"L’argent et les femmes : les deux raisons pour lesquelles ont fait le plus d’erreurs dans la vie." de Slumdog Millionaire
Signe(s) Particulier(s)
Comme à peu près toutes les filles, Cheyenne a les oreilles percées. Elle a aussi un tatouage au niveau du poignet gauche "11.09.01" qui rend hommage à son père.
Orientation Sexuelle
Aux dernières nouvelles Cheyenne est hétérosexuelle. Elle prend bien trop de plaisir avec la gente masculine pour s'en passer.
Cheyenne Lana Pearson
Physique & Caractère
Apparence & Style:Etant la fille d'une Hindoue, il était évident que Cheyenne hérite des traits de sa mère. Elle se caractérise donc par une peau matte douce et soyeuse ainsi qu'une crinière noire jais dont elle prends extrêmement soin. Ceux-ci sont assez long pour qu'elle se permette des coiffures en tout genre, lissés, bouclés ou encore attachés, il n'est pas rare que Cheyenne se pointe avec une coiffure digne de Lady Gaga en soirée juste pour se faire remarquer. Cette belle crinière encadre son visage aux traits fins et d'une beauté sans pareille. Ces yeux noisettes plein de malice sont mis en valeur grâce à ces cils d'une longueur hors du commun. Alors même sans maquillage, ces derniers n'ont pas besoin d'artifice pour faire leurs effets sur la gente masculine. Parfois, Cheyenne se contente seulement d'un trait d'eye liner et de quelques coups de mascara. Mais ces yeux ne sont pas sa seule arme de séduction, son sourire est à tomber par terre. Quand ces lèvres fines s'élargissent, ces pommettes apparaissent ainsi qu'une dentition parfaite. La belle Cheyenne a des airs angéliques. Certains diront que la jeune femme frôle la perfection mais selon elle, elle est parfaite. Grande, élancée, mince ... Elle pourrait même devenir mannequin. Quant à son style vestimentaire il est entre ce qu'on pourrait qualifier de basique et de classe. Jamais vous ne verrez Cheyenne faire une faute de goût, elle est toujours à la pointe de la mode et ne sort pas sans ces talons aux pieds.
Caractère: << JE SUIS JAMAIS CONTENTE, ON DIT QUE JE SUIS CHIANTE. >> Pourrie gâtée, riche, excentrique, fêtarde, égoïste, ... Bref, vous adorerez détester Cheyenne. Mais entre-nous qu'elle soit aimée ou non, elle s'en fou un peu parce qu'elle n'aime quasiment personne. Ces amis se comptent sur les doigts de la main, les autres sont seulement de vulgaires pions sur l'échiquier de sa vie dont elle se sert pour arriver à ces fins. Avoir des contacts c'est toujours bon dans la vie non ? Même si la jeune femme a juste besoin de taper du poing sur la table pour que ces grands-parents répondent à ces moindres désirs, elle veut toujours plus telle une éternelle insatisfaite. Les seuls moments où elle est comblée sont ceux où elle est sous l'emprise de l'alcool et rarement de la drogue. Elle aime la débauche pour oublier, sa mère surtout. D'ailleurs le fait que cette dernière l'ait laissé tombé lui a totalement enlevé la capacité à faire confiance et à aimer. Ouais, l'amour ce n'est pas pour Cheyenne, seule et indépendante elle se trouve bien plus forte. Cela semble contradictoire avec des multiples conquêtes d'un soir mais c'est juste pour "le fun" comme elle le dit si bien. La demoiselle est une charmeuse se considérant comme irrésistible et parfaite, mieux ne vaux pas s'opposer à sa volonté ou la vengeance sera terrible. D'ailleurs la vengeance, elle adore ça une de ces activités favorites. Machiavélique, elle aime voir les gens souffrir. Bon, il faut avouer qu'il y a néanmoins du bon chez l'Hindoue lorsque que vous grattez un peu la surface totalement artificielle de cette dernière. Le décès tragique de son père l'a littéralement détruite, elle se dédie donc à une association qui aide les familles qui ont perdu un être cher dans l'attentat, elle est particulièrement attachée aux enfants devenus orphelins. Elle aime passer du temps avec eux, les chouchoutés, leur offrir des cadeaux, les emmener au parc de jeu ... Cheyenne endosse le rôle de deuxième maman. Eh oui, la vielle égoïste peut faire preuve de bonté parfois. C'est surement l'une de ces seules qualités d'ailleurs ... Au niveau des cours ce n'est pas glorieux non plus, les fêtes occupant une bonne partie de ces nuits, elle rattrape son sommeil durant les heures de cours au fond de son lit bien au chaud sous sa couette. Elle daigne seulement se lever pour les cours de théâtre car c'est le seul moment où elle peut se détacher de ce qu'elle est. La demoiselle à beau être narcissique et bien trop sure d'elle même, parfois elle ne se supporte pas elle-même, cette fille hargneuse, sans morale, détruite, seule au monde.
Behind the computer
Prénom: legrandméchantloup. Âge : jesuisimmortelle. Avatar choisi : Freida Pinto Comment as-tu connu ce forum ? : Top site. Ton avis (design, contexte, ...) : perfecto. Présence sur le forum : 5 sur 7. Autre(s) compte(s) : Exemple de RP :
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« Réveil matin 5heure j’me réveille comme une fleur, marguerite dans le macadam a besoin d’un doliprane. »
Encore une nuit où je m’étais couchée tard, boîte de nuit puis after, l’alcool qui coule à flot … Tiens en parlant de couler quel était donc ce bruit qui venait de ma salle de bain ? Inquiète je me levai doucement de mon lit me tenant la tête, j’avais l’impression que celle-ci allait exploser mais à vrai dire j’étais plutôt habituée aux gueules de bois depuis le temps. J’enfilai ma robe de chambre rose bonbon en soie, ma préférée, et je filai a pas de loup vers la source du bruit en question. Le porte était entre ouverte, je jetai un coup d’œil et réalisai que quelqu’un était sous la douche. Sur la pointe des pieds je me faufilai à l’intérieur, le carrelage était froid ce qui me fit grincer des dents. J’aperçu des vêtements masculins sur le sol, avais-je ramené une énième conquête à la maison ? Je ne m’en souvenais même plus. D’un geste vif j’ouvris la porte de la douche et me trouvai nez à dos avec un bel inconnu. Enfin bel, je me ravisai vite de mon jugement sur son postérieur quand ce dernier se retourna. Grand Dieu, qu’avais-je donc bu hier soir pour ramener un gars pareil ? Le type en question me regarda avec un grand sourire et me tendit les bras. Outrée je le regardai avant de lui gueuler dessus.
Non mais tu blagues là ? Casses-toi d’ici !
Désorienté il ne semblait pas comprendre ce que je voulais dire. J’attrapai ces vêtements étalés sur le sol et revint lui lancer à la figure alors qu’il était encore sous l’eau chaude. Enragée je désignai la porte du doigt. Ahurit il m’observa une nouvelle fois et articula un « mais … » des plus pathétiques. Qu’est ce qu’il voulait encore celui-là ? Je comprendrai décidément jamais comment les mecs peuvent s’accrocher aux filles tels des mouches sur un pot de miel. Ouais, l’amour je n’y croyais pas. C’était juste une excuse que les gens se donnent pour ne pas pourrir seuls dans leur coin, à deux c’est toujours mieux. Ou pas.
Mais, mais, mais quoi ?! Criai-je en l’imitant. T’as couché avec la trainée de Pearson ça te suffit pas ? Tu veux une photo peut-être comme ça tu vendras le scoop à un de ces torchons pour te faire du fric ? Casses-toi bordel !
J’attrapai son bras qui était encore humide, je ne lui donnai même pas une serviette alors que je le trainai hors de la pièce jusqu’à mon ascenseur privé. Il me faisait pitié à se rhabiller en plein milieu de mon salon avec les larmes aux yeux, soit un homme bordel ! La porte s’ouvrit sans un léger « ding » et je le poussai à l’intérieur tel un malpropre. Lui lançant un sourire des plus hypocrites je lui fis un geste de la main en signe d’adieu. Bon eh ben, au plaisir de ne jamais te revoir !
Avant même que les portes métalliques se referment j’avais déjà tourné le dos retournant vers ma chambre où m’attendait mon lit pour une bonne grasse matinée.
Code du règlement :
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OK by Macky
Dernière édition par Cheyenne L. Pearson le Mar 11 Jan - 22:52, édité 18 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:35
L'histoire
« Regarde ce qu’on a arrêté sur la voie publique ! »
Je ne regardai même pas à qui ce flic s’adressait, j’étais bien trop bourrée pour m’en préoccuper. Le type en question m’attrapa par le bras, comme si les menottes n’étaient déjà pas assez humiliantes, et me fit assoir sur une chaise des moins confortables. A travers mes paupières à moitié entre ouvertes je le vis s’assoir face à moi derrière son bureau après m’avoir retiré l’objet métallique qui liait mes mains. Je crois que c’est à ce moment précis que j’ai compris où j’avais atterrit : au poste de police. Pour me faciliter d’avantage la tâche, il alluma une lumière aveuglante droit sur moi. J’essayai de marmonner quelques mots mais il se mit à me questionner.
« Puisque tu n’as pas tes papiers, nom et prénom ? » « Pearson Cheyenne Lana » soupirai-je. « Date de naissance ? » « Premier avril 1988 à New-York » « Et tu te moques de moi en plus ? »
Je levai les yeux au ciel, j’étais tellement habituée à ce genre de situation. Jamais un flic ne n’avait cru lorsque je lui avais dévoilé ma date de naissance, bon sauf quand j’avais mes papiers sur moi, et encore moins que j’étais née à New-York avec la nationalité Américaine. Visiblement j’avais encore à faire avec un raciste à deux balles qui s’arrêtait à ma couleur de peau. J’avais beau être matte, avoir des origines Hindoue, j’étais belle et bien reconnue en tant qu’Américaine. Je n’ai jamais eu la chance de fouler les terres de l’Inde au contraire de ma chère mère. Mère qui me donnait un parfait exemple de décadence. Elle par contre était née à Mumbaï dans une famille, oui une famille mais pas celle que je considère comme ma famille, riche et respectée. Mon soit disant grand-père étant dans le milieu politique, il n’acceptait en aucun cas les écarts de conduite de sa fille, de ma mère quoi. Elle prenait un plaisir malsain à me raconter ses frasques de jeunesses, sa première cigarette, son premier joint, sa première cuite, les nuits qu’elle passait à errer dans les bidonvilles en compagnie de jeunes très peu recommandables … Elle en parlait avec un tel enthousiasme que c’est surement elle qui m’a donné envie de goûter à tous ces plaisirs de la vie. Mais contrairement à moi mes grands-parents trouvèrent la bonne solution pour qu’elle se remette sur le droit chemin : s’en débarrasser tout simplement. Le vieux qui me sert de grand-père l’envoya donc chez un de ces amis New-Yorkais encore plus friqué que lui … mais beaucoup plus stricte aussi. Ma mère apprit donc ce qu’elle appelle ‘’la vraie vie’’ et le rôle de la femme c’est-à-dire faire le ménage, les courses, s’occuper de la maison en gros. Ouais, elle changea du tout au tout mais elle n’eut pas d’autre choix. Bref, je me contentai d’adresser un grand sourire hypocrite au flic. « Bon, ton adresse ? » « Quelque part dans l’upper east side, j’ai pas les idées très claires à cette heure-ci. »
Bien entendu je savais parfaitement mon adresse, celle de mon chez moi, de mon gigantesque appartement gracieusement payé par mes chers grands-parents New-Yorkais. Comment oublier mon palace ? L’ascenseur qui s’ouvre en plein milieu du salon, de la terrasse avec une vue imprenable sur Central Park, du jacuzzi, de mon dressing de 20 m² ? Impossible, j’aimai bien trop cet endroit. J’y vivais seule depuis mes 16 ans mes grands-parents en ayant ras le bol de moi, des sorties tard le soir et du bordel que je faisais en rentrant à 6 heure du matin. Ils m’ont donc offert le luxe de l’indépendance pour mon sweet sixteen, je crois que c’est la raison pour laquelle je les aime.
« Pas de chance tu es majeur, mademoiselle va donc finir en cellule de dégrisement ! »
J’observai l’air satisfait qui s’étala sur son visage avant que je n’éclate de rire. Moi en cellule de dégrisement ? Impossible, mon grand-père n’accepterait pas le scandale alors autant aligné la rançon de suite. Le type se leva énervé par mon attitude et tapa du poing sur son bureau. J’étais littéralement hilare. En effet, grand-père Pearson était lui aussi dans le milieu politique et toutes frasques devaient être cachées. J’avais beau être sa petite-fille j’étais parfois traquée par ces connards de paparazzis. Bon, je dois quand même avouer que j’aime qu’on parle de moi, en bien ou en mal peu m’importe. Même si ce dernier n’était pas aussi connu, je n’y aurai pas échappé grâce à ma grand-mère celle-ci étant une célèbre présentatrice tv à la retraite. Ouais, ma famille est célèbre enfin faisons exception de ce qui me sert de mère qui est retombée dans l’ombre depuis le décès de mon père. Sa jalousie ayant détruit notre relation, pas de bol maman toi et papa n’étaient pas mariés la seule héritière de son immense fortune c’est moi ! Aux dernières nouvelles je crois qu’elle doit errer quelque part dans le Bronx. Oh oui tient le décès de mon père autrement dit le tournant de ma vie. Mon père était un Pearson donc, le fils des vieux chez qui mon grand-père Hindoue avait envoyé ma mère. Je ne sais pas ce qu’il a trouvé à ma mère mais au bout d’un an et demi j’étais là et tout se passait comme dans le meilleur des mondes, j’étais une petite fille modèle, joyeuse et aimée. Un peu le contraire de maintenant en fait. Mon paternel avait suivi la voie des affaires et excellait en la matière, il avait bâti un empire de plusieurs millions de dollars. Mais comme d’habitude il a fallu que le rêve prenne fin, putain de vie ! Ou plutôt putain d’avions ! J’avais 13 ans ce jour-là, ce jour où des cons se sont dit « Tiens et si on allait exploser les tours du World Trade Center ? », le 11 septembre 2001. Papa était dans ces bureaux dans l’une des tours comme tous les jours et puis l’avion est arrivé. Papa est mort ce jour-là. Une semaine plus tard j’héritais de toute sa fortune, une semaine plus tard ma mère me faisait la gueule. Je m’éclaircie la gorge avant de répondre au flic.
« Richard Pearson, vous connaissez ? » J’observai le visage du type se décomposer, jubilant de ma victoire. « C’est mon grand-père, appelez-le il viendra me chercher. »
Aucun mot ne sortit de sa bouche alors qu’il sortit de la pièce se précipitant sur l’un de ces collègues, je pu seulement entendre « Putain c’est la petite-fille de Pearson, merde ! ». Un rire diabolique sortit de ma bouche. Moins d’une heure plus tard, j’étais déjà dehors.
Dernière édition par Cheyenne L. Pearson le Ven 7 Jan - 20:59, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:36
Ton premier prénom Bienvenue et amuses-toi bien. Bonne chance pour le reste de ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:36
Bienvenue sur le forum. Bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:39
Bienvenue sur NYCL et bonne continuation!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:42
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 20:52
Merci beaucoup
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Cheyenne - L'amour, c'est pour les faibles. Mer 5 Jan - 21:10
POWWW !
Bienvenue Mademoiselle Freida is here... and i lOOOve it !
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.