"Tout est plus glamour sur un lit, même éplucher des pommes de terres" de Andy Warhol
Signe(s) Particulier(s)
N'a ni tatouage, ni piercing cependant elle est particulièrement accro à la caféine et fait toujours les boutiques lorsqu'elle est triste.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle jusqu'à nouvel ordre (:
Cleo Elizabeth Delavoie
Physique & Caractère
Apparence & Style: Cléo semble à première vue, être une petite bourgeoise qui toujours eu une cuillère en or dans la bouche et elle ne pourrait jamais le nier. D'ailleurs son apparence le prouve bien à toute personne, blonde aux cheveux longs et aux yeux marrons on pourrait croire qu'elle passe inaperçue et c'est ce qu'elle veux mais pourtant ce n'est pas le cas. Peut-être est-ce à cause de la lueur de malice que l'on perçoit dan le regard, du fait que ses vêtements de marques semblent lui aller comme une deuxième peau ou alors le fait que malgré des talons hauts, elle semble marcher naturellement. Voulant être discrète, miss Cléo ne se maquille pas beaucoup préférant le naturel mais n'ose pas à se mettre en jupe ou en robe. Ces jambes, c'est ce qu'elle préfère chez elle ou peut-être même ce qu'elle aime tout simplement. Elle déteste son nez trop grand pour elle, ses yeux trop sombres et qui ne semble pas faire ressentir grand chose, mis à part la distance qu'elle aime mettre entre elle et les gens. Sinon, Cléo n'a pas de style vestimentaire propre bien que beaucoup trouve qu'elle et son style son beaucoup trop sage pour une fille comme elle, pourtant cela lui convient bien à notre petite demoiselle (a)
Caractère: Cléo c'est le genre de fille sage, trop sage même. On dirait qu'elle à peur de vivre, le regard des autres important véritablement pour notre petite blonde, c'est à peine si elle ne vit pas pour eux. Discrète et sérieuse, on pourrait croire qu'elle adore travailler et pourtant elle ne se sent pas à sa place. Cependant pour faire plaisir à tout le monde, elle y reste et bûche pour ramener des bonnes notes. Aimable et souriante, Cléo est le genre de personne à qui on peux se confier totalement car on sait qu'elle ne répétera jamais quoi que ce soit, c'est le genre de personne qui n'aime pas beaucoup se confier mais qui entourée des bonnes personnes peux faire des merveilles et est capable du pire comme du meilleur pour les siens. Gagner sa confiance, ne semble pas très facile car la jeune femme ne laisse pas entrer beaucoup de personnes dans son monde et en laisse encore moins sortir, Cléo c'est le genre de fille qui reste fidèle jusqu'au bout si on jure de ne pas lui faire de crasse mais qui c'est être unie véritable teigne si on lui en fait une. Rancunière et colérique, il ne vaux mieux pas se la mettre à dos car sous ses airs de douce jeune fille de bonne famille c'est un véritable volcan qui est prêt à se mettre en éruption pour la moindre chose. Miss Delavoie est celle qui s'excuse pour tout et n'importe quoi, le genre de fille banale et à qui on ne s’intéresse pas au premier regard et pourtant on sait après coup, qu'on à fait une erreur...
Behind the computer
Prénom: Kat' Âge : 17 ans Avatar choisi : Anne Marie Van Dijk Comment as-tu connu ce forum ? : Partenariat Ton avis (design, contexte, ...) : Superbement organisé ! & très beau design (a) Présence sur le forum : 2/7 (internat) Autre(s) compte(s) : // Exemple de RP :
Spoiler:
lle se sentait vivre, pas au sens commun et comme tout être humain pouvait l’entendre. Non elle vivait comme jamais elle n’avait vécut, sentant la plus fine veine traverser son corps, sentant son souffle s’accélérer un peu, son cœur rater quelques mouvements et des légers tremblements aux bouts de ses doigts. C’était comme lorsqu’elle jouait du violon et que la russe sentait que deux ou trois accords étaient parfaits, sauf que c’était beaucoup plus fort. Inexplicable oui c’est inexplicable car il n’y avait aucun mot dans aucune langue afin d’exprimer ce qu’elle ressentait. C’était à peine si Konstantine croyait qu’elle était la même personne qu’habituellement, la douce mélancolie qui l’entrainait en des bas fonds n’était plus qu’un lointain souvenir et sa plus grande peur qu’elle ressassait sans cesse et que l’on pouvait parfois apercevoir sur son visage, celle de la souffrance n’avait plus aucune raison d’être. Cela faisait bien longtemps que la russe se sentait si … bien, une sensation qu’elle croyait ne plus jamais pouvoir connaître. Ses yeux se refermèrent quelques instants mais Konstantine ne put s’empêcher de les rouvrir et de plonger ses prunelles dans le regard sombre du Fitzgerald. Noir avec quelques reflets un peu plus clairs, elles étaient si sombres que l’on n’y pouvait rien décerner et pourtant Konstantine semblait y voir une once d’espoir et de vérité. Elle croyait que la personne en face d’elle qui normalement côtoyait le vice était sincère envers elle. C’était si invraisemblable mais en même temps la russe ne pouvait s’empêcher d’y croire, comme certains avaient une utopie, un monde parfait qui n’existerait jamais, Konstantine espérait aussi profondément qu’elle le pouvait que Caesar était sincère envers elle. Certes elle pourrait ne pas le croire à cause de ce qu’il était, de ce qu’il faisait et pourtant c’était bien le contraire, de toute façon lorsqu’il parlait Konstantine n’avait plus aucune défense à sa seule présence il les détruisait les unes après les autres avec une facilité déconcertante. De toute façon, depuis cette soirée c’était bien évident que Caesar lui plaisait mais avec cette guerre qu’ils s’étaient offerte, la récompense ne pouvait être que plus belle. N’était-elle qu’une pauvre marionnette désarticulée sous l’emprise des mains de l’Irlandais ? Peut-être, du moins elle espérait le contraire et plus cette discussion continuait plus Konstantine savait que cette intuition qu’elle avait depuis début. Prise au piège, emprise de l’homme aux fines lèvres qui si souvent laissait apparaître un sourire si fin et qui à chaque fois la faisait frissonner. Combien de fois en le voyant s’esquisser sur les lèvres de l’héritier, la russe avait eu envie de le faire disparaître entre ses lèvres, combien de fois elle avait eu envie que l’embrasser soit possible, combien de fois elle avait voulu que tout soit plus simple. Konstantine savait cependant que cela n’était pas qu’un simple désir, cela aurait été trop simple et tellement enfantin. C’était con mais dans les romans à l’eau de roses pour jeunes fille pré-pubères, on savait parfaitement que les deux héros allaient finir ensemble et auraient beaucoup d’enfants, blablabla. Après tout ils étaient fait pour être ensemble, même si la fille était timide et que le garçon sortait avec une grosse pouf’ qui s’habillait en rose. C’était con car cela ne se passait jamais comme cela, pourtant Konstantine savait qu’il n’y avait que Caesar qui pouvait oser détenir ce qu’il lui restait de cœur. Ce cœur blessé, rapiécé, meurtri puis soigné. Ce cœur qui avait déjà souffert mais aussi avait déjà aimé. Ce cœur qui semblait parfois sur le point de tomber, accroché à un simple fil d’argent qu’il pouvait couper à tout moment. Mais Konstantine en avait marre de lutter, cette bataille entre eux deux allait bientôt se terminer car du côté de la russe cela n’était que de la maltraiter que de la laisser ainsi dans une attente incertaine. CAESAR _ Hum .. Et me faire perdre semble le meilleur moyen que tu as trouvé pour que je ne me lasse pas ? Ce dont avait peur la jolie blonde n’était pas d’être à Caesar mais la suite, qu’il se lasse tout simplement d’elle comme il l’avait fait avec d’autres, qu’il soit comme un gamin qui à eu un nouveau jouet mais qui après quelques semaines se lasse en voulant à tout prix un autre qui venait de sortit. Oui Konstantine avait peur d’être lâchement jetée comme une vulgaire poupée. Parce qu’elle savait très bien que si Caesar faisait cela, Konstantine ne s’en remettrait pas aussi facilement, à son grand dam. Elle aurait aimé se remettre de tout aussi facilement que d’autres, mais non pour Konstantine chaque douleur restait toujours présente un bon moment avec la mélancolie prenne sa place durant quelques temps. C’était peut-être l’une des raisons pour laquelle la russe n’aimait pas s’attacher si facilement bien qu’elle soit d’un naturel sociable, c’était peut-être pour cela qu’il n’y avait que de rares personnes qui pouvaient affirmer être des amis de la jeune femme. Alors que sa main se retirait doucement du torse de Caesar, Konstantine se maudissant pour ce geste surprenant, elle sentit néanmoins l’emprise de sa main sur la sienne la retenant ainsi dans une douce prison. Ce simple contact lui fit l’effet qu’une décharge électrique parcourait le long de son échine alors que sa bouche rosée sous l’effet de surprise s’entrouvrit légèrement. Jamais elle n’avait été aussi proche de lui, jamais aussi proche du but. CAESAR _ Tout nous oppose, famille, sang, passé, avenir, école... Mais.. Je ne peux pas supporter de voir d'autres poser leur main sur toi. L’aveu. Il était là maladroit, mais bien là. Caesar avait baisé la tête durant une seconde, juste le temps de dire cette simple phrase. Une surprise, Konstantine était bien surprise d’avoir eu ce qu’elle voulait si facilement, d’avoir put enfin vaincre l’égo et la fierté du Fitzgerald pour obtenir ce qu’elle voulait. Oui ce n’était pas des mots en bon et dût forme mais la russe savait parfaitement que derrière cela, l’intention y était car elle pensait assez le connaître pour comprendre qu’il était sincère. Une bouffée de chaleur l’empoigna en un instant et Konstantine crut durant quelques instants que le mutisme dont elle était atteinte allait rester jusqu’à la fin de ses jours. Non, elle ne reculerait pas, non elle ne partirait pas. Elle resterait là face à lui et elle parlerait. Elle parle. Alors que son corps se rapprocha de Caesar et que son autre main remontait le menton de Caesar. Cela serait un euphémisme que de dire que leurs visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. KONSTANTINE _ Je .. je … n’ai pas besoin de savoir ton passé, ton avenir ou tout ce qui t’entoure pour comprendre que je suis amoureuse de toi. Cela semble insensé, je le sais bien mais pour une fois, je ne contrôle absolument rien. Game Over ?
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Ok by Macky
Dernière édition par Cleo E. Delavoie le Ven 31 Déc - 0:50, édité 2 fois
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Cleo - La place du vide Mer 29 Déc - 22:32
+1 pour l'histoire (a)
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.