"« le merveilleux n'est pas ici ou là, il est en face, toujours en face. inutile de regarder ailleurs, ni plus haut ni plus bas. »" de pierre reverdy
Signe(s) Particulier(s)
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Orientation Sexuelle
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mikaliah azazel laertridis;
Physique & Caractère
Apparence & Style: Veuillez écrire à la place de ce texte 8 lignes à propos du physique et du style de votre personnage.
Caractère: Veuillez écrire à la place de ce texte 10 lignes à propos du caractère de votre personnage, parlez également de ses défauts et de ses qualités.
Behind the computer
Prénom: babo; Âge : 16 ans. Avatar choisi : kim hyun joong |ss501 Comment as-tu connu ce forum ? : partenariat ~ Ton avis (design, contexte, ...) : tout simplement accroc ! Présence sur le forum : souvent~; Autre(s) compte(s) : aucun Exemple de RP :
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“ Avant de mourir, je veux que tu saches… À quel point, je t’ai aimé, que jamais je ne t’ai abandonné, mais je n’ai plus la force de continuer… Dis-moi où tu es… Why, why… Pourquoi, c’est toujours à nous, qu’on fait du mal… Explique-moi… ” Il pâlît, il faisait froid, son corps meurtrit qu’il peinait à laisser traîner dans les couloirs sombres et sale de ce lieu malsain, il se tenait en mur, laissant raisonner les frottements de sa cheville brisée contre le sol. Il se retournait, le souffle court, passant un revers de main sur son visage pour y retirer le sang qui y ruisselait de son front, de son nez et de sa bouche avant de revenir appuyer fermement sur sa plaie. Qu’elle heure était-il ? Quel jour était-on? Combien de temps avait-il subit tout ça .. ? Où était-il. Il soupira et se laissa lourdement tomber au sol, les vêtement sales. Il n’en pouvait plus ; encore une mauvaise idée, encore une fois, il perdait la seule chose qu’il avait… Il sentait les larmes couler sur ses joues endolories, il apporta sa seconde main à ses lèvre, lâchant son arme maculée de sang un instant, ses lèvres lui manquaient, son odeur lui manquait, sa présence il ne la sentait même plus, il se demandait, si il le voyait en se moment, lâche, faible, incapable de faire quoi que ce soit, de le retrouver, et honnêtement, ni même de penser à ça, oui. C’est être aveugle, oui, c’est ne pas vouloir voir la vérité en face. Oui, c’est de sa faute, tout ce qui arrive c’est toujours de sa faute, et encore de sa faute. Il pleurait, toussant. Certes, l’hémorragie était arrêtée, mais il avait perdu trop de sang, il était complètement engourdi, il avait des vertiges... Il fermait les yeux, le soufflé court, toussant violement pour cracher un flot de sang. Tout ce qui arrive, chaque jour, c’est entièrement et uniquement de sa faute. Il s’en voulait. Et s’il n’a plus… Son être cher… Il n’a plus besoin de vivre et d’avoir de raison d’être épargné. Puis, même, ça ne lui traverserais pas l’esprit, il s’endormait… Peut-être pour l’éternité … ? Oui, sûrement. Il repensait à tout ce qui c’était passé, peut-être n’aurait-il du pas proposer cette randonnée en plein air, dans cette forêt de Daegu… Mais, son intention était loin d’être mauvaise, comme à chaque fois, mais… Disons qu’il est attiré par les problèmes et ne fais que s’en attirer… Et il en fait souvent payer les frais à ceux qu’il aime malheureusement… Il entendait des pas s’approcher de son presque-cadavre. Il soupira, il n’avait qu’une envie, c’est qu’on l’achève…
« Yaaah ! Yeonhee ! Tu es prêt ? J’ai déjà finis de monter la tente ! À moins que tu ne veuilles dormir dans la voiture ? Eeeeh ? » Dit le petit brun, très souriant et sûr de lui, s’adressant à un grand garçon de cheveux gris teintés, le regard un peu perdu. Celui-ci sorti donc de la voiture, il s’approcha et enlaça le plus jeune, tous deux amants. Ils avaient amené leur petit chiot, un husky blanc et marron/gris du nom de… Eh bien, figurez-vous que ce chiot doit sans nuls doutes provenir de la bourgeoisie, puisque jusqu’à présent, les deux sud-coréens n’ont pas réussi à lui trouver de prénom. En effet, la petite chienne ne supporte pas qu’on l’appelle « trésor » … Du coup, ils l’appellent un peu au feeling… Pour ce qu’elle écoute, cette petite peste bien trop aimée et gâtée par ces maîtres ! Ils s’installèrent donc seuls dans cette grand forêt, splendide. Les lumières qui passaient à travers les mailles des feuilles faisait scintiller son alliance avec celle de son amant, tous deux assis au bord de la rivière, les pieds ballants dans l’eau, lui étant assis entre les jambes de son amour, les bras de celui-ci l’encerclant comme pour le protéger ou pour dire ‘c’est ma propriété, le premier qui s’approche, je le tues !’. Eunjo souriait, naïvement peut-être. Ouais… Si il se doutait une seule seconde de ce qui allait arriver, il aurait demandé à Yeonhee de faire demi-tour, de partir avant qu’il ne soit trop tard, mais comment peut-on se douter d’une telle chose avant même qu’elle n’arrive, qu’elle vous piège, et qu’au final elle vous détruise ? On ne se doute pas de ces choses là, encore moins quand on se sent si sécurisé dans les bras de son époux. Du moins, pour le moment, ils regagnèrent la tente et retrouvèrent le petit chiot pour le nourrir. Le petit brun commença par la suite à préparer un repas, sous le regard attendris de son amant. Bien qu’il souriait souvent, peut-être bien trop, il ne pouvait s’empêcher de s’approcher de celui qu’il le dévisageait pour le narguer, il savait bien comment l’attirer, ce voyou de gris ! Il se glissa contre son torse, viril et bien constitué, – du moins, il n’avait pas à s’en plaindre, hein… – un petit gâteau fourré de crème entre ses fines lèvres, passant doucement ses deux bras autour de son cou pour venir le lui apporter sensuellement, l’embrassant passionnément au passage. La nuit allait bientôt tomber. Ils mangèrent donc et allèrent débattre une nuit presque entière sous les draps de la tente, comme quoi, prouver son amour n’es pas forcément qu’affectif, il doit obligatoirement être physique et surtout charnel. Tout avait commencé par quelques baisers échangés plutôt simplement, puis, impulsivement ils sont devenus bien plus sensuels et plus langoureux, passionnés. Une main se glissa sur son torse, la seconde le poussant sous la tente, la refermant par la suite, un soupir d’aisance raisonnant doucement entre la chaleur déjà bien remarquable entre les deux amants, l’un s’allongeant doucement, le plus jeune des deux s’installant à califourchon par-dessus le second, retirant lentement son chandail, peut-être encore trop pressé. Ils se fixaient tous deux, l’un narguant l’autre et le second répondant par des baisers et des gestes. Yeonhee glissait ses mains dans le creux de son dos, caressant sa peau sensuellement, sentant celui-ci onduler lentement contre lui, il déboutonna sa chemise à son tour et retira son marcel noir, baisant amoureusement son torse, passant ses doigts sur sa blessure au flanc, baissant un peu la tête… Repensant malgré tout à ce jour. Le petit brun, afficha un sourire bien différant, relevant le visage de son époux, soupirant et glissant un léger « Oublie tout ça » au creux des ses oreilles, venant lui en mordiller une tendrement, tendit que ses mains se perdaient dans ses cheveux et sa nuque. Il sentit sa braguette se défaire doucement puis sentir une sensation humide sur son membre durcit, s’agrippant fermement à ses cheveux gris, les humant doucement en se penchant un peu vers l’avant. Il sentit ses doigts l’accompagner dans le geste, soupirant longuement et à plusieurs reprise, chacun de ses soupirs étant plus désirants les uns que les autres, avant de se cambrer un peu. Il ne voulait pas venir maintenant, et même si c’était déjà le cas, il continuerait à lui faire l’amour, puisqu’il considérait que plus longtemps ils le feront, plus ils se montreront leurs amour réciproques. C’est un peu naïf certes, mais c’est bien comme ça qu’il voyait les choses. Il ouvrit à son tour le pantalon de Yeonhee, le laissant le préparer comme il se doit en introduisant ses doigts en lui, avant de finalement se pénétrer avec sa verge. Il était habitué, certes, mais qu’à celle de Yeonhee, je suis sûre que si il s’agissait d’une autre personne, il n’aurait pas autant de facilité. Une drogue, c’est totalement addictif pour lui et il ne peut plus s’en passer. Ils enchainèrent donc les positions, ve-naient plusieurs fois au bout de leurs possibilités, l’un se déversant dans l’autre et le second sur le torse, le ventre du second, ou plus rarement le sol. Eunjo s’endormit donc presque à l’aube, au creux des bras de son Yeonhee, encore et toujours, leurs corps encore bouillant de leurs fusions répétitives, le souffle encore un peu haletant, serrant inconsciemment bien fort son corps contre le sien. Mais le plus âgé ne trouvait pas le sommeil, des bruits étranges, comme des ‘signaux’ ou plutôt des imitations de bruits d’animaux retentissaient dans la nuit, dans cette forêt devenue à présent plutôt effrayante… Il commençait à s’inquiéter. Il préféra s’habiller, il avait soif après tant d’efforts…. Le lendemain, le petit brun s’étira, il porta un regard à côté de lui… Personne ? Où était-il allé ? Il sortit de la tente, caressant le chien au passage. Il regarda dans la voiture, autour de lui, près de la rivière, il l’appela à plusieurs reprises. Il n’était pas là, et il ne lui répondait pas non plus. Il commença donc à stresser, paniquer même. Il s’était un peu éloigné en le cherchant, quelques branches craquait, comme si on le suivait, il se retournait, cherchait partout, systématiquement, un air sur le visage que tout le monde connait, celui de l’effroi de ne plus retrouver celui qu’on aime, et qu’en plus de ça on soit perdu dans une forêt presque aussi immense comme l’océan ? Il sentit soudainement quelque chose dans son dos et se retourna en hurlant, vraiment comme une fille, un cri à la fois aigüe et strident qui résonna dans la forêt… Ce n’était rien qu’une branche. Il soupira et posa une main sur son torse. Il entendit retentir des bruits, toujours ces branches, oui, mais aussi des sortes de cris d’animaux – les même que ceux de la veille, évidement et lui, qu’il ne les a pas entendus – plutôt effrayant, ils semblaient communiquer entre eux, il se mit soudainement à courir, on le suivait c’était sûr, il se retournait constamment pour regarder derrière lui, et c’est justement là son erreur, il hurla donc une seconde fois, se heurtant à quelque chose ou quelqu’un. Cette fois, il ferma les yeux au sol, avant de sentir deux bras le saisir, il hurlait encore avant d’ouvrir lentement les yeux, entendant une voix très familière. « Heeeeey ! Eunjo, arrêtes ! C’est moi, Yeonhee ! Ah, mais cries pas comme ça, tu vas me percer les tympans ! » Dit-il en reprenant son soufflé, ayant lui aussi paniqué, il le prit dans ses bras douce-ment, un peu inquiet, avant de repartir vers la tente. « Ecoute, je pense qu’on ne devrait pas rester ici… Je sais pas vraiment pourquoi, mais je ne sens pas cet endroit… Il est bien, ne ? Mais… » Mais il n’eut même pas le temps que le brun répliqua, visiblement vexé et naïvement inconscient du danger qui l’entoure, « ….. Yeonhee, tu es affreux, c’est moi qui ai trouvé cet endroit ! Je sais qu’il n’y a rien ici, rien du tout ! Si tu ne voulais pas venir, il fallait le dire plutôt, si tu veux partir, part ! Moi je reste ici ! » … Il vit bien la mine désorienté et un peu paniqué du plus vieux, mais il resta têtu dans son idée, persuadé d’avoir raison. C’est vrai, il n’arrive ces choses là que dans les films d’épouvante, non ? À ce moment là, c’est vraiment ce qu’il pensait ! Qui voudrait venir jusqu’ici, au fin fond de cette forêt ? Surtout là où ils se trouvent, il n’y a rien, vraiment. Il haussa les épaules et alla faire un tour à la rivière, se désaltérer un peu. Il revint donc quinze minutes plus tard. Il entendit encore des bruits d’imitations d’animaux, du moins, il n’en était pas sûr. Il se retourna, il n’y avait toujours rien. Il cherchait son amant des yeux, puis de la voix, laissant échapper premièrement de léger ‘Yeonhee’ à peine audibles, puis, en crescendo, il l’appela en hurlant. Il se précipita dans la tente de nouveau, la voiture, les alentours, même le chien n’était plus là. Pourquoi paniquer, il a du aller faire un tour pour promener le chien, quelque chose comme ça… Hun, ça paraissait bizarre, des bruits de pas, des feuilles et des branches qui craquent, des bruits d’animaux. Il souffla. « Yeonhee… C’est vraiment pas drôle…J’ai compris… On y va, c’est bon… Reviens… Tu ne m’as pas abandonné ici tout seul, hein… Je n’étais pas sérieux… Revi-… » Il eut à peine le temps de sentir quelque chose se plaquer sur sa bouche, avant de tomber dans les vapes.
Une sensation de fourmis au bout de ses mains. Ouais, c’était ça, une douleur au visage aussi, comme si on l’avait frappé et un mal de crâne terrible qui l’accompagnait. Il ne pouvait pas bouger, il grimaça, et releva la tête, il avait simplement les mains attachées avec du fil barbelé et les pieds eux aussi endoloris par les pics des barbelés. La bouche complètement bandée, il n’avait pas la possibilité d’hurler à l’aide, ni même d’appeler son Yeonhee. Il avait raison, une larme perla sur sa joue. Il aurait du l’écouter… S’ils se retrouvent là, c’est de sa faute, et uniquement de sa faute. Il regarda autour de lui, il n’y avait personne. Il se tortilla un peu, jusqu’à entendre un nouveau bruit, il se tourna et gémissait pour qu’on l’entende. C’était Yeonhee, il était en sang, il se jeta sur Eunjo, qui pleurait à chaudes larmes à présent, venant l’embrasser après avoir retiré le bandeau sur sa bouche. « Mianhae… Je ne t’ai pas écouté, tu avais raison … On va mourir, ne … ? A cause de moi, on va mourir… Mianhae, mianhae, mianhae… » Souffla le plus jeune, que Yeonhee avait enfin réussit à libérer de ses liens sans trop le blesser bien qu’il ne puisse pas éviter l’inévitable. Il attrapa ses lèvres encore une fois entre les siennes, il le serra longuement contre lui, sentant un soulagement mais une peur en même temps. Il attrapa sa main et le tira d’un coup. « C’est rien, je ne t’en veux pas, tu ne pouvais pas savoir, tu sais… Mais dépêchons-nous … » dit-il, pressant déjà le pas, si ce n’est pas courir… Ils arrivèrent devant un sorte d’entrée pour les égouts, en un peu plus grand, ils jugèrent donc bon de s’enfuir par là, puisqu’en général, il n’y avait rien dans les égouts, si ce n’est que des rats. Ils s’enfoncèrent donc dans le noir, se serrant l’un contre l’autre, même si la fatigue les gagnait, ils avaient beaucoup marchés. Ils s’arrêtèrent donc un moment. Des pas, ils entendaient des pas. Yeonhee plaqua une main sur la bouche de son Eunjo et le fit s’asseoir dans le coin, tous deux cachés derrière un muret. Un bruit d’oiseau, puis celui d’un cerf, du moins, c’était semblable à ces cris là. Puis des pas précipités, ils avaient l’air de les chercher, ils couraient vers l’extérieur et les bruits s’éloignaient. Le plus vieux sentit la tête de son époux reposer contre son torse, il s’était endormi, il jugea bon de le surveiller, mais il s’endormit malgré lui… De toute façon, ils étaient repérés depuis longtemps, ce n’était qu’un leur. Il se sentait balloté, et étrangement bien. Bizarrement bien. Il ouvrit les yeux lentement, le corps lourd suspendu à l’arrière d’un camion par les bras, entièrement nu, sale et… ensanglanté. Il avait de nombreux hématomes, et sa cicatrice était un peu ré-ouverte. Puis honnêtement, avec toute les autres coupures, celle-ci n’en était qu’une parmi les autres. Il balaya rapidement ce qui l’entourait, quatre, non, trois. Quatre, oui, quatre visages. Mais son regard s’arrêta sur celui de Yeonhee en pleurs, il ne se souvenait plus de rien, il s’arrêta un autre moment sur les autres visages, rieurs, moqueurs. Il sentait comme des picotements dans son dos, réellement, il se faisait fouetter à sang par un de ses hommes, pendant que les autres riaient bruyamment en fumant. L’un deux écrasa sa cigarette contre l’un des pectoraux du garçon, il grimaça à peine. Ils l’avaient tellement drogué, il ne sentait plus grand-chose… Si ce n’est que le pincement au cœur en regardant le visage détruit de son Yeonhee… Il ne l’avais jamais vu comme ça, il se sentait faible, nul. Il ne pouvait sentir les larmes couler longuement sur ses joues, ni le sang qui s’échappait de son corps, tout ce qu’il voyait, c’était son amant, attaché en face de lui. Il se vit soudainement basculer par l’avant, il entendait faiblement, mais il entendit bien cette ceinture de déboucler, il entendit bien une braguette résonner et il le voyait bien le visage de Yeonhee qui se décomposa et qui n’arrivait même plus à le regarder. Il eut peine à cracher un flot de sang sur l’un des gars, l’insultant clairement, avant de se manger un coup de coude dans le visage, perdant encore un filet de liquide rougeâtre par le nez. Il se sentait sale à présent, cet homme qui profitait de sa faiblesse, il le violait devant celui qu’il aimait plus que tout, il pleurait, il avait envie de crier, il n’y arrivait pas. Il frissonnait, pas de plaisir, mais de souffrance, la douleur se réveillait peu à peu, les coups de reins de l’homme lui déchirant l’intérieur, il fermait les yeux et ne pensait qu’à hier, avec son époux, ce moment, sûrement leurs dernier ? Il soupira, il en avait marre. Il gémissait de douleur et tentait d’articuler le prénom de son amant. « Ne parles pas de ce bâtard quand je te violes ! » dit celui qui le prenait. « Dis mon nom, supplies-moi, si je suis gentil, j’te tuerais devant ton…. ‘Époux’… ? » Puis il ria, un de ses collègues sortit les deux alliances de sa poche. Il regarda hautainement le plus jeune fous de rage qui commença à se débattre, mais qui malheureusement se fit bien plus mal qu’autre chose. « On va se faire du blé avec ça, en plus de s’être bien amusé avec vous ! Ah, j’aime ce que je fais. » Ricana-t-il. Eunjo, même dans la pire des douleurs, ne pût s’empêcher de lui cracher un filet de sang au visage, soufflant un « Espèce d’enculé de fils de pute… » entre deux, avant de prendre des coups dans le visage, saignant toujours plus avant de perdre connaissance, apercevant rapidement Yeonhee, tourné de nouveau vers eux, même si quelque chose avait changé dans son attitude et sa façon de les regarder, partagé entre le dégout, l’horreur, la haine et peut-être l’amour, la douleur, la ‘jalousie’… Il n’en saura pas plus. Il fut donc emmener dans une pièce dans un endroit sombre, il était seul, très seul, il se leva diffici-lement, il était vêtu, étrangement. Il n’était plus attaché, mais sa bouche l’était encore, il retira donc ce bandage. Il garda son calme et s’avança doucement, il sorti de cette pièce, des couloirs très peux éclairés, il marcha, longtemps, il entendait des hurlements, des cris horribles puis des sortent de barres de fers. Il entendait aussi quelqu’un parler, c’était la voix de yeonhee ! Il parlait, mais qui hurlait comme ça ? Ce n’était pas son amant, non. Il frissonna et se tint aux murs, un second cri retentit, beaucoup plus fort et bien différant cette fois. Il traînait son pied cassé et son corps affaiblit dans les couloirs, marquant le chemin de son sang, finalement, il tourna a droite, continua a gauche, il entendait son prénom dans la bouche de Yeonhee, puis il tomba… Où était-il ? Il était à bout de force, il avait déjà trop perdu de sang, et il avait beaucoup marché. Son sang commençait à s’échapper de sa plaie au flanc, qu’il s’empressait d’appuyer dessus. Il ferma les yeux. « Yeonhee… » Une semaine plus tard, il se réveilla. Dans un lit, un plafond blanc. Basique. Il était dans un hôpital, il se redressa, soudainement. Il sentit une douce chaleur sur sa main, assoupit à ses côtés, son amant. Il avait aussi retrouvé à son doigts les fameuses alliances et le chiens dormait sur le siège à côté, comme si de rien était. Il toucha de sa seconde main ses hématomes, alors ça à donc été réel ? Tout ça, ce n’était pas de l’imagination, un rêve ? Il soupira et posa une main sur ses cheveux. « Je me demande… Qu’est-ce que tu as bien pu faire pour… Nous sortir de là… Hein… ? » Souffla-t-il. Il n’eut pas le temps de réagir que ses lèvres étaient emprisonnées par celles de Yeonhee, il soupira. « Ah, Tu faisais semblant de dormir pour m’attendrir ~ Voyou ! » il soupira un moment. « Je t’aime, Yeonhee… Merci de ne pas m’avoir abandonné… Même si... Maintenant, ce ne sera plus pareil, avec ce qu’il s’est… » Il se fit couper la parole une nouvelle fois. Il avait bien compris, il savait qu’il avait du tuer tout ces ravisseurs, comment ? Il ne voulait pas le savoir, ça lui suffisait. Il se serra contre son amant, il ne risquait rien, plus rien… Mais lui pardonnera-t-il tout ça ? Oui, sans doute. « C’est le chien qui t’as retrouvé, je n’ai fait que t’aimer et j’ai agis selon mes… pulsions, Eunjo… Je t’aime plus que tout… » Dit-il doucement, sentant quelques larmes de joie ruisseler sur ses joues. “Je n’avais pas compris à quel point tu souffrais à cause de moi. Je sais combien je t’aime, je sais combien tu m’aimes. Mais je ne savais pas jusqu’où tu serais capable d’aller, pardonnes-moi d’avoir douté… Tu m’es tellement précieux… Yeonhee. Saranhae…”
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Dernière édition par Mikaliah A. Laertridis le Mer 19 Jan - 10:12, édité 4 fois
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Sujet: Re: that's what you get when you let your heart win. — LAERTRIDIS. Mer 19 Jan - 9:56
L'histoire
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Sujet: Re: that's what you get when you let your heart win. — LAERTRIDIS. Mer 19 Jan - 9:58
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Sujet: Re: that's what you get when you let your heart win. — LAERTRIDIS. Mer 19 Jan - 10:13
Merci bien ~ ♥
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.