Apparence & Style: *"Veuillez vous décrire physiquement ainsi que votre style vestimentaire" C'est n'importe quoi ce test tout ça pour travailler dans un fast food* - Camille ne roulant pas sur l'or avait décidé de postuler pour un job en accord avec ses horaires scolaires pour remplumer son compte en banque et espère survivre une année de plus dans la Grande Pomme - *Aller hop, c'est parti ! alors beau gosse, 1m80, yeux vert, non soyons sérieux * Haut d'un mètre quatre vingt, je suis plutôt mince et musclé dû à mes entrainements de sports hebdomadaire, j'ai les cheveux bruns assez court qui sont pour la plupart du temps arrangés en bataille. Pour la couleur de mes yeux demandé la à la météo, plutôt vert lors de belles journées ensoleillées, ils vous apparaitront bleu/gris si quelques nuages voilent le ciel, et marron si la pluie vient s'inviter.Quant à mon teint de peau il est plutôt blanc, oui on me le reproche souvent vous savez avec les "Ouh t'es blanc comme -la 17eme lettre de l'alphabet -" Pour faire court je suis un jeune homme au physique assez banale vous savez le jeune homme stéréotype du sportif de l'université. Bien évidemment comme bon nombre de jeune homme dans notre société, j'aime prendre soin de mon apparence mais rien de bien complexe, toujours rasé de près je trouve la barbe négligée si elle est mal entretenue.
En ce qui concerne mon style vestimentaire, c'est plutôt sweat à capuche ou veste de football américain, jean voire jogging, je suis quelqu'un qui vestimentairement parlant se prend pas la tête. Mais je suis quand même quelqu'un qui aime suivre la mode et se l'approprier à sa manière, je ne sors bien évidemment pas tous les jours en jogging, je suis aussi adepte du style sportwear chic.
Vous l'aurez compris ne vous faites aucun tracas je porterais votre uniforme à merveille, et la recrudescence des jeunes filles dans votre magasin montera en flèche.

Caractère: Du haut de ses 22ans, le jeune Camille n'est pas pour autant un jeune qui a perdu le sens de la vie et qui n'a plus de but dans la vie, bien au contraire le sport en est pour beaucoup dans cette maturité qu'il aborde, le sens du respect de la compétition et du dépassement de soit, les valeurs inculquées par le sport sont surement les meilleures bases pour un enfant puis à venir pour un adolescent. Le sport a fait de lui l'homme qui est aujourd'hui, un homme respectable et respectueux d'autrui. Après toute cette description on pourrait croire que Camille est l'un de ces jeunes qui ne profite pas de la vie, ne sachant pas s'amuser, pourtant le jeune homme est un grand fêtard qui aime s'amuser. En effet le jeune homme a été diagnostiqué hyperactif à l'âge de 4 ans, depuis il ne peut s'empêcher de rester en place à rien faire, les médecins lui ont alors conseillés de pratiquer un sport pour se canaliser, chose qui se révéla très efficace lorsque Camille commença le basket, où il se révéla prometteur. La panoplie du gendre idéal lorsqu'il était en France il prenait des week-end entiers pour faire du bénévolats dans des associations lorsqu'aucun match n'étaient prévus. Bon finit l'éloge, passons à ses défauts, Camille est quelqu'un d'EXTRÊMEMENT impatient, râleur et têtu.

Né d'un père breton et d'un mère anglaise immigrée en France depuis des années, Camille vient au monde le 8 Février 1988 dans une famille modeste du nom de Kermarrec, famille issue de la vielle Bretagne. Dès qu'il eut l'âge de rentrée à l'école sa mère pris la décision de le placer dans une école franco-anglaise car de nos jours l'anglais est quasiment indispensable pour s'épanouir professionnellement. Il entre au collège sans aucuns soucis majeurs et maitrise presque parfaitement l'anglais. Il obtient des résultats quasi excellent ce qui en fait la fierté de ses parents, qui se soucis moins de leur inquiétude quant à son avenir professionnel car de nos jours on exige beaucoup de nos enfants mais c'est uniquement pour leur bien-être futur. A l'âge de 4ans, ses parents qui les premières années ne se soucièrent guère de sa débordante énergie qui les épuisaient chaque jours, commencèrent à se poser quelques questions à ce sujet. Ils l'emmenèrent donc chez un médecin qui diagnostiqua une hyperactivité rien de bien méchant en ce qui concernait son cas, mais un sport serait le bienvenue pour canaliser ce trop plein d'énergie. Le père de Camille l'inscrit alors au basket dès l'âge minimum requis, et le jeune garçon se révéla prometteur au bout de quelques années, et le must dans tout ça c'est que ce sport lui plaisait et lui permettait de s'épanouir. Vient alors tous les petits train-train de la vie d'un adolescent petites copines, première cigarette, premières soirées, premières crises avec les parents et bien encore. Rien de bien palpitant jusque là digne d'une grosse production hollywoodienne. Il obtenu alors son brevet - ouais vous m'direz fastoche pas d'quoi s'en vanter - puis en suivant son BAC, et là le néant dans la tête de ce beau breton. Que faire après le BAC ? c'était LA question qu'il se posait depuis les admissions Post-Bac. Il prit donc une année sabbatique afin d'en apprendre un peu plus sur lui même, direction la grande pomme.


Le changement fut rude, en partie pour la langue malgré qu'il la maitrise parfaitement, mais aussi pour la vie de tous les jours passer de Brest à NY, comment vous dire? C'est improbable. Pendant une semaine, il sillonna la ville façon touriste un appareil photo dans une main, la carte de NY dans l'autre les lunettes sur le nez et le regard vif. Puis l'infructeuse recherche d'appartement commença - impossible de trouver un Stéphane Plaza new-yorkais - mais rien à faire, chercher un appartement pas trop chère à NY où près de NY relevait du 13em travaux d'Hercule. Il finit par trouver un job dans un petit restaurant italien tenue par une petite famille très sympathique - surtout leur fille très très sympathique, vous avez compris - il y rencontra aussi une collègue avec qui il se lia d'amitié et ce dernière lui proposa une colocation après avoir largué son copain, chacun y trouvait son compte lui un endroit stable et confortable où dormir et elle la moitié du loyer qu'elle ne pouvait pas se permettre de payer. Les mois passèrent bien entendu il donnait des nouvelles à sa famille. Il fit de merveilleuse rencontre tel qu'un homme la quarantaine rédacteur en chef d'un journal, lequel lui fit découvrir le journalisme à Camille ce qui fut le coup de foudre. Il y travaillait quelques heures par semaine non pas en tant que journaliste mais en tant que bénévole pour apprendre quelques filons dans le métier. Une année passa et l'attachement à NY que Camille portait se concrétisa lors de son inscription dans la célèbre Université de Fordham, dans la section Journalisme.