« Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » de (c) Juillet
Signe(s) Particulier(s)
Bien qu'artiste, Camille n'a jamais été du genre à avoir une tonne de tatouage et encore moins de piercing. Le seul petit dessin qui est graver sur son corps se situ dans sa nuque. Une phrase connu de tous VENI VEDI VINCI. Par ailleurs, Camille a également une petite cicatrise sur la joue gauche, une marque qu'il a gardé après une altercation dans un bar. C'est également un moyen de ne pas oublier, qu'il ne faut jamais ce fier aux apparences et aux on dit.
Orientation Sexuelle
Camille se dit hétéro mais beaucoup le pense Gay, par son style et par le fait qu'il soit artiste et qu'il n'a jamais été vu en compagnie d'une fille.
Camille Louis Morelle
Physique & Caractère
Apparence & Style: Il suffit tout simplement de regarder l'océan qui se déchaîne au fond de ses yeux pour se rendre compte de la beauté et le charisme que dégage Camille. Tout le mystère qu'il renferme est emprisonné dans ses prunelles et, contrairement à ce qu'on dit, ses yeux ne sont pas le reflet de son âme. Il faut être très proche de lui pour savoir réellement qui il est et quelles sont ses pensées et croyez-moi, il n'existe qu'une ou deux personnes sur Terre capables de lire en lui. Il est souvent habillés jean/ T-shirt de manière décontracté avec un petit air "Rock'n'Roll" tout a fait British et artiste incompris. Il a malgré tout un bon sens de la mode et même si sa façon de s'habiller semble irréflechie détrompez vous, il fait attention à son physique même s'il n'est pas du genre à se priver de nourriture ou à soulever des haltère pendant des heures ni à passer 3h dans la salle de bain.
Caractère: Camille est naturellement très sensible, le moindre petit changement affectif le chamboule. C'est le genre de garçon qui a besoin de repère fixe dans sa vie, sûrement parce qu'enfant, il n'avait personne sur qui s'appuyer, personne pour l'épauler, pour lui dire : « Ne t'en fait pas Camille, tout ira bien. » C'est ce manque là qui l'a construit et fait devenir l'homme qu'il est maintenant. Caractériel, Camille est quelqu'un de très réfléchie, mais franche et manipulateur. Il ne passe pas par quatre chemin quand il a quelque chose à dire, une habitude qui lui vaux de ne jamais être prit au dépourvu et d'avoir toujours la situation en main. Le garçon aime avoir le contrôle sur tout, sa facilité à manipuler les gens l'aide beaucoup, Camille est ce genre de personne qui a besoin d'être leader et qui déteste les ordres. C'est également un jeune homme très possessif, autant dans ses relations amoureuses qu'amicale. Sa jalousie prend rapidement le dessus sur sa raison, laissant place à une impulsivité rarement dévoilé. Au premier regard, Camille peut paraître froid et détestable. Mais il faut apprendre à le connaître pour se rend compte à quel point le jeune homme est l'un des meilleurs amis que l'on puisse avoir. A l'écoute, Camille est quelqu'un de très protecteur qui n'hésite pas à se mettre dans des situations farfelus pour aider les personnes qu'il affectionne.
L'histoire
Le soleil a déjà atteint son sommet lorsqu'enfin je m'éveille. J'ai éteint une dizaine de fois ce satané réveil, et puis, finalement me suis résigné. Il affichait déjà deux chiffres, quatorze heures et j'étais toujours au lit. Ah, ce plafond blanc, il est trop blanc. Bientôt je songerais à en changer la couleur. Tout mes murs sont trop blancs, ça ne va pas du tout avec le bordel ambiant qui règne en maître suprême sur ma petite chambre. Pochettes de CD vides, cordes de guitares, vêtements en vrac, quelques vestiges de mon enfance telle que ma vieille Game Boy, paquets de biscuits à moitiés entamés puis jetés négligemment sur le parquet, pinceaux, toiles déchirées, et photographie abandonné sur un vieux bureau, c'est ce que j'appelle mon chez moi. Moi ? Camille, vingt-trois ans, surdoué, étudiant en je-deviens-une-épave, célibataire, artiste raté qui se fume une vingtaine de clopes à la journée, gosse de riche bientôt déshérité. Et puis,.. il y a Skyler. Bien qu'elle ne le sache pas, elle est une partie moi, elle est mon cœur, mes poumons, elle me possède, me hante, me tue chaque jour. Sa respiration presque inaudible, sa voix douce, ses mouvements graciles, ses yeux d'encre, sa peau blanche comme l'hiver, ses lèvres rouges sangs et ses cheveux aussi noirs que l'enfer, tout ça, c'est ma seule raison de vivre. Tout ça, c'est Skyler. Plus puissante encore que la meilleure des cocaïnes. Première cigarette, je pense à elle. Deuxième cigarette, tasse de café, l'éclat de ses yeux brille déjà dans les miens. Première douche, et je ne rêve que de la sentir contre mon corps. Troisième cigarette, c'est son souffle que j'inspire, que j'amène à noircir les organes me permettant de respirer. Quatrième cigarette, et elle est face à moi, complètement nue.
« Non.. Mets toi plutôt de dos Sky, hm.. Ton visage, tourne le vers moi, parfait. »
J'entame la cinquième, tout en peignant pour la centième fois chacun de ses traits. Dieu qu'elle est belle. Et moi? Et moi je ne suis rien. Sans elle, je ne pourrais même pas m'autoproclamer Artiste, bien que ce soit artiste raté. Ma muse, ma déesse, un ange, mon ange. Et moi ? Moi, je deviens fou, rien que de la voir assise là, la courbe parfaite de ses hanches s'arrêtant sur les draps de soie qui orne le lit dans lequel je l'ai maintes fois peinte. Elle ne sait même pas ô combien mon regard sur elle est malsain, elle ne s'aperçoit pas que je ne veux qu'elle. Parce que moi, moi je ne suis que Camille. Toute les filles ont un Camille. Je suis ce type plutôt beau gosse, assez grand, fin - bien que musclé -, les cheveux un peu trop longs tombant légèrement sur les yeux. Je suis ce type que l'on croit Gay parce qu'il est artiste, et qu'on ne la jamais vu avec une fille. Alors, ça ne lui pose pas de problèmes de poser nue pour moi. Je suis Camille, gay, artiste, le mec à qui l'on peut tout confier. Le confident, le frère de cœur, celui qui vous répond à trois heures du matin quand Jules vous a quitté après vous avoir baisé, celui qui vous offre ses bras pour dormir et qui se torture l'esprit pour savoir si oui ou non il devrait vous avouer que non, il n'a jamais été gay, et qu'il n'a qu'une envie, vous sauter lui aussi. C'est une fille facile, fragile, une fille que l'on met dans son lit et dont on se moque lorsqu'elle s'aperçoit qu'il y en avait trois autres en même temps. Sixième cigarette, elle vient regarder la toile, et retourne poser pour le pervers que je suis quand il s'agit de son corps. Actuellement, elle a un petit ami, il la jettera dans quelques jours. Comme tout les autres, une fois qu'il l'aura entendu gémir son nom, il se tirera, et se sera à moi d'entrer en scène. Septième cigarette, deuxième tasse de café, deuxième pause, elle vient à nouveau regarder mon œuvre. Elle la détaille, elle détaille la jeune fille qu'elle est, elle n'aime pas son corps, elle pense qu'elle n'a pas assez de poitrine. Sa poitrine est en accord parfait avec le reste de son corps. Et puis, elle retourne poser pour l'être abject que je suis. Alors, quand il se tirera, je l'accueillerais encore au creux de mes bras et lui susurrerais des mots réconfortants, des remèdes à ses maux. Alors qu'elle s'endormira, je serais là, mon corps contre le sien, mon corps me suppliant de la faire mienne, ou au moins de lui avouer mes sentiments. Huitième cigarette, elle se rhabille et vient m'enlacer.
« Je dois y aller Cam ! Il m'attend ! hm.. Je t'appelle pour notre prochain rendez-vous, d'accord ? »
Elle m'embrasse sur la joue avec ce délicieux sourire, je tente de la garder encore un peu contre moi et elle me laisse. Son Jules l'attend en bas. Neuvième cigarette, je lâche mes pinceaux, j'écorche la toile, quitte l'atelier et retrouve mes appartements. De là, je peux le voir, les voir. Ah, il enlace ma Belle, il enlace cet angelot si pur, ma princesse, ma reine. Et Camille ne fait plus que regarder son bien s'envoler, attendant son appel en fumant la dixième, la onzième, la douzième, la treizième, la quatorzième. Je me demande parfois si je devrais écrire mes sentiments pour elle sur mes vêtements, pour qu'enfin elle me voit, pour qu'enfin elle remarque que mon amour pour elle et pour sa beauté froide valent bien plus que n'importe lequel de ces types qui la laisse à chaque fois seule, du mascara plein les joues. Ce soir, il devrait l'utiliser et puis la jeter. Cinq semaines, c'est déjà trop. Quinzième cigarette, troisième verre de vodka et enfin mon téléphone sonne. Elle pleure, sa voix est brisée, elle me répète que j'avais raison, qu'elle n'aurait pas dû se jeter encore une fois dans une relation comme celle-ci, et moi, opportuniste, je l'invite à la maison. Elle dormira au creux de mes bras cette nuit, elle ne se doutera pas que je la regarderais dormir des heures, détaillant encore et encore son corps, essayant de regarder à travers sa poitrine pour voir si mon nom est gravé sur son cœur. Seizième cigarette, cinquième verre de vodka en main, je vais lui ouvrir la porte, elle m'enlace immédiatement, pleurant toute les larmes de son corps sur mon torse nu. Protecteur, je pose mon menton sur le sommet de sa petite tête brune, puis l'emmène jusqu'à ma chambre. Skyler prend son premier verre de vodka, et une cigarette. Skyler boit son deuxième verre de vodka et vient s'assoir sur mes genoux. Skyler sirote son troisième verre de vodka et me demande s'il me reste d'autres bouteilles, mais Skyler ne tient pas l'alcool, alors son petit visage se perd contre mon torse. Dix-septième cigarette, mon corps me supplie de profiter de cette situation, mais pour rien au monde je ne devrais faire de mal à mon trésor, mon plus beau joyaux, ma petite perle de cristal. Dix-huitième cigarette, elle relève la tête, pose son front contre le miens. Elle me torture sans même s'en apercevoir, et puis elle me supplie de ne jamais la laisser seul, je ne l'écoute même plus. Je ne pense qu'à ses douces lèvres si proches des miennes, qui pourrait en une fraction de secondes se poser sur moi, sur ma bouche, mais elle n'en fait rien. Elle pleure et se couvre de ridicule en me demandant à moi, son fidèle ami de ne jamais la laisser pourrir. Je la gratifie de quelques tendres caresses, puis allume la dix-neuvième que je partage avec elle. Ses yeux, je voudrais me noyer à l'intérieur, je ne peux pas détacher mon regard de cet être, de sa perfection. Vingtième cigarette, je n'en prend qu'une bouffée, lorsque je tente de la reporter à ma bouche, sa douce, fine et longue main me stoppe. La vingtième finit dans le cendrier, elle se consume seule, un peu comme mon cœur, mon cœur est une énorme cigarette qui se consume un peu plus à chaque fois qu'elle souffle des mots doux à l'oreille de ses multiples amants. Et lorsqu'elle pose ses lèvres sur les miennes, alors que c'est ce que je désire depuis tant de temps, alors que je ne rêve que de ce jour depuis trop de temps, je la repousse. J'ai repoussé ma Skyler. Moi, Camille, cette épave, j'ai repoussé le plus bel être qui soit, je me suis levé en la serrant contre moi et l'ai allongé dans mon grand lit qui semble si vide lorsqu'elle n'est pas là. Avec son air de jeune pucelle frustrée et mortellement blessée, elle arrive enfin à formuler une phrase, concise mais clair. « Qu'est ce que tu fais..? »
Je me mord cruellement la lèvre inférieur pour ne pas avoir à lui répondre et j'entreprends de la déshabiller. La Belle se laisse faire, sans même imaginer à quel point mon esprit est dérangé. Une fois son jean et son tee-shirt ôté, je ne fais que la recouvrir d'une couverture et me couche à ses côtés, la serrant encore une fois contre mon corps et cœur. Elle pleure encore un peu, accrochant ses ongles dans mon dos, le meurtrissant, et finalement s'endort. Elle ressemble à une poupée de porcelaine dont la peinture aurait coulé. Mon corps me hait de ne pas la faire mienne, de m'être refusé à elle. Mais qui à part elle pourrait se contenter d'être le pantin d'une nuit? J'ai regardé trop de fois à travers son cœur si j'y avais ma place, sans jamais m'y voir. Alors, je ne la salirais pas, je me consumerais jusqu'à ce qu'elle voit, qu'elle regarde à travers ma poitrine tiraillée ce qu'elle me fait endurer. Et jusqu'à ce jour, je la prendrais dans mes bras chaque fois qu'elle se fera baiser par un de ces salopards, à chaque fois qu'elle croira en l'amour et sera à nouveau déçu. J'écraserais la moindre de ses peines de mon étreinte, je protégerais l'être affreusement cruel qu'elle est, et s'il le faut jusqu'à mon dernier souffle. Parce que Skyler est mon plus beau péché.
Behind the computer
Prénom: Juillet. (& oui, c'est mon vrai prénom. ) Âge : 14ans. Avatar choisi : Mathias Lauridsen Comment as-tu connu ce forum ? : De partenaire en partenaire. Ton avis (design, contexte, ...) :J'aime beaucoup le design qui est soigné. Le contexte est assez simple, mais c'est ce que je cherche, donc tout me vas à ravir. Présence sur le forum : 5j / 7. Un peu moins en fin Mai début Juin (Brevet) Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
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Il pressa le plat de lame du couteau toujours posé sur le bas ventre de Washington, observant ses yeux noircis par la douleur. Il sourit, à croire qu'il se nourrissait de sa souffrance, que c'était pour lui un besoin vital, mais c'était bien plus que ça. Il rit une nouvelle fois, entendant la jeune lui dire qu'elle le détestait. Mais de toute façon, ça il le savait, et il s'en moquait bien. Qu'elle soit consentante ou non, qu'elle soit heureuse ou non, qu'elle l'aime ou non. Il s'en foutait bien, il la veut juste pour lui. C'est tout ce qu'il demande, et ça lui suffit. Ses lèvres revinrent près de son oreille en chuchotant la phrase qu'elle avait prononcé quelques instants plutôt: « Entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas.. Quand on a peur de l'eau, on ne se jete pas dedans. Le retour en arrière n'est jamais exclu. » Il se redressa, comme figé par les doigts de la jeune femme qui parcouraient ça joue. L'incompréhension s'empara de son visage, mais qu'est-ce qu'elle foutait là ? Il était resté planté là, sur elle, sans bouger jusqu'à ce qu'il se rendit compte qu'il était en train de perdre le contrôle : Autant le sien que celui de Washi. Le couteau ne pressait plus sur sa robe, et son poids se fit moins pesant sur la jeune femme. Il fronça les sourcils avait de donner un coup brutale à sa main pour l'éloigner. Comme vexé par ce geste qu'elle s'était obligée de faire. Comme s'il allait retomber dans le piège. « Je ne me fais jamais avoir deux fois Washington. » Elle lui avait déjà défiguré la moitié de la joue, et ça lui suffisait. Il soupirait, légèrement déstabilisé et sa folie était maintenant passée. Il déposa un doigt sur la blessure de la jeune femme, essuyant un peu le sang qui ne cessait de couler, sans pour autant être délicat. Il se releva pour aller chercher un morceau de son t-shirt en lambeau qui trainait dans l'eau. Il revint vers la jeune femme en mettant le bout de tissu mouillé qu'il pressait contre sa plaie, sans se soucier de sa douleur. Il plongea ses iris dans ceux de la jeune femme, le regard légèrement perdu, comme s'il recherchait quelque chose en elle, ou qu'il essayait de voir ce qu'elle ressentait pour lui. De la haine ? Oui. De l'amour ? Il n'en était plus aussi sûr, et cela le déstabilisait, il commence à prendre conscience qu'elle n'a plus grand-chose à voir avec la petite pute qui trainait sur le trottoir de la capitale française. Elle ne donnait pas non plus l'impression d'être aussi fragile qu'avant. Mais c'était ça qu'il aimait chez elle plus qu'une autre. Sa fragilité de petite adolescente perdu qui n'aspirait plus à la vie. Elle n'avait plus besoin de lui maintenant, elle en était devenue indépendante. Et c'est ça qui le brisait, cette non emprise sur elle. Il l'avait sous-estimé en venant à Cambridge. Peut-être qu'il aurait dû retourner voir Boston en premier, lui faire ce qu'il venait faire à Washington, même si elle n'avait jamais été sa putain. Mais ça aurait détruit sa meilleure amie, il n'y avait plus que ça qui pouvait la détruire maintenant. Son regard fuyait le sien. Il venait de comprendre qu'il était en train d'échouer. Voir pire, que c'était déjà le cas. Mais il se reprit rapidement, la Washington qu'il connaissait n'est pas morte. Elle quelque part, barricadé par des tonnes de protection et de sentiments plus inutiles les uns que les autres. Il se mordit la lèvre, toujours soucieux, avant de reporter son attention sur le bout de tissus. « J'aimerais vraiment pourvoir te dire que je suis désolé Washington. Mais ce n'est pas le cas. » Il avait dit ça d'un ton sincère. Parce qu'il le pensait et que cela ne faisait pas partie des choses qu'il se forçait de croire. C'était vraiment le cas, il n'était pas désolé.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Camille L. Morelle le Sam 5 Mar - 20:48, édité 2 fois
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 16:59
N'oublie pas de cocher l'UFR dans lequel ton personnage est inscrit, et l'avatar 200x320 tout en bas, dans la partie "behind the computer". Je pense que l'on t'expliquerai avec plus de détails comment y parvenir, peut-être le problème est lié à ton image. Sinon, bienvenu et... J'adore véritablement l'histoire alors, je te souhaite bonne chance pour la suite, et amuse-toi bien (une fois validé, bien entendu).
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 17:01
mathias Bienvenue ici
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 17:02
Merci
Pour l'UFR, j'ai beau coché, sa ne s'enregistre pas. Et comme il faut croire que j'ai la poisse aujourd'hui, j'ai bien mi l'URL dans la partie "behind the computer", mais rien ne ce passe, et le problème ne vient pas de l'image, étant donné que j'en ai essayé plusieurs.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 17:05
Je vais t'envoyer un MP. On va y arriver !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 17:36
Mon dieu, j'adore ton prénom IRL. - inutile mais osef - & très bon choix d'avatar également. *-* Bienvenue.
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 17:38
Merciiiiii - ha nan nan, je m'en fout pas, on me le dit tellement pas souvent.. xD -
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 18:55
Bienvenue J'edit ton code qui est bon (:
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 20:08
Mathias Mon chéri d'amour tu prends soin de lui hein ?
bienvenue !
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 20:36
Savannah L. Walsh a écrit:
Mise à jour du règlement :
Concernant votre avatar, soyez réaliste pour l'âge de votre personnage, Brad Pitt pour un étudiant de 19 ans n'est pas crédible. Nous vous demandons donc de ne pas augmenter ou diminuer l'âge de votre personnage de plus de cinq ans comparé à l'âge réel de votre célébrité - sauf exception jugée par le staff - Par exemple Alexis Bledel approchant la trentaine à qui on donne facilement 20 ans, voir moins.
Cette règle est bien sur à prendre en compte pour les nouvelles inscriptions et non pour les personnes déjà validées.
Il faudra donc changer ton âge, étant donné que Mathias est né en 1984. Merci de prévenir quand ça sera fait (:
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 20:37
Bienvenue !
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 20:42
♣ Johnathan ~ T'en fait pas, avec moi il est entre de bonne main *out*
♣ Dylan ~ Et en plus j'ai bien fait attention; j'avais lu y a quelques jours qu'il avait 24ans enfin bref, on s'en fout, je vais modifier
♣ Mackenzie ~ Merci
Edit : Post édité
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Sam 5 Mar - 21:00
Merci, ta fiche me semble bonne, un admin devrait donc venir te valider d'ici peu (:
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 0:10
bienvenue
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 1:33
Bienvenue mec très bon choix d'avatar (a)
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 13:56
bienvenue à ny
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 14:09
Merci
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 14:20
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 14:36
bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle Dim 6 Mar - 15:22
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
& Pense à voter de temps en temps sur les top sites, principalement celui d'Obsession, merci.
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Sujet: Re: « Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle
« Mon bonheur n'est qu'une accalmie à mon malheur. » Camille L. Morelle
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