"la fin d’une histoire est obligatoirement le début d’autre choses " de Denis Barthe
Signe(s) Particulier(s)
Bien loin du style artistique cliché consistant à s’habiller soit large, soit à l’aide de bérets français ou de manières originales, Nolwenn ne semble pas posséder de signes particuliers aux premiers abords. Comme la majorité des filles, elle a les oreilles percées avec un deuxième trou à l’oreille droite. Néanmoins, une fois les vêtements enlevées ou vêtues d’un débardeur, il est possible de voir les dernières traces d’anorexie dévoilée par un corps mince, fragile, une minceur ne semblant pas naturelle. Elle n’inspire tout de même pas l’image d’un squelette. Autre signe, des traces similaires à des griffures en haut des cuisses, cinq exactement, des mutilations datant de sa période sombre. Nolwenn les cache cependant, même si c’est chose aisée puisqu’elle n’a pas pour habitude de se balader en string. Le dernier signe bien voyant, son appareil photo. Si elle ne le porte pas sous le bras ou autour du cou, c’est qu’il est dans le sac. Elle ne s’en sépare jamais, quitte à prendre son petit numérique, histoire de pouvoir saisir n’importe quel instant et dans le pire des cas, son téléphone portable.
Orientation Sexuelle
Contrairement à ce qu’auraient pu croire les filles tapant artistiquement dans l’œil de Nolwenn, la jeune femme est hétérosexuelle, même si elle préfère ne pas se freiner à une case, surtout depuis que son père, après 16 années de mariage et un début de vie hétérosexuelle, a changé d’orientation. Ne sait-on jamais ce que l’avenir nous réserve, mais pour le moment, non, Nolwenn aime les hommes et la série the L world ne l’a pas inspiré et l’expérience de Samantha Jones non plus.
Nolwenn Laure Méline
Physique & Caractère
Apparence & Style: D’un naturel plutôt jolie fille, Nolwenn n’a pas réellement à se plaindre de son héritage génétique et si sa place ne se trouvait pas derrière l’objectif, elle aurait aisément pu se trouver devant. Evidement, la Méline n’en est pas encore à gagner le titre de la femme la plus sexy au monde, chose ne la gênant pas. Nolwenn possède une beauté plus classique qu’exotique avec son teint clair et ses longs cheveux chocolat dont il lui arrive de les éclaircir à l’aide de mèches blondes ou d’opter pour une teinte noire réversible, néanmoins elle a une première excentricité : ses yeux hazel à la particularité de changer de couleur au gré de la lumière et portant ainsi à confusion. Pour certains, la française est l’heureuse élue de yeux bleus, pour d’autres, son regard est d’un vert filtrant avec le brun et pour les derniers, ses pupilles sont brunes. Mais ce n’est pas forcément ses yeux qui marquent les esprits, mais plutôt son petit air de lutin donné par son nez. En effet, elle en possède un petit drôle, garanti 100% naturel qui n’est peut-être pas une œuvre d’art, mais il fait partie intégrante de son charme ou c’est ce qui fait tout son physique, ce qui la différencie des autres filles et casse un peu son image de beauté classique. Mais le plus parlant dans le physique de la jeune femme est plutôt son corps en lui-même qui eut sa période difficile. Suite à des problèmes, il subit l’anorexie, donnant une apparence fragile à la française et bien que Nolwenn soit sortie de sa mauvaise phase, elle garde un corps fin avec quelques petites formes et des jambes bien minces. Mais heureusement, le temps où sa cuisse faisait le même diamètre que les bras de certaines filles est révolu, mais si la Méline souhaite mettre en valeur son décolleté, elle devra piocher dans wonderbra. Point positif, ce corps rendu fragile par la maladie ne complexe pas Nolwenn dans le domaine de l’habillement. Elle opte en effet pour des tenues simples, avec une certaine élégance pouvant lui donner une allure de BCBG. Son icône à Nolwenn et son influence, c’est plus Audrey Hepburn que Marilyn Monroe et son corps se prête bien à ses goûts. De plus, elle a une préférence pour les pantalons slims avec des hauts larges. Nolwenn ne suit pas véritablement les modes, achetant seulement quand un vêtement lui tape dans l’œil, et surtout, pensant qu’à trop suivre la mode, à porter exactement ce que d’autres veulent pour vous, le style est perdu. Mais de manière générale, elle excelle dans l’art de la photographie, pas dans celui de la mode, chose qui ne l’empêche pas de vouloir être à son avantage, possédant même certains incontournables dans son armoire. Bien que son apparence ne soit pas son souci premier, pas la chose première qui la préoccupe, Nolwenn n’en est pas pour autant décomplexée entièrement, préférant les hauts larges dissimulant une anorexie disparue. Ca ne s’oublie pas comme ça, c’est comme le haut de sa cuisse. Mais ses cicatrices, marques éternelles de son mal-être passé, ne la complexe que lorsqu’elle doit envisager des options comme la piscine. Après, la mode ne demandant pas de se balader les cuisses dévoilées partout, fait en sorte que Nolwenn ne se préoccupe pas plus que ça de ses marques. Ca lui pose plutôt problème quand elle devient intime avec un garçon.
Caractère: Quand il s’agit de Nolwenn, mieux vaut oublier l’image de l’artiste type que les séries aiment bien mettre en avant, à savoir la grande excentrique à l’accent étranger bien prononcé et habillé en noir des pieds à la tête. La française serait plutôt banale à côté de ce portrait, quoiqu’un peu déconnectée, préférant voir le monde à travers son appareil photo et prêtant une grande attention à ce qui l’entoure, guettant l’inspiration ou l’image parfaite ne demandant que d’être immortalisé avant d’orner un mur de sa galerie. Et ce, parfois au détriment des autres car cela fait de Nolwenn une personne aisément distraite qui a adhéré sans une once d’hésitation au groupe sur facebook : « some people think i have A.D.D, but they don’t under… oh look ! a squirrel ! » - oui, mieux vaut éviter les balades dans Central Park au printemps avec la Méline. Mais en temps normal, Nolwenn a plutôt tendance à s’arrêter net lors d’une conversation avec une connaissance dans les rues de New-York, laissant la personne continuer à marcher et parler seule. Et évidement, la plupart du temps, c’est la personne qui doit aller chercher Nolwenn, restée en arrière. Autrement, la Méline ne prête tout simplement plus aucune attention à la discussion, se rattrapant à l’aide des mots et expressions « ha oui ? », « et qu’est-ce que tu as retenu ? » ou encore « non, c’est pas vrai ? » entendus une fois au détour d’une conversation familiale, une blague racontée par une cousine mais qui s’avéra très utile dans certains cas, car oui, ça marche. Même si cela a pour effet de déconnecter encore plus Nolwenn étonnée de voir que ça marche. La distance dont fait preuve Nolwenn trahit sa capacité à relativiser les choses, à facilement s’enfermer dans son monde artistique pour adopter ainsi une attitude indifférente face aux aléas de la vie, attitude datant de son séjour en centre hospitalier. C’est son mécanisme de défense car au fond, Nolwenn reste fragile, alors elle préfère garder des distances pour mieux gérer. Elevée avec l’idée que tout ce qui est confié peut ressortir un jour là où on ne veut pas, Nolwenn est une personne très discrète sur sa vie, ses problèmes. Elle ne sait pas appeler à l’aide, laissant l’appel au secours se présenter sous une forme différente que les mots et souvent une forme plus violente. De plus, avec un père politicien, la française a du apprendre qu’elle ne devait pas répéter n’importe quoi, raconter tout car il pouvait toujours y avoir une oreille pour entendre. Bien qu’elle ne fût jamais proche de son père, c’est une chose que Nolwenn respecte, même si aujourd’hui, c’est plus pour elle qu’elle n’articule pas un mot au sujet de son père et de ses déboires français, les laissant à son pays natal. Concrètement, les seules personnes à qui elle peut faire entièrement confiance sont des professionnels, à deviner des psychologues ou psychiatres. Pour ce qui concerne son entourage, oui, elle se confie à certaines personnes à qui elle fait confiance, mais peu. Pour son passé, Nolwenn n’aime pas le ressasser aussi. Le fait de garder des secrets ne fait pas de la Méline une personne refermée socialement. Ce serait plutôt malheureux pour elle qui a besoin de sa bonne dose de culot pour aborder de possibles modèles et se faire une place dans le milieu artistique new-yorkais. Non, Nolwenn est quelqu’un de très sociale, plutôt bavarde même et en principe claire dans ses propos. Elle peut charmer les gens avec son enthousiasme bien présent et surtout avec son humour universel ; elle peut rire de tout et rit très facilement. Elle est un excellent public pour les blagues, mais pas forcément une bonne critique puisque c’est aussi facile de la faire rire que de voler une sucette à un bébé. Nolwenn est également une personne gentille ne portant presque aucun jugement sur les gens ou ayant une vision facilement changeable. Elle n’aime pas juger les gens et réserve son sens critique pour les expositions et ses photographies. Niveau gentillesse, elle fait partie des gens qui aident quand on leur demande, essayant toujours de glisser quelques pièces à des sans-abris. Mais comme le dit la célèbre phrase « Nobody’s perfect », Nolwenn a aussi des défauts pouvant enlaidir son image – car jusqu’à preuve du contraire, elle n’a pas pour second nom « Nobody ». Le premier défaut qui saute aux yeux est sa tête de mule incassable. Quand elle sait ce qu’elle veut, elle l’obtient et qu’importent les procédés, qu’importent les gens. Une secrétaire en fit les frais un jour et une de ses modèles également. Mais dans le cas de la seconde, le petit côté égocentrique de la française quant à son art est entré en jeu. Quand il s’agit de ses photographies, Nolwenn ne voit rien d’autre et cela ne lui effleure pas l’esprit de se remettre en question. On ne contredit pas un artiste, surtout pas une Méline qui se démène pour percer. Mais sous un autre angle et dans les situations non-excessives, ce côté de Nolwenn passe surtout pour une belle détermination en acier qui s’accompagne d’une grande persévérance. Elle sait ce qu’elle veut faire et qu’importe le temps que ça lui prendra pour être reconnue. Sa patience a déjà été récompensée avec la réalisation de son rêve, celui de posséder sa galerie et de vivre de ses photographies, alors ce n’est pas demain la veille que Nolwenn perdra ce côté ayant été encouragé. Malgré le fait qu’elle ne se démonte pas aisément, la française est très rancunière et n’oublie jamais une crasse. Autant dire que pour se faire pardonner, ce n’est pas une mince affaire et inutile d’espérer compter sur son côté souriant ou ses qualités.
L'histoire
C’est dans la ville française Lyon que Nolwenn Laure Méline ouvrit pour la première fois ses yeux bleus sur le monde qu’elle ne tarderait pas à traquer derrière un appareil sans jamais se lasser. Mais dans les premiers moments de sa vie, son monde s’arrête à sa mère, Eve, new-yorkaise pure-souche aux désirs d’aventures tels qu’elle avait fini par poser ses valises dans la ville française pour entreprendre des études d’architectures officiellement, officieusement pour suivre son petit-ami bohème de l’époque. Le récit veut que ce désormais étranger soit omis, afin de ne pas faire un zoom sur l’épisode dans lequel Eve trompe son petit-ami d’américain avec un parfait français nommé François Méline, jeune homme à l’ambition grande et la tête remplie de rêves politiques, mais pas assez pour que son regard ne s’arrête pas sur l’américaine. Pour la future mrs Méline, sa trahison ne mérite pas de pierre et encore moins une confession sachant que ce Français était le bon pour elle, blague qui n’a fait que rire jaune ses parents très droits dans leur vie et qui fit plisser les yeux du prêtre lorsqu’elle ressortit une phrase similaire dans ses vœux lors de son mariage lui faisant officiellement abandonner son nom Holland pour un plus mélodieux, à savoir Méline. C’est donc autour de cette femme, de sa mère que le monde de Nolwenn tourne dans ses premiers pas. Pas autour de son père, déjà trop séduit par le monde politique qui faisait déjà méchamment de l’ombre à sa famille, le laissant abandonner Lyon et les femmes Méline pour la belle Paris. Contrairement à ce que souhaitent les clichés, Nolwenn ne l’a pas spécialement vécu, n’ayant jamais été spécialement dotée du sens familiale ; ce n’était pas quelque chose qui la blessait réellement. Néanmoins, oui, elle fréquentait son père de temps à autre, montant plus souvent fouler les pavés parisiens et les Champs-Elysées que lui ne descendait à Lyon. C’est dans ce cadre que Nolwenn grandit, élevée plutôt par sa mère et tombant amoureuse de la photographie à l’âge de sept ans, quand lors d’une course d’école, sa mère lui donna un petit appareil photo jetable. Il était peut-être fait de plastique et de carton, mais ce fut le coup de foudre. Voir le monde au travers de cette petite boîte rendait tout plus intéressant, attirait l’attention jusqu’au moindre détail, semblant révéler un monde inconnu au regard n’ayant pas la petite boîte magique. C’est ainsi qu’à l’âge de 8ans, après avoir vidé son argent de poche en appareils jetables puis s’être amusé avec un vieil appareil photo de sa mère, Nolwenn poussa la porte d’un cours de photo financé par sa mère qui lui comprendre qu’elle n’avait même pas encore atteint le premier barreau de l’échelle de la technique en photographie. Les progrès à faire ne découragèrent pas la petite fille. Après tout, l’amour n’est pas connu pour être facile et il fallait affronter chaque étape et c’est la raison pour laquelle Nolwenn sut qu’elle « capturerait le beau » plus tard, expression enfantine pour dire qu’elle deviendrait photographe. Et à défaut d’écrire sa vie dans un journal intime, elle prend des photos car rien ne vaut une image pour témoigner et laisser empêcher les souvenirs de s’échapper, de prendre un coup de vieux. C’est ainsi qu’armée officiellement d’un appareil et d’une destinée prête à sourire pour une photo, la petite française mena son petit bout de chemin, grandissant en abandonnant ainsi les barbies pour s’intéresser aux garçons ou préférant s’habiller elle plutôt que des poupées, laissant les séries dramatiques remplacer les dessins animés et achetant enfin des livres sans images et avec seulement du texte. Malgré ces changements, Méline ne lâcha jamais son appareil qu’elle portait toujours sur elle, allant même jusqu’à choisir un téléphone portable pour sa qualité d’appareil photo plutôt que pour ses options. Ses petites vacances à Paris continuèrent sans pour autant que Nolwenn ne se lie réellement avec son père, appréciant leur relation superficielle car dès qu’il semblait s’investir un poil, cela la mettait mal à l’aise. Quand il gardait ses distances, le monde tournait toujours mieux. Mais durant ces périodes tranquilles où les principaux maux rimaient avec des problèmes de photos, Nolwenn n’avait aucune idée de combien sa vie était liée finalement à son père.
C’est lors de son quinzième anniversaire que Nolwenn sut que son père avait une certaine importance dans sa vie, ou plutôt un impact. Les gros titres des journaux de cette année-là annoncèrent l’homosexualité et sa tendance à traîner dans des endroits où la police devrait plus s’attarder. La vie du père Méline avait toujours semblé loin à la jeune fille, presque irréel et pourtant, ce fut un choc qui lui donna l’impression que rater une photo n’était pas si terrible que ça et un mal s’inséra en elle. Certains prennent des substances pour s’alléger l’esprit, d’autres sortent pour fuir leur vie, d’autres encore mangent pour se défouler et certains n’arrivent tout simplement plus à s’alimenter, ressentent un tel arrêt dans leur vie face à cette nouvelle détresse qu’il leur est impossible de manger, que l’odeur de la nourriture les laisse indifférent ou les rend malade, que le simple acte de manger leur est impossible, que leur corps rejette toute nourriture. C’est dans cette dernière catégorie que se place Nolwenn, finissant pour se mutiler pour apaiser son esprit pour quelques précieuses heures, l’anesthésiant. Son calvaire se finira dans une clinique qui deviendra sa maison le temps de neuf mois, lieu dans lequel elle se referme définitivement, trouvant l’endroit pathétique et triste à pleurer, s’accordant parfaitement avec l’idée de fin de vie que pouvait donner son corps décharné. Et elle se coupe du monde, refusant de voir toute connaissance, continuant de tourner en rond jusqu’à ce qu’un déclic se fasse. Elle ne saurait pas dire ce qui lui a donné la force de laisser passer sa mère la porte de sa chambre, puis d’autres membres de sa famille ou des personnes de son entourage et ce qui mit un terme au rejet de toute nourriture, ce qui lui fit comprendre que se couper ne changeait rien à ses sentiments et finalement, ce qui la fit passer les baies vitrées de la clinique avec la promesse de ne plus revenir et d’appeler au secours la prochaine, chose qu’elle savait qu’elle ne saurait pas tenir. Néanmoins, le monde reste incertain et mère Méline décide de demander le divorce, décrétant qu’elle avait fait son temps en France avec sa fille et qu’elles avaient payé le prix pour pouvoir recommencer leur vie autre part. Destination : New-York. Le divorce n’aura pas grand impact sur la française n’étant pas habituée à la présence de son père. Après tout, cela avait toujours été elle et sa mère. Quant au déménagement, ce fut un soulagement pour Nolwenn. Coupée du monde pendant 9 mois, c’était bon de reprendre ses marques dans un endroit inconnu où elle n’était la fille de personne et surtout pas du politicien Français Méline aperçu dernièrement à Madrid dans les quartiers gays avec un jeune homme. Nolwenn put dire adieu au monde de mr. Méline et se tourner vers son nouveau terrain de jeu pour son appareil photo et elle, New-York, la plus belle ville du monde pour certains. Parfaitement bilingue depuis sa plus tendre enfance, Nolwenn ne conserva qu’un léger accent français qui charma les New-Yorkais et ainsi elle se fit de nouveaux amis, charmant même un garçon pour une histoire de cœur, en même temps qu’elle intégrait un cours de photos. Méline se construit un nouveau monde et atteignit du bout des doigts son rêve de photographe en finissant son école brillement et décrochant quelques stages dans des agences publicités, mais elle ne réalisa pleinement son rêve que lorsqu’elle signa le contrat la liant à une petite galerie. Terre-à-terre, Nolwenn s’en satisfait avec le sourire, fière comme un paon d’en être arrivée là et surtout, prête à gravir les échelons en prenant son temps. Rien ne presse et à chaque niveau, Nolwenn y met toute sa détermination, au détriment des autres parfois. Ainsi gâcha-t-elle la matinée d’une secrétaire pour obtenir un article sur l’ouverture de sa galerie, finissant par monnayer cette dernière en échange d’un dîner avec un journaliste s’avérant plus que séduisant et plaisant. Sa galerie connut même son premier scandale lorsqu’un des modèles de la photographe osa décrocher elle-même une photo exposée pour cause de divergence d’opinion. Cela eut l’effet d’alimenter les conversations des visiteurs ce jour-là et de rendre colérique Nolwenn, mais l’incident se passa de commentaire finalement, laissant une belle rancune du côté Méline.
Behind the computer
Prénom: Jade Âge : 19 ans Avatar choisi : Ashley Greene Comment as-tu connu ce forum ? : par un partenariat la première fois, je pense Ton avis (design, contexte, ...) : sublime vrai coup de coeur pour le design et j'adore comme ça change à chaque actualisation et j'apprécie particulièrement ce genre de contexte dans lequel on peut bien rp ^^ Présence sur le forum : 5-6/7 sauf en période d'examens Autre(s) compte(s) : aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Un seul être vous manque est tout est dépeuplé. Et quand c’est deux êtres qui vous manquent, vous assistez à l’apocalypse et vous y survivez pour entrer dans l’ère post-apocalyptique, chose bien pire puisque c’est le moment d’assumer les conséquences de ces actes et où on comprend que rien n’est facile au fond et surtout pas en matière de sentiments. En l’espace de quelques jours, le Somerhalder avait perdu la fille qu’il aimait et son meilleur ami, au sens figuré. Ils étaient toujours dans le coin, ensemble. Malgré l’importance qu’avaient ces deux êtres dans son cœur, il n’arrivait pas à se réjouir pour lui. Pire, cette idée d’être heureux le blessait encore plus car il savait qu’il n’y arriverait pas. Pas maintenant. Pour le moment, cet instant avait des allures de « jamais » et probablement que ce serait le cas. Il s’y habituerait bien un jour et ce beau jour, leur vision ne le ferait plus souffrir et appréhender une rencontre ne l’effraierait plus. Mais ce jour n’était pas arrivé. Ian était encore à l’étape où il se lamentait sur sa vie aux allures de mauvais soap dont la synopsis pouvait ressembler à ça : « véritable séducteur, barney stinson en force même, Ian tombe sous le charme d’une jolie canadienne, y perdant même le cœur, et malheureusement, c’est son meilleur ami qui remporte la fille ». End of story. L’action s’était déroulée, le jour du choix de Nina appartenait au passé et maintenant le Somerhalder affrontait les jours avec les conséquences du choix. Cela avait beau commencer à dater, l’instant où Ian avait perdu Nina le hantait dès que son esprit avait le malheur de vagabonder un peu. Qu’est-ce que ça pouvait le rendre malade de songer à la similarité qui existait entre sa vie et celle de Damon Salvatore. Il n’avait pas aimé dès le départ celle qui habiterait tant ses pensées, loupant ainsi l’occasion. Dans le cas du vampire, il avait foiré dès le début, Elena étant destinée à Stefan. Mais les deux avaient aimé en retard et se retrouvait dans une situation digne d’une que Lucifer pourrait donner en châtiment à une mauvaise âme : contempler un bonheur qui blessait, voir ce qui ne serait jamais sien, regarder ce qui était perdu. Oui, il ne manquait plus que la chanson déprimante en fond pour accompagner ces pensées et quelques chats en plus. C’était la raison pour laquelle le Somerhalder fuyait ces moments, traînant Mcqueen, Trevino et dernièrement Kinney de bars en bars, de soirées en soirées, s’éloignant toujours plus loin de ce mode d’esprit. Non, le Davis ne prenait pas tellement part à ces sorties, étant énormément occupé. Pour ce qui était du côté féminin … il fallait dire qu’Ian avait foiré avec chacune des filles à l’exception de Michaela et Lauren, mais il ne les voyait pas assez pour voir un quelconque réconfort dans ce fait. De toute manière, il n’avait aucune envie de se lier avec la gente féminine, à l’exception le temps d’une nuit ou sur une courte durée. Au fond, peut-être que la Dobrev avait eu raison sur ce qu’il était, mais elle s’était trompée sur sa peur. Qu’importe ce qu’il faisait, il n’arrivait pas à l’oublier, à faire abstraction d’elle, à trouver une fille qui aurait un tant soit peu autant de valeur qu’elle en avait. Du côté du Wesley, Ian ne pouvait plus faire la moindre référence au brocode ou penser à himym. Plus sérieusement, il lui manquait, mais ça lui était intolérable de le voir, de savoir qu’il avait la fille pour laquelle il se serait damné. Oui, sa vie était un plan foireux pour le moment et se résumait à user ses talents d’acteurs en présence de ses deux « amis » quand il ne pouvait pas les éviter ou quand il avait la force de feinter et lorsque ce n’était pas le cas, il se contentait de jouer sur son i-phone ou de regarder ailleurs, gardant le silence. Attitude enfantine, il le savait. Mais la situation ne permettait pas de connaître la réaction parfaite à adopter. La seule chose que le Somerhalder pouvait faire, c’était d’essayer de simuler le normal pour que personne n’attarde un regard différent sur lui. Il n’avait aucune envie que les gens parlent sur son dos avec de la compassion dans la voix ou de la pitié. Il ne voulait personne ayant connaissance de ses problèmes et pourtant, il savait que la plupart devait être au courant. Satané esprit de famille. Depuis quelques temps, Ian regardait d’un mauvais œil cette bonne ambiance régnant sur le plateau et liant tout le monde entre eux. Il détestait cette impression d’être épié, le fait que chacun laisse traîner son oreille. Les vacances d’hiver avaient été un réel soulagement où il put retrouver sa famille, puis sa villa loin de la torture qu’aurait pu être son quotidien.
N’est bien loti que celui qui veut bien le croire. Le Somerhalder s’était amusé à faire abstraction de ce qui l’attendait à la rentrée au point qu’il fut presque surpris lorsque son agent l’appela, lui rappelant ainsi l’existence d’une soirée donnée par la cw et où sa présence n’était pas une option ainsi que la liberté de ses mouvements. Il serait inutile de rapporter les pensées qui traversèrent l’esprit, au risque de choquer mrs Somerhalder et de lui faire se demander où elle avait bien pu planter l’éducation de son fils pour qu’il puisse apprendre de pareilles paroles. Ian dut se résoudre à marmonner qu’il serait bien là, chose inutile puisque son absence ne serait pas tolérée. Néanmoins, par sa folle capacité, il réussit à nouveau à faire abstraction de la fameuse soirée pour laisser sa pression à un niveau normal et éviter ainsi d’héberger un trou noir dans son estomac. Il resta d’un calme parfait lorsque sa styliste débarqua avec des costumes, adoptant pour une tenue noire geais comme ses cheveux, calme qui fut gardé quand il lui fut rappelé qu’il devait passer le tapis avec ses deux acolytes, Nina et Paul. Il se contenta d’hausser les épaules, offrant sa main aux griffes aiguisées de Mocke avant de devoir donner son bras à sa styliste qui prit soin d’enlever chaque poil en grommelant. Dieu merci, le Somerhalder put s’arranger pour faire trajet à part, prétextant son retard qui contribuait à sa légende, et ce malgré sa rolex neuve au poignet. Mais cette dernière dut se dérégler puisqu’il se retrouva en un rien de temps à être traîné parmi des employés vers le tapis où il devina trop rapidement le dos de ses deux amis entrain de l’attendre. Voilà une image qui semblait ne pas avoir pris une poussière, adopter un air différent. Se glissant entre eux, Ian ouvrit la bouche, mais n’eut aucune idée de quoi dire et se contenta d’un : « ouais » détaché avant de se racler la gorge et de remettre en place la veste de son costume et de faire ses premiers pas sur le tapis, faisant un vague signe à Nina pour feinter une complicité désormais disparue. Il jeta un vague regard à Wesley avec un sourire absent, parfaitement simulé et il sortit sa palette de sourires ne lui demandant aucun effort, se gardant néanmoins de poser ne serait-ce qu’un doigt sur Nina, préférant laisser ses mains dans ses poches. Les flashs lui offrit une bonne distraction pour la séance de photo avant qu’il puisse se glisser entre quelques employés de la soirée après un regard fuyant à Nina et Paul. Il se faufila et disparut dans la soirée, rejoignant avec un plaisir non-dissimulé sa cousine Blake. Il passa la majeur partie de sa soirée avec elle qui avait flairé son mauvais état d’esprit et eut ainsi le bon cœur de ne pas le laisser la quitter d’une semelle, néanmoins il finit par la laisser pour charmer ces dames présentes et ainsi, définitivement se changer les esprits. Il se prêta aux photos avec d’autres acteurs et alors qu’il retrouvait Blake, une membre du staff de the vampire diaries, lui dit que sa voiture était prête. Alors le Somerhalder salua sa cousine, soufflant de soulagement de pouvoir quitter cette soirée, plutôt fier même d’être passé au travers sans ciller une seule fois. Il sortit par une porte donnant sur une rue vide à l’exception de deux ou trois photographes avides de quelques clichés, chose qui n’empêcha pas l’acteur de faire faussement du charme à la femme ayant pour mission de le mettre dans la voiture. Le bras effleurant sa hanche, il s’amusa à la faire rougir et tira un faux air dépité quand elle prit la poignée d’une voiture aux vitres teintées, chose qui ne l’empêcha de laisser échapper un : « je suppose que tu me laisses rentrer seul ? » qui eut pour toute réponse : « non, je te laisse en bonne compagnie » en ouvrant la porte et les traits du Somerhalder se durcir en découvrant Nina et Paul déjà installer. Of course, il les faisait toujours attendre, mais là, il aurait préféré qu’ils partent sans lui. Promis, il n’aurait pas fait de scène. Face à l’inévitable, Ian ne se fit pas prier et s’installa dans la voiture, fermant lui-même la porte en n’accordant plus la moindre attention à la femme. Que le diable l’emporte. « On peut y aller ! éleva la voix Ian à l’attention du chauffeur et il se sentit vaguement mieux quand il entendit la voiture démarrer et s’engager dans la petite ruelle derrière la salle pour rejoindre une voie publique. D’une de ses nouvelles habitudes, Ian se mura dans un silence en contemplant les bâtiments défiler trop lentement avant de voir le paysage juste s’arrêter et ne pas redémarrer. Il eut un vague mouvement pour regarder à travers la vitre de devant pour voir la voie donnant sur un bouchon titanesque. Oh merde, C’est une blague ? marmonna Ian qui eut pour effet de faire monter la vitre foncée entre la partie passager et conducteur, Oh super, c’est sûr que ça arrange tout, siffla-t-il en se laissant aller contre le siège et croisant les bras. »
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Nolwenn L. Méline. le Mer 5 Jan - 3:10, édité 5 fois
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:12
+1
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:22
Bienvenue
*je me retiens de dire ma phrase de pas longtemps quifaitsupergentille*
Dernière édition par Roxanne E. Douglas le Dim 2 Jan - 21:23, édité 1 fois
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:23
Bienvenue
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:26
Ashley Bienvenue et amuses-toi bien !!!!
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:28
oh une ashley bienvenue
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:31
Bienvenue !
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:36
Bienvenue ici bonne année
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:46
Bienvenue sur NYCL
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 21:46
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 22:26
Bienvenue
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Dim 2 Jan - 22:54
Bienvenue & Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 0:34
Ashley Bienvenue la miss
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 0:47
Bienvenue
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 0:55
Roxanne ; oh non, dis-la ma curiosité est attisée maintenant et merci ♥
Madison ; katgraham en plus avec ce gif
et merci pour cet accueil d'enfer et comme dit June, bonne année en effet avec tout le bonheur du monde, la meilleure des santés sauf quand ça arrange qu'elle soit mauvaise et tout ce qui faut pour rendre 2011 inoubliable
Alexine ; kristen
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 1:00
bienvenue et bonne continuation pour ta fiche.
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 15:47
Welcome
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 16:26
ASHLEY
Bienvenue Miss et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Lun 3 Jan - 19:14
welcomeee.
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mar 4 Jan - 2:20
Merci
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mar 4 Jan - 9:11
Bienvenuue
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mar 4 Jan - 19:49
Bienvenue parmi nous Ashley J'adore le prénom, bon courage pour ta fiche (a)
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mer 5 Jan - 1:55
Bon ben parce que c'est toi
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mer 5 Jan - 3:05
Merci
Alexis
et j'ai terminé ma fiche
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Sujet: Re: MELINEnolwenn ♦ en construction Mer 5 Jan - 3:14
J'edit ton code qui est bon Ta fiche m'a l'air en ordre un admin devrait donc te valider d'ici peu