" Ce qui est créé par l'esprit est plus vivant que la matière." de Charles Baudelaire
Signe(s) Particulier(s)
Quelques tatouages sur ses épaules, représentant pour deux d'entre eux ses parents; l'une décédée et l'autre, l'aillant abandonné -enfin on ne sait pas ce qu'il est devenu cet homme-. Les autres, peu importe. une plume et d'autres tatouages sur les bras, mais que ce soit celui sur son torse ou ceux de ses bras ils sont assez discret... En clair, pas grand chose de spécial. Ah, si. Des cicatrices sur les bras ainsi qu'une sur le torse, vestige de ses trafics douteux et autres bagarres ainsi que des brûlures sur les doigts et la paume de la main droite, suite à un accident de fer à repasser petit.
Orientation Sexuelle
Malgré sa très net préférence pour les femmes, Sully est tombé tellement bas niveau sentimentale qu'il est près à fréquenté n'importe qui même les hommes.
Sully Klaus Eugene Coolidge
Physique & Caractère
Apparence & Style: Son air pas très frais le matin est la première chose qui frappe lorsqu'on regarde Sullivan. Ne tentez pas de lui parler pendant sa phase de réveil, la seule chose qu'il comprendra c'est petit-déjeuner. Une barbe de quelques jours, des cheveux brun assez long qu'il attache parfois, d'ailleurs; Sully s'amuse assez souvent avec ses cheveux et évidement, vous ne le reconnaîtrez peut-être pas à chaque nouvelle expérience capillaire qui peuvent passer de la crête brune au cheveux blond miel qui parfois, le fond ressemblé à un chien mouillé ou nan, à bouclette ou pas. Même avec la tête d'un balai brosse ou mieux, un balais espagnol.. personne ne dira du "petit" -ayant arrêté de se mesurer à dix huit ans où il faisait un bon mètre et quatre-vingt centimètres; il doit en faire au moins deux ou trois de plus- Sully qu'il ressemble à Chewbacca ou autre créature à poil long, encore heureux . On peut considérer que le style débraillé de Sully tient un peu du punk ou du baba en clair, c'est selon son humeur. Un jour il peu passé pour le mec le plus peace and love de la terre, passer pour un nerd ou un mec banal le lendemain et le soir suivant, sortir des bas fond de New-York, milieu de camé au style plutôt hors norme et à l'hygiène parfois manquante. En gros, personne n'est comparable à ce phénomène à l'humeur aussi changeante que son style. Après sa dégaine, on remarque ses yeux, verts. Un étrange vert pâle qui peut en captiver certain(e)s -du moins quand ses pupilles ne sont pas dilatées aux points d'à peine apercevoir ses iris. Ça c'est la faut à la drogue. Qu'il s'injecte, qu'il avale, qu'il fume, sniffe, tout ce que vous voulez. Que ce soit dans l'une de ses soirées du fin fond de New-York ou les fêtes de riche dans lesquelles ils se faufile parfois, Sully danse, fume, se drogue..en clair, profite de tout et n'importe quoi, des invitées comme du bar. Chercher Sully à deux heures du matin, vous le trouverez ou dans la rue avec un os en moins, en boîte avec un litre d'alcool de plus ou bien chez lui en éternel célibataire à passer sa soirée à fumer, boire, faire du airguitar sur la table basse du salon ou encore dans le hula devant lilo et stitch. Le fait est que Sully, même après un nombre incalculables de râteau, rupture et largage s'étalant de l'amoureuse de primaire qui ne veut pas de lui parce qu'il lui a volé sa poupée une fois à la fiancée d'il y a deux ans qui est partie du jour au lendemain, Sully n'abandonne toujours pas et ce croit toujours aussi irrésistible. Il est vrai que l'un de ses sourire à deux mille dollars lui vaudrait bien un contrat à vie pour les pub colgate mais lorsqu'on passe au delà de ce sourire, de son physique ou de sa façon d'agir, personne n'apprécie réellement Coolidge. Même si il a passé son adolescence dans une belle petite maison de Staten Island, il n'en reste qu'il est un gosse des rues, né dans le Queens d'un joueur et de sa pauvre épouse et que de ce fait, il a l'habitude de se battre pour un rien, de perdre et de se retrouver le nez en sang à l'hopital. Même si il n'a pas le poids d'une crevette, sa taille grande l'allonge, le rend fin et à l'aspect presque fragile.«Mais j'ai du muscle !» Serait surement sa réponse lorsqu'on commence à lui parler de son rapport poids/taille même si certes, devant le videur d'un club il ne fait pas du tout le poids.
Caractère:« je suis parfait tout le monde m’aime » Même si Sully se le répète en permanance, il n’est pas parfait, loin d’être aimé de tous. Ne cherchez pas à le comprendre, vous perdrez un temps pressieux. Commençons par le commencement. Sully, à peine capable de marcher et parler était déjà capable des pires conneries –grimper sur les meubles, mettre des doigts dans les prises électriques, toucher au fer à repasser de maman- et de pleurer pour un rien –mal aux doigts, pas le droit de manger tel ou tel truc, caprice pour un jouet-. Autant le dire tout de suite, Coolidge est un chieur depuis la naissance. Ses parents ne se sont jamais vraiment souciés de lui, son père étant partit dieu sait où et sa mère, ayant préférée sa fille jusqu’à sa mort. Le suel adulte ayant accordé de l’interêt à Klaus était son beau-père, qu’il envoyait baladé en retour. Un gentil homme, capable du meilleur pour ses « enfants ». Avec l’âge..ça à empirer. « plus on est vieux, plus on est bêe » ..BINGO ! Un rien niais, Sully maitrise l’art du rateau aussi bien que celui du tabassage. Il n’est pas rare qu’il attérisse à l’hôpital et peut être même capable de s’en vater. Ne comptant plus le nombre de fois où il s’est cassé un bras, une jambe, l’arcade..Comprennez alors ici que ce n’est qu’un puzzle que l’on recolle assez fréquament. Toujours le sourire au lèvre, rare sont les fois où Sully ne rit pas, ou ne délire pas sur tel ou tel chose, ne boit ou ne se drogue. Seule chose le déprimant –et ça ne se voit pas- c’est peut-être son ex. Se faire larguer sans raison par une fille qu’il connait depuis à peine trois jours, ça passe. Se faire larguée par sa fiancée que vous pensiez connaître par cœur depuis longtemps, ça l’est moins. Pas de quoi s’inquièter pour lui donc, il trouve et trouvera toujours du réconfort auprès de l’importe qui, n’importe quand.
Dernière édition par Sully K. Coolidge le Lun 7 Fév - 0:49, édité 3 fois
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:26
L'histoire
Ladies and gentlemen, can I have your full undivided attention?
INTRODUCTION
On a tous eu des problèmes avec quelqu'un. Que ce soit la police.. Votre copine en crise après avoir appris être cocue, un client à qui vous avez refilé de la mauvaise came ou encore, votre humour noir peu apprécié de certaines personnes venant du côté cacher aux touristes de New York. Pour moi, c'était les deux derniers cas -en vrai, les trois-... Peut-être que NY ce n'est pas que bisounoursland et que ici, il y en a qui sont bien dans la merde et j'en connais. Je m'appelle Sullivan Klaus Eugene Coolidge, mais tout le monde m'appelle Sully ou lemonstreàfourrurebleu...ça varie. Comptez le nombre de râteau que je me suis pris, celui de pelles que j'ai roulé et le nombre de fois que je me suis fait arroser -j'entends bien par là, me prendre un verre de n'importe quel liquide sur la tête- ou toute autre activité de jardinage (je vous épargne l'histoire des graines et autres) et vous verrez, je suis un jardinier accomplit ! Ce que j'ai appris de ces diverses expériences dont les bons souvenirs sont rares, c'est que le coca dans les cheveux ce n’est pas terrible, la vodka ça brûle les yeux et que je suis un véritable expert en râteaux. À moins d'avoir des lunettes à essuie-glaces, d'avoir lu tous les tomes de "l'amour pour les nuls" et de me faire exorciser, je vais finir ou bien seul, avec 165484697 chats, ou bien seul, avec 165484697 chats ET inscrit sur Meetic. Mon histoire ? Banale. Je ne viens pas d'ailleurs, je ne suis pas extraordinaire, je suis loin du profil type de l'homme apprécier de tous, gardez en tête qu'en ce moment, personne ne m'aime. But dans la vie ? Devenir riche, par mes propres moyens.
It started off with a one night stand and lingered to a fling
CHAPTER I: ENFANCE
-MAIS OÙ EST-IL CE GRAND CON !? Crie d'une jeune femme, assise sur une table d'hôpital dans la position la moins confortable du monde quand on souffre déjà pas mal et surtout, qu'on reste longtemps comme ça à hurler sur tout le monde. Il parait que le jour d'un accouchement, la femme enceinte peut faire chier TOUT le monde et casser les doigts de son mari sans qu'on fasse de réflexions, on comprend mieux ensuite pourquoi il y a des familles nombreuses. Nous étions dans le Queens, un trois mars mille neuf cent quatre-vingt sept et il devait être environ deux ou trois heures du matin à ce moment là, comme quoi on ne choisi vraiment pas le moment où l'on donne la vie. -Allons madame restez calme, respirez et poussez ! -RESTEZ CALME ? Alors qu'il n'est pas là pour la naissance de son fils !? Madame Mary-Kate Coolidge-Uperton, la petite trentaine (si ce n'est pas moins même), yeux verts et cheveux blonds, donnait naissance à son premier et unique enfant, en l'occurrence, moi. Ma mère eu un éclair de génie, en disant à la sage femme que si mon père n'était pas là a ma naissance, je ne devrais pas compter sur lui pour l'avenir. Oui, j'imagine que dans vos têtes, vous vous refaite la scène hein ? Et que la, vous me voyez bébé et tout le tralala. J'avais à peine quelques heures, trois cheveux sur la tête et j'étais conscient -ou pas, hein- que j'allais entendre toute ma vie les engueulades de mes parents pour n'importe quel sujet même mon nom. -Harry ? ou Elvin ! Et on l'appellera comme le suivant, parce que ça devra aller avec aussi et. -Je t'ai dis NON, c'est clair ? Et puis tu n'étais pas là quand il est né, alors ne va pas croire que tu va choisir le nom de ton fils en plus! Il y a pas écrit pigeon/poule pondeuse, hein! C'est le premier et le dernier j'ai assez fait d'erreur comme ça, basta! En résumé.Oui, je suis une erreur, on ne m'a clairement jamais désiré, dans cette "famille". Ma mère avait déjà du mal à vivre avec son argent à elle seule pour se nourrir elle et mon père, payer le loyer et tout les choses dont il était incapable d'assurer la finance en bon gros chômeur alcoolique, alors un bébé en prime n'arrangeait vraiment pas les problèmes d'argent. Pourtant, ma mère m'aimait, je pense -oui, aimait- et c'est bien occuper du tout petit truc braillard et puant que j'étais. -Très bien. Et son nom, alors ?. -Son nom, ce sera... Sully Voilà, c'est comme ça qu'on m'a appelé Sully, tout court. Le premier nom qui est passé par la tête de ma mère qu'elle oublia bien vite pour m'appeler Sullinou... tout les jours... depuis ma naissance..-sauf en cas de méga grosse connerie-.
Huit ans plus tard; école élémentaire de New-York; Queens On a tous connu une "dame" -celle-ci s'appelait Madame Gashi- avec un poireau gros comme une boulette de viande, taillée comme une armoire à glace parfois aussi haute que large, qui cuisinait extrêmement mal et qui ne s'exprimait que par des cris inintelligibles et des coups de louche pour communiquer avec l'espèce humaine et particulièrement la tribu qu'elle côtoie , les enfants affamés et la question qui tue. «C'est quoi, ce truc vert ?». Après plusieurs regard fusillant, j'ai arrêté de poser la question, préférant m'assoir sagement à table et de la regarder au loin sans toucher à sa mixture venu d'un autre monde. Oui, je parle bien de la "dame" de cantine que tout le monde à connu gamin, celle qui faisait peur et à qui on ne voulait JAMAIS avoir affaire. -Tu crois Sully ? -J'en suis certains même, t'es aveugle ou quoi ? -J'ai un gros doute. -Je te pari cinq billes que la madame de la cantine n'est pas une madame! -Et moi je te pari deux dollars que son poireau, c'est un faux!. -Tenu. Oui, c'est moi qui lance des paris à l'un de mes amis..Comme quoi j'ai les même chromosomes que mon père, aussi con et immature même si je n’étais toujours pas alcoolique.. Ni une ni deux, j'étais grimpé sur le comptoir de la cantine malgré ma taille de minimoys lorsqu'une énorme louche se posa juste devant moi et que la fiancée de King-Kong -ou son frère, selon moi- ne se rapproche de mon visage. J'avais beau avoir la tête d'un petit ange, tout le monde savait que je ne suis qu'un habile manipulateur, menteur et tricheur. J'ai agis vite, vous voyez le genre et malgré le dégout certains pour la boulette de viande collée sur le visage de la cantinière, je tirais dessus. Un cri, tout sauf féminin qui me fit tombé du comptoir et là, mon don personnel me sauva la vie, la vitesse à laquelle je cours. -REVIENS ICI SALE PETITE VERMINE !!! -NAN ! Je veux mes deux dollars !!!! Et je les ai eu, mes deux dollars..mais pas que.
Bureau de la directrice; le soir même -Vous Devriez avoir honte, jeune homme et vous aussi Madame, votre fils manque cruellement d'éducation ! Non, avoir prouvé que le poireaux de Monsieur/Madame Gashi était un vrai ne m'a rien apporté, sauf du ménage, des heures de colle et la privation de récréation jusqu'aux vacances scolaires. -Pardonnez mon fils, Mademoiselle la directrice.. Je ne peux pas me permettre de refaire l'éducation de Sullinou alors que j'accumule deux travails à la suite pour nourrir la famille. La comédie de ma mère, pas si comique que ça. C'est vrai que papa, un jour on le laissait sur le canapé à boire une bière et on le retrouvait le soir, dans la même position entouré de bouteille et un jour il trouvait un boulot plus ou moins net et j'étais gâté avec des jouets inutiles, mais cher, que je cassais au bout de deux jours. Nous n'étions pas une famille riche, loin de là, on habitait le Bronx, dans un petit appart' avec une chambre de la taille d'un placard à balais. Mon père est un flemmard, ma mère est une pauvre femme qui doit bosser pour nous nourrir..Banale quoi. Mais cette conversation dans le bureau de la directrice, avec moi au milieu à du encourager ma mère dans sa quête d'une vie meilleure et donc..
-La garde est accordée. Et oui, mes parents divorcent. Nous sommes en 1996, j'ai donc neuf ans. Ma mère et moi, restons dans notre petit appartement, mon père lui et bien..j'en ai aucune idée en fait, je n'allait jamais chez lui. Finalement il gagne pas mal d'argent maintenant qu'il a reprit sa vie en mains histoire de récupérer ma mère, d'après les cadeaux et les déjeuners classes qu'il m’offrait. Au grand désarroi de ma mère et malgré les menaces diverses, je continue de faire n'importe quoi à l'école et donc, de m'attirer des ennuies. Mon père, je le vois tout les mois, enfin c'est le juge qui l'a décidé alors que ma mère le fusillait du regard pendant l'audience. Au bout de quelques temps ma mère c'est mise à sortir avec un homme "bien mieux que ton géniteur" parait-il. C'est devenu la guerre entre eu et moi évidemment, je suis au milieu de tout ça. Six mois ensuite, Mon père est partit comme ça, d'un coup sans même me dire au revoir ou merde..La chose que je n'ai jamais vraiment compris, c'était la rapidité avec laquelle ma mere a trouvé un autre homme et l'a même épousé. Mon nouveau "Papa" n'aidait en rien ma mère a m'élever correctement parce que je prend ca très très mal. Un père inexistant a présent, un beau-père que je détestait et pour finir, nous avons déménagés a l'autre bout de la ville, du coté de Manhattan chez les bourgeois, genre d'enfant que je n'étais pas. A onze ans c'est un peu compliqué de comprendre tout ca et la seule chose dont j'étais certains, c'était d'être un poid pour ma mère.
-MAY LACHE CA TOUT DE SUITE ! Apres avoir fait la connerie de se marier un an après son divorce, ma mere fit la connerie d'avoir une gamine, dans les douzes mois qui suivirent. May Coolidge -oui, nom de famille de ma mèrei-, deux ans et moi, treize et demi. Elle était dans l'âge ou prendre les jouets des autres, mordre, et crier sont les seules choses qu'elle est capable de faire. Aussi, ma demi-soeur passe son temps a m'envoyer son hochet dans la figure, a me mordre les doigts ou a tirer mes cheveux. Ma vie d'enfant unique est ternit par un petit monstre que je hait, comme cette nouvelle vie franchement pourrite. Tout ça pour dire qu'à treize balais, je commence a quitter le petit monde des bisounours et qu'arrive l'adolescence et le début de mes conneries.
Say what you mean tell me i'm right and let the sun rain down on me
CHAPTER II: ADOLESCENCE
-Sully ?..Tu l’as fichu où Boo ? -…Elle s’appelle May, c'est ma soeur et je suis pas un monstre bleu à fourrure. Au collège, ça devenait de pire en pire tout ça à cause d’un film pour gosse. 2001 est un grand traumatisme quand on s’appelle Sully. ..année de la sortie d’un film de la célèbre industrie Disney, Monters inc. Être considérer comme un monstre bleu à poil long n’était pas l’idéal, surtout quand on a les cheveux qui pourrait être qualifié de « long » pour un homme du moins. C’était franchement horrible pour moi, si bien que je fini de détesté encore plus ma sœur que je jugeias coupable de tout mon malheur. J’avais tout pourtant, c’est ça le pire. Une belle maison qui n’était pas à moi..Une mère, aimante quand son petit trésor de fille n’était pas dans le coin de un beau-père qui mélangeais mes cheveux au passage. Et ça me rendait malade. De les voir tout les trois et moi, d’être tout seul dans mon coin sans rien dire parce que je ne pouvais me le permettre, parce que finalement, cette famille n’était pas vraiment la mienne. Je continuais mes conneries, de casser la fenêtre de la principale à me battre dans la cour encore et encore et plus je continauis, plus ma mère me portait de l’attention. En me collant des baffes et en m’appelant par mon nom complet mais c’était déjà cela, au moins je n’étais pas un pot de fleur. Ma mère à fini pas instaurer des règles. Plus le droit de fermer la porte de ma chambre à clé, plus le droit de sortir en douce, interdiction de fumer, boire ou autre à la maison ET en dehors, autant dire que je m’ennuyais ferme. Ma crise d'ado -appelée comme ça par ma mère- ne faisait qu'empirer d'années en année, tout ça à cause d'une espèce de petit monstre qui pleurait pour un rien, qu'on devait limite ficeler comme un rôti pour la faire asseoir à table et le bain, il fallait prévoir le maillot.
On a tous connu ça, vous voyez le genre. A deux doigts d'embrasser la fille la plus populaire du lycée ou simplement celle qui vous plait sur le moment et qu'on oublie parfois le lendemain, pourtant tu attends que ça quand t'as quinze ans. Et puis..et puis..un truc avec des couettes et une petite robe rose arrive. -Sulllyyyyyyyy t'as pas vu ma poupée ? Ohhhhh Ils se font des bisouuuus ! j'vais le dire à Maman ! -MAY ! DÉGAGE ! je t'ai dis de me foutre la paix un peu ! -Pourquoi t'es trop méchant avec moi ? Tu m'aime pas hein ? J'vais le dire à Papa ! -C'est ça et moi au père noël que t'es méchante à nous déranger. Et c'était partis pour les larmes de crocodiles, à consoler sa petite soeur alors que la fille de vos rêve se cassait bredouille. Ma soeur, une petite peste aux joues rouges et aux yeux de biches auquel personne -même moi- disait "non". Je lui en veut ? Ouais. Je l'aime quand même, c'est ma demi-soeur et peut-être que plus grande elle sera moins chiante..et que je me vengeras en faisant un tris sélectifs de ses copains -et j'y compte-. Ma mère, heureuse que je me rapproche de ma soeur et de mon beau-père commence à me couvrir de cadeau en tout genre, auquel je ne touche jamais. Pourquoi je devrais me compliqué la vie avec tout ces trucs, de toute façon. Seuls objets que j'ai accepté, Skate et Guitare. J'adore la guitare, vous savez. Je pouvais passer ma vie à en jouer et quand vous avez la jambe dans le plâtre à cause du dit skate cité au dessus ben on a pas trop le choix, pour s'occuper. Pour une chute -mémorable d'ailleurs, un saut par dessus l'escaliers donnant à la cantine du lycée qui restera gravé dans les annales et sur le goudron- j'ai écopé de trois mois de maison, à jouer à Pokémon et apprendre la liste du pokédex par coeur si bien qu'on m'a pris pour un gros nerd, à mon retour au lycée. Je n'étais pas le plus populaire -si, pour être celui le plus cinglé de l'établissement -, ni le plus intéressant des mecs du lycée, pas le plus intelligent -je faisais des sculpture sur mes gommes, des expériences genre sarbacane et gribouillais les mur au lieu d'écouter- on me fuyait plus qu'autres choses même si j'avais quelques amis. Me casser des os, me prendre des rateaux malgré mon sourire à deux mille dollars et passé pour le fou de service, c'était ça en gros, ma vie. J'ai fini par couper mes cheveux, fumer des joins de plus en plus souvent et boire..boire et boire. Arrivé défoncé en cours, c'était courant à dix sept ou dix-huit ans. Vous voyez, les élèves totalement mort-vivants qui dorment aux fond de la classe que le prof réveille à quand coup de règle sur la table. Dans mon cas, je ne dormais pas, même pas du tout pendant plusieurs jours et ensuite..je m'écroulais comme une merde sur ma table que même si il m'avait taper dessus avec sa règle, j’aurais pas bougé. Et un jour.. -Nous partons pour le week-end tout les deux, on revient Lundi les enfants ! On vous aime Sauf que maman n'est jamais revenue.
Give me a sign, I want to believe
CHAPTER III: DE NOS JOURS
-Sully, tu crois qu'elle nous aimait ? -J'en suis certains May. Il nous a vaguement expliqué l'accident. Pas dans les détails, juste dans les grandes lignes. Trop vite, de minuit, un peu trop d'alcool..un homme leur est rentré dedans, c'était inévitable, elle est morte sur le coup. Vivre près de la maison n'était pas supportable. Six mois ensuite j'ai quitté la maison, je suis partis vivre dans un petit appartement, retour au basique. C'est mon beau-père qui me l'a offert..pour le reste, depuis, je me démerde. Manger des pâtes pendant des mois ne me dérange pas, bosser non plus. Enfin..bosser.
Richmond Medical Center; Couloir des urgences; 01h57 Je ne m'imaginais pas finir une fois de plus à l'hôpital. Je ne pensais pas que ce gros lourdaud allait mal prendre ma plaisanterie et que, je finirais su le trottoir, le nez en sang, plaie à l'estomac, saoule, et que je tomberais raide sur le sol. J'aurais espérer, si j'avais été conscient de que personne ne vienne m'aider et me démerder seul. J'ai vingt ans et je n'ai jamais fait quelque chose d'extraordinaire dans la vie ou quoi que ce soit d'enviable, hormis survivre à je ne sais pas combien de tentative de passage à tabac toujours par une pirouette, à croire que c'est la seule chose où je suis doué. Alors oui, j'étais là à attendre dans un couloir de l'hôpital, glace sur le nez et main contre la plaie qu'on venait de recoudre à attendre. Ouais, Parce qu'en plus d'avoir été secouru, on m'a prit mes papier et je soupçonne le corps médical d'être l'auteur de ce vol. Aussi je devais attendre et sûrement me justifier, tant de mon taux d'alcoolémie que mon nez sûrement cassé et le coup de couteau. Revenons-en à moi, mon nez, le couteau et la sexy petite infirmière qui s'était approché du brancard sur lequel j'étais assis. Finalement, dieu existe... -Salut..ça va ? -Votre nom jeune homme.. ? -Mon nom ? Moi, j'suis Andrew Harrison, mais Andy pour vous. - Ce n’est pas ce qui est écrit sur votre permis de conduire monsieur.. "Sullivan Klaus Eugene Coolidge"… - Et alors, vous ne me connaissez pas, enfin pas encore...Je suis un bien sage homme, Mademoiselle, un saint, un tombeur et un héros aimé de tous..Mon nom n'a pas d'importance donc..même si je préfère que vous m'appeliez Sully. Ma vantardise me perdra, surtout que je suis loin d'être un saint, je suis tout sauf sage, la dernière fille qui est restée avec moi plus d'une soirée était trop défoncer et aurait pû me confondre avec un arbre et surtout, je suis loin d'être un héros. Pour ce qui est de mon prénom, Sully me suffit largement, ne vous avisez pas de m'appeler Sullinou, il n'y à que ma mère qui m'appelle ainsi, enfin, appelait, avant que...Bref, vous savez. J'ai l'impression d'être un monstre en peluche quand on m'appelle Sully, hormis que je ne pèse pas le même poids, ne mesure pas la taille d'un monstre et que je pourrais servir de déjeuner à un ourson de trois jours. -C’est ça, bien entendu monsieur Coolidge. Emploi ? -..Aucun. Chanter et jouer de la guitare dans le métro de New York, en résumé, c'est ça mon occupation le jour..la nuit, revendre de la drogue dans les quartiers miteux de New York me semblait une solution pour avoir ma part et obtenir facilement du fric. -Quoi que vous avez fait pour prendre ces coups..arrêtez, c'est juste un conseil. Enfin voilà, merci pourvues renseignement, le médecin arrivera plus tard pour voir ce nez. Vous pouvez nous appeler en cas de besoin, mal de tête, vomissement..bref, pour tout ce que vous voudrez. -Ah et même votre numéro ? -Dans vos rêves très chers... Et oui, après Ca elle est partie. Quelques choses me dit que j'irais plus souvent à l'hôpital a cette heure de la nuit à présent. J'ai réfléchis, je suis rentré à l'université dans le seul domaine, avec la musique, pour lequel j'étais "doué", Arts Plastiques. Faire un dessin en punaise ou dessiner toute la journée mes profs sans avoir des devoirs en plus me va très bien. Je travaille de temps en temps et je continue de jouer dans le métro. Je me débrouille assez bien finalement, tout seul. A vint-trois ans, j'ai une vie banale quoi..des échecs sentimentaux plus gros les un que les autres et en attendant le jour ou je serais milliardaire, je continue mon chemin.
Dernière édition par Sully K. Coolidge le Lun 7 Fév - 10:53, édité 4 fois
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:27
Behind the computer
Prénom: English Mustard; Au; RILEY; Windsy or what ever Âge : 17 balais Avatar choisi : JacksonfuckinghotRathbone Comment as-tu connu ce forum ? : mondieu, no idea ça fait longtemps Ton avis (design, contexte, ...) : juste parfait, quoi \\o/ Présence sur le forum : 7/7 h24 Autre(s) compte(s) : nope Exemple de RP :
Spoiler:
Michael A. Delacour a écrit:
Michael observait le petit elfe devant lui. Un petit elfe blond aux yeux bleus, qui riait et dansait devant lui et chantant une chanson débile qui reviendrait peut-être à Michael quand il sera redescendu de son nuage. En attendant..Il trouvait ça drôle et riait avec le petit être qui se tenait un mètre devant lui maisi n'était qu'une hallucination. Dans la pièce, il n'y avait qu'Anaëlle et lui, pas d'elfe, ni de papillon, ni de castors, pas d'herbe rose de Willy Wonka , de licorne ou même de Paul le magicien qu'il avait vu avec elle l'autre jour. Là, ils étaient dans une pièce, un débarra d'un hôpital et personne ne c'était inquiété de ne pas les trouver ou encore d'entendre les jeunes gens parler derrière la porte. Soudain l'herbe disparu et le lutin changea de tenue ainsi que de coiffure alors qu'une boule disco éclairait la nouvelle piste de danse. Micha riait encore plus perdu dans son petit monde à se trémousser sur la musique disco qu'il était le seul à entendre. L'Elfe se rapprocha du jeune homme en tendant les bras vers lui, un sourire angélique. Evidemment, qui se méfierait d'une elfe danseur de disco en pantalon à paillettes rose, personne ? Michael tendit la main vers l'elfe et se releva à moitié à l'aide de son ami imaginaire.. mais celui-cii se transforma en guêpe aussi grosse qu'un melon d'eau. Un mouvement de recul, Michael retomba sur les fesses les yeux écarquillés comme si il avait vu la pire des chose au monde. Le fait est que Michael est allergique aux guêpes, abeilles et araignées..alors comprenez un peu. Son hallucination disparu et il se retrouva à nouveau dans le débarra de l’hôpital. A boule disco était le néon qui clignotait et le reste, il ne le devait qu'à son cerveau. Allongé su le sol posant ses mains sur son coeur qui a faillit explosé sous le choc. Ses yeux se posèrent sur Anaëlle, en face de lui qui le regardait. On aurait dit un fou, la drogue le rendait fou et cela se voyait même de l’extérieur. Tremblant légèrement, le front en sueur et ses yeux; ses pupilles étaient tellement dilatées que l'on apercevait à peine le vert de ses iris.
« Qu’est-ce que tu veux dire par là?! Pourquoi t’as dit ça ? » Micha ne savait pas quoi répondre a ca, vraiment pas. Les choses s'éclaisissait dans sa tête; que pouvait-il dire? Plus un rire, plus une phrase incompréhensible Michael réfléchissait du mieux qu'il Etait possible à un homme qui voyait des pieuvres nager dans l'air au dessus de lui.. Qu'est-ce que cela signifie ? Pourquoi j'aime tant cet endroit, pourquoi ce lieu est important pour moi. Je l'aime. Je l'aime car sans lui toi et moi on ne se serait jamais rencontrés. Sans cet hôpital, je serais pas celui que je suis; un drogué amoureux.. Et si parfois je t'en veux de m'avour attiré dans ce piège dont je ne me sors pas, je ne pourrais jamais dire que je regrette, non. Personne ne faut une déclaration d'amour dans un placard a balais d'un rez-de-chaussé d'hopital, meme pas moi. Alors je ne peux te dire, je t'aime. Alors..j'attendrais un moment et une occasion particulière. Un moment ou mes sentiments feront peut-etre changer les choses. J'ai mal au coeur..mal, car j'attends depuis trop longtemps apres un conte de fée qui n'arrivera pas. Depuis quand c'est le "prince" qui doit attendre comme un abruti que la princesse soit prête. Toi et moi, nous sommes tout sauf ordinaires..."nous" sommes spéciaux. Mikado respira enfin, après une minute d'apnée non voulut. Ou il balançait tout, comme ça..comme si il disait qu'il avait eu dix en maths ou bien, il ne disait rien, changeait la conversation, ce qui ne serait pas une si bonne idée car c'est dans ces moments là que votre interlocuteur vous questionne encore plus. Michael se remit à rire, déplaçant ses mains qui était sous sa tête sur son visage pour s'y cacher. Un rire nerveux, tout sauf oephorique. Vous avez déjà été à un enterrement ? Parfois en plein milieu d'un silence, quelqu'un se met à rire..sans pouvoir se contrôler, sans même le vouloir. C'est nerveux. On rit pour évacuer sa tristesse comme l'on peut pleurer lorsqu'on rit. Michael riait..alors qu'il n'en avait pas le coeur si il s'écoutait et que l'héroïne ne se baladait pas dans ses veines. Après le fou rire, deux ou trois larmes qu'il essuya rapidement avant de reprendre sa position de lave, affalé par terre et les bras en guise d'oreiller et de la regarder. « Tu..tu comprendrais pas. C'est compliqué..» Il marqua une pause, se mordant légèrement la lèvre avant de poursuivre dans un murmure. « Mais je te le dirais un jour peut-être. » Un jour peut-être. Cela pouvait signifier demain, ou dans un mois comme pas du tout. Comment on pouvait si facilement changer d'émotions. Passer du rire au larme en une phrase, une seconde. Fragile ils l'étaient tout les deux. Dépressifs ou mal dnas leurs têtes, comme vous préférez, ils le sont, chacun de leurs coté. Il aurait donné quoi là, pour qu'elle le prenne dnas ses bras, qu'elle lui dise qu'elle sera toujours là avec lui. Tout. Si cacher ce secret le rongeait, la distance aussi, la gêne et le malaise entre eux. Je t'aime c'est simple à dire, tout le monde le dit. Michael, restait de ceux qui utilisait rarement cette phrase, ou pour les bonnes personnes -juste sa mère et son père- et devenait trop timide ou trop gêné quand ceci devait être adressé à d'autre. c'est un trop gros mot, trop d'importance..trop personnel pour être dit à tord et à travers. Quand il le disait, c'était pour une vrai raison et qu'évidemment il le pensait et dans ce cas là, il ne pouvait être plus sincère.
« De beau ?... Rien… Mais il m’a dit que…Je dois communiquer. Alors je le fais…» « Et tu te retrouve enfermée toute seule..jusqu'à ce que j'arrive. C'est un signe non ? Peut-être que ton psy nous a enfermé ici exprès, pour que tu communiques. » Il sourit furtivement, avant que sn regard ne tombe dans le sien. « Michael » voix tremblante « Je.. n’aime pas quand tu te piques à l’héroïne. » Michael s'assit en soupirant, fixant ses pieds. Qui aimerait savoir que quelqu'un de son entourage se drogue. On se drogue, lorsqu'on est en détresse et personne n’aime savoir ses proches en détresse ! c'est normal ! Et quand nous mêmes, nous sommes vulnérable alors, voir que les autres eux aussi plonge dans une spirale infernal est tout sauf agréable. Michael préférerait ne plus se droguer, ne pas avoir à fuir son visage mais la douleur ! La douleur...tout ça était du à la douleur. « Personne n'aime ça..Mais je.. » Il se stoppa. Incapable de trouver une excuse, il n'en avait pas. C'est comme ça, c'est tout. Peu-être qu'il arrêtera l'héroïne un jour pour une raison x ou y -ou pas, d'ailleurs. « Michael, je.. » Il releva le nez vers elle, sans que sa phrase ne continue. Qu'est-ce que celà signifiait, il n'en savait rien puisqu'au lieu d'y réfléchir, le jeune homme concentra son attention sur les nuages derrière Ellie et à la couronne clignotante qu'elle avait sur la tête. « On joue à un jeu » Un jeu ? Alors qu'ils étaient enfermés, elle voulait jouer ? Michael ouvrit des yeux ronds en dévisageant Ana, assez surprit qu'elle se rapproche de lui. « Bah ?... Il faut bien passer le temps, non ? » C'est toujours elle qui avance. Si lui avance, elle reculera..Alors, c'était quand elle le voulait, comme un chat qui décide quand il veut des caresses ou non. Ana s'assit à coté de lui, Michael remit nerveusement ses cheveux en place. « Qu’emmènerais-tu sur une île déserte ? » C’était quoi cette question ? Michael ne c'était jamais posé la question et après avoir vu pirates des caraïbes, il était certains de trouver un moyen de partir d'une île désertée. -trouver la planque de revendeur de rhum et vider le contenu de celle-ci assis sur une plage à boire- « Matériel ou non ? ..Si je devais ramener quelques choses avec moi, comme objets..rien, je pense. » Michael regarda rapidement un léger sourire pincé sur les lèvres. Si il avait le choix, le libre choix, il choisirait la personne qui compte le plus pour lui et celle sans qui il ne pourrait pas vivre, à présent qu'il en était dépendant. « Immatériel, j’emmènerais quelqu'un avec moi...Toi. » Pour une fois, il disait la vérité. Son choix se serait porté sur elle si il devait un jour partir à l'autre bout du monde, loin de tout. Il la regarda un instant dans les yeux avant de ramener ses genoux contre son torse et de les entourer de ses bras sans cesser de sourire. Une vérité, c'était déjà ça. « On peut considérer notre petite aventure comme un voyage sur une île déserte, non ? Nous sommes seul, loin des autres et de nos vies. Je ne vais pas m'enfuir pour aller bosser et cette porte ne s'ouvrira que si quelqu'un passe dans le coin. On est loin de tout ça, juste tout les deux. Alors, je pense que si je dois partir loin, île déserte ou même rentrer chez moi à Paris. Je partirais pas sans toi. » Un fait réel et prouvé. Partir à Paris trois jours seulement relevait du miracle pour lui et il n'avait cessé d'y penser, malgré les fêtes de noël et l'attention de sa famille, il aurait donné cher pour qu'elle soit montée dans l'avion avec lui. Ensemble, proche ou non. Tant qu'ils étaient tout les deux à New York et qu'il était sur qu'en passant la porte du starbucks, il la verrait alors cela convenait parfaitement. Ensemble, ou rien. « Et toi ? Tu emmènerais quoi ? » Si je devais partir sur une ile déserte, loin de tout, loin de New-York ou de cette vie je partirais avec toi, uniquement avec toi même. Apres tout, c'est toi qui me rend heureux comme triste, c'est avec toi que je veux rester, seul. Et si l'inverse ne me semble pas plausible peu importe, c'est toi que je choisirais à mes côtés. Parce que oui, a présent je ne peux plus vivre, sans toi.
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Dernière édition par Sully K. Coolidge le Dim 6 Fév - 19:27, édité 2 fois
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:29
MINOOOOOOOOOU.
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:30
mais euhhh
bref, Hi
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:32
ohmondieutum'astué. XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD Bref, bienvenue Sullyyyyyyyyyyyyyyyy je demande un lien bien sur.
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:46
Han Ma Raiponce *sors* *j'adore le gif dans ton profil* (L) Re-Bienvenue
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 1:49
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 2:09
Welcome on board ! Réserve moi un lien quand tu seras validé (héhé)
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 2:22
Bienvenue :bave:
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 12:59
Heaven L. Tennessee a écrit:
ohmondieutum'astué. XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD Bref, bienvenue Sullyyyyyyyyyyyyyyyy je demande un lien bien sur.
L'encourage pas mééchanteeeuhh merci Heavennnnnn mais bien entendu, Heavy
Flynn D. Lincoln a écrit:
Han Ma Raiponce *sors* *j'adore le gif dans ton profil* (L) Re-Bienvenue
MON FLYNN RIDER et ouais le gif
Dylan L. Cooper a écrit:
la marraine
Matthew A. Walter a écrit:
Welcome on board ! Réserve moi un lien quand tu seras validé (héhé)
merciii et okey
Milan A. Hewitt a écrit:
Bienvenue :bave:
thanks
Dernière édition par Sully K. Coolidge le Dim 6 Fév - 13:16, édité 1 fois
Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 15:59
C'est tout ce que j'ai à dire.
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 16:11
OH M'Y GOD J'AI RATE TON ENTREE
T'as intérêt a me réserver le meilleur lien saleté de tueur de cousin
Mais sinOn, t'es trop beau et puis ta fucking fiche de taré ne t'inquiète pas l'honneur des Taner-de Ferrini est en tre de bonnes mains Et puis, t'es quand même trop (faut que je fasse lire ta fiche a mon ami, il va rire, coté râteau, il est au même point que toi ) bon, bisous bisous et pour mettre un peu de banalité la dedans WELCOME
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Dim 6 Fév - 16:17
Mackenzie J. Howard a écrit:
C'est tout ce que j'ai à dire.
Mackosorus
Rose N. De Ferrini a écrit:
OH M'Y GOD J'AI RATE TON ENTREE
T'as intérêt a me réserver le meilleur lien saleté de tueur de cousin
Mais sinOn, t'es trop beau et puis ta fucking fiche de taré ne t'inquiète pas l'honneur des Taner-de Ferrini est en tre de bonnes mains Et puis, t'es quand même trop (faut que je fasse lire ta fiche a mon ami, il va rire, coté râteau, il est au même point que toi ) bon, bisous bisous et pour mettre un peu de banalité la dedans WELCOME
j'y compte ex-cousine-d'avant-ma-mort et le taré n'est même pas fini le Sully de la vrai vie LOL
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Lun 7 Fév - 22:01
Bon j'ai envie de te dire que tout semble en ordre ex-parrain Un admin devrait donc valider ton nouveau perso RIP Riley d'ici peu.
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu Mar 8 Fév - 0:25
Je valide & je t'épargne le blabla mais
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Sujet: Re: SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu
SULLY• je ne suis pas un monstre à fourrure bleu
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