"I read once about a woman whose secret fantasy was to have an affair with an artist. She thought he would really see her. He would see every curve, every line, every indentation and love them because they were part of the beauty that made her unique. " de Cashback
Signe(s) Particulier(s)
Toujours un carnet rangé dans une de ses poches, carnet tout à fait inviolable.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuel.
Zacharie Judicaël Tenessee
Physique & Caractère
Apparence & Style: Les images sont bien souvent plus parlantes que les mots, mais ces derniers ont au moins le charme d'ouvrir le champ des possibilité à l'infini. Et pour comprendre à quoi ressemble, plus ou moins, Zacharie, il ne suffit pas d'une photo. Jamais sur celle ci il ne sera possible de retrouver l'éclat se trouvant au fond de ses prunelles, ou encore cette impression d'ensemble si parfait et harmonieux lorsqu'on le croise dans la rue. Vous savez, le genre de personne si le temps s'arrêtait alors que vous pasiez juste à coté d'elle, vous auriez parfaitement le temps de comprendre le concept même de la beauté dans la pureté des traits et dans leur harmonie. Des yeux noisettes par lesquels toutes les expressions pouvaient passer sans rencontrer de barrière, des cheveux châtains coiffés ( ou plutot pas coiffés en fait) assez différemment tous les jours, un teint clair qui laissait croire à ceux qui ne le connaissait pas qu'il ne sortait que trop rarement de chez lui. Ses traits fins laissaient apparaître comme creusées deux pommettes saillantes qui ajoutait du caractère à un visage malgré cela assez doux et profondément plaisant à des yeux extérieurs. Et enfin, des lèvres fines et rouges composaient ce visage, lèvres qui s'étirant parfois en un sourire qui, on avait l'impression, semblait totalement unique à chaque fois. Ce beau visage s'allie à un corps fin, on remercie les gênes qui ont fournis un bon métabolisme le faisait ainsi résister à la prise de kilos en tout genre vu le manque d'hygiéne alimentaire flagrant qu'il pouvait avoir, comme aux effets physique de la drogue qu'il avait ingéré. Le sport n'avait jamais vraiment un de ses amis, même s'il avait joué comme n'importe quel bon anglais au football, au soccer comme on disait de ce coté de ci de l'atlantique. Mais si on omettait ce sport, alors Zacharie n'avait jamais vraiment rien pratiqué de sa vie. Pourtant vu les heures qu'il avait passé sur ses instruments, on pouvait bien considéré qu'il avait fait autant d'effort qu'un sportif et que personne ne vienne dire que jouer pendant une heure de la batterie, et pas comme un débutant, ne valait pas une heure de ce tennis que tous les autres gosses de riches affectionnaient tant. Disons alors pour la légende que c'était les longues heures passées sur ses instruments qui avaient donné naissance à ce corps fin aux muscles tout de même apparents.
Du coté de l'apparence, le jeune anglais cultivait un de ces look si spécial qui paraissait pourtant des plus communs à Londres. Il avait les beaux vêtements propre à sa classe sociale et aux étudiants en droit, mais il les accordait de manière à essayer de se détacher du lot, ce qui très probablement marchait à merveille à New York. Un genre de look de musicien, un chapeau, comme un look d'aristocrate sur le déclin dans une époque ne lui appartenant pas, mélant avec goût les chemises à carreau aux chaussures de soirées. Le mélange rendait effectivement bien, et tout a fait objectivement, on aurait cru que ce genre de look avait non pas été créé par mais pour lui. Les chapeaux et les écharpes étaient sa passion du moment. Il avait toujours été sensible aux belles choses, et les vêtements rentraient souvent dans cette catégorie. Détail important à propos de son look, le paquet de cigarette qui dépasse bien souvent de sa poche tant la fréquence à laquelle il a tendance à les fumer les unes sur les autres est importante.
Caractère: Dire que Zacharie est un être complexe serait bien la premiére chose à mentionner quant à son caractère. Complexe et paradoxal, profondément changeant suivant avec qui il se trouve, peut être mystérieux sur les bords, et définitivement attirant par sa complexité pour qui viendrait juste de le rencontrer. Sinon, commençant par le plus évident pour lui, ou tout du moins la manière par laquelle ses proches tendraient à le décrire. Zach est une personne narcissique. Non pas qu'il se regarde toute la journée dans un miroir en rendant hommage à sa divine beauté, il était plus du genre à s'aimer dans le sens où il s'accordait une confiance totale en lui même et en ses capacités. Cela venait directement de son histoire, du fait qu'il avait toujours eut besoin de sentir les autres l'aimer pour se sentir bien, et vu qu'il n'avait jamais assez sentit cet amour, il l'avait compensé lui même. Freud n'aurait pas donné cher de la santé mentale de Zacharie, mais lui trouvait qu'il se portait plutôt bien. Ce besoin d'amour, même si cela semble des plus idiots exposé de la sorte, allait de paire avec son coté sociable. Peu importe le lieu où Zacharie débarque, il est tout a fait sure que le lendemain soir il sera dans un bar et se sera fait une multitude de connaissances. Si parfois il peut faire preuve de timidité ce sera juste pour sauver les apparences ou se conformer à une norme x ou y, mais jamais il ne faudra prendre cela pour un trait de caractère marquant et marqué du jeune anglais. D'ailleurs, à ce propos, cette nationalité qu'il a fait ne fait pas de lui un révolutionnaire au service de sa majesté, mais un grand mélomane particuliérement attaché à la musique de son pays. Pour preuve, il jouait de trois instrument différents et la sonnerie de son téléphone était London Calling des Clash. Oui, pour une preuve, c'en est une pour sur! De la Grande-Bretagne il garde aussi ce charme, ce flegme britannique qu'il met en application sans le savoir et qui se ressent dans chacun de ses mouvements et se devine dans le moindre mot passant ses lèvres.
Grand amateur d'art, il aurait voulu passer sa vie à étudier musique, photographie et autre littérature mais il se laissa tenter par le droit. L'envie de challenges à remonter est une des caractéristiques des plus importantes du jeune homme. Le droit n'était pas une passion, mais son naturel bosseur faisait qu'il avait décroché ses années sans trop de difficulté. Cependant, la passion pour l'art, elle, ne l'avait pas lâché. Il avait une certaine tendance à dés qu'il le pouvait, arpenter les environs qui l'entouraient à la recherche d'inspiration. Sans vouloir le comparé à aucun artiste, il avait tout de même un point commun avec eux, même deux. Le premier étant la recherche d'une certaine beauté dans ce et ceux qui l'entouraient, et une forme d'obligation d'avoir une addiction. Toujours avait il fallu à Zacharie quelque chose à laquelle il pourrait se raccrocher, une substance la grande majorité dont il savait qu'elle le ferait aller mieux. Au début la cigarette, puis la cocaine, puis de nouveau la cigarette. Ce caractère addictif trahissait avec une sensibilité trop grande, du genre véritablement à fleur de peau qui faisait parfois que le jeune anglais pouvait montrer quelques signes de paranoia dû à ce qu'il savait être des années envoyé loin des siens, ce qu'il avait interprété comme rien de plus qu'un abandon. Raison pour laquelle aujourd'hui il évitait vraiment de s'engager tant qu'il n'était pas vraiment sur de la personne qu'il avait en face. Besoin d'être soutenu, besoin d'être aimé peut être plus la moyenne et peur de l'abandon avaient fait de lui à une époque un junkie, et maintenant quelqu'un qui cherchait à ne plus perde une seule minute de sa vie.
L'histoire
Vous savez, quand vous êtes sur le point de mourir, on dit que votre vie défile devant vos yeux. En fait, en une fraction de seconde, votre cerveau travaille si vite qu'il peut faire revenir à votre esprit les plus merveilleux comme les plus douloureux moments passés. Revoir une existence tout entiére avant de se crasher dans un mur à pres de 150 kilométres par heure dans une voiture de course. Et bien, cela n'était pas du tout arrivé à Zacharie.
Commençons par le début de ce qu'il aurait du voir. Oxford, charmante ville, prestigieuse université. Pas celle où lui est allé par contre. Il avait toujours imaginé sa naissance comme un jour de pluie. Car oui, même s'il était anglais, il était d'accord avec la légende mondiale pour dire qu'il pleuvait toujours en Angleterre. Et puis, aussi loin que ses souvenirs remontaient, il avait toujours remarqué qu'il pleuvait le premier janvier. Sa date de naissance, il appris vite à ne pas l'aimer. Le premier janvier, c'était la nouvelle année, les lendemains de reveillon et donc les hangover. Il essaya vite de passer outre le fait qu'on oublie trop souvent son anniversaire pour se concentrer sur le fait que ce n'était pas diriger expressément contre lui, que c'était juste comme cela, et que de toute manière, les anniversaires ce n'était pas le plus important. Seulement, lors de l'anniversaire de son frêre et plus tard de sa soeur chaque année, il avait le même pincement au coeur non pas de jalousie, c'était plus que cela. Il voyait les efforts des parents et regrettait juste que pour le sien, excepté un gateau et un cadeau, ce ne soit pas transformé en jour extraordinnaire à renfort de banderoles et d'éclats de rire d'usages. Avec les années, il s'était demandé s'il ne souffrait pas d'un édlire de persécution, s'il ne voyait pas du mal là où il n'y en avait pas mais il dut s'avouer que non. Il se demanda pourquoi, les questions incessantes restérent sans réponses et il comprit dans cette indifférence la normalité pour ses parents envers lui.
Zacharie aimait son frêre et sa soeur, et aimait ses parents. Au fond de lui, il était vraiment quelqu'un d'attaché à sa famille mais les différences faites vinrent doucement nourrir une rancoeur qui aurait pu vite devenir tenace. Seulement, celle n'eut pas le temps de s'accrocher aux parois du coeur du jeune britannique, puisqu'il décida de fuir l'indifférence en allant en pension, loin de son grand frére qui s'était occupé de lui plus jeune, loin de cette toute jeune soeur dont il ne serait jamais proche. Certes sa famille lui avait payé des écoles d'art, des écoles pour gosses de riches qui montraient quelques signes de gouts bien pensants, mais dans ce milieu qu'il connaissait il se sentait à l'étroit, comme étouffant parmi ses pairs. Le fait était qu'il ne se sentait pas à sa place et que le malaise qu'il éprouvait quand il était chez lui ne lui était plus supportable. Cela se voyait, des signes physiques trahissaient ce ressentiment que Zacharie éprouvait : nuits blanches d'insomnie, questions sans réponses perpetuelles qu'il se posait, et mauvaise humeur qui ne faisait que s'accroitre. Il était le plus sensible, celui qu'il aurait fallu le plus protégé et au contraire, il avait toujours été le plus délaissé. Il dit donc adieu à Oxford, parti par le bus pour la gare afin de rejoindre la capitale anglaise, et pour tout au revoir se contenta d'un faible signe de la main à ses parents ainsi qu'un rapide ( trop?) à sa soeur cadette alors que l'ainé lui, n'était même pas là. Il se souvint du poids dont il se trouva déchargé ce jour là. Il respirait enfin.
Et là, il vécut pour la premiére fois. Une véritable vie, des expériences, des sourires, plus d'humeur morose par manque d'attention. Lorsqu'il arriva dans ce pensionnat, découvra son costume ridicule à porter au quotidien, et voyant le petit attroupement de gens de son age qui s'était formé pour voir qui était le nouvel arrivant, il comprit de suite qu'il serait bien mieux ici qu'il ne l'avait jamais été en famille. Le seul truc qui pourrait lui manquer ici était le piano. Il ne savait pas si l'école en possédait un mais de toute manière il ferait tout pour jouer. Talentueux pianiste, guitariste, et bassiste à ses heures, il voulait apprendre la batterie à présent. Il ne voulait plus perdre un instant de plus et c'est ce qu'il fit. Le petit attroupement qu'il créa fut celui à qui il se présenta. Tout sourire, plus détendu que jamais, parfaitement sociable, charmant, drole, presque trop parfait derrière son regard noisette, il se fit immédiatement les proches qu'il regrettait de ne pas avoir à oxford. Il partageait une chambre avec un dénommé Alexander, fils d'un lord et agé d'un an de plus que lui. Il le prit sous son aile, l'intégra avec une déconcertante facilité aux cercles qu'il fallait fréquenté dans le pensionnat et fit de Zacharie, que tout le monde n'appelait pas Zach mais Zachariah, sans qu'il ne sache jamais pourquoi, il devint vite la nouvelle personne à fréquenter. C'était facilement compréhensible, il faisait l'incarnation parfaitement de l'adolescent de bonne famille au physique des plus attractifs, au caractère qui plaisait par sa douceur et sa gentillesse, aux passions artistiques qui faisait de lui la cible privilégiée de la gente féminine du pensionnat. Ces années furent les plus belles et les plus riches en expériences : Premier baiser, premiére cuite, premier Hangover, premier joint, premiére fois... Ses retours à Oxford n'étaient que tres rare mais en même temps, sa famille ne réclamait pas apres lui, alors pourquoi donc aller les revoir? Mais le changement en lui se lisait sur son visage. Ses traits étaient apaisés et son style en était changé. Il se metta à fréquenter les groupes de musiques de la ville, traina dans les soirées dés seize ans, et c'est peu apres que tout se mit à déraper, dans le meilleur sens possible pour lui, croyait il.
Lors de l'accident, il aurait du se rappeler de la soirée qui l'avait mener ici, à rentrer dans moins d'une seconde dans un mur à pleine vitesse à bord de son bolide. C'était une soirée avec un groupe à la mode. En fond sonore passaient les Strokes. Jamais Zacharie n'oublierai ce morceau. Sa premiére pensée sous coke fut « je veux qu'on passe ce morceau à mon enterrement ». Il venait de prendre son premier rail, tracé avec une carte bancaire dont l'arrête était blanche au possible. Il sentait son esprit s'élever pas spécialement avec douceur. Il voyait les gens à coté de lui, voulait communiquer mais ne le pouvait pas. Il était seul avec lui même, seul au monde parmi la foule des danseurs présent dans ce club malgré la présence du carré VIP où il se trouvait. Ses jambes ne le supportérent plus et il se retrouva avachi sur un canapé noir. Sa conquête de la soirée, une jeune anglaise aux yeux bleus et aux longs cheveux brun vint à moitié s'allonger sur lui, dans le même état de plénitude solitaire que Zach. Un pur moment de félicité suivi par la poussée d'adrénaline que provoquait la cocaine. Dés ce moment là, il sut. Il lui en faudrait encore. Et encore. Plus fort que la cigarette, plus fort que le meilleur des orgasmes, tellement plein de promesses. Des promesses qui par la suite se briseraient et le briseraient.
Au début, l'adiction n'était pas là, et en un mois, il se sentit partir dedans, totalement plongé dans ce tourbillon de sensations internes qui lui criait « encore une dose! ». Son regard devint un peu plus noir, lui même se considérait comme plus rock n roll et aimait à le montrer dans ses vêtements. Il appris la batterie comme il avait toujours rêvé de la faire même si contrôler ses mouvements sous cocaine n'était pas des plus simples au début. Les doses remplaçaient les cigarettes et malgré cela, il fut diplomé de son école et accepté en droit dans la plus prestigieuse université londonienne. La descente aux enfers étaient bien là, mais pourtant extérieurement parlant il gérait assez bien la situation. Cela dura trois ans. Trois ans pendant lesquels il joua avec un plaisir non dissimulé au bad boy, enchainant les conquêtes, trainant avec les musiciens de groupes underground de Londres, ne pensant plus à rien sinon son propre plaisir. Il ne voyait plus vraiment sa famille, apprendre le départ de sa soeur pour New York ne lui fait ni chaud ni froid. Il menait sa propre vie. Jusqu'à cette nuit de mars 2008. La dose de cocaine de trop. Trop pure peut être, ou un dixieme de gramme de trop. Le milimétre sur le rail de trop, celui qui fit que Zacharie écrasa sans même s'en rendre compte un bolide de compétition dans un tunnel londonien alors qu'il doublait par la gauche une autre voiture. Un accident d'une rare violence où, d'apres ce qu'on lui dit plus tard, il n'aurait pas du survivre. C'était impossible, et pourtant il l'avait fait. Zacharie ne se reveilla que quatre jours plus tard sur un lit d'hopital, les jambes cassées, une commotion cérébrale et un sévére mal de tête. Il réalisa la stupidité de son comportement, il fallait dire adieu à cette poudre blanche si miraculeuse pour son propre salut.
Quatre mois. Cent vingt deux jours passés à se battre pour récupérer l'usage de ses jambes et se passer de cocaine. Deux combats en un, tout aussi difficiles l'un que l'autre. Et un jour, un matin de juillet, apres tout cela, Zacharie gagna. Il savait parfaitement que s'il retombait dans la cocaine s'en était fini de lui puisqu'elle l'addiction allait être pire qu'avant. Concernant ses jambes, il avait réalisé à quel point la vie était courte. Il voulait tourner la page sur cela sans oublier ce qui l'avait fait comprendre la valeur d'une seule minute de plus à fouler le sol de la terre. Durant sa convalescence, il avait des nouvelles de sa famille et s'était plus ou moins rapproché de sa soeur. A sa sortie du centre de soin où il était, il décida que sa vie méritait un petit changement. De continent, et de direction. Plus de cocaine, et direction l'Amérique, pourquoi pas rester avec Heaven apres tout? La décision fut prise en moins de temps qu'il ne lui en fallut pour s'exploser contre un mur : Ce serait New York où il reprendrait ses études de droit.
Dernière édition par Zacharie J. Tennessee le Ven 25 Fév - 2:30, édité 6 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 1:51
Behind the computer
Prénom: Rose Âge : 19 ans Avatar choisi : Luke Grimes Comment as-tu connu ce forum ? : une fille qui était avec moi au lycée m\'en avait parlé l\'année derniére, et pres de huit mois plus tard, here I am ! Ton avis (design, contexte, ...) : Lengen... wait for it... Dary. Présence sur le forum : Tous les jours si tout va bien. Autre(s) compte(s) : Nope, mais peut être un jour Exemple de RP :
Spoiler:
Le jeu était devenu le nouvel opium du peuple. A regarder les compétitions de poker à la télé qui vous faisait passer de la pauvreté à la richesse en quelques heures, à voir la manière frénétique dont les gens pouvaient déposer des sommes sur un tapis de roulette, à comprendre que tout cela ne reposait uniquement que sur les croyances et la superstitions, on pouvait déceler un des moyens les plus efficaces pour accéder à la richesse. Le peuple ne pensait plus qu'à l'argent. Les bons sentiments avaient disparus alors que la révolution industrielle se mettait en place et l'argent était devenu la valeur internationale. Sean et Lou étaient né directement dans cette époque, il n'avait donc rien eut à faire pour se rendre compte que l'argent était ce qui faisait tourner le monde. En fait, tout ce qu'ils avaient eut à réaliser était qu'il fallait tant bien que mal, toujours trouver un moyen pour que ses comptes soient approvisionner, ne jamais se retrouver dans le rouge, et ainsi vivre une vie de luxe, de faste, et de pailettes. C'était le crédo de toute leur génération, et a fortiriori, c'était le crédo de tous les habitants de Laguna. Car celui qui était moins bien lottis que les autres ici était foncièrement mal considéré puisque les deux seuls critères servant à classer les gens en castes étaient la beauté et l'argent, un monde totalement superficiel dans lequel, il fallait l'avouer, Sean se plaisait assez. Sean n'avait jamais imaginé vivre une vie sans argent. Il avait toujours eut l'esprit bien plus vif que Vladimir par hasard, et pourtant même le nigaud de la famille avait compris que l'argent faisait absolument tout. Seulement, si par malheur un moment arrivait où l'argent manquait, on se retrouvait totalement perdu, comme si sans argent, il était impossible de remonter la pente. Sean n'avait jamais été mis face à ce genre de situation, et il ne le serait surement jamais dans la mesure où tout son argent n'était pas placé qu'aux états-unis. Sean avait toujours eut cette intelligence efficace de toujours prévoir un coup d'avance. Les jeux type échecs avaient été ceux dans lesquels le jeune homme avait excellé depuis sa jeune enfance, comme si par avance il avait su qu'il lui faudrait toujours prévoir une solution dans le cas où son adversaire, peu importe son identité, aille contre ses plans.
Lou n'avait surement pas cette même qualité que son frêre possédait à outrance. Elle était plus dans l'exces quand Sean prévoyait quant à lui bien avant l'exces, ce qu'il se passerait par la suite. Certes, cela coupait court à toute spontanéité de la part du jeune homme, mais celui ci ne l'avait jamais vraiment été. Bien au contraire. La moindre de ses paroles n'était jamais proférée sans qu'aucune intention ne se cache derrière, tout avait un but, une finalité, que seul Sean connaissait au fond de lui même. Expert de la psychologie inversé, il était un véritable requin tant dans les affaires, ce qui était normal vu sa position, que dans ses relations amicales. Ne parlons pas de relations amoureuses, il n'avait jamais été amoureux et à la vue de sa personnalité, il n'y avait que très peu de chance qu'il tombe véritablement amoureux dans sa vie. L'égocentrisme était peut être la clé de son comportement. Pourquoi? Parce que tous ces plans avaient pour but d'assurer la pérénité des intêrets de Sean, et non pas ceux de ses associés, parce que toute parole prononcé n'était proférée que dans le but de servir là aussi les idées du jeune homme. Alors Lou avait bien fait de lui rappelé qu'il était le plus riche, et celui qui avait le mieux réussi. Flatter l'égo de l'homme était la solution que la femme avait trouvé depuis la nuit des temps, entre autres, pour parvenir à ses fins. Seulement, là, elle le faisait avec son propre frère, et elle avait raison car c'était surement la solution qui avait le plus de chances de fonctionner. Lou le connaissait bien, et même si elle se sentait mal sur le moment de venir le voir pour lui emprunter de l'argent, elle avait trouvé surement la meilleure manière de le faire lui dire « oui ». Un léger sourire, ressemblant à celui de Lou lorsqu'elle était de meilleure humeur, naquit sur les lèvres contentées de Sean. Elle savait choisir les bons mots et la bonne intonnation, mais pour l'instant le plus gros n'était pas passé : la somme.
Lorsqu'elle lui annonça, Sean en aurait presque rit. Non pas qu'il se serait moqué de sa soeur, cela il l'avait déjà fait bien des fois en tant que frére, non, c'était en fait qu'il s'imaginait qu'elle avait besoin de bien plus. Cependant, toujours aussi calculateur, il ne lui répondit pas de suite. Il voulait être sur que sa soeur se sentirait assez mal pour qu'elle pense à lui rembourser jusqu'au dernier centime ce qu'elle venait de lui demandé. Sean ne dit pas un mot, son visage redevint plus froid, limite glacial, le regard ne se posant pas dans celui de sa soeur. Alors qu'il l'a vit sortir son paquet de cigarette, il l'attira dans un des bureaux qui se trouvait pres de l'accueil. « Même si tu es ma soeur, même si tu te permets de venir me demander de te renflouer, tu restes ici une invité qui se plie aux règles valables dans le hall du casino s'il te plait ». Il prit des mains de sa soeur le paquet de cigarettes duquel il prit un des tubes remplis de tabac. Dans ce bureau, ils pouvaient fumer, Sean s'en foutait éperdument tant qu'il ne donnait pas l'exemple inverse dans un lieu public. Ici, la porte était fermée, et lui même avait terriblement besoin de sa dose de nicotine. Il alluma la cigarette de laquelle il tira la premiére bouffée de fumée, et normalement la meilleure. Seulement il se souvint que malgré leur lien de parenté, malgré leur proximité, elle n'était pas lui et il n'était pas elle. « J'oubliais que je n'avait jamais compris comment tu pouvais fumer ces merdes. Bref, ç'est ok pour ton prêt. Pas d'intêrets, et tu me rembourses quand tu récupéres ta crédibilité. Clairement, tu as plutôt intêret à faire vite, ne serait ce que pour avoir bonne conscience vis à vis de ton frêre tellement riche que tu l'adores. Hum oui j'en fais trop, mais c'est bon, je te donne 5O,OOO dollars j'ai le droit de me faire une fleur. »
Lou lui avait demandé 35 mille dollars, Sean lui en donnait 50 mille. Ce n'était pas un acte de générosité gratuite, d'ailleurs jamais il n'en faisait. Vous savez, ne serait ce que donner une grosse somme à un hopital n'était pas un geste de générosité pure. On en attendait en contrepartie une bonne réputation. Ici cela n'avait rien à voir, il voulait vraiment aider sa soeur à se refaire un nom pour la simple et bonne raison qu'ils portaient le même nom de famille, et que malgré ce qu'il voulait bien avouer, le jeune britannique avait une tendresse certaine pour sa soeur. « Si tu as fait un calcul rapide, il y a 15 OOO dollars de trop. Non ce n'est pas pour tous les cadeaux de Noël en retard que je te dois. C'est juste qu'il faut absolument que ton nom, donc le mien, n'affiche plus tes vidéos catastrophiques sur Youtube lorsqu'on le tape sur Youtube. Même si je suis le plus riche, tu es la plus médiatique. Ces 15 OOO sont une sorte de cadeau si tu veux, et s'il te plait n'ose même pas appeler cela de la générosité. Disons que ce qui t'es préjudiciable le devient pour moi également dans une certaine mesure ». Il n'avouerait pas que pour une fois, il se sentait de bonne humeur, malgré la cigarette écrasée sauvagement sur le vase nacré se trouvant dans ce bureau. Il n'avouerait pas non plus qu'il sentait ce lien familial agir, que Lou était sa préférée et que pour une fois qu'il pouvait l'aider, il le fairait. Il soupira doucement, et se mit à chercher dans les tiroirs s'il n'y avait pas de vraies cigarettes. Mais non, rien, bien évidemment. Il lança sans véritable ton sérieux : « Ok donc tu me remboursera 35 OOO dollars et un paquet de vraies clopes. Pour le paquet, le plus tôt sera le mieux même si on est pas encore dans le Parrain... »
Code du règlement :
Spoiler:
ok by gaby
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 1:57
Bienvenue bon choix d'avatar mec
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 1:59
Bienvenue parmi nous
J'ai validé ton code du règlement, bonne continuation pour ta fiche.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 2:10
tennessee² bienvenue encore une fois, et merci d'avoir pris mon scénario.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 2:12
C'est un plaisir Heaven Il était vraiment bien écrit, interessant puisque jouer un artiste qui fait du droit, c'est pas tous les jours possibles, me faisait penser à Cashback... bref, je ne pouvais déjà plus en détourner les yeux
Merci Beaucoup Gabrielle
Matthias, même si l'avatar était imposé, je suis on ne peut plus d'accord!
Dernière édition par Zacharie J. Tennessee le Jeu 24 Fév - 2:45, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 2:19
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 2:39
Merci Dylan ( je suis en admiration devant ta signature depuis 10 bonnes minutes ^^)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 2:47
LUKE ♥♥♥♥
Bienvenue parmi nous ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 4:15
LUKE Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 9:26
Un nouveau mini Tennessee Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 10:01
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche Et puis Luke quoi
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 10:44
Zacharie J. Tennessee a écrit:
Prénom : Rose
Bref, WELCOME
Bon courage pour ta fiche, frère de ma coloc'
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Under Cover of Darkness Jeu 24 Fév - 13:11
BIENVENUUUUUUUU
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.