« A la fin, nous ne nous souvenons pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis. » de Martin Luther King
Signe(s) Particulier(s)
Awen est marqué deux fois : un tatouage sur l’omoplate gauche représentant le kanji japonais signifiant « Espoir » et un tatouage tribal représentant un dragon s’enroulant autour de son bras droit.
Orientation Sexuelle
Spontanément, je répondrai que Awen est hétérosexuel jusqu’aux bouts des ongles. Bien qu’il n’ait aucun problème avec les homosexuels et qu’il méprise les homophobes. Cependant, avec un ou deux verres dans le nez, il peut se transformer en bisexuel… quand il n’arrive plus à voir assez clairement pour distinguer un visage féminin d’un visage masculin…
Awen S. FARAWELL
Physique & Caractère
Apparence & Style: Awen est sans doute un jeune homme que l’on peu qualifier, sans présomption, de désirable. Il n’est certes pas baraqué et n’a d’ailleurs jamais soulevé quelque chose de plus lourd que soixante kilos, mais il a, au contraire, une musculature finement ciselée. Il est muni de longs membres fins et de longs doigts trahissant son goût prononcé pour le piano. Sa carrure élancé et sa façon de se mouvoir montre qu’il a jadis pris des cours de danse classique – même si, hélas, ce n’est plus le cas à présent. Et cela mêlé à ce regard vert transparent, qui vous fixe sans ciller jusqu’à ce que vous baissiez les yeux, qui pétille doucement et qui vous murmure « je ne vois que toi, je n’écoute que toi. » et qui devient noir lorsqu’il est colère. Awen est tout simplement charismatique et sait se faire comprendre d’un simple geste ou d’un simple regard. Nonobstant, Awen n’est pas particulièrement soigneux de son apparence physique et préféra de loin dormir un quart d’heure de plus que se réveillé à l’aube pour domestiquer ses cheveux – d’ailleurs, c’est mission impossible de ce côté-là. Mais pas de malentendu, bien sûr, Awen a reçu une éducation stricte où on lui a appris qu’il fallait tout miser sur la première impression et donc même s’il ne passe que quelques minutes dans sa salle de bain, il essayera toujours d’en ressortir avec une apparence acceptable. Il réussit chaque fois le défi, d’ailleurs.
Awen est ce qu’on appelle un anti-mode ; il a horreur d’être comme tout le monde et veux sans cesse se démarquer des autres. Mais rassurerez-vous, pour ce faire, il ne se promène pas avec des vêtement rétro des années sixties. Il aura juste une garde-robe haute en couleur constituée de sweat-shirt allant du jaune canari au rouge crépusculaire, des t-shirt avec des slogans pour le moins accrocheur et des baskets, Converse aussi variante que ses Sweat. Bien sûr, quand on est fils d’un sénateur et qu’on fait – ou plutôt faisait – des galas de danse ou de musique – piano et violon – on a forcément un vieux trois pièce Channel qui traîne dans une vieille house poussiéreuse très loin dans le fond de l’armoire, ainsi que ces chemises impeccablement repassée et d’une couleur éclatante qu’on s’amuse à superposer avec des pull à col en V. A bien choisir, Awen n’a pas vraiment de style, ou cela dépend de l’occasion et des personnes avec lesquels il se trouve. On a soit le vrai lui, avec toutes ces couleurs ou alors le personnage un peu fictif, fils à papa.
Caractère: Chaud et froid. Doux et dur. Paisible et cruel. Solaire et lunaire. Heureux et triste. Awen est un paradoxe à lui seul. Mélangé entre l’éducation stricte et douloureuse qu’il a subit et cette nature sauvage et indomptable qui électrise ses veines. Entre cet individu à l’apparence placide et inexpressive qui suit son père, un mètre derrière, la tête légèrement incliné. Et celui, vif et lumineux tel une supernova mais pourtant qui ne communique qu’à travers le chant irréel de son piano et la plainte douloureuse du violon. On ne sait pas vraiment qualifier Awen. Serait-il une de ces personnes insupportablement lunatique ? Honnêtement, je ne pense pas. C’est peut-être sa façon à lui de se faire accepter par tout le monde, en s’adaptant à chaque individu, se transformant selon les désirs de la personne qu’il a en face de lui. Car Dieu sait à quel point le jeune homme souffre lorsqu’il se sent rejeté. Il a été tant rejeté par la figure paternel. Ces contradictions qui semblent être des signes prédominant d’une folie futur sont le fruit d’une lourde tutelle parentale et d’une longue suite de petit destin tragique.
Lorsque le jeune se trouve en société avec des gens à qui il doit le respect, il sera tel une ombre effacé, n’abandonnant que quelques sourires niais aux vieux individus qui constituaient la haute société du Texas. Il suit son père, trois pas derrière, la tête incliné, silencieux, ne répondant que par des phrases toutes faite, mentant parfois pour accordé la réponse que son interlocuteur désirait. Ainsi, à la fin, lorsqu’on parlait du fils Farawell on disait : « Quel gentil garçon, très poli. » « Certes, mais honnêtement, il n’a pas la consistance de son père. » « Certes. » Comme ça, l’homme Farawell était une fois de plus mis en avant, se servant de son fils comme piédestal.
Et puis, il y a cette boule de feu qui s’adresse aux autres avec tant d’énergie et avec tant de conviction qu’on ne peu que croire en ses mots. On ne peut être que captivé par chacun de ses mouvement car la grâce inconditionnel qui l’enveloppe dans ces moment-là est elle qu’il ne semble plus qu’existé que lui. Et puis, quand il est là, debout, tenant d’un main ferme son violon et lui faisant chanter une douce mélopée qui évolue à l’allure de ses pensées. Cet Awen-là, est cependant aussi fermé qu’une huître et semble avoir du mal à exprimer ce qu’il ressent. Bien qu’il soit plus libre et plus vivant que l’autre, il n’en est pas moins triste et dur.
Après ça, on va visiter la profondeur de ce qu’est Awen. La première chose est qu’il refuse de trop s’attacher à quoique ce soit, bien qu’extérieurement, il aura l’air de se confier à vous, réellement. Mais en réalité, il gardera ses pires souffrances pour lui, car s’il y a bien une chose qu’il déteste, c’est devoir se reposer sur les autres. Il s’était reposé sur sa mère et elle était quand même morte, même s’il avait besoin d’elle. Il est le genre de personne qui vit au jour le jour, sans pensé au lendemain, mais qui, hélas, ne cesse de pensé à la veille. Les personnes qui le connaissent, savent cependant que derrière cette muraille qu’il a érigé entre lui et le monde extérieur, il y a cette personne remplie de douceur, aussi douce que les notes qu’il fait sortir de son piano.
Il aime se sentir différent des autres. Pas forcément meilleur, mais différent. Exemple numéro un : tout le monde aime Twilight, tout le monde lit Twilight, mais lui, il ne savoura le livre que lorsque la mode sera retombée. Ainsi, même en essayant d’être toujours parfait, il se rend lui-même agaçant en voulant absolument être parfait. Car c’est vraiment ça : Awen cherche la perfection.
Pas violent pour un sou, il reste toujours d’un calme déstabilisant et très, très perturbant. Lorsqu’on lui cherche des poux, il deviendra d’une froideur cassante et vous remballera comme il sait si bien le faire. Pratiquant plus l’humour noir et cassant ainsi que l’ironie et le sarcasme, cela ne le rendra pas pour autant désagréable, car il ne s’en prend généralement qu’aux gens vraiment détestable.
L'histoire
Breton. Français. Etranger. Je l’ai toujours été et je compte bien le rester. Reconnaissable entre mille avec cet accent et cet air. Et je suis persuadé qu’autant que je vivrai, je resterai toujours cet inconnu aux Etats-Unis. Je suis né dans une de ces grandes familles qui vivent hors du temps et hors de tout changements. Mon père était un ambassadeur français ralliant la France à New-York alors que ma mère était une artiste rêveuse emprisonnée dans sa musique et dans ces dessins étoilés. Je pense que le fait que mes parents soient radicalement opposés l’un à l’autre ait eu une grande impact sur mes humeurs lunatiques. Même si, j’ai pour ainsi dire vécu sans parents avec pour seul compagnon une petite sœur et trois nourrices trop protectrice. Cette petite sœur porte le nom de Nina et est en réalité une jeune Israélienne que mes parents ont eu la bonté d’adopter. Je me souviens encore du visage plissé de mon père déclamant fièrement : « Regarde, Fils, nous montrons le bon exemple. » Je disais donc que je vivais pour ainsi dire seul : mon père était toujours en « voyage démocratique » et ma mère, je pense qu’elle était en voyage prolongé sur Mars ou peut-être sur Jupiter. En tout cas, très loin de la planète Terre et loin de ses enfants. Par contre, j’ai toujours considéré Nina comme ma véritable sœur ; nous n’avons que un an de différence et elle est pour moi bien plus que je ne pouvais espéré d’une vie de famille. Je n’ai donc pas eu une vie bien compliquée dés le départ. C’était même très routinier : Réveil, manger, se préparer, école, piano, violon, sciences éthiques, athlétisme ( au choix selon le jour de la semaine ), maison, devoir, dodo, réveil [… ] Mais j’aimais ça. Ça donnait un sens à ma vie et ça ne me faisait pas de surprise – je déteste les surprises.
Mais je pense que vous vous en doutez : ma vie allait prendre un tournant assez inattendu, lors de ma douzième année. Mon père c’était lassé des voyages répétitif France – USA et avait décidé de revenir définitivement dans sa nation natale… sans nous demander notre avis. Ma mère ne quitta pas sa planète et se contenta de dire, une fois arrivé : « Oh, regardez, la Lune nous a suivit. » Et Nina et moi-même n’avions tout simplement pas notre mot à dire. La langue n’était pas un problème, on avait tout deux suivit des cours très appuyé pour apprendre l’anglais et même si on se faisait chambré avec notre accent, beaucoup de gens appréciaient la note venue de Bretagne qui faisait vibrer notre timbre. Mais vivre en France et vivre aux Etats-Unis, à New York plus précisément… c’était radicalement différent de tout ce que nous avions connus. La routine resta ce qu’elle était, mais bizarrement tout était différent. En France, les regards posés sur Nina était certes peu amical, mais il y avait tout de même une majorité de gentils sourires. Ici, dans un peuple qui n’accepte pas forcément les différences et qui n’a qu’aujourd’hui son premier président Noir, comment voulez-vous que Nina, cette Israélienne marquée par son pays puisse vivre heureuse ? Surtout quand ce fameux pays est récemment déclaré les hostilité à cet autre ? Les regards posés sur Nina était tantôt bienveillant, tantôt dégoûté. Et Nina était bien assez maligne pour les remarquée et en souffrir. C’est pour ça, que le 27 Juillet 2001, on la retrouva morte dans le coin d’une ruelle de Brooklyn. Aujourd’hui encore, personne ne sait ce qu’une fillette de onze ans fichait dans un des coins les plus insalubre de Brooklyn, mais moi, tout ce que je sais, c’était dés à présent, j’étais seul et que je ne reverrais plus jamais ma petite sœur.
Je ne sais pas comment décrire ma vie après sa mort, à Nina. Monotone. Prévisible. Risible. Intangible. Mon père n’était pas plus présent, ma mère n’était pas plus… normal. Lentement, je sombrai dans tout ce qu’il me restait, ce que mon père avait toujours voulu que j’ai dans la tête : l’éthique, la politique, la socialisation, la philosophie. Mais d’autre part, je passais dans le monde silencieux et bruyant en même temps de la musique. Au point que je ne parvenais plus à lié ces deux univers dans lesquels je m’étais pourtant pleinement investi. Du coup, si vous avez une notion de mon caractère que j’ai décris plus haut, vous comprendrez que j’ai fini par dissocié les deux à par me créer deux personnalité. Je ne sais pas si cela fait de moi un fou, mais j’aime vivre ainsi. Lors de ma dix-neuvième années, mon père décida, définitivement, de faire de moi ce qu’il a toujours voulu que je sois – que je sois comme lui. Il m’envoya donc dans une prestigieuse école de New-York. Là, fin de l’histoire. Et même si ceci n’est ni véritablement le commencement de ma vie, ni la fin, je l’espère, je pense y avoir tout dit. Ou presque.
Behind the computer
Prénom: Peyton Âge : 19 ans Avatar choisi : Garrett Hedlund Comment as-tu connu ce forum ? : Ah, ah, je le connais depuis un certain temps, car je suis un ancien membre (: Mais j'ai été supprimé à cause d'un manque d'activité [ ... ] Mais bon, je suis de relà et je ne reproduirai plus l'erreur (: Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime beaucoup de desing & j'ai un bon souvenir de l'ambiance (: Présence sur le forum : écrire ici Autre(s) compte(s) : / Exemple de RP :
Spoiler:
Ce matin en émergeant de ce sommeil lourd et dépourvu de rêve auquel j’étais habitué, j’avais le goût amer de la veille en bouche. La soirée d’hier avait été plutôt arrosée et je ne me souvenais plus comment j’avais réussi à rentrer chez moi. Peut-être que l’un de mes amis avaient trouvés utiles de me raccompagner ? J’en doutais car j’avais encore très peu d’ami ici, et les plus proches étaient plus communément appelés Googai. C’était sans doute la concierge qui m’avait retrouvé étendu sur le trottoir et qui avait appelé son mari pour l’aider à me transporter jusqu’à ma chambre. Les autres avaient beau être amical, ils n’essayaient jamais vraiment de se lier d’amitié avec moi. Et ça m’allait plus ou moins. J’avais perdu l’envie de m’attacher à quiconque car invariablement, ces liens avec lesquels les être humains se lient finissent invariablement pas se rompre et après, on ne pouvait que plonger dans un océan d’amertume, de tristesse, de regrets et de souffrances. Je me lève avec un grognement, faisant craquer plusieurs de mes articulations. À travers les rideaux clos de ma chambre, je peux deviner que le Soleil a déjà bien entamé sa course et qu’il est bientôt midi. Je soupir, mais je me redresse quand même, baillant et grognant. Je me traîne jusqu’à la petit cuisine aménagée, cherche pendant trois minutes une tasse avant de me rendre compte que je ne cherche pas au bon endroit. Finalement, je parviens à trouvé un verre et à me verser du jus d’orange à l’aspect de plus en plus douteux, mais que je bois quand même car je n’ai pas envie de chercher après des filtres à café et d’attendre que ce fameux café soit près. Les tartines que j’avais préalablement mises dans le grille-pain finissent pas bondir et je les rattrape de justesse. J’en coince une entre mes lèvres et passe l’autre d’une main à l’autre en me plantant devant un calendrier à l’effigie de l’école.
Sur ce calendrier, il y a une explosion de couleur, des mots inscrits dans tout les sens imaginables, des croix et des cercles tracés à l’approximatif. Ça ne fait pas très viril sans doute, mais c’est l’une des coutume que ma mère m’avait donné. Et que j’avais voulu conserver. Elle marquait tout son emploie du temps sur un calendrier – généralement à l'image de chiots pleurnichards – elle notait ses rendez-vous et ce qu’elle avait envie de manger ce jour-là. Elle notait dans des couleurs vivres et faisait quelques petits dessins représentatifs les jours où je faisais un gala ou une représentation. Vers la fin de sa vie, son calendrier prenait de plus en plus des couleurs sombres, au fur et à mesure que la fréquence de ses chimiothérapies augmentaient. Lorsque papa venait nous voir, elle dessinait de grands points d’exclamation et des smiley souriant. Et le jour de sa mort, la mort de ma mère, j’avais inversé le sourire de tout ces smileys. La case d’aujourd’hui, sur mon calendrier était vide. Chose rare, je dois dire. Je soupir à nouveau et je vais prendre une douche froide qui à le mérite d’arrêter de faire tanguer la pièce. J’enfile un jean noir, une paire de basket blanche et un sweat-shirt vert un peu flash, qui contraste avec mes cheveux roux foncés.
Les écouteurs de mon Ipod enfoncé dans les oreilles, diffusant Les Savy Fav, Let’s Get Out of Here, je sors rapidement de l’enceinte de l’école et me dirige mains dans les poches vers le Quartier Sud. Je ne connais pas vraiment ce coin-là de Tokyo, en fait, je ne connais quasiment pas Tokyo. Le Quartier Sud semblait destiné à l’amusement. Après avoir dépassé la patinoire et un bar sur lequel je ne ferai pas de commentaire, je vis se profiler au loin, les lignes courbes d’une impressionnante grande roue. Une joie purement enfantine que je n’avais plus éprouvé depuis longtemps s’empara de moi et sans vraiment m’en rendre compte, j’avais accéléré le pas. Après avoir payé l’entrée, je me retrouvais à l’entrée du parc. Une magnifique explosion de couleur et de bruit assailli mes sens comme une douce symphonie. Je rangeais mes écouteurs car de toute façon je n’entendais plus rien. Je n’étais pas vraiment accoutumé à ce genre d’environnement et je me retrouvais les bras ballants, me demandant par quoi j’allais bien pouvoir commencer.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Awen S. Farawell le Dim 27 Fév - 13:34, édité 19 fois
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 17:24
Bienvenue parmi nous.
Par contre, Gaspard est pris pour un scénario de membre, on n'a pas encore eu le temps de le noter dans la liste des avatars... Il faudra donc soit que tu prennes le scénario soit que tu changes de célébrité...
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 17:27
Bienvenue.
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 17:30
Bienvenue
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 17:40
Merci tout le monde
Alors, pour l'avatar. J'ai changer pour Garrett Hedlund, est-ce que c'est bon ? (:
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 18:17
Bienvenue !
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 18:24
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 18:31
Bienvenue à NY & bonne chance pour le reste de ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 18:36
Bienvenue, bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 18:57
Bienvenue Ton code du règlement est faux, je t'invite donc à le relire.
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 19 Fév - 22:27
Bienvenuue
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 12:36
Merci tout le monde pour cette accueil
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 13:13
Bienvenue
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 14:31
bienvenue
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 16:05
Bienvenue parmi nous ♥
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 16:06
bienvenue à ny
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 17:38
Merci vous tous
J'espère pouvoir tapper l'histoire pour ce soir, sinon je pense me voir obligée de demander un délais jusqu'à samedi prochain =| Vu que je n'aurai pas accès au PC assez longtemps cette semaine que pour tapper quelque chose de correct (:
Merci de votre compréhension
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Dim 20 Fév - 20:08
Bienvenue parmi nous Garrett est un excellent choix et est bien libre
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Lun 21 Fév - 1:13
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 26 Fév - 16:37
Merci tout le monde =D
Fiche terminée
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 26 Fév - 20:51
Biiiienvenue ! <3
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Sam 26 Fév - 20:57
Mercieuuh
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Lun 28 Fév - 16:59
Ta fiche me semble bonne, un admin devrait venir te valider d'ici peu (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ? Lun 28 Fév - 17:52
Validé ! N'oublie pas de voter pour NYCL dans les top-sites. En cas de problème(s) sur le forum n'hésite pas à contacter les membres du staff grâce aux messages privés ou encore par le forum - questions & suggestions - N'hésite pas à te connecter sur la chatbox ou encore faire un tour sur le forum de flood pour te familiariser avec le forum et ses membres. Et encore bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: This Lonely Day ♦ Will I am ... ?
This Lonely Day ♦ Will I am ... ?
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