"Vivre est une chanson dont mourir est le refrain." de Victor Hugo
Signe(s) Particulier(s)
Oliver porte un tatouage en forme d'aigle sur son bras droit, l'oiseau volant vers une libellule positionnée juste au dessus, sur l'épaule. Autrement, le jeune homme ne porte pas de piercing, ce n'est pas son genre du tout, et n'a aucune marques de violence tel que des cicatrices.
Orientation Sexuelle
Oliver est cent pour cent hétérosexuel, même s'il n'a jamais tenté le coup avec un homme, cette idée le répugne au plus au point.
Oliver J. MITCHELL
Dernière édition par Oliver J. Mitchell le Mer 30 Mar - 22:06, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:07
Physique & Caractère
Apparence & Style: Oliver est plutôt grand et fait de muscles, étant joueur espoir de baseball, il le fallait. Il tient donc à sa ligne mais sait qu'il peut manger ce qu'il désire à condition de se dépenser plus tard en faisant du sport ou de la musculation. C'est un homme ayant hérité des beaux yeux marrons de sa mère et les cheveux de la même couleur de son père. Il n'est pas comme tous ces sportifs à vouloir se montrer beau, fort et montrer ses atouts, Oliver est plutôt du genre simple, ne cherche pas le remarquable. Du côté vestimentaire, le jeune homme est plutôt simple et loin de rester trois heures dans la salle de bain à se préparer. Pour lui un tee-shirt et un jean suffisent, à moins d'avoir un rendez-vous, dans ce cas là, il s'habillera en conséquence.
Caractère: Oliver est un joueur de baseball et comme tout joueur qui se respecte à son niveau, il a l'esprit de compétition et à la suite de ça, difficile de lui tenir tête. Autrement, il n'est pas du genre à se confier à sa famille et rarement à ses amis, il préfère garder tout ça pour lui en considérant que ça n'intéresse personne. Il n'est pas non plus le gars à qui l'on demande des conseils, à part si vous avez un problème pour tirer la balle de baseball le plus loin, sinon, il n'est pas de très bon conseil, il préfère laisser ce travail aux filles. Rancunier et jaloux, rieur et le visage toujours souriant, il cache bien ses défauts. La patiente, il connait, même un peu trop, il se fait très souvent avoir en laissant trop de temps pour répondre, ou rembourser, bref, assez facile de le rouler dans la farine comme on dit. Il faut surtout savoir qu'Oliver est très lunatique et sensible, pas au point de pleurer, mais il est facilement vexé et blessé.
L'histoire
Cher ami, Cher livre, Cher journal,
Voici mon premier journal, ma première page et ma première phrase. Comme je n'ai pas grand chose à raconter de ma journée, je vais donc me présenter pour commencer. Je m'appelle Oliver, comme le chat, mais rassures-toi je ne suis pas un animal, sauf un descendant de la lignée de singes qu'était l'Homme. Bref, passons, les cours d'histoire me revienne pour les examens, je viens de les réviser. Donc je me nomme Oliver Jonathan Mitchell. On dirait que j'ai trois prénoms mais je n'en ai que deux et Mitchell est mon nom de famille, bizarre non ? Je suis né un certain vingt-cinq Juillet mille neuf cent quatre-vingt-dix à San Antonio, situé dans l'état du Texas, aux Etats-Unis d'Amérique. Mes parents ont toujours été là pour moi et je les remercie pour tout. Comme je viens de le dire, j'ai eu une magnifique enfance, sans frère ni sœur, mais l'amour de mes parents était là et c'était le plus important. J'ai su, à l'âge de comprendre, que j'avais été tant attendu par ces derniers, voilà la cause de ce si grand amour qu'ils avaient pour moi. San Antonio est reconnue pour son équipe de basket-ball nommée les Spurs mais ce sport ne m'intéressait pas plus que ça, par contre je fus directement pris dans l'équipe de baseball où je me donnais bien sûr à fond. Le baseball devint vite ma passion et à l'âge de douze ans, je décidai d'en faire mon métier. En dehors du sport, j'étais un élève qui avait les capacités de faire des grandes études mais qui ne faisait pas grand chose, seulement le minimum pour réussir à passer en classe supérieur. Autrement, j'étais plutôt du genre à avoir beaucoup d'amis étant donné que j'étais très respecté, mais aucune copine, enfin pas de sérieux, tu vois un peu de quoi je veux parler. Mais le drame arriva, lors de l'année de mes quinze ans, le divorce de mes parents. Je n'ai jamais sus l'origine de ce divorce mais savais seulement que ma mère était l'élément déclencheur de ce divorce alors je me rangeai du côté de mon père et dus déménager à l'autre bout du pays, à Eugène, dans l'Oregon. Le changement fut difficile à accepter mais je restais tout de même avec mon père. Le déménagement a eu lieu pendant les vacances d'été donc je repris les cours lors de la rentrée de la même année, dans un lycée. Une fois installé dans notre logement, je décidai de m'inscrire dans l'équipe de baseball du lycée et fus pris tout en me disant que j'étais un espoir de baseball. Le jour des sélections même, je la vis, elle, je le sentais, c'était bien elle, la seule fille, la plus mignonne. J'avais donc décidé d'apprendre à la connaître et de lier des liens avec elle. Ce qui se fit, quelques jours plus tard, nous étions ensemble, Oliver et Mackenzie. C'était l'amour, le grand, le vrai, le pure, le dur. Celui qui faisait que j'avais besoin d'elle tout le temps, le besoin de la toucher, de l'embrasser, de la voir, de lui parler mais surtout de lui dire que je l'aimais. Puis, quelques années plus tard, la remise des diplômes arriva et le moment de se séparer arrivait à grands pas. Elle du partir pour New York, poursuivre ses études et moi, je fus envoyé en Californie afin de me perfectionner dans le baseball. Mackenzie décida de mettre fin à notre relation à cause de la distance et je sombra dans l'alcool suite à ça. Mes fréquentations changèrent à cause de la boisson et perdis toute envie de vivre encore ici. Plusieurs fois, j'ai eu cette envie de partir à New York et de tout laisser tomber, même le sport, pour elle. Mais tout cela passa et repris le baseball comme avant. Un jour, on me proposa de partir à l'université de Fordham, à New York pour me spécialiser dans le baseball et devenir une étoile qui deviendrait la fierté de la ville. Je n'ai pas eu besoin de me faire prier que le lendemain, je partais pour l'autre bout du pays. J'avais enfin trouvé le moyen de la revoir tout en gardant ma passion pour le baseball intact. Comme dans le bon vieux temps. Voilà l'histoire de ma vie en quelques lignes. Tout ça me rappel des souvenirs mémorables mais aussi je dois aller en cours, je n'ai pas envie de louper mon premier jour à l'Université. Je ne sais pas si ça se dit à un journal, mais merci de m'avoir écouté, ou lu, bref.
Oliver Jonathan Mitchell
Dernière édition par Oliver J. Mitchell le Mer 30 Mar - 16:18, édité 5 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:07
Behind the computer
Prénom: Amy Âge : 15 and et demi (a) Avatar choisi : Steven R. McQueen Comment as-tu connu ce forum ? : Depuis longtemps par un partenaire. Ton avis (design, contexte, ...) : Superbe Présence sur le forum : 7/7 hors périodes d'examens Autre(s) compte(s) : Nope. Exemple de RP :
Spoiler:
Je me baladais dans les rues de Los Angeles, essayant de ne pas faire attention aux paparazzis si bien cachés derrière leur plante verte, et avançais tout en écoutant de la musique. Puis, m'ennuyant quelque peu ces derniers temps, j'eus la brillante idée d'aller faire quelques emplettes afin de me préparer une soirée spéciale ce soir. Voilà déjà quelques semaines que mon colocataire était en tournage pour la série si réputée qu'était The Vampire Diaries. Je changeai donc ma direction et au lieu de rentrer chez moi, je fis demi-tour afin de passer au centre commercial et d'y trouver quelque chose de spécial, un repas hors du commun, j'en avais assez de manger un plat de pâte, ou commander du chinois et j'en passe. Une fois entrée dans le centre commercial, comme à mon habitude, je fus directement attirée par les magasins de vêtements et d'accessoires. Mais je me réussis à me convaincre que je n'étais pas venue ici pour ça, mais pour trouver un repas original à manger ce soir. Alors je marchais le long de toutes les boutiques, un étage, puis un deuxième, et puis arrivée au dernier, je fis mon compte rendu des recherches mais ne trouvais rien qui puisse me donner, et pourtant, j'avais tellement faim. Alors je redescendis tous les étages et ressortis les mains vides du centre commercial. Je repris mon chemin que j'avais interrompu et suivais les rues parallèles de la grande ville. Mais quelque chose me coupa net, oui, je venais de tomber sur ce que je voulais, tout ce que je voulais était là, alors tout sourire je me précipita à l'entrée du bâtiment et fis le quelque peu de queue qu'il y avait devant moi. Puis le tour fut à moi de commander ce dont j'avais besoin. Je ressortis les sacs pleins de nourritures posée délicatement les uns sur les autres afin de ne pas les abîmer.
Arrivée dans mon immeuble et après avoir dis bonjour aux voisins que je croisais dans les couloirs, entrai enfin dans l'appartement seule et pris bien soin de fermer à clé derrière moi. Je posa les sac sur la banque de la cuisine et allais prendre une bonne douche avant de me caler devant la télé tout en mangeant. Il était vingt heure quarante lorsque je sortis de la douche et allait chercher le repas mexicain que j'avais acheté. La nourriture étant un peu refroidis, je le fis réchauffer quelques secondes pour enfin aller m'installer confortablement sur la canapé. La lumière était allumée, j'aimais voir la pièce d'à côté allumée, une certaine prudence venant de ma mère qui dit que l'on est jamais totalement protégé, surtout lorsque le colocataire était absent. Et le fait d'allumer montrait qu'il y avait quelqu'un soit les cambrioleurs ne viendraient pas. Bref. J'allumais la télé et cherchais un programme qui pourrait me plaire, même si je n'étais pas une grande fan de la télévision.
Puis, un bruit venant de l'entrée m'interpela, je ne fis plus de bruit et baissa le son de l'émission qui passait à ce moment de la soirée. Mais le bruit s'arrêta et je continuai donc à m'installer. Je positionnais les différents plats sur la petite table qui séparait le canapé de la télé et cette fois ce n'était pas un bruit mais belle et bien une voix. Il y avait donc quelqu'un dans cet appartement sinon moi. Cette personne cria « Ashouille ! T’es là ? ». Alors je sus de suite qui était cet homme qui était entré dans l'appartement. Je ne doutais plus du tout car c'était le seul à m'appeler comme ça bien que je n'aime pas. Je me levai en vitesse et me dirigeai droit sur Michael qui me souriait. « Ahhh Mike !! Tu m'as manqué ! ». Je lui sauta dans les bras, c'est fou comme on s'attache très vite aux personnes que l'on voit fréquemment. Après l'avoir bien serré dans mes bras j'étais tellement heureuse qu'il soit rentré plutôt que je ne savais que dire, et pourtant j'avais tant de choses à lui demander. Je lui pris quelques affaires et allait l'aider à ranger tout ça dans sa chambre afin qu'on est le temps de discuter, même si j'avais un peu l'impression de tomber de sommeil, à force de ne rien faire ici. Une fois tous les bagages de Michael posés dans sa chambre, je le regardais, encore sous le choc qu'il soit revenu si tôt. Je ne m'y attendais pas du tout, je pensais qu'il allait au moins me prévenir de son retour prématuré. « Je ne pensais pas que tu allais revenir si tôt, enfin tu m'avais dis que tu ne rentrerais pas avant la semaine prochaine. »
Code du règlement :
Spoiler:
the big apple
Dernière édition par Oliver J. Mitchell le Mer 30 Mar - 16:43, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:09
Steven BIENVENUE
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:15
Merci
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:25
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Oliver J. Mitchell - Le bonheur n'est en fait que du malheur.. que l'on accepte Lun 28 Mar - 22:26
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.