureux prince charmant sur son fougueux destrier. Et je suis extrêmement doué pour faire des analogies avec la réalité. Je me fais vite des films dans la tête et comme mes sentiments ne sortent jamais avant, les désillusions me reviennent toujours en pleine tronche. Et c’est assez douloureux. Maladroit. Je ne compte plus le nombre de bibelots que j’ai détruit dans ma courte vie. Dites-vous juste, qu’au final, ça coûte très cher en réparation. Des fois, je me demande si je ne suis pas victime d’une malédiction. Après tout, les coins des meubles qui sont toujours dans mon chemin, les verres qui explosent alors que je ne fais que les tenir, les plaques de verglas qui se glissent systématiquement sous mes pieds… Je ne me trompe pas quand je dis que j’ai la poisse, n’est-ce pas ? Sensible. Je dois être le garçon qui a versé le plus de larmes au monde. Je pleure devant les films de série B, les livres dramatiques, les peintures trop expressives, les oignons aussi, mais ça c’est différent. Bref, je ne suis jamais parvenu à retenir mes larmes, même en public. D’ailleurs c’est généralement dans ces moments-là que cela survient. Du coup, je me cherche de fausses excuses : « Ce sont mes allergies », « J’ai une crasse dans l’œil » ou encore « Tu n’as jamais eu les yeux qui pleurent tous seuls, toi ? ». Attachant. Je n’ai aucune idée de si c’est la vérité. En tout cas, la plupart des personnes qui m’ont dragué m’ont lâché ça. D’accord, elles ne sont pas nombreuses, mais j’ai le droit de rêver. Oui, ma mère me l’affirme depuis que je suis tout gamin, enfin, je suppose que ça ne compte pas. Je présume que c’est une mauvaise chose, car c’est pour cette même raison que je me suis fait larguer, la plupart du temps. Oui, on m’en a servi beaucoup des : « Tu es trop adorable, pardonne-moi, ce n’est pas pour moi. ». Paradoxal. Mon paradoxe se déclenche avec l’alcool. C’est bien plus qu’un désinhibant pour moi, c’est un peu ouvrir la cage aux lions. Il semble que je fasse des trucs dangereux quand je suis dans cet état, comme me promener sur la bordure du toit d’un immeuble en titubant. Ce n’est qu’une légende, mais je crains que je m’en souvienne un peu. Ma mère n’est pas au courant. Personne ne sait, je n’ai même pas l’âge pour boire. J’ai dû m’inventer un jumeau maléfique pour me tirer de là…
Dernière édition par Amedeo W. Brackenburries le Jeu 6 Jan - 21:42, édité 3 fois
Gaby. J'suis pas sûre de la vouloir c'te statue. XD Mais merci quand même.
N'amour. Le teckel te dit bonjour. Moi aussi te n'aime. Malgré ces smileys suspects. >.> T'imagines pas l'effort pour trouver un nouveau chéri. M'enfin, le mieux c'est que j'ai déjà quasiment fini ma fiche. XD Heaven. Marchiiii.
Dimitri c'est mon deuxième belge préféré. Bah euh... Zacky Korowsky ça te dit quelque chose ? Je sais même plus l'écrire correctement. XD En tout cas, merci.