Apparence & Style: Veuillez écrire à la place de ce texte 8 lignes à propos du physique et du style de votre personnage.

Caractère: Erin est typiquement la fille que les autres filles jalousent et par conséquent, adorent détester. It-girl incontestée de la Côte Est, elle est considérée depuis sa plus tendre enfance comme une icône de perfection à imiter. Certes, tout le monde aussi rêve d'être parfaite, et il n'y a rien de répréhensible là-dedans. Ce qui est tout bonnement agaçant chez la jolie brune c'est qu'elle ne fait rien pour. Au contraire. Erin est naturellement rayonnante, sans faire le moindre effort, mais pire encore, sans s'en rendre compte, ce qui est tout bonnement rageant. Elevée dans un quartier plus que riche pourtant très sectaire, elle n'a jamais hérité des tares de son quartier et n'agit jamais oh grand jamais comme une garce sans scrupules. Pas le moins du monde intolérante - bien au contraire - Erin est une jeune femme sociable qui se lie rapidement d'amitié avec les gens, grâce à une grande sociabilité. Insouciante, parfois impulsive mais surtout profondément désinvolte, elle aime se qualifier d'esprit libre et sauvage qu'on n'enfermera jamais dans une cage, aussi dorée soit-elle. Facilement lassée par tout et presque tout le monde, elle a sans cesse besoin de s'améliorer et de multiplier les expériences. Fonctionnant avec son coeur plutôt qu'avec un cerveau rationnel, Erin est typiquement le genre de fille à partir à l'aventure sur un coup de tête ou à sortir avec un garçon atypique aux dreadlocks, un poète un peu glauque ou un champion olympique - entre autres. Si il facile d'attirer l'attention de cette fille déjà fortement sollicitée, il est plutôt difficile de la retenir puisqu'elle s'avère être totalement volatile, vaquant de personnes en pesonnes, de fêtes en fêtes, dans l'optiqie de se divertir. L'ennui et l'inaction sont sûrement les choses qui l'effraient le plus, soit dit en passant. Aussi étrange que cela puisse paraître, Erin n'est pas du tout blasée par l'amour malgré le nombre de relations plutôt chaotiques qu'elle a pu avoir. Si elle n'envie pas du tout la routine, elle rêve secrètement, elle aussi, de trouver l'amour, le vrai, celui qui ne la lassera pas au bout de quelques jours. Parce que si elle est un peu fleur bleue et peut s'enticher rapidement d'un garçon et lui dire je t'aime au bout de quelques jours, elle s'en détache très rapidement. Enfin, ce qui est réellement le plus pénible chez elle, c'est que Erin est une fille diffile à détester de par sa simplicité, son ouverture d'esprit et sa gentillesse. Rageant, je sais. Adorablement mutine, Erin a également ce côté femme-enfant qui est très attrayant et qui donne envie aux gens de l'approcher et de la connaître, en plus d'un charisme et d'un magnétisme omniprésents. En somme, c'est la fille parfaite par excellence, sans chercher à l'être.

Comme toutes les histoires, celle-ci commence par deux parents hypothétiques, John et Minkal. Lui, issu de la jeunesse dorée d'Oslo, aussi magnifique qu'insolent. Elle ? Une jeune canadienne, au sang bleu et aux ancêtres illustres, air hautain et port de tête altier. Leur première rencontre à l'universit de Brown - Rhode Island - est explosive. Il se moque de son air pincé, elle déplore sa nonchalance. Même si entre eux les répliques acerbes ne cesseront jamais de fuser, leur attirance physique est indéniable. Minkal se surprend même à perdre de sa prestance légendaire et de sa froideur en imagineant parfois ses mains découvrant le corps du garçon. John, quant à lui, rêve de voir la blonde austère se dérider un peu... et avec lui. Se frustrant pourtant tout le long de leurs études - elle veut devenir vétérinaire et lui étudie férocement la chirurgie dans le but de reprendre l'exploitation familiale - ils continueront à se détester, attisant le désir qu'ils éprouvent l'un pour l'autre. Ce n'est qu'à la remise de leur diplôme, cinq années plus tard, qu'ils rangeront leurs vieilles rancoeurs pour s'adonner à la passion qui les as toujours dévoré. Ils ne se séparèrent plus jamais. Installés dans un immeuble luxueux de Vancouver au Canada, ils possèdent tout, du moins : La richesse, la beauté et l'amour. Oui, on se croirait dans un mauvais téléfilm. Et pourtant, il manque un bonheur à ces gens jeunes et parfaits, qui sembleraient tous droit sorti d'un magasine en papier glacé: une famille. Si Minkal s'est offert un charmant Cavalier King Charles, c'est d'enfants qu'elle a besoin. Voit dont le jour, Aaron, l'ainé de la famille Woodensen. Un regard bleu perçant qui vous transperce le coeur, les cheveux bruns de son actrice de grand mère, il a tout pour plaire, à peine sortit du ventre de sa mère, sous l'oeil comblé de ses jeunes parents - sa mère abandonnant même ses idées de médecine pour l'élever, ou plus exactement, se plonger corps et âme dans les activités caritatives. Mais vite, cette vie qui semblait parfaite se retrouve routinière et ennuyeuse. Le luxe, l'argent, tout ça reste très matériel. Les Woodensen, prédestinés à l'extraordinaire, en veulent plus. Alors quand John reçoit un appel d'Australie concernant une offre pour un nouvel emploi surpayé, ils ne faut à John et Minkal que très peu de temps pour se décider. Ils s'installent à Sydney, sur la magnifique île qu'est l'Australie. Minkal retrouve sa passion pour les animaux et trouve un emploi à temps plein dans un réserve naturelle aux bout de quelques mois. C'est surement ce qui lui manquait dans l'hémisphère nord. Il y eut beaucoup de changements néanmoins. Aaron commença l'école avec succès et montra tout de suite de grandes aptitudes et sauta deux classes, John gravit les échelons et se retrouva à la tête d'un service de chirurgie. Quelques années plus tard et une notoriété acquise, la petite famille plus prospère que jamais rêve d'un deuxième enfant. Le dernier. Minkal imagine une jolie petite brune, à son effigie, qu'elle pourrait coiffer et éduquer à sa guise. Et elle est excausée puisque un adorable petit bébé aux grands yeux argents voit le jour : Erin. Toujours souriante et espiègle, la petite fille fait rapidement les éloges du tout Sydney. De sa famille à ses enseignants en passant par le personnel de la maison, chacun admire sa joie de vivre communicative, son éveil et son rire cristallin. Sa blondeur angélique fait que personne ne lui résiste, tant et si bien que sa gouvernante la couvre lorsqu'Erin et son frère volent les tablettes de grand chocolatiers de leurs parents, ou qu'ils brisent un vase en crystal d'une valeur inestimable. Très vite, la petite brune semble fascinée par la nature et tout particulièrement par l'océan. Elle commence donc la natation très tôt, à l'age de 5 ans dans le but d'en faire à haut niveau. La petite brunette ce débrouille très bien, plus en sport que pour les études. Ses grandes facilités lui ont permis de toujours conserver un niveau plus qu'honorable, pour se consacrer à l'une de ses passions, la plongée sous marine. Erin a eut la chance d'habiter le magnifique pays encerclé par la barrière de corail, renfermant des trésors naturels exceptionnels qui ont bercés l'enfance de notre blondinette, comme un poisson dans l'eau ! L'année de ses 13 ans, miss Woodensen remporta le championnat junior de natation d'Australie. Elle n'était pas peu fière ! Savoir que son dur labeur était récompensé, ce fut la meilleure chose qui lui soit jamais arrivé. Le sport lui a tout appris, la discipline, la confiance en soit... Mais l'adolescence fut plus difficile pour la jeune fille. Elle fut victime d'une grosse poussée de croissance qui ne lui permettait plus d'exercer en compétition. Mais elle restait réaliste, à quoi bon quand on avait gagné ? Son entraineur continua à la coacher en la convainquant que c'était pour le meilleure, rendant la chose moins dur à accepter. Comme toujours, son caractère positif et rêveur l'emporta sur tout. Erin était devenue très grande mais elle ne voyait pas ça comme une mauvaise chose. C'était plutôt un moyen de s'épanouir dans la différence, comme elle le souhaitait. Elle continuait son exploration des fonds marins australien, prenant de temps en temps quelques vacances à la montagne, dans le Colorado, à Aspen où elle s'est fait de nombreux amis grace à son attrait pour les compétitions de snowboard. Dont, Austin, sont premier amour. Il était champion, avait atteint les jeux olympiques, représentait tous ce qu'Erin voulais et ne pourrait plus avoir. Erin se faisait sont petit bout de chemin dans le sport, mais ne savait pas vraiment quoi faire sur le long terme, ce qui frustrait beaucoup ses parents qui voyaient Aaron réussir alors que leur fille semblait perdue. La dernière passion en date de la jeune Woodensen était la photo, qu'elle combina avec les sublimes paysages rougeoyant du sud et le bleu de l'océan pacifiques qui l'entourait. Sa mère, toujours passionnée par la faune, lui transmit cette attrait pour la préservation du patrimoine naturel et écologique. C'est à ce moment là qu'Erin fut vraiment guérie de ses déceptions sportives. Elle était plus que jamais épanouit avec son environnement, les forêts, et poussa même sa mère à créer un association pour la protection de la faune et de la flore australiennes, désormais star en Océanie. La révélation fut encore plus grande quand elle entrevit l'espoir de trouver des études aussi adaptées. A New York. Cette opportunité en or, elle n'allait pas la louper. Elle travailla d'arrache pied pendant deux ans et postula avec un dossier presque irréprochable pour l'université de NY. Elle n'envisageait rien d'autre. La biologie et l'environnement. Elle en oubliait presque sa natation et fit ses valises pour les Etats Unis.