"Après la guerre, deux choix s'offraient à moi : finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix : je ne suis plus député" de Winston Churchill
Signe(s) Particulier(s)
Alcoolique, drogué, tatoué.
Orientation Sexuelle
Hétéroseuxelle
Benjamin Junior Lucker
Physique & Caractère
Apparence & Style: Benjamin est plutôt beau gosse dans son genre. C'est un garçon assez mince, voire même maigre, et assez élancé. En effet, son physique ténébreux colle à miracle avec sa personnalité légèrement décalée. Le jeune Junior est un type au visage angélique mais démoniaque à la fois, ses yeux d'un noir profond, qui vous fixe, ce regard glacial qu'il vous adresse. Son sourire qu''il ne décline qu'aux rares personnes qui en sont dignes fait craquer toutes les jeunes filles de l'Université. Les faire craquer... Il faut dire qu'il a les atouts pour, car à part ce visage aux yeux noirs de colère, et aux cheveux assortis, aux cheveux mi longs frisés et rebelles qui malgré une bonne tonne et demie de gel de grande marque restent aussi révoltés qu'un tunisien contre Ben Ali. D\'un point de vue général, Ben' est un type assez majestueux, se pensant prince, il aime marcher pour se faire remarquer, vêtu de grande marque de la tête aux pieds, il prend son aise à se moquer des "petites gens" avec ses écharpes, ses manteaux... Sa barbe naissante qu'il se laisse pousser parfois rend le personnage encore plus réel, l'homme encore plus virile.
Caractère:"Benjamin n'est pas normal. Il faut s'y résoudre, Marta et moi, nous avons longuement hésité à parvenir à cette conclusion lourde de sens pour deux pauvres parents comme nous. Mais il faut se l'avouer, voir la réalité en face. Nous ne sommes pas des gens qui se cachent et qui ont peur des apparences. Benjamin souffre de maniaco-dépression et d'une autre forme de maladie, il est très bipolaire. Nous l'aimons malgré sa maladie, car ça ne l'empêche pas d'être un garçon sympathique, formidable. Junior est un type bien, je vous l'assure." Ses parents.
"Ce type ? Faut pas m'en parler, c'est un putain de drogué, à chaque heure de la journée, Benjamin boit, Benjamin fume et sniffe. C'est contre les valeurs de notre Seigneur Jésus Christ. Et de plus, je ne peux pas le sentir, pour des choses plus personnelles... Alors que je devais rendre mon devoir de physique quantique, ce dernier s'est énervé contre un autre type, son plateau a volé sur mon devoir, deux mois de boulot pour rien. Puis je n'aime pas ce genre de caractère, tu peux pas savoir à l'avance ce qu'il pense, sa froideur, son envie de vous rabaisser, y'a que cette fille là... Adalia ou un truc comme ça qui arrive à le calmer... Que Dieu entendre mes prières..." Un étudiant.
"Je n'arrive pas à comprendre son caractère... Benjamin est un homme très particulier. Je ne peux tellement me confier sur lui, je suis tenu au secret professionnel, mais je suis certain que son problème n'est pas seulement d'ordre psychologique, ses crises de démences sont médicales, c'est certain. J'ai vu tout au long de ma carrière des vrais fous... Susan Boyle, Mireille Dumas... Oui, j'ai soigné les plus folles de cette planète. Et Benjamin ne l'est pas, c'est un soucis de cerveau, de neurones." Sa psychiatre.
L'histoire
Très bien. Il est actuellement huit heures trente, et il est temps pour moi de me pencher sur ma vie jusqu'à aujourd'hui. C'est un truc de ces trous du cul de docteurs... Il parait que ça peut m'aider d'écrire ce que je ressens, que c'est peut-être un moyen d'évacuer tout ce stress et de la même manière, un moyen de calmer mes envies de tuer chaque personne ou presque de cette misérable planète. Oui, j'ai des envies de meurtres, des envies de violence, le sang m'appelle presque à chaque seconde ma vie. Ce n'est pas normal d'après les différents psy et autres dérangés du genre. Je le savais déjà avant que mon père règle des consultations inutiles à ces abrutis. Être dingue, ce n'est pas donné à tout le monde ! Je suis né comme ça, je suis né avec une petite voix, cette voix, coincée au fond de mon anus cérébral. C'est elle, cette mélodieuse voix, aussi douce que France Gall qui chaque jour, seconde après seconde me le rappelle, me le dit, je dois frapper cet homme qui boit tranquillement son café. Je dois taper cette fille là, qui est entrain de ramasser son livre de littérature. Oui, c'est comme ça... Depuis que j'ai deux ans, je ne vis plus sans elle, déjà à l'école maternelle, je faisais manger ses jouets au petit Tommy Anderson, un sacré fils de pute...Qu'est ce qui a fait ? Il s'est trouvé sur mon chemin, et il a refusé de me prêter son crayon rouge. Ca me fait sortir de mes gonds, quand je veux quelque chose, j'ai plutôt intérêt à l'obtenir, sinon, je m'énerve, et je colle mon poing dans la figure au type et aux témoins, ça me détends vachement. C'est seulement vers dix ans et demi que mes deux abrutis de parents, Martha et Benjamin Senior Lucker se sont rendu compte que 'étais... Différent. J'aime pas utiliser ce mot, parce que je suis humain, et que jee ne me sens pas malade, je ne suis pas différent, j'ai juste le cerveau qui travaille trop. Ce n'est pas de la folie, je refuse aussi d'être traité de fou. Je me battrais jusqu'à la fin de ma saloperie de vie. Tout ça pour dire qu'ils m'ont trainé chez plusieurs psy de bourgeois. Ils ont tous tranché de manière différente mais la psy de Susane Boyle (qui n'était pas connu à l'époque) m'a conseillé d'aller voir un médecin en hôpital, un neurologue. Il s'est avéré que c'était réellement un soucis à ce niveau et que je devais, pour mon bien, prendre des pastilles bleus, des cachets qui ressemblent fortement au viagra, sans les effets. Depuis ce jour, je ne dois pas les oublier de les prendre. Ça ne m'arrive presque jamais, sauf quand je suis avec Adalia, une jeune femme que j'ai rencontré à la pharmacie. En sa présence, j'ai pas besoin de ces cachets, je suis comme transporté dans une autre dimension... Lors de nos visites au Zoo, de nos longues marches, je ne suis plus le même. Mon cerveau dort, je crois que c'est ce qui me reste de cœur qui dans mes tempes palpite... Je ne sais pas comment on appelle ça... De l'amitié ? Peut-être... De l'Amour ? Euhm... Certainement... Je ne pourrais vous dire, je ne connais pas assez la vie pour ça. Je sais juste que ça me prends aux tripes et que c'est impossible de m'en défaire, je crois que cette fille est vraiment extraordinaire et je ne la laisserais partir pour rien au monde. Tu vois, espèce de con de bout de papier ? J'vais te dire un truc qui restera entre nous... Je crois que j'en suis amoureux.
Behind the computer
Prénom: Yoann Âge : 17 ans Avatar choisi : Aaron Johnson Comment as-tu connu ce forum ? : Top SIte Ton avis (design, contexte, ...) : Magnifique Présence sur le forum : 7/7 Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Il faisait froid en ce début de mois de février. Depuis trois jours, le mois s\'engageait, et avec lui, toutes les emmerdes d'un début de mois. Des professeurs qui ne savaient pas se détendre devant le film porno du premier samedi de février, spécial baise dans la neige fondue... Ca pouvait être sympa, un film porno d'alpinistes, avec des gros pieux en primes, même si c'était pas aussi bandant que deux vampires qui se suçaient, généralement, ce connard de doyen se détendait devant le film porno, mais les professeurs, eux restaient tendu comme le string d'une amatrice de régimes Weight Watcher. Aussi, le pauvre jeune homme avait des devoirs en retard, et les préparatifs du mariage n'aidaient en rien. En effet, il passait plus de temps dans la magasin de ces deux salopes d\'organisatrices, deux salopes coincées qui ne savaient pas aligner d\'autre mot que "baise" et "argent". Comme dans l'émission de l'ancien binoclard de la première chaine des bouffeurs de grenouilles, c'était Sans Aucun Doute ! Andrew avait entendu parler de cette émission lors de son séjour à Paris, "dans les tréfonds dangereux d'une capitale en perte d'identité", c'est ce qu'avait dis l'autre coincée du journal télévisé... Andrew ne sentait pas tellement cette crise d'identité, installé tranquillement sur son canapé, de la suite royale de l'hôtel Plaza. Il avait juste pu voir que Julien Courbet était sacrement bandant et que si il était gay, il lui aurait sauté dessus. Il lui aurait débouché les flux anales. Le transit et la communication, c'était la clé du succès ! Andrew avait été heureux de retourner à Los Angeles après un autre voyage fatiguant à Paris, où il avait manqué de perdre Pearl, cette dernière, un peu trop attachée à son petit traintrain, n'avait pas voulu le suivre lorsque son père était mort, et que le quartier de la Défense demandait à Sanders fils de reprendre le flambeau. Il s'était rendu là bas, dépité de voir que Julien Courbet avait été viré de la chaine, et qu'un type plutôt fait pour se prendre des manches à balais bien placés était son remplacent. Si l'heure n'avait pas été aussi grave, il aurait pu organiser une manifestation en l'honneur du Harry Potter français. Eleanor était une très bonne amie à lui, ils faisaient des coups tellement tordus tous les deux... Ils s'étaient rendu dans les bureaux privés de la directrice du Seextine's Night. Il paraissait qu'elle violait des gros sacs, et qu'en plus de tout, elle se prenait pour l'incarnation de Megan Fox. Il paraissait également que cette femme dirigeait sa boite de nuit tellement sévèrement que plusieurs gestionnaires s'étaient décidés à partir. Elle les voulait tous pour elles, au diable celui qui n'en voulait pas. Elle ne quittait jamais ses fonctions de directrice et par la même occasion, on ne la voyait jamais dans le bar. Elle était l'incarnation en moins masculine et moins moustachu de Joseph Staline. Elle avait également emprunté le côté sexuel pour les porcs à Adolf Hitler... C'est pour ça qu'Hitler n'aimait pas les juifs, parce qu'ils discriminaient les cochons... Et que ça, notre dictateur phare se refusait à l'accepter, lui qui ne pouvait baiser que du lard. Il se tapait des grosses allemandes de l'Est, un coup d’accordéon, un "lampa lampa" et c'était la joie. Les deux jeunes voulaient fouiller son bureau pendant qu'elle changeait son tampax dans un des chiottes mais un gros type, du genre barbe, deux cent kilo à sec, et le crâne aussi chauve que le cul de Gandhi bloquait l'entrée. Pensant plutôt à la récompense qu'il aurait ce soir, une pipe, et le droit de se vider les burnes sur le joli minois d'Adolfette. Ils s'étaient retrouvés au poste... Ca aurait pu bien se passer, si ce n'était pas Garry Douglas Andersen qui s'était chargé d'eux. Ce rouquin de cinquante ans avait déjà eu à faire à Andrew et à Pearl par une soirée tellement alcoolisée que la jeune blonde lui avait dégobillé sur les chaussures. Garry, c'était le policier qui se branlait sur Jena Lee et qui mettait son sexe dans un beignet, celui qui se faisait surnommer "Bite en sucre" par ses camarades à cause de ses penchants sexuels. Autant dire qu'il avait reconnu Andrew, et il ne s'était pas gêné pour lui rendre la vie impossible en garde à vue. Le faisant soumettre à toutes les règles, minutant avec soin son appel règlementaire. Ah... Cette nuit fut riche en rebondissements, les chansons paillardes des gros motards étaient tordantes, et Andrew s'était pissé dessus. Aujourd'hui, il était arrivé en retard au rendez vous qu'il avait fixé avec son amie. Il s'était avancé sur le cours d'informatique, ce pauvre geek avait raconté du n'mporte quoi, mais au moins, ça donnait bonne conscience. Ce soir, il enterait sa vie de garçon, mais c'était surtout l'excuse pour enfin connaitre la vérité sur cette patronne. Tel Hitler dans son Nid d'Aigle, elle levait son armée de connards... Il l'embrassa sur la joue à son tour et répondit à l'affirmatif à sa question, dans un sourire, il s'engouffra par la porte qu'elle lui tenait ouverte. Il s'approcha du bar, tout en s'assurant qu'elle le suive, une fois qu'ils furent installés, il la fixa, dans un air aussi sérieux qu'un moine violeur d'africains. -Tu bois quelque chose ? Puis comme pour enchainer rapidement, il cria, par dessus la musique qui correspondait au gros chauve.
-T'as un plan pour éviter Miss MacDonald, parce qu’apparemment, il aime les flics...
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 2:29
bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 2:31
Hey bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 3:06
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 11:18
Merci à vous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 12:06
J'ai pas mal apprécié le style d'écriture surtout dans le rp Bienvenue ici
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a) Sam 5 Fév - 12:32
Et bien te voilà officiellement : Validé Plusieurs petites choses avant de te laisser dans la Grosse Pomme : - Si tu as des questions sur le fonctionnement du forum ou tout simplement des questions car tu te sens perdu(e) ; n'hésite pas à aller dans le flood de la Partie parrainage.
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Sujet: Re: Benjamin Junior Lucker •Teminée (a)
Benjamin Junior Lucker •Teminée (a)
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