Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Playboys
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"il ne faut pas avoir peur du bonheur, c'est seulement un bon moment à passer" de Romain Gary
Signe(s) Particulier(s)
"Des tatouages, des piercings, et puis quoi encore, je ne suis pas un voyou moi ! Enfin si, j'ai une cicatrice, j'étais jeune et insouciant, j'avais un peu abusé de la boisson, j'ai sauté du premier étage mais je n'avais pas vraiment les capacités de me réceptionner. Résultat, un belle cicatrice au niveau du genou gauche.
Orientation Sexuelle
"Moi j'suis un mec, un vrai, un qui aime les femmes ! Les homosexuels ne me dérangent pas tant qu'il ne s'en prenne pas à moi. Moi ? Vieux jeu ? Et alors...
Andrea Holden Rose
Physique & Caractère
Apparence & Style: "La classe, c'est quelque chose qui ne se commande pas, soit tu l'as, soit tu ne l'as pas, c'est inné. En l’occurrence, moi je l'ai. Je ne m'en plains pas, ça m'a pas mal servi tout au long de ma vie. Vous voyez, j'suis un peu le genre de mec qui, peu importe ce qu'il mettra comme fringues -même les plus ringardes- aura toujours du style. Mais c'est un état d'esprit à adopter, parce que malgré tout, il faut quand même prendre soin de soi et de son corps. Je suis pourtant quelqu'un d'assez classique, un brun d'un mètre quatre-vingt, qui s'habille la plupart du temps avec un jean, une chemise ou un t-shirt et des baskets. Rien de très extravaguant, c'est juste une question de charisme, de prestance, d'aura, allez, ne sois pas jaloux, peut être qu'un jour, avec de l'entraînement, tu seras aussi classe que moi, ou pas."
Caractère: "Franc et honnête ? Je le suis. Tous les 29 février. A quoi bon prendre des risques en disant la vérité, alors qu'il est si facile de mentir et de donner aux gens la réponse qu'ils attendent. C'est vrai quoi, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. En fait, très peu le sont, lorsqu'on dit la vérité, on prend des reproches. Lorsque l'on ment aussi, encore faut-il se faire prendre. Alors j'ai rapidement choisi mon camp. Vous en voulez plus ? Ca ne me dérange pas, j'adore parler de moi. C'est vrai quoi, j'ai beau chercher, je ne vois pas vraiment de sujet plus intéressant, mis à part le sexe peut-être. Et encore, dans ce domaine, mieux vaut agir que parler. Ah, autre chose à savoir sur moi, "j'aime faire chier les gens, ça me purifie, c'est important", c'est un de mes passes temps préférés. Je suis plus ou moins gentil si j'aime la personne ou si je ne peux pas l'encadrer. Dans le dernier cas, sa vie, j'en fais un enfer, tout simplement. Parler de choses plus sérieuses ? D'accord. L'amour ? Une simple réaction chimique qui dure trois ans au maximum. Alors franchement, autant ne pas s'emmerder avec ça et profiter de la vie, profiter de sa jeunesse pour aller voir ce qui se cache chez les voisines. On aura tout le temps de se poser quand on sera vieux. Metro, boulot, dodo... Pavillon, une femme, deux enfants, un chien... Avoir un compteur qui affiche plus de 200km/h et ne jamais dépasser les 60... Tout ça, très peu pour moi, j'ai toute la vie devant moi, alors pour le moment j'en profite à faire la fête et à ne rien prendre au sérieux. Tout est tellement triste et sombre lorsque l'on prend les choses au sérieux...
L'histoire
Il y a vingt-cinq ans de cela, j’suis né dans une famille modeste de l’autre côté du pacifique, pas au Japon, mais belle et bien en Australie. La vie n’était pas forcément facile, mais elle était vraie. Dans ma famille, on savait que l’on pouvait compter les uns sur les autres. Mon enfance était plutôt tranquille, j’avais une bande de copains, une meilleure amie qui de temps à autre devenait ma chérie. Bref un environnement tout ce qu’il y a de plus banals, on jouait, on s’amusait, on était jeunes et insouciants, on profitait de notre enfance, la plus belle période de la vie humaine selon moi. Puis on grandit, on troc les jouets contre les sorties, les petites bêtises deviennent de grosses conneries, et on dévie peu à peu du chemin tracé par papa et maman. On se fait engueuler, on proteste, on prend des raclés… C’était le début de l’adolescence, a 13 ans, j’étais ce qu’on appelle un pré-ado, bien qu’à l’époque je me considérais comme un ado, je voulais être un grand, faire comme les grands, comme à peu près tous les gamins de mon âge. Mais tout ce qui se passait ce n’était rien de bien méchant, des heures de colles, un renvoie temporaire, pour moi ce n’était rien, de toute façon je ne voulais pas faire de longues études, alors mon dossier, j’en avais rien à foutre… Mais les petites conneries en entraînant de grosses, mes mauvaises fréquentations me firent définitivement dévier du droit chemin. Seize ans, quatre jeunes qui veulent s’amuser, avoir des sensations fortes. Un parking, une voiture tape à l’œil… Il n’en fallait pas plus pour deviner ce qu’on allait faire ce soir-là. Une effraction facile, des petites pointes de vitesse, des flics qui partent en course poursuite, une vitesse de plus en plus importante, un virage, un arbre, deux morts sur quatre. Je finis la soirée à l’hôpital, je n’avais que des blessures superficielles, mais le traumatisme lui, était bien là, j’avais perdu deux amis, j’avais désormais un casier judiciaire. Le jugement fût plutôt clément envers moi, ce que j’avais fait n’était apparemment pas assez grave pour aller en prison pour mineurs, j’avais eu le droit aux TIG et à deux années passées en maison de correction. Là, c’était l’horreur, ça se battait dans tous les sens, les coups bas faisaient parties du quotidien. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à devenir le manipulateur que je suis aujourd’hui, c’était le seul moyen de m’en sortir, je devais jouer intelligemment, physiquement ce n’était même pas la peine d’y penser, je n’avais aucune chance, il faut dire que j’étais bien gringalet à l’époque. Une fois ces deux années de corvée écoulées, je décidai de prendre un nouveau départ. Un nouveau départ loin de la terre où j’avais vu mes amis mourir devant mes yeux, partir loin pour oublier, oublier que je les aimais.
J’avais 18 ans, et j’arrivais sur le sol américain, ici, tout était plus grand, tout était disproportionné, c’était un peu comme dans les films… D’un autre côté, je me trouvais à Los Angeles, la ville du film par excellence, ceci expliquait peut être cela. Je n’avais aucun diplôme, donc je faisais des petits boulots ici et là, à droite, à gauche. J’eus tout de même un peu de chance puisque les australiens étaient apparemment bien accueillis aux Etats-Unis, je n’eus aucun problème administratif pour avoir mes papiers et les gens n’avaient apparemment pas trop de préjugés sur moi. Après trois ans de galère à Los Angeles à enchainer les boulots merdiques et instables, je décidai de partir pour la grosse pomme. Quel idiot je faisais, une fois arrivé là-bas, c’était la même rengaine qu’en Californie je n’avais aucun diplôme, pourquoi des entreprises m’auraient fait confiance pour un poste un peu plus prestigieux. J’étais technicien de surface au Kaufman Studio. Ce que j’ignorais à l’époque, c’est que j’allais rester un p’tit moment dans cette boîte. Un jour, je lus une annonce de la direction des émissions sur un mur, le chroniqueur humoristique n’avait pas le temps de rédiger ses sketchs pendant une semaine, et la direction demandait aux volontaires de fournir des textes qui pourraient être choisi pour l’émission. N’ayant pas grand-chose à faire une fois sorti du boulot, je tentai ma chance. Et ce fût un coup gagnant, le chroniqueur avait été conquis par mon texte, il demanda à son supérieur de m’embaucher pour composer les textes avec lui. Ca gagnait plus, c’était intéressant et je commençais à voir des personnes plus importantes. Au fur et à mesure, je gravis les échelons, jusqu’à arriver à l’antenne, d’abord en chroniqueur, puis désormais en tant qu’animateur. J’avais une gueule sympa qui passait bien, un accent australien qui faisait apparemment et qui permettait de remplir le quota d’étranger de la chaîne, et puis je faisais rire. Pour résumer, je n’étais pas si mauvais que ça, et je ne le suis apparemment toujours pas, puisque que j’occupe aujourd’hui toujours ce poste. Le plus, c’est que je commence à acquérir un peu de notoriété, et avec les filles, c’est quelque chose d’efficace. Ben oui, pour elles, télé = argent, donc elles essaient de tirer le gros lot… Ce qu’elles ignorent, c’est que moi, je veux justement uniquement les tirer, il n’y a pas à dire, c’est une bonne couverture.
Behind the computer
Prénom:C. Âge : 19ans Avatar choisi : Adam Brody Comment as-tu connu ce forum ? : de réputation et puis je connais quelques personnes ici Ton avis (design, contexte, ...) : j'aime beaucoup, que ce soit le design, ou le contexte, sinon je ne serai pas là (a) Présence sur le forum : en ce moment c'est un peu en dents de scie, mais en période normale, j'peux passer tous les jours Autre(s) compte(s) : nope Exemple de RP :
Spoiler:
Les choses étaient définitivement différentes, c’était fini, probablement à jamais. Je l’avais perdu il y a bien longtemps de cela, et mon égo venait de réduire à l’état de poussière l’infime chance qu’il me restait de la voir revenir vers moi un jour. J’étais un con, je l’avais toujours été, trop fier, à toujours vouloir avoir le dernier mot, mais depuis quelques temps je l’étais plus encore. Peut-être que Drew avait dit vrai après tout, peut-être que cette rentrée d’argent soudaine, cet héritage sorti de nulle part m’avait métamorphosé. Mais il n’en restait pas pour le moins l’être le plus abject que je connaisse sur cette foutue planète partant en vrille. Il est vrai que désormais je n’avais plus à dealer et par conséquent, à jouer un double jeu, je n’avais plus à rester ce garçon réservé, qui ne laissait rien paraitre. Non tout ça c’était fini, désormais j’extériorisais, j’avais quelque chose sur le cœur, je le disais, et ce, sans scrupules. Alors oui j’avais changé, mais je m’étais libéré, épanoui, chose que j’attendais depuis longtemps. C’en était fini du gentil Matt’ qui n’haussait jamais le ton, j’étais enfin moi-même et si cela ne plaisait pas, c’était pareil. Mais ce que je venais de faire là… Je m’en voulais déjà, comment pouvais-je être aussi borné ?! J’aurai pu être courtois pour une fois, lui montrer que j’étais heureux de la revoir. Car oui… c’était bel et bien le cas, elle m’avait manqué, et la revoir là, avec sa guitare m’avait transporté de joie… avant que la rancœur n’envahisse mon cœur. Je n’avais jamais été un spécialiste des relations, Reagan étant la seule avec qui j’étais resté longtemps, et je n’étais encore moins un professionnel des retrouvailles… Après les retrouvailles gâchées à Paris avec Cathaleen, j’étais désormais en train de pourrir celles avec Reagan, sans même lui laisser la moindre chance. A croire que j’éprouvais inévitablement de la rancœur pour les femmes qui avaient joué un rôle important dans le passé, puis, qui m’avait abandonné, en ayant conscience ou non… S’ajoutait bien évidemment à cette liste, ma mère et mon frère… Mon frère, celui qui était tout pour moi, qui était mon modèle, mon meilleur ami, mon confident, celui qui m’avait abandonné pendant huit années, huit longues années, quatre-vingt-seize mois, quatre cents seize semaines, deux mille neuf cent vingt-deux jours… Tant de chiffres, tant de temps à l’attendre, pour finalement laisser place à de la rancœur, puis à de l’indifférence. Je n’avais plus envie d’aimer, plus envie de tenir à mes proches, plus envie de lutter, plus envie de souffrir, plus envie d’être abandonné, plus envie de tout ça, qu’on me laisse en paix, qu’on m’aime et reste à mes côtés à tout jamais où que l’on ne m’approche pas…
Alors qu’elle s’était retournée dès ma première insulte, Reagan fit enfin volte-face. Mon cœur s’arrête alors de battre le temps de quelques secondes… son visage… Je ne contrôlais pas ce qu’il m’arrivait, j’avais définitivement envie de la sentir contre moi. Mais que faire ? La prendre dans mes bras ? Après ce que je venais de lui ça n’allait sûrement pas être aussi facile que ça. M’excuser et montrer alors mes faiblesses, pour qu’elle me fasse ramper avant de me pardonner – si cela arrivait – un jour ? Non, il en était hors de question, même en émettant l’hypothèse que je pouvais mettre ma fierté de côté, cela était bien trop me demander. Alors que faire ? Continuer de jouer le connard égocentrique arrogant et balayer d’un coup d’un seul les moindres chances qu’elle me pardonne ce comportement ? Non ce n’était vraiment pas ce que je voulais… A vrai dire, j’ignorais totalement ce que je voulais, elle était l’objet de mon désir mais également celui de ma colère, celle avec qui l’ascenseur émotionnel était mon moyen de locomotion, celle qui me faisait tourner la tête, celle pour qui je prenais tout trop à cœur… « Bonjour à toi aussi Matthew » Bonjour ? C’était tout ce qu’elle trouvait à dire ? Je venais de l’insulter et elle me répondait bonjour ?! Il n’y avait probablement pas pire réaction, elle venait de faire ressurgir la colère en moi, je m’attendais à tout, à des insultes, à des peu probables excuses, à tout, sauf à ça. Je n’avais pas prédit cette indifférence qui avait eu en moins l’effet d’un pieu en plein cœur. J’étais déjà vulnérable à chacune de ses paroles autrefois, et cela n’avait apparemment pas changé, les mots les plus simples, sortant de sa bouche me foudroyaient. « Je vois qu'il n'y a pas que pour mon batteur qu'on ne change pas les bonnes habitudes. Tu n'as pas changé. […] Allons-y, reprenons les choses où nous les avons laissés, je t'en prie » Et elle se permettait de sourire, what a bitch ! Mon regard était à présent moins froid, se mêlait un peu de nostalgie à tout ce mépris que je lui balançais. Après tout, nous étions habitués des disputes, elles se finissaient généralement par de très bonnes réconciliation, l’essence même des disputes était peut être là, s’engueuler pour mieux se retrouver… Sauf que cette fois, tout comme la dernière fois, ça ne se terminerai pas de cette manière. Pour la deuxième fois, elle me quittera, mettant court à ces gamineries, et une nouvelle fois, je m’en mordrai les doigts, je subirai les douloureuses conséquences de mes actes. Je n’étais désormais plus accoudé à l’encadré de la porte, j’avais croisé les bras, ce que tout professionnel du langage corporel vous traduirai comme un refus à la conversation. Ce qui, là n’était pas le cas, j’avais envie de faire durer ce moment aussi longtemps que possible, peu importe qu’il soit douloureux ou non, sa seule présence me comblait… Ces bras croisés ne signifiaient qu’une chose, ils étaient une sorte de bouclier, car j’avais peur, peur de souffrir… L’Homme n’est pas et ne sera jamais une science exacte. « Et ça te faire rire franchement ? Tu trompes quelqu’un, tu te barres pendant un an – avec la personne avec qui tu l’as trompé soit dit en passant – et la seule chose que tu trouves à faire quand tu le revoies, c’est rigoler ? Sérieusement ?! T’as vraiment perdu tout le peu de respect que tu pouvais avoir. Donc ce qu’on dit est vrai… la célébrité rend bel et bien con… » Je m’étais emporté, une fois de plus, tant pis, le mal était fait… Je me mordais la lèvre pour ne pas l’insulter une nouvelle fois, je devais rester calme, ce n’était pas en l’insultant que je gagnerai cette guerre des nerfs, bien au contraire… « Fais la sourde oreille autant que tu veux Matt, je t'ai toujours dit la vérité. Continue de croire ce que tu préfères croire... […] Ça n'est plus mon problème. » Elle venait de m’achever… Ce n’était plus son problème, elle n’en avait plus rien à faire de moi, elle avait tourné la page pendant que moi, depuis une année je galérais pour l’oublier, je n’y arrivais tout simplement pas, elle faisait partie de moi, je lui avais donné mon cœur et elle l’avait torturé, blessé, des blessures dont on se souvient toute sa vie, ces blessures qui ne cessent de vous lancer, vous rappelant à chaque instant la douleur que provoque la trahison, l’abandon… « Ouais, ce n’est plus ton problème, tu as toujours préféré les fuir les problèmes de toute façon… En partant pendant un an par exemple… » Je marquai une pose pour prendre mon inspiration, garder le ton le plus calme possible, montrer ma sincérité. « La vérité ? Alors que le mec m’a dit de vive voix que tu m’avais trompé avec lui ? Je t’aurai bien cru, mais si tout cela n’était que mensonges comme tu le prétends, comment dans ce cas-là as-tu pu partir avec lui pendant un an ? Ce même mec qui venait de briser notre couple, tu as passé toute l’année en sa compagnie ! Alors dans de telles conditions, dis-moi comment je peux te croire, dis-moi… Toute cette rancœur et cette animosité qu’il y avait en moi s’étaient peu à peu évaporées, laissant place à des regrets, de la sincérité, et la sensation que les larmes n’allaient pas tarder à me monter aux yeux. Putain merde, j’étais un mec, je ne devais pas pleurer, surtout qu’elle en profiterait pour me torturer, une fois de plus… Je m’avançai désormais près du piano sur lequel elle avait pris appui, j’avais comme un besoin irrépressible de sentir sa présence, alors que cela allait me mener à une souffrance déraisonnable, quasi inévitable. L’amour a ses raisons que la raison ignore… Pris d’un élan de sincérité, je lui racontai ce que je n’avais jamais dit à personne. Quand tu es parti, tout s’est écroulé autour de moi, tout, je n’ai jamais cessé de penser à toi pendant toute cette année. Tu m’as blessé bien plus que je ne pouvais l’admettre, je t’aimais, je t’aimais plus que je ne m’aimais moi-même, et te voir partir, ça m’a anéanti, tu m’as anéanti. Alors te voir rire de la situation aujourd’hui… ça me tue. »
Je ravalais les quelques sanglots qui avaient pris place au fond de ma gorge, serrais les dents, repensant à tous ces moments que nous avions passés ensemble… Ca me manquait, elle me manquait… Pendant une année j’avais essayé de l’oublier, notamment en allant voir des autres filles, mais rien ne faisait, je ne pouvais pas avoir de relations sérieuses, mon cœur était déjà occupé… occupé et réduit en miettes, malheureusement, j’avais beau attendre, elle ne venait pas recoller les morceaux… Ce cœur autrefois rempli d’amour avait durci, laissant place à un cœur de pierre, dénué de tout sentiment… en apparence du moins. Mon regard posé sur les touches du piano, je remontai enfin la tête pour croiser son regard, ce regard azur qui me manquait temps… Je l’aimais pour ce qu’elle était, mais je la haïssais pour ce qu’elle avait fait. Moi qui avait pour habitude de toujours contrôler le moindre de mes gestes, en sa présence cette aptitude m’était ôtée, j’étais sans repères, vulnérable, à sa merci…
Code du règlement :
Spoiler:
Statue of Liberty
Dernière édition par Andrea H. Rose le Dim 24 Avr - 20:40, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 3:53
Moi j'y crois & au prince charmant et
Bienvenue ici Si t'as la moindre question toussa n'hésite pas, encore une fois DADAM et la CB est open aussi
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 3:57
Moi j'crois aux coups de pied. :red:
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 11:16
Adaaaaam. très bon choix d'avatar. Bienvenue.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 11:43
Welc'
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 14:01
Le réveil de Serena, attention Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 14:02
Bienvenue bon choix d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 14:10
bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 14:21
Welcome dude
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 14:22
Hope A. Kylinson a écrit:
Le réveil de Serena, attention Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Dans mon monde a moi il y a des poneys & des princes charmants, ils mangent des arc-en-ciel, épousent les princesses & font des cacas papillons
Et pour "flooder" utile code bon que j'édite donc
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 15:39
GOD ADAM Welcome in NYCL ♥
Citation :
Serena elle vit dans le monde des BISOUNOURS :moumou:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 20:38
Merci à tous
K. tu veux que je sois ton prince charmant ?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Dim 24 Avr - 20:49
Validé !
Brianna les bisounours sont moches, je préfère cent fois plus les teletubbies Non mais faut savoir il existe ou il existe pas si t'arrives à me prouver que tu peux l'être Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve. Jeu 28 Avr - 22:31
Excellent choix d'avatar Bienvenue sur NYCL (a)
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Sujet: Re: Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve.
Tu crois au coup de foudre ? Ouais. Naïve.
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