"La perversion c’est une affaire de goût, c’est comme la bouffe chinoise : on aime ou on n’aime pas. N’empêche que quand on est chinois on a pas le choix !" Jeux d'enfants.
Signe(s) Particulier(s)
Pas de tatouage, ni de cicatrice, mais seulement un piercing au nombril que j'ai depuis quelques années maintenant.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle
Raquel Lunah Sullivan
Physique & Caractère
Apparence & Style: On ne peut pas dire que je sois complètement laide, on ne peut pas le dire tout court. Je suis de taille moyenne, je mesure un mètre soixante dix, enfin je dois les frôler, je suis de bonne taille en tout cas. Enfin bref, je suis aussi grande que ma mère, mais je suis le portrait craché de mon père, mais en fille bien sûr. J'ai de long cheveux brun. Un teint de peau pas trop claire qui fait ressortir mes grands et magnifiques yeux marron envoutant. J'ai un petit nez et des petites lèvres que j'aime bien maquiller avec du gloss. Niveau physique, je suis loin d'être repoussante, bien au contraire. Comme on peut souvent dire, j''ai des formes assez attirante et tous ce qu'il faut, là ou il faut. Niveau vestimentaire, je ne suis pas difficile, j'aime porter un peu de tout, mais il faut que sa aille ensemble logique ! Les fringues de marques, j'aime, certes, mais j'en ai pas toute ma penderie, et loin de là. Je m'habille assez bien, enfin pour moi, du moment que je me plais à moi même, le reste je m'en fiche.
Caractère:Adorable, Naive, Influençable. Voilà les adjectifs qu'on dit de moi à première vu. Laissez moi rire. Adorable ? mouais enfin tout dépend avec qui. Naïve ? loin de l'être et encore moins influençable. Alors inutile de vous dire que les apparences sont trompeuses n'est ce pas ?. Il faut se méfier de moi, je suis loin d'être une petite fifille a son papa, bien que je sois petit en taille, comme en âge, et toute mimi, je suis loin d'être facile a vivre. J'ai mon propre caractère, enfin, je tiens ça de mon père surement. Je suis quelqu'un de très rancunière, j'oublie très très rarement les coups que l'on peut me faire, et je prépare ma vengeance doucement. Je suis aussi impulsive et égoïste, même si j'essaye de faire des efforts sur ça, mais c'est assez difficile. Je snob pas mal de gens, et je suis vaniteuse, que voulez vous, nous ne sommes pas parfait, sinon on s'ennuierait vraiment. Je vous rassure, je suis loin d'être qu'un petit démon, je peux et sa m'arrive d'être un ange, oui je vous assure. Je suis parfois attentionnée, tendre, joueuse et bonne perdante -enfin tout dépend de l'adversaire-. Je suis aussi assez marrante et très souriante.
L'histoire
« Félicitation Madame, vous venez de mettre au monde une magnifique petite fille. » Directement les larmes de ma mère se mirent à couler le long de ces joues. Normale comme attitude, après plusieurs tentatives à être enceinte, Marie Sullivan avait perdu tout espoir d’avoir un jour un enfant. Mais voilà, on avait du entendre sa prière puisque la voilà mère d’une –comme venait de le dire la sage femme – d’une magnifique petite fille, enfin moi quoi. Quand la sage femme me posa sur le ventre de Marie, celle-ci, releva le regard vers son mari, mon cher père –qui était ému lui aussi- et en déposant un tendre baiser sur mon front, ma mère chuchota quelques mots « Bienvenue avec nous Raquel Lunah Sullivan, Mon petit rayon de soleil » Des mots tendres d’une mère échangent à sa fille, certes je suis encore petite pour assimiler ses mots, mais c’était relaxant et réconfortant. Bien sûr, ce ne fut pas qu’une bonne nouvelle pour les deux jeunes parents, c’était aussi une très bonne nouvelle pour le reste de ma famille. La grande tante avait même fait le voyage de Paris pour venir me voir. Quelle idée de venir à Londres un jour d’hiver, elle aurait quand même pu attendre, mais bon faut croire que non. Pas grave. Les flashs me brulaient les yeux, d’ailleurs j’en avais marre que je me mettais à pleurer pour qu’ils arrêtent … et puis j’avais faim aussi. Je me rappel du jour de ma sortie de la maternité, c’était bien emmitouflée dans les bras de ma mère, mais à travers ces bras, je reçus un goutte d’eau sur le bout du nez et je ne sais pas, je sortis un petit rire, d’ailleurs ma mère s’était arrêtée surprise qu’à mon jeune âge, je « rigole ». Je rentre chez moi, magnifique maison Anglaise. Maison de mon enfance.
Quatre Ans plus tard …
« Papa !! Papa !! Pépé !! » « Non ma chérie, tu en as déjà plein de poupées à la maison. » D’une mine boudeuse je sortis du rayon jouets pour enfant pour rejoindre mon père qui commençait déjà à partir. Je m’étais déjà perdu dans un magasin, et bien je peux vous le dire, c’était la première et la dernière fois je vous l’assure. Depuis je ne quitte plus mes parents quand je suis au magasin. Bien que je n’aie pas eu ma poupée, mon père m’avait payé un tour de manège et puis les enfants à cet âge là, ce n’est pas rancunier, enfin du moins pour mon cas. Bizarre non d’un père fasse les courses ? Légèrement, mais dans ma famille c’était la routine, enfin il fallait le dire, ma mère n’avait vraiment pas le courage de le faire, enfin surtout pas le temps ouais. Depuis maintenant deux ans elle avait décroché un haut poste dans un grand building de Londres. Un Building au nom de « Liberty », une grande chaine de vêtement, mais aussi création de parfum et de cosmétique et aussi le grand magazine régional, le « Lib’Gop » -quel nom pour un magazine-. Elle avait décroché le poste de directrice en chef de ce magazine, enfin décroché c’est un grand mot, sa mère lui a confié le magazine à sa mort, pour lui rendre hommage, elle n’avait pas pu dire non. Mon père un simple libraire passionné de voyage et de nouvelles villes avait comme projet de voyage encore et encore. Mais je l’avais freiné dans ces projets puisque j’étais arrivé entre temps et puis avec le poste de ma mère, ces projets tombaient complètement à l’eau.
Neuf ans plus tard…
« Ma puce, papa s’en va quelques jours dans un autre pays, c’est tata Marte qui va te gardé pendant ce temps … tu sais que ta mère n’a pas vraiment le temps. » « Mais papa tu ne peux pas me laisser avec tante Marte, elle est méchante et en plus elle pue… s’il te plait emmène moi avec toi !! » Dis-je en lui faisans les yeux de merle en fris. Hélas il n’a pas voulu. J’ai bien grandis et je commence à connaitre les choses de la vie, enfin j’ai bien dis commencer. Comme l’avait dit mon père, pendant deux semaines, c’est ma tante Marte qui me gardait, aah lala qu’est ce que je ne peux pas la voir elle. C’est la sœur de ma mère, mais elle m’énerve à critiquer mon père part derrière, aucune franchise, non mais je vous jure. Et puis ma mère qui n’est jamais là, pas la pour me dire bonne nuit, et déjà partie le matin, pas le temps d’un petit bonjour –ou bien c’est rare-. D’ailleurs, inutile de dire que j’en veux énormément à ma mère. Enfin peut importe. Avant son départ, mon père m’avait acheté un journal intime, pour écrire tout ce que j’avais pu faire dans ma journée, ressentir et dire. Il m’a promit de faire la même chose et à son retour on se l’échangerait et on lirait toutes les pages, comme ça ni lui, ni moi louperons un jour. Mon père c’est vraiment quelqu’un d’important pour moi, c’est mon père, mon géniteur, certes, mais c’est aussi mon confident, mon meilleur ami, le meilleur de tous. Quand j’invite des amis du collège, il est toujours là à faire le cirque avec nous, mes copains l’aiment beaucoup et n’arrêtent pas de me dire que j’en ai de la chance d’avoir un père comme lui, gentil, bel homme, attentionnée, jeune et surtout rigolo. Alors qu’on était en train de jouer à un jeu tout les deux, voilà que ma mère –qui ne devait pas être là à cette heure là- et nous annonce alors « Je viens d’accepter le même poste que je fais en ce moment, mais à New-York. » Mon père renversa le plateau ou nous étions et se précipita vers ma mère, furieux. « Tu as fais quoi ? Je crois que j’ai vraiment mal entendu. Je croyais que pour rien au monde, tu quitterais le magazine que ta mère ta laisser et encore moins Londres !! Et puis je fais quoi moi de la librairie de mes parents ? Hein tu y as pensé ?» « Tu crois quoi Tom, que je fais passer mes intérêts avant tout le reste ? Non mais tu me connais assez quand même.. Bien sûr que j’y ai pensé, mais tu ne comprends pas, c’est une opportunité en or pour moi, pour ma carrière, pour le reste mon avenir. Tu peux retrouver une vieille librairie à New-York et la restaurer pour en faire ton nid douillet. » « Désolé de te dire sa, mais là tu te fiches du reste du moment que ta petite personne est heureuse !! Tu sais que ce n’est pas n’importe quelle librairie … c’est celle de mes parents elle est importante pour moi. Et tu penses à Raquel … aah bien sûr, tu vas me dire que oui mais je pense que tu ne sais même pas en quelle classe elle est, comment s’appelle ses camarades de classe qui viennent souvent à la maison, quelles matières elle préfère et celles qu’elle déteste. Bien sûr non sa tu n’en sais rien. Marie tu as totalement changé, les deux premières années de la vie de Raquel tu étais présente pour elle, tu étais la première à te lever quand elle pleurait, mais depuis plus rien, ton travail t’obsède, plus rien ne compte à part ce fichu magazine … même moi. Tu as accepté d’aller là bas sans m’en parler, j’en ai pas envie. Soit tu reviens sur ta décision, soit on demande le divorce. » Whaaa j’étais au premier rang, j’avais tout entendu, sans dire un mot, mais la rage augmentait. Je refusais voir mon père dans cet état, surtout à cause de ma mère. A peine les mots de mon père prononcé, je me levais du canapé en furie, me dirigeant vers ma mère pour légèrement la pousser en lui criant dessus. « Tu n’as pas le droit de faire ça !!! PAS LE DROIT !! » Je relevais le regard vers elle, pour qu’elle puisse voir la haine dans mes yeux remplis d’eau, les larmes avaient déjà commencées à couler le long de mes joues. Mon père ne s’était pas interposé entre nous deux, d’ailleurs il ne m’avait surement pas vu venir, il prononça mon prénom quand je me mis à courir en pleurant en direction de ma chambre. Mon père vient me rejoindre sur mon lit, quelques secondes après m’y être étalée. Il ne disait rien, il me prit juste dans ces bras, me caressant les cheveux pour essayer de me calmer. Une heure après, je m’étais endormi dans ces bras. Il me reposa dans mon lit et partit rejoindre la chambre d’amis, ou il avait décidé d’y dormir.
Quatre ans et demie plus tard…
« Papa tu es prêt !! Je vais finir par être en retard à ma fête si tu continue à faire je ne sais pas quoi dans le bureau !! Aller Grouille Papounet ! » « J’arrive espèce d’ado qui à force de spider un vieux père comme le sien va finir par le fatigué et le voir mourir. Et puis je te signal jeune fille que si j’étais dans mon bureau, c’est parce que j’avais un élan d’inspiration pour la scène entre Anton et Ryan dans mon bouquin et puis tes amis peuvent attendre » Mais je suis sûre que ton livre va faire un tabac, comme l’autre d’ailleurs. Tous mes amis ont adorés le lire, aller aller on y va !! Qui aurait crut que c’était la dernière fois que je verrais mon père ? Surement personne et moi la dernière. Devant la salle des fêtes, avant de sortir de la voiture, il reprit la parole. « Bon c’est bien Matthieu qui te ramène ? Vous faites attention ! » « Oui papa promis on fera attention, Passe une bonne soirée sur ton livre, comme je t’ai dis, je suis certaine qui sera autant apprécié par le public que ton premier et unique livre. Je t’aime Papounet chéri, Mon Aventurier !! » Dis-je avec un large sourire, lui lançant une petite grimace quand il en fit une lui aussi. C’était le surnom que je lui avais donné quand j’avais lu Robinson Crusöé, et vu que mon père adorait voyager, c’était mon aventurier. Je lui déposais un baiser sur la joue puis sortit de la voiture, courant vers l’entrée de la salle puisqu’il pleuvait des cordes. La fête fut parfaite, vraiment parfaite, puisque j’avais passé la plupart du temps avec ce Matthieu qui était mon petit ami et il avait enfin décidé de l’annoncer à tous alors c’était parfait. Le lendemain matin, Matthieu me ramena chez moi, passant par une autre route qui selon lui était plus courte, mais l’intuition des hommes n’est pas souvent la meilleure. Arrivée chez moi, je rentrais et avec un large sourire, je criais dans la maison « PAPOUUNET ! Je suis rentré » Sans me soucier de quelque chose, je me dirigeais vers la salle de bain pour prendre une douche rapidement. Après une demi-heure, j’y sortis habiller normalement, jean et top noir. Ne voyant toujours pas mon père, la première chose que je fis c’est de me diriger vers son bureau, mais là rien. Bizarrement, ces lunettes pour l’ordinateur était encore sur le bureau, le fauteuil en position comme si on partait, et l’ordinateur en veille. Soucieuse je m’installais à son bureau et bougeait la souris et il m’affiche le programme pour écrire ouvert. Je lus les dernières lignes et découvrit que c’était la fameuse scène entre les deux garçons héros du livre. Je fus sortit de ma lecture quand j’entendis la sonnette retentir. J’étais de plus en plus inquiète qui pouvait venir frapper à ma porte à une heure matinale comme celle-ci ? […] « Bonjour Mademoiselle, nous sommes bien chez Monsieur Tom Sullivan ? » « Bonjour, oui vous êtes bien chez lui, je suis sa fille, mais il n’est pas là, je peux déposer un message peut être ? » « Parfait, c’est vous qu’on voulait voir… » Je haussais les sourcils, surprise, puis de plus en plus inquiète quand je vis l’un des policiers baisser la tête, et l’autre l’air triste. « Je suis navré de vous annoncé mademoiselle que votre père est décédé cette nuit suite à un accident de voiture. Il est tombé dans le coma mais il est décédé suite de ces blessures cette nuit. »
Deux jours plus tard …
Voilà que les déménageurs prenaient tous les meubles, moi, j’étais assise sur l’accoudoir du canapé, vide. Je n’avais plus de joie de vivre, plus envie de rien faire, plus envie de parler, simplement envie de pleurer encore et encore et de hurler ma tristesse et ma rage. Si j’étais là, c’était parce que je devais attendre ma mère qui devait arrivée d’un instant à l’autre. D’ailleurs, en tournant la tête, je vis Sa tête. Elle avait l’air émue, elle s’approcha de moi et me prit dans ces bras. Je la repoussais, prenant la direction de sa voiture, lui disant juste un simple « Terminons en ! ». J’avais rendez vous chez le notaire, je ne sais pas pourquoi, mais il parait que c’était la procédure. Après deux heures dans son bureau, je haussais encore et toujours les sourcils, surprise. Mon père avait un compte, depuis ma naissance, ou il avait mit de l’argent dessus. Ce compte s’élevait à des millions d’argent. Je devais m’en douter, c’était mon père, je le connaissais assez, mais je ne m’y attendais pas à celle-ci, et puis ma mère non plus d’ailleurs. N’étant pas encore Majeure, ma mère me ramena à New-York. Mais après les quelques mois a attendre, je m’achète une maison dans cette ville, ma nouvelle ville, ma nouvelle vie. J’avais fais les cartons de mon père et parmi ceux là, j’avais gardé certains cartons pour le souvenir. Pour lui rendre hommage, j’obtiens mon diplôme et rentre à l’université de New-York pour devenir Journaliste, un métier que mon père admirait vraiment. Mon but, devenir Journaliste certes, mais le mieux, c’est bien de terminer le livre de mon père, mais arriverais-je à sortir l’ordinateur de mon père de son carton. Depuis maintenant trois ans, trois ans qu’il est partit, trois ans que je n’ai pas ouvert ce fichu ordinateur… mais j’y arriverai ... Pour lui !
Behind the computer
Prénom: Tortue x) Âge : Presque Majeure Avatar choisi : Odette Yustman Comment as-tu connu ce forum ? : Je le connais depuis un moment Ton avis (design, contexte, ...) : Vraiment magnifique !! Le design est simple mais magnifique (aa), PA vraiment très belle &&. les PV sont très bien rédigés !! ♥ Présence sur le forum : 4/7 Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Ma soirée n’avait pas été comme je l’avais prévue. J’avais pensé à une soirée tranquille –mais surtout ennuyeuse- avec ce groupe d’amis avec qui je me forçais de rester. C’était des gens bien –sans doute un grand mot- mais ils savaient faire la fête, du moins c’est ce que je pensais en venant au Night Club. Ma soirée avait complètement changée quand je vis Matthew avec une autre fille, quand il m’avait rapidement rejoint à l’extérieur pour me voir avec un ami, quand il l’avait plaqué au mur pour lui faire peur mais surtout quand je l’avais embrassé, essayant de lui prouver qu’il comptait un minimum pour moi. Soirée horrible et mon seul objectif maintenant s’était de rejoindre ma villa. En marchant rapidement –vu l’heure, j’avais légèrement peur des personnes peu fréquentables qui étaient souvent, voire beaucoup trop souvent, dans les rues- et en longeant les ruelles, je pris la peine d’envoyer un message à cette amie, qui m’avait forcé pour sortir. C’était la moindre des choses de la prévenir que je comptais rentrée. Elle fut compréhensible –d’un côté elle ne pouvait pas dire grand-chose- et me souhaitait donc une bonne fin de soirée. La blague, je ne comptais pas faire la fête seule chez moi, j’avais juste envie d’être seule.
Après quinze bonnes minutes de marche, j’aperçus au loin la grandeur de ma villa, enfin de la villa que mon père m’avait gentiment donnée pour que j’arrête de me plaindre que lui et ma mère ne soient jamais là pour moi. C’était hélas loin d’être le père idéal, mais je devais faire avec et je n’étais pas assez folle pour refusée là villa. Il fallait quand même l’avouer, elle était bien trop grande pour moi mais peut importe, au moins je ne pouvais pas me plaindre du manque d’espace. J’ouvris la porte et la refermait derrière moi, directement, ma gouvernante accourue pour me demander comment s’était terminé ma soirée. Je montais les grands escaliers qui étaient dans l’entrée, en lui annonçant que ma soirée avait été un vrai fiasco. Ma gouvernante tira une petite moue, elle qui m’avait dit avant de partir que ca allait être une bonne soirée, cette fois ci elle s’était vraiment trompée. Peut importe, je marchais le long du grand couloir à l’étage pour enfin pénétrer dans ma chambre. La première chose que je fis, c’était bien m’étaler à plat ventre sur mon lit, fermant les yeux. J’aurais pu dormir, mais j’avais vraiment besoin de prendre une légère douche. J’attachais donc mes cheveux le plus haut possible et rentrais ensuite dans la douche. A peine cinq minutes plus tard, j’avais enfilé un short « exclusivement pour l’intérieur » celui que je mettais souvent, une tenue décontractée puisque j’avais aussi enfilée un débardeur et un bout de tissus que je mis sur mes épaules, frileuse ? Moui faut bien le dire.
Alors que je me coiffais, essayant de redonner une forme normale à mes cheveux, j’entendis du bruit en bas. Je sortais donc de ma chambre, me dirigeant vers les escaliers. C’est à ce moment là que je vis ma gouvernante, venant me dire qu’il y avait quelqu’un pour moi. Logique il y avait que moi qui habitait ici alors ca ne pouvait pas être pour quelqu’un d’autre. « Un certain Matthew Cullen désire vous voir » Je haussais les sourcils, vraiment très surprise. Je demandais donc à ma gouvernante de disposer, lui disant que je n’aurais plus besoin d’elle. M’écoutant, elle descendit les escaliers pour partir de ma vue. Je descendais à mon tour les escaliers, sentant le vent frais venir sur mes jambes nues à cause du short que j’avais enfilé. Postée devant ma porte, j’écoutais Matthew parler.
• Je t’en pris fais comme chez toi.
Je m’écartais de la porte pour qu’il puisse entrer à l’intérieur, et une fois fait, je fermais la porte derrière moi, empêchant le froid qui régnait à l’extérieur de s’emparer de la chaleur à l’intérieur de ma villa. Je croisais les bras, avec un léger sourire aux lèvres et me tournais devant lui pour reprendre la parole.
• Je ne savais pas que les excuses faisaient partit de ton vocabulaire … mais bon tout le monde peut se tromper.
Depuis quand Matthew Cullen, le plus arrogant, fière et tout les autres défauts qu’il pouvait avoir, serait venu me voir, et mieux, pour venir s’excuser ? Serais-je en train de rêver ? Peut être bien mais vu les frissons que j’avais toujours aux jambes, je pouvais bien dire que c’était bel et bien réel. J’en étais surprise – agréablement surprise bien sûr-
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Dernière édition par Raquel L. Sullivan le Ven 18 Fév - 12:01, édité 3 fois
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Sujet: Re: Raquel Lunah Sullivan ♪
Raquel Lunah Sullivan ♪
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