" Ne dors jamais le matin, sinon tu ne sauras jamais quoi foutre l'après-midi." de Coluche.
Signe(s) Particulier(s)
Il est rare que les jeunes soient sans tatouages ou piercings et pourtant, Matt en est le parfait exemple. C’est surement dû au fait que le jeune homme soit loin d’être rassuré en la présence d’aiguilles mais nous n’en prendrons pas parti et nous dirons simplement qu’il préfère resté tel que Dieu l’a fait. Le jeune homme a cependant deux cicatrices, l’une sur l’un de ses pectoraux, l’autre sur la main droite, blessures de guerre lorsqu’il était petit.
Orientation Sexuelle
Il n’y a pas de doute là dessus, d’ailleurs, il n’y en a jamais eu. Matt est et restera probablement toute sa vie cent pour cent hétérosexuel.
Matthew Jake OXFORD
Physique & Caractère
Apparence & Style: Matthew est plutôt un beau garçon, ça, quiconque le regarde ne peut que l’admettre. Et pourtant, il n’en joue pas plus que ça. A dire vrai, il ne se trouve pas franchement très beau. Bien sûr, il n’est pas ce genre de mec à rester quatre heures devant son miroir à tenter de se faire beau, non, il est même plutôt délaissant de ce côté-là. Il se fiche de son style et s’habille selon ses envies. Plutôt grand il est également bien bâtit ce qui lui donne un avantage considérable notamment pour le sport, sport qu’il adore pratiquer d’ailleurs, d’où cette carrure plutôt carrée. Matt a également une belle gueule bien qu’il soit loin d’être ce genre de mec aux yeux clairs et sourire impeccable. Non, lui c’est plus du genre plein de charme avec une pointe de candeur dans le regard. Brun au cheveux courts, ça lui va bien. Il n’est pas non plus du genre à chercher le truck original qui attirera le regard des filles sur lui. Non, pour lui, bien que l’aspect physique compte beaucoup, ça n’est pas le plus important. Bien sûr, il sait se faire élégant quand l’occasion se présente mais sinon il est plutôt du genre jeans, t-shirt et baskets basiques. Ni plus, ni moins.
Caractère: Le moins que l’on puisse dire est que Matthew est loin d’être le genre de garçon qui se prend la tête. D’ailleurs chez lui, tout n’est que je-m’en-foutisme, trait de caractère qu’il tient de sa très chère maman. Matt est plutôt attachant et très amical ainsi que sociable. Ce sont probablement ses principales qualités outre le fait qu’il soit un garçon très charmant et loyal. Il est bien dans sa peau et ça se voit. De toute façon Matt n’est pas du genre à parler de sentiments ou d’autres choses dans le genre, il intériorise beaucoup de ce côté-là. Matt est également un grand sportif. Le sport l’empêche d’être violent, il se défoule grâce à celui-ci. Matt est d’ailleurs un gentil gars, très simple, naturel et parfois un peu simplet bien qu’il soit particulièrement intelligent, même si on a tendance à ne pas le voir tout de suite. Matt est également plutôt débrouillard bien qu’il soit très attaché à sa famille. Il est aussi protecteur, bien que ça dépend avec qui et drôle, dans son genre. Plutôt attendrissant, il se sert beaucoup de cette qualité pour attirer les filles. Et le pire, c’est que ça semble marcher. Sensible, il refuse de se l’admettre voulant se la jouer gros dur bien qu’il soit en réalité une vraie petite chochotte qui tremble devant la moindre aiguille. C’est également un gars un peu maladroit qui se veut sûr de lui. Mais bon, il est comme ça notre Matt et c’est ainsi qu’on l’aime !
Behind the computer
Prénom: deby Âge : 18 ans Avatar choisi : Cory Monteith Comment as-tu connu ce forum ? :par partenariat Ton avis (design, contexte, ...) : OUAH *.* Présence sur le forum : tous les jours Autre(s) compte(s) : nop Exemple de RP :
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BOUM BOUM BOUM. Il avait l’impression que son cœur allait exploser. Il avait l’impression que seul les battements effrénés de son cœur étaient audibles, que sa cage thoracique n’allait pas contenir le bouquant qui prenait place à l’intérieur de lui. C’était comme si une grosse fête organisée par les Bg Calbut en personnes - les meilleures fêtes d‘ailleurs -, était en train de battre son plein dans son bidon. Cela le fit sourire seulement un quart de seconde, avant que son visage ne reprenne cette expression angoissée qu’il abordait depuis maintenant plus de dix minutes. C’était la seconde fois en peu de temps qu’il se retrouvait devant cette porte. Celle de l’appartement 503. A vrai dire, la fois précédente, ça c’était plutôt mal passé. Un espèce d’abruti avait ouvert la porte le virant, « gentiment » de là. Max ne savait si Quinn avait été mise au courant de sa visite ou non et ça l’angoissait un peu. A vrai dire, depuis qu’il l’avait croisé dans cet escalier il y avait quelques semaines, il ignorait ce qu’il lui arrivait. Au début, il avait pensé être malade. Il avait passé des heures et des heures à se morfondre dans son canapé. Ensuite, il avait pensé à une simple attirance qui virait presque à l’obsession, parce qu’en la voyant tant d’années après, Max c’était rendu compte que Quinn n’était plus cette gamine avec qui il avait passé presque toutes ses vacances scolaires. Non, Quinn, était une femme et la plus belle qu’il ait jamais vu sur cette terre. Pourtant, il en avait déjà vu des jolies filles, ça n’était pas une simple attirance. Alors que lui arrivait-il ? Il était amoureux d’elle depuis si longtemps qu’il ignorait que ce sentiment qu’il ressentait était de l’amour. Cette gamine, il en avait longtemps été amoureux, et l’été où il ne l’avait pas trouvé, voyant à la place une grande maison vide, son cœur s’était brisé. Il n’en avait jamais eu conscience et ces sentiments longtemps cachés ne s’étaient jamais vraiment ternis puisqu’il lui suffit d’un regard des années plus tard pour se ressentir au plus profond de lui-même ce qu’il avait pu ressentir étant gosse. Alors, il avait passé des jours et des jours à réfléchir à ce qui pouvait bien lui arriver. Ses meilleurs potes et colocataires avaient bien remarqué ce changement chez lui. Max était le genre de mec à ne se prendre la tête pour rien au monde, et encore moins pour une fille. Mais là… c’était Quinn. Ca changeait la donne. Cette après-midi là, Max était une fois de plus en pleine déprime dans sa chambre lorsque Bhowy et Siméon étaient entrés brusquement. Bhowy s’installant sur le lit et Siméon derrière sa batterie, dans un coin de la chambre. Max les avait presque ignoré. Il était assis sur sa chaise de bureau, s’amusant à tourner sur lui-même, un joint éteint dans la main. A vrai dire, c’était un signe de son mal être. D’habitude, lorsque Max roulait un joint, c’était pour le fumer, or, là, il l’avait rouler sans même l’allumer. Et ça n’échappa pas à Siméon : « - Bon mec, y en a ras le cul là ! ». Max sursauta et regarda son ami, sans vraiment comprendre. Bhowy prit alors la parole : « - nous regarde pas avec tes yeux d’abruti fini ! Ca va pas, ça se voit ! ». Max haussa les épaules, comme il savait si bien le faire. « - Non, mais je vous jure ça va les mecs ! ». Pas très convainquant. A vrai dire, il essayait de se convaincre lui-même. « - Oh tu nous prends vraiment pour des cons !!! ». Siméon n’avait pas tord, mais Max ne dit rien. « - Va la voir… ». Il n’avait pas besoin de demander qui. Ses meilleurs amis le connaissaient mieux que personne, sans eux, il n’était rien et ils savaient pertinemment combien la rencontre avec Quinn l’avait troublé. Alors, depuis maintenant dix minutes, il stagnait devant la porte 503, un bouquet de fleurs quelconque - conseillé par les soins de Bhowy - dans les mains, des vêtements repassés - et empruntés à Simé - sur le dos. Il souffla une bonne fois et appuya sur la sonnette, fermant les yeux quelques secondes. Et si le mec de la dernière fois était encore là ? Il lui foutrait son poing dans la gueule cette fois, à coup sûr. Et si Quinn n’était pas chez elle ? Et si elle n’était pas contente de le voir ? Et si elle ne le reconnaissait pas ? Et si… comme on dit, on peut refaire le monde avec des « et si ». Pourtant, c’est patient que le jeune homme attendit, son cœur battant beaucoup trop rapidement, le souffle court. Il appréhendait et ignorait ce qui pouvait bien lui arriver. Alors, la porte s’ouvrit, lentement. Il cessa de respirer quelques secondes avant de reprendre son souffle à la vue de Quinn, plus belle que jamais. Ses grands yeux bleus semblaient le transpercer et il dut se ressaisir pour ne pas rester en admiration et passer pour un débile mental. « - euh… salut… ». Il était hésitant et ne savait où regarder sans devenir indiscret. Il tendit alors son bouquet de fleur et lui sourit timidement. « - Tiens… c’est pour toi… » .
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 17:10
L'histoire
(c) PARANOID™
« - Monsieur Oxford, est-ce que vous m’entendez ? »
On dit souvent que lorsque l’on est sur le point de mourir, de rendre notre dernier soupir, et bien c’est à ce moment là que l’on se souvient de notre passé, que tout nous revient en pleine figure, les bons comme les mauvais moments. C’est le genre de chose qui m’arrive en ce moment même tellement la douleur est intense…
« - MATT TU VAS LA RANGER TA P*TAIN DE PIAULE, MERDE ?!? »
Et voila le genre de phrase dont j’ai eu droit tout au long de mon enfance. Je suis né et j’ai grandi dans le New-Jersey, dans une petite maison se situant dans les quartiers modestes. Nous étions loin d’être riche et c’était le genre que l’on voyait à des kilomètres à la ronde. Parce qu’en plus de vivre dans un lieu délabré, nous avions l’allure qui allait avec et le langage également, loin d’être distingué. Ma mère, Susan, était une femme vulgaire comme on en voit peu. Elle criait à longueur de journées et travaillait dans un petit salon de coiffure au coin de la rue. Elle était ce genre de femme à la teinture non naturelle et au maquillage beaucoup trop appuyé. C’était le genre de femme que les dames regardaient de travers. Elle en avait conscience et ça la faisait marrer. A dire vrai, souvent, elle s’amusait à provoquer ce genre de personne avec son franc parlé. Ma mère était une personne peu respectable et pourtant, c’est elle qui contribua au bonheur que représente mon enfance. Mon père ? Je ne l’avais jamais vu et je n’en avais jamais entendu parler ou peu. Lorsque j’allais voir ma mère et lui demandais de m’en parler, elle se contentait de me répondre avec ce je-m’en-foutisme dont elle était maitresse : « - ton père ? C’était qu’un sal petit con bourgeois ! Un mauvais coup au pieu en plus ! ». Ma mère était ma seule et unique famille et si je voyais défiler les hommes dans son lit, aucun ne réussit à attirer mon attention. Je savais pertinemment que deux semaines plus tard, malgré les dires de ma mère comme quoi celui-là, c’était l’homme de sa vie ect, et bien deux semaines plus tard, elle serait en pleurs sur son lit à l’insulter et le remplacer par le premier venu. Ma mère était une femme sensible sous cette carapace de vulgarité. Elle n’avait pas eu la vie facile. Pourtant, elle m’aimait, à sa façon, mais elle m’aimait, je n’en ai jamais douté. Nous vivions très précairement mais on s’en fichait. Dans mon quartier, nous étions plus d’une dizaine de gosses, tous ayant pratiquement la même situation. D’ailleurs nous étions très soudés, de vrais frères. Nous étions les chefs du quartiers et nous faisions trembler les gosses de riches.
Mon petit train-train quotidien fut chamboulé un jour de novembre, j’avais douze ans. Ma mère était encore à l’étage, dans sa chambre avec un inconnu d’un soir. Un homme parmi tant d’autres. Moi, je prenais mon petit déjeuner tranquillement dans notre petite cuisine. Il était tôt. J’avais entendu du bruit dans les escaliers et rapidement le visage de l’homme ayant partagé le lit de ma mère quelques minutes plus tôt m’apparut. Il me suffit d’un seul et unique regard pour me rendre compte que cet homme n’était pas comme ceux que j’avais tant de fois croisé dans cette même cuisine. Non, lui il avait une certaine allure. Il semblait sympathique et intelligent. Un petit bourgeois comme ma mère semblait les détester. Il était légèrement plus vieux qu’elle, touchant de près la cinquantaine à en voir ses cheveux grisonnants. Il m’avait lancé un sourire amicale et s’était servi un café tout en s’installant sur une chaise, en face de moi. « - Tu dois être Matthew. Ta maman m’a beaucoup parlé de toi… ». Ca n’était pas le genre de phrase que j’avais l’habitude d’entendre de la part des conquêtes de ma mère. Et j’avais raison puisque trois semaines plus tard, ils étaient encore ensemble et deux semaines encore après, il la demanda en mariage. Cet homme n’était autre qu’un grand homme d’affaire. Andrius Bellamy. Un homme riche de pouvoir. Marié une première fois à une riche héritière, il avait divorcé depuis de longues années se rendant compte qu’il passait à côté de sa vie. Il était désormais marié à ma mère, cette dernière abordant ce sourire qui ne la lâchait désormais plus. Nous déménageâmes de notre quartier minable pour vivre avec lui dans un énorme appartement à New-York même. Tout avait été si rapide que je ne savais quoi dire, quoi faire. Le prendre en affection ? Je ne savais pas. Andrius était très gentil avec moi. C’était la première fois de ma vie qu’un homme tentait d’établir un lien père-fils avec moi. Pourtant, je gardais cette distance avec lui, cette distance qu’il tentait de réduire jour après jour. Plus il avançait, plus je reculais. Je restais sur mes gardes tout en restant très correct avec lui. C’était comme si ma mère et Andrius étaient dans une bulle de bonheur et que moi, je restais à l’écart, à les regarder jour après jour plus heureux que jamais.
Un soir, alors que je flânais devant la télévision, ma mère étant déjà couché, Andrius vînt s’assoir à côté de moi. L’appartement était immense et plongé dans le noir. Nous vivions ici depuis quelques mois seulement. Je changeais les chaînes rapidement, ne trouvant aucuns programmes me satisfaisant. Andrius sortait du lit, un verre d’eau dans la main. Il ne disait rien, se contentant de fixer de son grand regard clairs l’écran géant de télévision. « - Tu ne m’aimes pas beaucoup… n’est-ce pas, Matthew ? ». Je cessa un quart de seconde d’appuyer sur la télécommande, avant de fermer rapidement les yeux, de les ouvrir et de continuer mon « changeage » de chaîne comme si de rien était. Moi-même j’ignorais la réponse et je préférais feindre l’ignorance que de répondre. « - Tu sais… c’est nor/ ». Il se coupa m’ordonnant, en me tapotant sur le bras, de revenir quelques chaines en arrière. Je m’exécuta sagement, me demandant ce qu’il lui prenait avant de m’apercevoir qu’Andrius voulait simplement regarder le match de football américain. Je resta quelques minutes à le fixer, tandis qu’il semblait à fond dans ce qu’il se passait sur la télévision. Ses pupilles brillaient, ses bras réagissaient au moindre coup de sifflet. Moi, je restais admiratif de cette passion qui semblait l’animer. Il finit par se sentir observé et se tourna vers moi. « - Tu n’aimes pas le football ? ». J’haussa les épaules et plongea mon regard sur l’écran de télévision. « - Tu n’y as jamais joué, n’est-ce pas ? ». Je baissa le regard. Non. Et j’en étais honteux. Pourquoi ? Ca me rappelait ma vie quelques mois plus tôt, ma vie de débauche et de pauvreté. Le sport n’était pas un passe temps que je pouvais me permettre. Désormais, je vivais dans un monde complètement différent dont j’étais novice. Il me tapota l’épaule, me sortant de mes réflexions et me regarda gentiment : « - Ne te couches pas trop tard, demain, on se lève tôt ! ». Je n’avais tout d’abord pas compris sa remarque. Le lendemain, c’était un dimanche et le dimanche, j’avais pour habitude de me lever tard. Il se leva alors, me fit un dernier sourire auquel je ne répondis pas et partit se coucher. Je l’imita quelques longues minutes plus tard.
Le lendemain matin, un brutal coup de sifflet m’avait réveillé. « - Debout champion ! Je te laisse cinq minutes pour te lever et déjeuner, après quoi, on sort ! ». Il était à peine sept heure, j’hallucinais. Pourtant, je me leva et déjeuna très rapidement. Je n’eus même pas le temps de prendre une douche et une fois de retours dans ma chambre pour m’habiller, j’aperçus une tenue de footballer, là, sur mon lit. Enfin, tout s’éclairait. Andrius voulait me faire découvrir ce sport qu’il aimait tant. J’enfila alors les affaires et le rejoignis dans le hall de l’appartement. Il m’emmena dans un stade, grand et vide. Là, était également présent un homme, grand, jeune et très bien taillé. J’ignorais qui il était et rapidement, Andrius me le présenta comme le capitaine de l’équipe nationale de football américain. Je supposais qu’il était une célébrité et je n’eus pas tord. En cette matinée de mes douze ans, je passa la meilleure matinée de toute mon existence, découvrant ce sport pour lequel je me pris pour passion. Rapidement, ces entrainements les dimanches matins devinrent une habitude et ce sport nous rapprocha, Andrius et moi. Il devînt peu à peu le père que je n’avais jamais eu et d’après lui, j’étais la future star du football américain.
Je grandis peu à peu, arrivant enfin au lycée où j’intégra l’équipe de football de l’école. Ma vie avait radicalement changé. J’étais très entouré et j’aimais ça. Pourtant, au fond de moi, je restais ce gamin débrouillard et pauvre du New-Jersey. J’étais simplement plus grand, plus riche et plus populaire, mon statu de quater back me donnant une popularité enviée de tous. C’est aussi à cette époque que je découvris l’amour pour la toute première fois, j’avais quinze ans. Elle s’appelait Rachel. Elle était blonde, belle et faisait partie de l’équipe des cheerleaders du lycée. Je sais, c’est incroyablement banal, mais ça n’était pas un amour superficiel comme on peut tant en voir dans les lycées de nos jours. Non, Rachel était… différente. Douce, belle, sportive, généreuse. En apparence, elle paraissait aussi garce que toutes les autres pom-pom girls. Et pourtant, la première fois que je m’intéressa à elle, c’était un soir, alors que je revenais de chez un ami. Je l’avais vu, là, à travers la vitrine d’un petit restaurant dans lequel elle était serveuse. Elle aidait une vieille femme à sortir du restaurant. Elle m’attendrit. J’étais alors allé lui parler et j’avais réussi à obtenir un rendez-vous avec elle. Tout se passa rapidement ensuite et Rachel et moi formions le plus beau couple du lycée, ou presque, même si ça ne nous intéressait pas d’être les rois et reines du bal de promo. On s’en foutait, on s’aimait et c’était tout ce qui comptait.
Lorsque j’y réfléchis, je crois bien qu’à cette période de ma vie, j’étais heureux, véritablement heureux. Pourtant, à mes quinze ans, une nouvelle chamboula ma vie. Andrius avait une fille. Ni ma mère, ni moi n’étions au courant. Pourtant, il prit le temps de s’expliquer. Carter avait sept ans et sa mère n’était qu’une manipulatrice. A dire vrai, elle avait couché avec Andrius que pour son argent mais rien n’avait marché comme prévu, elle avait donc ôté le droit à ce dernier de voir son futur enfant, Carter. Pourtant, cette femme mourut et c’est à cette époque là que Carter intégra notre famille. Carter était la petite sœur que je n’avais jamais eu. Bien qu’elle ne connaissait ni Andrius, ni Susan, ni moi, elle s’intégra rapidement grâce à cette vivacité qui était sienne. Carter était une pile électrique et une gamine comme on en voit peu. Rapidement, nous sommes devenus de vrais frères et sœurs et je me jura de la protéger jusqu’à mon dernier souffle.
Enfin, je finis par obtenir mon diplôme de fin de secondaire et sous les conseils de mon beau-père, j’intégra la faculté de New-York. Ainsi, je pouvais continuer à pratiquer ce sport qu’est le football et devenir comme je le rêvais depuis longtemps professionnel et également avoir une roue de secours au cas où cela ne marche pas. Pourtant, le jour de la remise des diplômes, je vis Rachel en plein bouche à bouche avec un ami de l’équipe de football et la remise des diplômes tourna au vinaigre puisque je lui colla mon poing en pleine figure sur la petite scène où nous étions sensés sourire et serrer la main au directeur de l’école. Je fut sanctionné pour ça mais je m’en fichais. Mon ami m’avait trahi et ma copine brisé le cœur. D’ailleurs Carter était bien la seule à me redonner le sourire à cette époque là…
« - Monsieur Oxford… ça va ? »
J’ai mal… je crois bien que je suis mort. D’ailleurs, c’est pour ça que toute ma vie me revient à l’esprit… J’ai les yeux fermés, si fort que j’en ai un peu mal mais de toute façon la douleur à mon bras droit et bien trop forte pour qu’autre chose ne vienne… Mais attendez…Je suis vivant ? J’ouvre les yeux, la lumière blanche m’aveuglant légèrement. Une infirmière est devant moi, les bras croisés : « - Bon vous avez fini votre cinéma monsieur Oxford ? ». Qu’est-ce qu’elle raconte ? J’ai mal, tellement mal que je maintiens mon bras à l’aide de mon autre bras. La douleur me crispe le visage et l’infirmière ne semble pas se dérider pour autant : « - Vous n’êtes qu’une chochotte ! Non mais sérieusement, pour une simple prise de sang vous nous faites un malaise ! ».
Dernière édition par Matthew J. Oxford le Lun 27 Déc - 1:16, édité 2 fois
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 17:20
Welcome dude !
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 17:40
Bienvenue.
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 18:47
Merciiii
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 18:54
Bienvenue par contre Cory est reservé pour un futur pv :s
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 18:58
ah mince, je voulais vraiment le jouer...
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Dim 26 Déc - 20:49
Bienvenue
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 0:51
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation C'est bon tu peux garder cet avatar (a)
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 0:56
CORY Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 0:58
Bienvenuuu
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 1:00
Savannah L. Walsh a écrit:
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation C'est bon tu peux garder cet avatar (a)
VRAI ?!? MERCIIIIIIIIII
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 1:04
Non c'était une blague désolée :s on en a vraiment besoin pour les pvs (a) OUI VRAI bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 1:16
PTDR Le pire dans cette histoire c'est que j'y ai cru pendant quelques secondes *sort* merci (a)
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 1:27
CORYsexyMONTEITH Je veux un lien de la mort qui tue Bienvenue
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 1:33
YEAH KIKIhotSTEWART merci & avec plaisir (:
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 2:06
T'es sur d'avoir fini? Oui ça me stresse que ça fini sur une bagarre (a) Mais si tu n'as rien oublié, je valide!
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 2:12
sur une bagarre oO ?
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 2:15
J'avais pas compris la fin (a) *va aller se coucher vite vite*
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
& Pense à voter de temps en temps sur les top sites, principalement celui d'Obsession, merci.
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫ Lun 27 Déc - 2:18
Ah bah bravo nan j'rigole, c'est vrai que c'était pas très clair MERCIIIIIII
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Sujet: Re: MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫
MATT ● Parce qu'il le vaut bien ♫
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