Apparence & Style:Ton père le dit si bien, tu es incomparable, tu n’es comme aucune autre ! Alors que tu laisses s’écouler les minutes passées que tu as savouré pleinement, tu tends à bras ouvert les bras à un futur dont tu ne connais pas encore la couleur. De ton visage on ne voit que tes dents blanches qui éblouissent et cachent une partie de toi que l’on lit dans ton regard. Perçant, brillant, étincellent, vibrant. On ne prête pas attention à leur couleur marron, c’est ce que communiquent tes yeux qui intrigue. Pupille, Iris, ils sont pourtant normaux, normalement constitués. Mais ton regard à cette force, une profondeur, est ta marque de fabrique.
Tu n’es semblable à aucune de ces filles et il faut dire que ça t’arrange ! Ton grain de beauté, plus haut que ta bouche, à droite, estompé, avec le temps ? Il est unique, tu es unique. Il fait ton charme, et lorsque, de tes dents blanches tu souris, il disparaît doucement pour laisser place à des fossettes qui se creusent et qui ne laisse aucun homme indifférent. Tu as ce pouvoir d’exorciser, cette aisance à envoûter tous ceux qui sont sur ton passage …
Rosées sont tes lèvres. Loin d’être pulpeuses et généreuses, tu les utilises pourtant sans modération et il faut croire que leur minceur et leur teint fruité ont fait leurs preuves. La gente masculine pourra en témoigner. Tu n’as pas peur à les transformer, les foncer, et tu les préfères rouges. Toi qui a le teint plutôt pâle et la peau douce, ce contraste rouge/beige fait ton charme. Tu n’as pas peur de ces couleurs voyantes qui sur certaines lèvres paraissent « too much » et qui sur les tiennent collent parfaitement.
Tes cheveux sont une arme fatale, tu as toujours eu tendance à jamais savoir ce que tu voulais en faire, longs, mi-longs, presque courts, tu les as beaucoup fait couper. Ils sont pourtant tellement mieux longs, lorsqu’ils tombent en cascade dans le creux de ta nuque, sur tes épaules et lorsqu’ils touchent ton cou et le haut de ta généreuse poitrine.
Tu n’as rien à envier à ces mannequins dans les catalogues, leurs jambes sont peut-être longues et fines, les tiennes le sont peut-être moins mais tu as la chance d’avoir des courbes généreuses, non seulement une belle poitrines mais des fesses parfaitement bombées . Tu fais rêver les hommes telle que tu es, pourquoi en demander plus. Tes petits airs angéliques de la journées se transforment le soir en regard séducteurs bien qu’angéliques. Tu allies ton côté enfantin, naturel avec la superficialité de nombreux apparats qui pourraient ne t’être d’occupé utilité mais tu aimes. Tu aimes ton corps, ton apparence lorsque tu portes une belle robe, lorsque tes cheveux sont bien coiffés et que ton regard est maquillé, de noir la plupart du temps agrémenté par de belles couleurs lumineuses qui le valorise. Mlle Rodriguez tu as toujours été à la pointe de la mode, tu assistes depuis toute petite à des défilés tout autour du monde, principalement la Fashion Week de New-York City mais tu es allées plusieurs fois en Europe notamment à Milan, Londres et Paris. Tu adores l’ambiance des back-stage, on t’a déjà prise pour une mannequin, ça t’avait fait rire. Tu as une garde robe qui n’en fini plus, dans la penthouse de ta mère, il y a près de 50 m² qui sont un dressing, c’est impressionnant ! A Los Angeles, tu te contentes d’une vingtaine de mètres carrés que ton père a bien voulu te laisser aménager. Surtout maintenant que tu es à New-York, tout est trop petit, c’est impressionnant. Et pourtant, tu arrives malgré tout à rester aussi belle chaque jours, tu innoves, des coiffures qu’on ne voit que dans les magazines, des robes qu’on ne porterait pas en cours, un jean délavé voir troué et une superbe tunique rouge en soie, ça choque tout le monde sauf toi, tu aimes mixer les couleurs, les styles, les époques c’est pourquoi, il va t’arriver de porter une jupe de tailleur avec un T-Shirt blanc à l’effigie d’un groupe de rock ou alors avec des motifs colorés.

Caractère: Des défauts tu en as à l’appel, tu es loin d’être aussi parfaite que tu ne le parais. Tu utilises beaucoup les gens, tu les manipules, souvent de ton plein gré pour profiter des avantages ou des opportunités qu’ils t’offrent mais le plus triste dans l’histoire c’est que parfois, tu manipules ces mêmes personnes sans même le vouloir, que tu leur fait du mal alors que ce n’était pas ton but. Serais-tu méchante ? Il semblerait que oui et tu ne t’en ais jamais caché. Edward pourra en témoigner, ça a commencé quand vous étiez petits, tu le martyrisait presque autant que tu l’aimais mais depuis le divorce de tes parents, toute ta vie a prit une autre dimension et c’est à partir de ce même moment que tu as commencé à être méchante avec les autres gratuitement. Depuis tes seize ans, mentir et ruiner des réputations tu connais, tu as souvent joué à ça avec les petites pestes de ton lycée qui pensaient tout connaître sur toi mais qui en réalité, n’avaient jamais réalisés que tu étais quelqu’un de relativement méchant. C’est en ruinant une réputation que tu as d’ailleurs rencontré ta meilleure amie à laquelle tu tiens tellement.
Tu as toujours été exigeante avec toi même, trop peut-être, tellement que tu as travaillé des nuits durant, que tu as exigé de toi et tes frères une culture maximale, que tu as perdu lors de ton adolescence de très nombreux kilos et que tu as fini par te rendre malade. Ton pire ennemi a toujours été toi-même, ton désire de te prouver à toi même et non pas aux autres que tu vaux mieux que ceci ou cela t’a poussé de nombreuses fois « au bout du rouleau » tu exiges le meilleur pour toi, l’école, les notes, le petit ami, la famille, le physique, les vêtements, le logement, la voiture, l’intelligence, la maturité… Au final, presque rien n’est comme tu l’espérais mais il te reste tant d’années pour combler les lacunes et pour être moins perfectionniste et exigeante que tu réussiras forcément à donner le meilleur de toi même.
Malheureusement, tu n’es pas très honnête, ni avec toi-même et encore moins avec les autres. Edward est peut-être la seule personne au monde à te connaître réellement, Tom a apprit a te connaître mais n’a pas eu l’occasion de le faire depuis que tu as tant changé, tu ne te laisses pas approchée facilement, tu es méfiante et bien que tu aimes certaines personnes, tu conserves toujours ton jardin secret avec tout le monde, tu n’iras pas raconter n’importe quoi à n’importe qui lorsque ça te concerne (lorsque ce sont les autres le sujet, c’est une toute autre histoire). Tu es telle une tombe, tu ne transmet jamais aucun sentiments, surtout pas de tristesse et tu filtres avec précaution les sentiments amoureux et amicaux.
Ta franchise, c’est quelque chose que les gens détestent. Tu n’as pas pour habitude de tourner autour du pot, de prétendre supporter quelqu’un alors que ce n’est pas le cas (sauf en cas de manipulation, cela vas de soi (a).Toujours très sûre de toi, c’est cette franchise qui a causé ton désespoir un bon nombre de fois mais à quoi bon être fausse alors que dire : « tu me fais vraiment chier ! » est la chose la plus facile à dire, la chose qu’on pense au moins 50 fois par jours.
Tu es très nerveuse, très active, il te faut bouger, courir, coudre, écrire, étudier, lire, chanter, danser, nager, voyager, observer, parler … Il faut que tu fasses quelque chose, tout le temps ce qui a le don d’énerver ton entourage, alors que certains préfèreraient passer une après-midi calme, toi tu optes pour une après-midi shopping ou plutôt que de passer une soirée chez toi à manger des chips, tu vas aller dans ton restaurant préféré, t’asseoir au comptoir, commander un verre de Sangria et la siroter en discutant avec le serveur qui ne sait pas où donner de la tête (trop occupé à servir les autres ou trop occupé à t’impressionner ?)
Qualités; Tu vois des couleurs partout, la vie n’a jamais été noir pour toi, même après le divorce de tes parents tu as rapidement relevé la tête, digne et toujours belle, tu as supporté ce poids pour deux, Edward avait besoin de toi. Tu es peut-être généreuse avec lui et avec les gens que tu aimes mais tu sais distinguer tes réels amis des profiteurs et c’est une qualité immense que beaucoup t’envient. On ne te prend que difficilement pour une conne car tu as les yeux sur tout, tout le monde et tu emplois quand il le faut les grands moyens. Tu sais te donner la peine d’avancer, tu te donnes la peine pour avoir ce que tu désires.
Suite au divorce de tes parents lié au départ de Tom, tu t’es retrouvé être l’aînée que tu avais toujours été vis à vis de Ed’ mais tu n’avais pas vraiment eu l’occasion d’occuper cette position. Tu as acquis suite à toute cette tragédie familiale une maturité très importante et as appris avec une drôle d’aisance à prendre les commandes de ceux qui t’entourent, à ne pas te laisser marcher sur les pieds et tu as mûris.
Ashley, tu as cette espèce d’attitude protectrice avec tous ceux qui t’entourent et il n’est plus nécessaire de citer ton frère, mais ta meilleure amie est l’une des personnes pour qui tu pourrais donner ta vie, défendre que tu sois d’accord avec elle ou non. Il t’es souvent arrivé de faire quelques « sales coups », de manipuler des garçons pour te venger d’autres etc … Tu as toujours eu l’esprit de compétition et de protection.
Tu es incroyablement cultivée et pourrais discuter de très nombreux sujets en dehors des « buzz & gossips » pendant des heures durant. Tu as toujours eu au moins un livre en cours, tu aimais aller à l’Opéra lorsque tu résidais à Santa Barbara. On peut donc dire que tu es intelligente, tu aimes apprendre et quand on te dit que tu te trompes, même si tu t’entêtes à vouloir avoir raison, tu te rends compte, avec du recul que tu auras appris des choses de cette conversations. Tu as cette capacité et cette aisance donc à prendre du recul vis à vis de certaine chose, de mettre de la distance entre ce que tu souhaites et ce qui t’arrives …
On pourrait dire que tu es sérieuse, c’est le cas dans le études peut-être (et encore) mais tu es loin de l’être au quotidien. D’un naturel plus « déluré » tu préfères profiter de la vie comme elle vient, quitte à être sérieuse cinq minutes, tu préfères t’amuser, rire et faire la fête, c’est incontournable et pourtant ça ne t’empêche pas d’avoir des objectifs de carrière et d’avoirs des réelles valeurs telles que l’amitié (l’amour c’est pas encore ça) et la famille. Jamais il ne te viendrait à l’esprit ne serais-ce que de draguer un ami à l’une de tes amies sans son consentement…
Toujours assez naturelle et spontanée, tu as la joie de vivre, tu ne te laisse atteindre que par peu de choses, saisir la vie comme elle vient et en profiter au moins à 300% a toujours été ton mode de vie n°1 et tu ne comptes pas y remédier. Bien que certaines choses t’affectent, tu préfères garder la tête haute et te dire qu’il y a pire, que tu finiras bien par trouver le moyen de te relever sans devoir auparavant pleurer toutes les larmes de ton corps pour quelque chose qui n’en vaux pas la peine. Le divorce de tes parents est la chose qui t’a le plus affecté et pourtant tu n’en as jamais fait toute une montagne …
Spontanée et naturelle, tu rigoles souvent pour rien, toujours, un sourire s’affiche sur tes lèvres, c’est physique, TU DOIS SOURIRE, peut-être pour prouver que tu es heureuse qui sait mais toujours est-il que tu aimes rire à de bonnes petites blagues de temps en temps et que, grâce à un rien, tu peux être heureuse. Courir sur la plage est quelque chose de si simple que tu ne fais qu’a New york et pour toi, c’est peut-être la chose la plus reposante, celle qui te permet de te décontracter plus que n’importe quel massage au Hilton NY Fitness Club (et pourtant dieu seul sait à quel point ils sont géniaux ces massages là !)

Le lendemain, alors que ta mère te regardait dormir dans ton berceau et elle dans son lit à la clinique, recevant la visite des amis proches et de la famille, Rupert, ton père alla déclarer ta naissance au New-York City Hall (Mairie de New-York). Il était fier en annonçant ton nom en signant les papiers etc. Tu étais désormais connue par le monde entier, maintenant déclarée en tant qu'américaine tu pouvais être connue par tous. En avait-il seulement conscience lorsqu'il regagnait sa limousine qui l'attendait juste devant le NYCH ? Il rentra dans la voiture et se fit conduire à la clinique privée dans laquelle tu étais née, une clinique au cœur de Manhattan.
C'est dans cette même circonscription de New-York que tu grandis avec Edward et Tom, tes frères. Ton père, occupé par sa carrière politique était assez absent et ta mère l'était tout autant, sa marque marchait de mieux en mieux et les clientes se faisaient de plus en plus nombreuses, elle venait, le moi précédent la naissance d'Edward signer pour l'implantation de 10 magasins en Chine et au Japon. C'est précisément un mois et 3 jours plus tard qu'il naîtra, au début de Juillet, le 9 juillet 1990 précisément. Tu ne te souviens plus vraiment de l'heure, tu n'avais même pas un an et en l'espace de quelques moi, tu avais déjà deux frères dont un plus grand que toi.
Cette notion fut plus difficile que prévue à intégrée. Au départ, tu voyais Tom comme un cousin en vacance chez toi puis, plus les mois passèrent plus il restait, plus il jouait avec toi, avec Edward. Il n'avait pas le même nom de famille que toi mais ton père l'appelait « fils », n'était-ce pas étrange ? Pour Ed cette situation était anormale et il vivait beaucoup moins bien cette situation que toi. Il ne comprenait pas ce que Tom venait faire ici, avec vous dans votre famille.
Tes frères ne se sont jamais vraiment entendus alors que toi en revanche, tu les adorais tous les deux. Tu te souviens de cet hivers, ce devait-être en décembre 1991 peut-être, on t'a tellement raconté cette histoire que tu ne pourras jamais l'oublié; Tu t'avançais dans le grand séjour du luxueux et lumineux appartement New-Yorkais de tes parents, une feuille à la main, suivie de près par Edward qui avançait en courant, ayant certainement raté ton départ. Vous allèrent vous loger dans les bras de vos parents, assis sur l'un des divans du séjour, entrain de prendre le thé avec des amis à eux. Edward et toi ne quittèrent pas votre chambre pendant deux jours. Vous aviez déchiré des pages de l'encyclopédie de votre père pour les colorier comme de vulgaires feuilles à dessin et ne vous étiez pas contentés de deux misérables feuilles mais aviez re-décoré tout un volume. Rupert était fou, c'est à partir de ce jour ou l'on décida d'engager une nourrice à plein temps.


Une nourrice pour trois c'était bien trop peu. Tous les après-midi vous aviez droit à votre petit tour dans Central Park, tu adorais nourrire les canards et Lucia, l'Italienne chargée de votre garde 7 jours/7j, 24h/24h apportait chaque jour du pain pour les nourrir avec toi. Quelques jours après l'anniversaire d'Elyzabeth, ta mère, comme chaque après-midi, tu nourrissais les canards avec Lucia et Tom était résigné à embêter le monde. Edward quand à lui et du haut de ses 2 ans demeurait dans sa poussettes, à un mettre à peine de votre nourrice entrain de dormir paisiblement. Alors que Tom avait déjà trouvé le moyen de se rouler dans l'herbe et de mettre les pieds dans une flaque vous éclaboussant Lucia, Edward et toi qui marchiez tranquillement dans les allées de Central Park mais cette fois, il voulait frapper fort et montrer qu'il était plus ou moins révolté, on ne sait pour quelle raison. Résigné, il saisit les poignées de la poussette de ton frère, leva un loquet pour que celle-ci puisse avancer puis se mit à courir en criant victoire. Paniquée, votre Italienne pleura pour la première fois devant vous ce jour là, elle était paniquée et n'osa même pas en toucher mot à votre père tellement elle avait peur pour son job' une fois cet incident produit.
Sacré phénomène !
Quelques annés plus tard, tu étais entrain de bruncher avec Primavera et Kellay McBolthouse, une très bonne amie à toi, tu la connaissais de NBS(Nightingale-Bamford School), elle était avec toi en cours de Chimie l'an dernier, vous aviez beaucoup ri et aviez foutu le feu aux cheveux d'une autre élève par "inadvertance" (la prof n'y avait pas cru et vous aviez été renvoyées de l'établissement pour trois jours). Elle était blonde, avait le teint pâle et les joues trop rosées par le blush, tu la connaissais depuis un bon nombre d'années mais n'avais appris à la connaître que cette année. Elle était assez superficielle et comme Primavera et toi, c'était une future princesse de l'Upper East Side. Elle avait organisé l'an dernier de nombreux brunch qui, il fallait bien l'avouer avaient été des réussites. Tu étais sortie avec son frère pendant un petit mois puis vous aviez rompus, il avait beau avoir deux ans de plus que toi, il n'était pas assez bien pour toi et Kellay t'avais révélée quelques anecdotes à son sujet qui ne donnerait envie à aucune fille de ce monde. Soit, une perte assez minime (a). Vous avez fini la journée ensemble, chez Kellay qui résidait à l'autre bout de l'Upper East Side, vous aviez mit près de 10 minutes pour trouver un taxi libres et les pieds vous brûlaient. Une fois arrivées chez elle, vous avez retiré dans la seconde même vos escarpins et s'est avec un plaisir immense que vous êtes allé vous faire masser par le spectaculaire appareil de sa mère.
Le lendemain, après avoir passé la soirée dans un club IN qui avait ouvert il y a peu, vous avez quitté Kellay qui partait deux semaines dans sa propriété dans le Maine et avez passé votre journée au spa du The Pierre enchaînant les bains relaxants et les massages. Le soir venu, vous avez été faire les yeux doux à l'acceuil pour savoir si, par un heureux hasard, il n'y aurait pas des jeunes-hommes agés de 16 à 19 ans dans l'hôtel. Raffy' (c'est ainsi que vous l'avez surnommé sans même connaître son nom) vous indiqua qu'un certain De la Tourette avait prit une suite il y a près de deux heures et que ses parents l'avait réservée depuis des semaines déjà pour une durée indéterminée. Vera te lança un regard inquiet et ton cœur se mit à s'emballer.