Tout le monde a le droit de choisir mais je n’ai pas eu le choix. Ma tante est venu me chercher pour me ramené dans cette ville qu’est New York. Je ne me sentais tout de suite pas chez-moi. Il y avait comme une énergie qui me faisait peur mais elle me disait que c’était dans ma tête. Qui aurait cru qu’une gamine de 16 ans arriverait à vivre cela. Un déménagement dans l’opposé d’où elle se trouvé. J’étais bien à Newport, la chaleur, la plage. Je suis trop bronzé pour venir vivre ici mais je devais m’y faire. Entrant dans la maison je pouvais sentir une drôle d’odeur, surement oncle Charles qui faisait à manger, il déteste les voyages surtout les route et les voitures. Je monte à l’étage avec mes sacs pour ouvre la porte de ma chambre. Elle est grande à première vu mais avec toutes mes affaires elle va devenir plus petite.

- Je voulais la rénové un peu mais tout es arrivé si vite. Veux-tu que je t’aide?

Tante Alice est si gentille, elle est la petite sœur de ma mère, j’aurais jamais cru qu’elles avaient été sœur, elle si timide et ma mère si…ouverte complètement différente. Enfin ce n’était pas grave elles ont des airs de famille, des yeux verts comme l’émeraude. Je retiens mes yeux d’elles mais mon caractère de mon père. Ma mère me le disait tout le temps.

- Non, ça va aller tu devrais…aller aidé Charles avec…le souper je vous rejoins bientôt.

Je déteste devoir faire comme si je ne voyais pas le mal que cela leur fait de me voir triste. Mes parents sont mort et je ne voulais pas en parler, surtout que demain je vais à l’école, en faite je n’y vais pas vraiment il faut m’inscrire mais je dois pareil aller pour voir s’ils veulent me prendre. Constance billard est le plus grand collège privé pour fille de Manhattan qui se trouve justement à coté du collège pour garçon. St-Jude est rempli de garçons riches et qui se croient bon. Enfin pour moi New York ne sera jamais comme ma ville. Je déballe mes valises pour ranger tout mon linge avant de descendre les marches pour aller rejoindre ma famille. Alice avait accepté de s’occupé de moi, elle est justement professeur à Constance ce qui me plait pas trop mais elle est tellement gentille. Cela doit être drôle lorsqu’elle se fâche. Charles est en arrêt de travail, il était dans la construction mais il a eu une fracture au crane alors il est très surveillé par les médecins. Je m’assis à la table les regardant parler, je ne les écoute pas trop je mets ma musique sur mes oreille pour commencé à manger le pater à la viande de Charles, il n’était pas un grand cuisinier mais au moins il se force pour aidé Alice dans la maison. Prenant quelque boucher je fini par me levé.

- Je vais me promené!
- Mais chérie tu ne connais pas le coin.
- Je vais me trouvé tante Alice…et puis New York est pas si grand que cela.

Sur ses mots je sors de la maison, je ne savais pas où j’allais mais je reste quand même dans le Upper East Side de Manhattan donc je ne devais pas être si loin que cela de ma prochaine école. Ah justement elle est là. Mais qu’est-ce que c’est grand. Je regarde les filles assissent sur les marches devant l’école, leur jupe bleu marine, leur chemise blanche, j’allais devoir me vêtir comme cela. Ma tante voulait vraiment que je sois une fille. Elles me regardent bizarrement, elle se croit vraiment supérieur aux autres. Me cachant sous ma capuche, je continu mon chemin vers St-Jude, l’école était surement fini car les garçons sortent de l’école. Il y en a même un qui me bouscule.

- Hey fils de riche tu pourrais faire attention…connard!

Il me regarde, alors je lui fais un doigt d’honneur avant de continuer mon chemin. Je me demande vraiment s’il va me reconnaitre lorsque je vais commencer l’école. Cela me fait tellement rire de savoir que les hommes ont si peu de cervelle. Je jette un coup d’œil vers lui qui est entrain de parler avec un autre gars. Et que la vie des riches semble tellement intéressante. Mais moi, je ne suis pas comme eux.

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