"écrire ici votre citation préférée" de auteur de la citation
Signe(s) Particulier(s)
Pour ne pas les remarquer faudrait être aveugle. J'ai plusieurs tatouages sur le corps, avec des significations bien différentes.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle, c'est comme sa et pas autrement. Quoique, le faire avec une fille je ne gênerai guerre mais les hommes me conviennent parfaitement.
Marianne Karen Anderson
Physique & Caractère
Apparence & Style:Peut on dire que je suis quelqu’un de repoussante ? Certes j’ai mes tatouages qui ne sont pas les plus appréciés pas certains, mais mon corps reste un atout pour séduire les hommes. Assez grande, et dans le poids de la moyenne. Tout est magnifique chez moi, non sans exagérer. Bon oui oui ca va les chevilles. J’ai de long cheveux brun, un magnifique regard clair, des lèvres pulpeuses. Comme peuvent dire les hommes, j’ai tout ce qu’il faut la ou il faut c'est-à-dire une bonne poitrine et une bonne paire de fesses –je ne fais que citer ses chers hommes- Il est vrai que j’ai un corps à en faire baver plus d’un et je dois dire que j’en joue beaucoup. Niveau vestimentaire, je porte un peu de tout, de la marque comme des sous marque, peut importe. Je m’habille comme me vient l’inspiration le matin. Je n’ai pas peur du regard des autres alors si un jour je veux m’habiller avec un sac poubelle je le ferait, mais rassurez vous, ce ne sera jamais le cas. Je peux porter des jeans, comme des jupes et des robes pour faire voir mes jambes, j’essaye tout de même d’être assez présentable tout en changeant de look par moment. Et puis au pire, le ridicule ne tue pas.
Caractère: Mon caractère ? Un caractère bien trempé dois-je dire, voire plus. Je suis coriace, mais en même temps fragile. Je veux faire voir au monde entier que je suis forte malgré la tristesse qui peut être en moi quand ca ne va pas. Je ne laisse rien paraitre, m’aime pas craquer devant les gens, préfère largement me replier sur moi-même et paraitre bien devant eux. Je suis de nature déterminé, quand je veux faire quelque chose je le fais, quand je mène un projet je le mène de A à Z et dans les règles, mais je peux être aussi flemmarde. Ca ne m’intéresse pas, je ne le fais pas, logique. Je suis têtue, extrêmement, voire même trop mais peut importe, j’accepte mes erreurs, j’accepte les critiques. Je suis rancunière aussi, alors un coup de travers, croit moi ou pas, mais je te le ferais payer un jour ou l’autre. Peste ? Moi ? Quand je peux l’être je le suis. Mais je dois aussi vous dire que je peux être quelqu’un de très attentionnée, toujours la pour les autres, rigolote –bien que mes blagues soient plus ou moins nulles- J’adore faire la fête, m’amuser, rigoler avec mes amis, en clair je suis plaine de vie.
L'histoire
Première heures de cours de la journée, je me réveillais à l’heure et comme tous les matins la première chose que je fis était de prendre ma douche. Rien de mieux pour me réveiller –ou bien tout le contraire, m’endormir- Alors que l’eau chaude s’éclater sur mon corps et que la fumée s’échapper de cette douche pour venir former de la buée sur le grand miroir de ma salle de bain, je réfléchissais à ma journée. Hélas elle commençait fort, Lundi matin, déjà le début de semaine était dur, mais encore plus dur quand on commence par Philosophie. C’était une matière que j’aimais assez, écrire était quelque chose que j’appréciai et je faisais ca avec plaisir, mais commencer la journée par deux heures de cette matière était presque… long. Je soupirais doucement puis après mettre remis les idées en place je sortis de ma douche et m’enroulais dans une grande serviette confortable. Tout en restant en serviette je me préparais. Un peu de fond de teint, eye liner, mascara, gloss et le tour était jouer. Je me séchais les cheveux avec le dernier sec cheveu sortit et après quelques minutes ils furent sec. Un peu de mousse pour accentuer un peu mes légères boucles qui se formaient naturellement et les voilà qu’elles étaient accentuée et prêt pour une journée. Je m’habillais avec un Jean blanc, un débardeur blanc et noir et une petite veste blanche. J’enfilais pour finir mes escarpins noir vernis. Vous l’auriez comprit, aujourd’hui c’était Black &&. White ! Tout en mordant dans mon croissant, j’arrivais à l’université, souriante –comme toujours, ou presque dois-je dire- Je me dirigeais à mon casier, saluant quelques personnes que je connaissais. Bon il faut bien le dire, étant Pompom Girl je ne peux être que connu alors imaginez que ce n’est pas qu’à deux ou trois personnes que je saluais. Enfin bref, je pris un cahier, quelques feuilles doubles puis me dirigeais en salle pour m’installer au fond de la salle. Le professeur arrivait –ce qui annonçait deux bonnes heures de blablabla intensif- il posait son gros sac sur le bureau et avec un large sourire –inhabituel- vient à sortir quelques phrases de sa bouche. « Bien le bonjour à tous, j’espère que vous êtes en forme parce que le thème d’aujourd’hui et qui durera pendant une semaine, est … » Ses quelques secondes de minutes me firent hausser les sourcils. Vu le sourire qu’il avait, le thème qu’il avait en tête semblait lui convenir parfaitement et surtout lui plaire énormément. « … Votre vie. » D’un seul coup j’explosais de rire, tous mes camarades se retournèrent vers moi en rigolant. Mon professeur venait de perdre le sourire et me lançait un regard noir en ma direction, se qui m’arrêtait dans mon élan de crise de rire. Doucement je pris la parole « Excusez moi, mais je ne comprends pas, vous avez notre dossier pour savoir d’où nous sommes, quel âge avons-nous, quels sont nos projets professionnel, nos ambitions, nos points faibles … alors pourquoi ce thème ? ». Je n’étais pas vraiment quelqu’un de malpoli en cours, loin de là, mais sur ce coup, j’avais pas réellement saisit l’importance de se sujet. « Et bien figurez vous mademoiselle Anderson que mise à part ce que vous venez de nous citer, je ne sais strictement rien de vos vies. En une ou deux copies doubles, vous devez décrire votre vie de la naissance à Aujourd’hui, en y évoquant des moments forts, des moments moins forts. Je vous certifies ne rien dévoiler à qui que ce sois, cela restera privé et pour toutes personnes qui ne me rendent pas ce sujet pour Vendredi, c’est un 0 et une mauvaise appréciation pour ce semestre. Sur ce, je vous laisse tranquille, vous pouvez commencer. » Je soupirais légèrement. D’où il voulait savoir nos vies, qu’il nous demande ce genre de sujet en première année d’accord, mais pourquoi maintenant. Peut importe, je n’avais pas envie de me recevoir un 0 et en prime une mauvaise appréciation, je pris donc une copie double et commençait à écrire.
Chapitre I• Ooh ! Regarde papa comme je suis grande.
Welcome To New-York ! Et oui, je suis née là et je mourrais surement là. Cette ville est ma ville natale, mon oxygène et mon futur. Si je devais la quitter se serait surement à cause de quelque chose de vraiment important, sinon croyez moi, j’y resterais encore et encore tellement je m’y sens bien. Ma vie débuta le 25 Mai 1988 à 14 h 01 précisément. Après être resté dans le ventre de ma chère mère pendant neuf mois, me voila enfin sur terre. Je n’avais pas vraiment demandé à vivre, mais j’avais été le spermatozoïde le plus vite dans cette course effrénée entre de nombreux spermatozoïde attiré par l’ovule, et Toc dans les dents les autres, j’ai été la plus forte ! Peut importe me voila sur terre, en chaire et en os. Je ne me souviens pas très bien de mes cinq première années, mais de ce que disais mes parents j’étais une enfant terrible. Un bébé certes mais vers l’âge de mes trois ans je savais légèrement ce que je voulais. Comme tous les enfants je piquais des crises quand on me disait non, quand on m’emmener dans un endroit ou je ne voulais pas aller. Ce que je me rappel de ma jeunesse c’est cette grande maison au cœur de New-York, mais bien qu’elle était en plein centre ville c’était un petit coin douillet, avec un petit bout de jardin et bizarrement tranquille. J’avais un chien, Tuca un labrador couleur noir qui dormait au bout de mon lit, comme si elle voulait me protégé. Je grandis, part à l’école –bien que les débuts soient difficile- mais j’arrive à m’y faire –un peu obligé d’un côté-. Je rencontre un jeune homme, surnommé Brian. Déjà très jeune je trainais qu’avec des garçons, aller savoir pourquoi, mais les filles m’insupporter à se prendre pour des petites reines et puis je me sentais bien avec eux, et surtout en sécurité. Ce Brian était le premier garçon qui est venu s’assoir à la rentrée à côté de moi disant d’une petite voix « Je peux m’assoir à côté de toi ? » et moi, d’une voix légèrement douce et timide je lui répondais avec un large sourire « Ooh oui bien sur que tu peux. ». A partir de ce jour nous nous ne sommes plus jamais quittés. Les années primaires passèrent, toujours tous les deux, du moins nous étions une petite bande, trois garçons et moi, la seule fille. C’était vraiment des magnifiques années, les années ou on ne se doutait pas que le monde qui était autour de nous était aussi cruel, difficile et dangereux. Nous on s’inquiété de savoir qui allait être le prochain touché pour devenir le chat, ou encore ou se trouvait Max dans un grand livre de la bibliothèque. On était vraiment loin de se douter qu’en grandissant, tout changerait.
Chapitre II • Sex, Drogue &&. Rock and Roll
Me voila devenue une jeune femme, comme disent si bien mes parents. D’ailleurs, en parlant de mes parents. Ils sont tous les deux très amoureux, voilà maintenant quinze bonnes années qui sont mariés et ils s’aiment plus que tout et je les aime plus que tout aussi. Me voilà en quatrième, une années qui commençait à changer ma vie, pourquoi ? Déjà Brian n’était pas dans ma classe. Comment on ils osés nous séparer. Ce fut vraiment quelque chose de dur à accepter pour moi, si bien que voyant que j’étais mal, mes parents décidèrent d’aller voir la directrice pour me changer de classe, mais étant butée elle refusa. On commença a s’éloigner peu à peu, ce qui me fit encore plus mal, encore plus quand je remarquais qu’il ne s’en rendait pas compte et que pour lui « tout était comme avant ». Mon année passa et miraculeusement je passais en dernière année de collège. Celle-ci passa correctement, j’obtiens un diplôme à la fin, heureuse je décide de faire une petite fête. J’y avais bien entendu invité Brian et bien d’autres garçons qui m’étaient proche. Dans tout ca il y avait bien sur quelques amies filles, parce que oui, j’avais commencé à fréquenté des filles. C’était le grand jour, le jour de ma première fête. J’étais tellement stressé que je rallais contre mes parents qui ne m’étaient pas comme je l’aurais voulu. Eux, amusés de cette situation souriaient et rigolaient. Ils me sortirent dans le jardin et pour me déstressé ils allumèrent les arrosages automatique. Au début ce ne fut pas la grande joie pour moi mais quand ils m’attrapèrent, je rentrais dans leur jeu et nous passions une bonne demie heure dehors, a jouer comme des enfants avant la grande fête. Pendant cette fête je me rapprochais d’un certain Tomy, mignon, un peu plus vieux que moi, c’était un bon ami que Brian. Après des heures, j’avais perdu la trace de Brian, et bizarrement j’avais aussi perdu la trace d’une de mes amies, Brittany. Je décidais donc de faire une ronde autour de la maison et je les aperçue assis sur le trottoir, rigolant et se bécotant. Verte de rage, mais surtout de jalousie, je retournais voir Tomy et décida de terminer la soirée avec lui, assis sur mon sofa, a me bécoter avec lui. Quand Brian rentra au même moment, il me lançait un regard noir pour ensuite sortir en claquant la porte derrière lui, signe d’énervement. Je m’excusais auprès de Tomy et me précipitais vers l’extérieur pour le retenir « La fête n’est pas finie ! » Il se retourna vers moi, toujours plein de rage dans son regard et répondit, froidement « Pour moi elle l’est. Il se remit à marcher mais je lui saisis le bras pour qu’il s’arrête de nouveau. « Qu’est ce qui ne va pas Brian ? » Il rigolait doucement, c’était surement pas la meilleure question puisque je connaissais déjà la réponse. « Qu’est ce qui ne va pas ? Tu le sais ! Tu dragues ouvertement Tomy devant moi … » « Aaah parce que moi je n’ai pas le droit de draguer et toi tu as le droits ! » «Hein ? Je ne vois absolument pas de quoi tu veux parler ! Explique ! » C’était notre première dispute, à cause de la jalousie, c’était le seul inconvenant quand on traine qu’avec des garçons, on se les accapare trop. « Tu crois que je ne t’ai pas vu avec Brittany dehors ? Vous aviez l’air d’être très proche en tout cas. Maintenant tu fais ce que tu veux, moi j’ai des invité je ne peux pas les laisser plus longtemps seul. Bye. » Cette fois ci ce fut moi qui lui lançait un regard noir et je rebroussais mon chemin pour rentré chez moi. La fin de la soirée fut moins festive qu’avant puisque Brian n’était plus là.
Rentrée, première rentrée au Lycée. J’étais stressée comme je ne sais pas quoi, pas parce que je rentrais dans la cours des grands, y avait de ça mais aujourd’hui j’allais revoir Brian depuis ma fête. Je me dirigeais vers le tableau des classes et remarquait que nous étions dans le même classe. Pur coïncidence, totalement. Je me dirigeais donc vers la salle et m’installait au milieu de la classe. Quand je le vis rentré dans la salle, j’aurais aimé le prendre dans mes bras, parce que mine de rien il m’avait énormément manqué. Pendant ces vacances il avait tellement changé, il était devenu bien plus beau qu’avant. Je fus légèrement déçue de le voir s’assoir à côté de Tomy, l’un de ses meilleurs potes. J’attendais quelques mois, mais rien ne changeait entre nous. On se défiait du regard, il trainait avec ses amis, qui était les miens avant et moi je m’étais fais de nouveau, bien plus Junkie qu’eux. Les soirées s’enfilaient, s’enchainaient, je commence à boire, fumer, et j’étais bien. C’était le seul moyen de ne pas penser à Brian, mon Brian. Un jour, alors que je rentrais chez moi, Brian m’attendait devant chez moi. Je fus vraiment surprise mais sans même m’arrêter devant lui, je continuais ma route. Il m’arrêta en me saisissant le bras. Ca me faisait pensé à ma fête, mais là, les rôles étaient inversés. « Jusqu’à quand allons nous nous ignorer ? » « Je n’en sais rien, peut être qu’on a plus rien à se dire. Je t’ai envoyé des messages pendant ces deux mois de vacances mais aucune réponse de ta pars … alors je crois vraiment qu’on à plus rien à se dire. » J’étais furieuse après lui mais triste aussi parce qu’il m’avait énormément manqué. « Je sais, mais j’étais partit avec mon oncle en croisière, et j’avais pas mon portable sur moi constamment, et puis y avait pas forcément de réseau là bas et notre amitié ne peut pas se terminer comme ça ! Mary’ … » Depuis qu’on était petit, c’était mon surnom… « Et pas de connexion internet non plus je suppose. En tout cas tu as du bien t’amuser .. Tant mieux pour toi ! et donne moi une bonne raison dans ce cas ! » Il hésita quelques instant puis reprit la parole. « Parce qu’on se connait depuis qu’on à Cinq ans, parce qu’on sait très bien l’un que l’autre qu’on ne peut avancer dans la vie sans l’autre, parce que tu es mon oxygène, ma meilleure amie, la plus belle de toute, la plus chiante aussi mais la meilleure, parce qu’on s’est toujours promis de rester ensemble, tu te rappel quand la maitresse nous lisait une histoire et tu m’avais dis à l’oreille de me promettre qu’on resterait toujours ensemble, je t’ai dis promis et je t’avais retourné cette promesse et tu me l’avais promis aussi. Je tiens à cette promesse comme je tiens à toi Marianne. Je t’adore, je t’admire, mais pire, je … je t’aime comme jamais. » Pendant quelques instants, je sentais mes larmes monter, il m’avait tellement manqué, lui, ses paroles, son parfum, lui tout entier. Une larme coula sur ma joue, le regardant je ne disais aucun mots. Je le regardais s’approcher de moi et déposer timidement ses lèvres sur les miennes. Je me sentais bien, surement la plus heureuse de toute. C’était mon meilleur ami, mais maintenant mon petit ami. Je ne comptais pas le perdre et lui ne comptait pas me perdre. Ce fut le premier garçon avec qui je fis ma première fois, ma deuxième fois aussi et puis toutes les autres. On était très complice et amoureux, comme jamais.
Chapitre III • La vie en rose… ou noir.
Voilà deux ans qu’avec Brian nous formons un couple. Impossible de me dire qu’entre lui et moi il y a une fin, je suis tellement bien que pour rien au monde je le quitterais. On obtient ensemble notre diplôme, et décidons de prendre des vacances ensemble. Moi qui pensais que c’était une excellente idée, j’étais loin de me penser que ce n’était pas réellement aussi génial que je l’aurais pensé. On avait loué une chambre dans un petit hotel, à Miami, près de la plage, avec le soleil et l’eau bleue pour une semaine entière. Les premiers jours furent fabuleux, mais alors que nous étions tranquillement allongés dans le sable, il se penchait vers moi pour prendre la parole doucement. « Marianne faut que je te parle » Aiie sa sentait pas bon, mais pas bon du tout. Déjà il m’appelait pas mon prénom et pas par un petit surnom amoureux ou le surnom qu’il m’avait donné, et en plus de sa il voulait parler. Je me redressais, le regardant, le questionnant du regard, vraiment inquiète. « Qu’est ce qui se passe ? Tu m’inquiètes Brian. Tu veux plus resté avec moi … Pourtant on est bien ensemble non ? … Répond qu’est ce qui se passe ? » Il attendait quelques secondes avant de répondre, mon cœur battait vite, si vite que je pensais qu’il allait sortir de ma poitrine. « Arrête, je suis très bien avec toi et je n’ai absolument pas envi de te quitter … mais, je ne t’en ai jamais parler pour ne pas que tu t’inquiètes mais j’ai une malformation du cœur. Ca fait des années que je suis sur une liste d’attendre pour une greffe et ils viennent d’appeler pour me dire qu’il avait enfin trouver quelqu’un pour une greffe. Je dois rentré maintenant… Mais l’intervention est vraiment très dangereuse, je ne pourrais surement pas, m’en sortir. » « Oooh … Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ? … Bref, va y, je ne te retiens pas, c’est ta vie qui est en jeu et je tiens énormément à toi alors prend le premier avion et retourne à New-York. Sache juste une chose, quoiqu’il arrive, je veux que tu saches que je t’aime et je t’aimerais toute ma vie. L’idée de te perdre à jamais me fait vraiment peur, je ne le supporterais surement pas, alors bats toi ! tu n’as pas le droit de me laisser seule ! Tu as compris Brian, tu n’as pas le droit !! » Dis-je en fondant en larmes, le frappant légèrement sur le torse. Il me prit dans ses bras, pleurant lui aussi, me murmurant alors quelques mots. « Je t’aime tellement Mary’ .. Promis je me battrais .. pour toi, mais promet moi de continuer à vivre, de vivre sans oublier ce qu’on a pu vivre, d’être heureuse et de continuer à penser à moi. Si sa se passe mal, croit moi que je ne te lacherais pas, je serais avec toi matin, midi, soir et toute la nuit. Je t’aime si tu savais. » Il prit le premier avion, qui était en fin d’après midi. Il m’avait demandé de ne pas le suivre, de continuer nos petites vacances. Continuer sans lui je n’en voyais pas l’intérêt. Je lui avais aussi dit de me tenir au courant, grâce à ses parents de l’intervention. J’attendais des mois et de mois, je m’inscris à l’université mais dans aucune envie d’étudier. Brian m’avait surement pas vécu, j’en pleurais matin, midi, soir et pendant toutes mes nuits dans mon petit appartement que mes parents m’avaient acheté pour mon diplôme. Je fus prise d’une envie soudaine. Je me dirigeais vers le premier tatoueur, décidant de me faire tatouer son nom sur l’aine, ensuite s’enchainait les tatouages, un symbole de force dans le cou, un poème fait par mes soins dans le dos, une tribal à l’intérieur du poignet, une étoile de mer sur la cheville gauche. Bien que ce n’était pas très sexy pour une fille, bizarrement j’attirais encore énormément de garçons. Je me mis à étudier la bio-molécule, quelque chose qui m’attire énormément, je deviens pom pom girl, m’amuse avec les hommes et décide de ne pas m’accrocher. Je n’avais en aucun cas envie de remplacer Brian…
Ma vie est la mienne, j’en apprécie les bons moment, déteste les mauvais. J’avance en regardant devant à présent, repense au passé avec quelques larmes le long de mes joues… Ainsi va la vie.
Behind the computer
Prénom:Lauriie Âge :Pas encore majeure Avatar choisi :Megan Fox Comment as-tu connu ce forum ? :Ca fait un moment que j'y passe &&. j'ai enfin décidé de m'y inscrire (aa) Ton avis (design, contexte, ...) :Vraiment très bien, le design est simple mais magnifique, la PA est vraiment très bien soignée, les Post Vacants sont très bien rédigés, Un forum magnifique ♥ Présence sur le forum :4/7 Autre(s) compte(s) :Non Exemple de RP :
Spoiler:
Sept heures moins le quart, voilà que mon réveil venait de sonner pour me prévenir de me lever. Bizarrement, en ce lundi matin, je n’avais pas eu besoin de ce fichu réveil pour me réveiller. J’avais pas passé une agréable nuit, me réveillant toutes les heures, changeant de position mais surtout impossible de me rendormir quand j’ouvris les yeux pour la première fois à six heures moins cinq. Ca fait donc un peu moins d’une heure que j’étais réveillée, mais toujours enfouie sous ma couette et allongée sur mon lit douillet. Pourquoi ce n’était pas mon habitude, si je pouvais dormir toute la journée je le pourrais et le réveil du Lundi matin était surement la plus dur pour moi, mais là ce n’était vraiment pas le cas. En début de Week end, j’étais sortit. L’une des meilleures façons pour fêter un week end tel qu’il se doit, du moins pour ma part. Mais hélas sa n’avait pas été le meilleur de tous, après une prise de tête monumentale avec Matthew au Night Club. Une fois chez moi j’avais découvert une partie du passée de Matthew, loin d’être très gaie. Sur le coup je ne savais que penser de ce qu’il venait de me dire, mais comme l’expression nous le dit.. « La nuit porte conseil » et là, elle m’avait bien fait réfléchir. Les paroles de Matthew repassaient en boucle dans ma tête, et je pris enfin conscience de ses paroles.
Je me levais de mauvaise humeur, comme d’habitude mais là c’était loin d’être pour la même raison. Direction d’abord la douche, ou j’y restée au moins une demie heure, histoire de vider ma tête bien que ce n’était vraiment possible. Une fois en dehors de ma douche et de l’eau chaude, j’enfilais une robe légère –apercevant avant le soleil qui commençait à se levé dehors-, j’enroulai ma taille d’une ceinture qui allait parfaitement avec ma robe, je me chaussai avec des chaussures à talons achetés il y a même pas une semaine, j’enfilais une petite veste au cas où qu’il fasse frais en sortant. Après avoir remplis mon sac de cahiers et de livre en tous genre, je me dirigeais vers ma cuisine, prenant mes clefs, un croissant puis sortit de chez moi vers la demie. Je ne comptais pas prendre ma voiture, j’avais envie de prendre l’air et encore une fois essayée de chasser cette histoire de ma tête … bien que je me connaissais, je n’y arriverai pas, mais l’espoir fait vivre-. Après une bonne dizaine de minutes, je me retrouvais en face de ce grand bâtiment, New Heaven qui commençait à être bondés d’étudiants plus ou moins motivés, se racontant leur week end ou encore leur dernier sac Delorme qui vient de sortir. Je souris légèrement en rentrant dans l’enceinte de l’établissement, restant avec quelques « amis » pour ensuite regagner mon casier pour y poser tous mes livres inutiles pour l’instant et prenant que ceux dont j’avais besoin pour la matinée.
Après deux bonnes heures de langue suivit d’une heure d’histoire, mon cerveau commençait déjà à saturé. Heureusement, l’heure du déjeuner était arrivée. Rien de bien intéressant à la cafet’, c’est donc pour cela que j’y restais à peine dix minutes et puis le bruit autour de moi commençait à m’énerver encore plus. Je posais mon plateau sur le tapis fait pour puis sortit seule de la cafet’, soufflant une fois au calme dehors. J’avais encore une heure devant moi, alors je me dirigeais une nouvelle fois vers mon casier, y prenant un livre que j’avais commencé la veille et qui me captivait, décidant de lire la suite. Je le mis dans mon sac et fermait mon casier. Voilà qu’au moment ou je me tourne, je le vis qu’à quelques mètres de moi. J’ai vite perdu le petit sourire à l’idée de pouvoir lire tranquillement dehors, allongée sur l’herbe. Ma colère reprit le dessus à une allure phénoménale. Que m’avait il fait ? J’avais juste assez réfléchit pour comprendre ses paroles. S’il s’était intéressé à moi, c’était purement et simplement parce que je ressemblais un minimum à sa Mélanie et pas parce que moi, Chelsea, l’intéressait. En clair il se fichait de l’être que je pouvais être, du moment qu’il revoyait sa chère et tendre, sa défunte Fiancée. J’appréciais moyennement qu’on se serve de moi et je comptais bien le lui faire comprendre. Lui lançant un regard méchant, je m’avais vers lui et d’un geste rapide, ma main termina sur sa joue, venant le gifler assez fort que les quelques personnes qui étaient encore présentes dans le couloir se retournèrent vers nous, rigolant presque pour quelqu’un, alors que d’autres étaient surpris. Peut importe, en même pas quelques secondes, je me retrouvais dehors, face à Matthew qui avait surement perdu sa bonne humeur, je pouvais même dire qu’il était furieux.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Marianne K. Anderson le Dim 3 Avr - 14:20, édité 7 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Marianne Karen Anderson • Mer 30 Mar - 17:32
Bienvenue ici
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Marianne Karen Anderson • Mer 30 Mar - 17:49
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.