Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous
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Sujet: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 17:58
< Jimmy >
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des PLAYBOYS
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"c'est le premier baiser qui donne l'ivresse la plus douce." de Nikolaus Lenau.
Signe(s) Particulier(s)
Il possède en effet le tatouage d'un serpent crachant une flamme sur son épaule droite, au niveau du dos. Il est la représentation apparente de ce qu'il est, pour lui, à l'intérieur. De plus, un autre tatouage en forme de deux plumes sur son muscle au bras droit. Sa symbolique est un mystère pour son entourage.
Orientation Sexuelle
Il se montre hétérosexuel et n'a jamais songé à avoir des rapports physiques avec des hommes jusqu'à une soirée arrosée. Du côté des femmes, il adore en voir défiler, c'est comme un chocolat pour lui, et dieu seul sait combien il aime cela. Concernant les hommes, si l'occasion se présente et que l'homme est plaisant, il n'y voit aucune objection, même s'il préfère largement coucher avec une femme.
Ethanaël Alessio Bertolucci
Behind the computer
Prénom: Jimmy (won't you please come home... ) Âge: 17 ans, 2 d'après certains. Avatar choisi: Zac Efron, après avoir validé Iwan Rehon jusqu'aux changements de PV sur le forum, laissant Zac Efron comme avatar libre Comment as-tu connu ce forum ?: Obsession. Ton avis (design, contexte, ...): Horrible, c'est une torture de s'inscrire Présence sur le forum: Trop souvent... Autre(s) compte(s): Aucun, et certainement pas Hope Kylinson Exemple de RP:
Spoiler:
Me rappelant soudainement des derniers cours avec cette peau de vache, une grimace presque de dégoût vint s'afficher sur mon si angélique visage. Je rêvais également qu'elle se fasse virer, j'étais pratiquement partante pour lui casser la jambe à l'aide d'un coup de pied dans le mollet, mais ma douceur, ou bien la peur d'être renvoyée, m'empêchait de commettre un tel acte. Et plus j'allais en cours, même si j'aimais cela, plus je me rendais compte que ce futur métier était particulièrement étrange, atypique, et complètement opposé aux idées que nous nous faisons étant enfant. Je ne savais pas si je voulais continuer sur cette voie, mais une chose était sure: j'aimais ce que je faisais, une belle passion.
Retour à nous deux, et là, grosse panique chez la brune. Ma pauvre Dylan semblait perdue par mes dires, pourtant assez simples à comprendre. Non mais il était simplement mal-à-l'aise de se retrouver seul hétérosexuel dans cette boite de gays, et c'était mignon de le voir comme un enfant, c'est tout déclairai-je en roulant des yeux. Elle semblait perplexe, et sans doute en pleine réflexion. Je tentais de ne pas y prêter trop attention. Peut-être aurai-je du ?! En tout cas, c'était à son tour de s'expliquer, et ces propos ne me satisfirent pas. Ma belle brune avait cet air détaché, comme si répondre à la question superficiellement suffisait, mais pas pour moi. Me faisais-je des idées ? Sans doute, puisque j'avais ce côté assez paranoïaque, il faut dire que trop de gens dans mon milieu se révèlent fourbes et superficiels que l'on finit par se méfier quand un ami annonce que les patates étaient trop froides à la cantine... Parce qu'on soupçonne qu'il sort pour coucher avec la meilleure amie de sa copine. C'était un peu l'ambiance des couloirs par moments, souvent lors des périodes d'examens, avec ce stresse, les rumeurs et les rancoeurs finissent par imploser, puis exploser. Quel beau feu d'artifices ?!
Rien qui ne mérite plus d'attention ? Dommage... En tout cas, j'espère que tu trouveras quelqu'un, enfin, tu ne peux pas rester seule. Un fin sourire, un clin d'oeil: emballé, c'est pesé. Je me disais qu'elle devait se remettre en question sur l'amour, cela est fréquent. Beaucoup de gens se posent des questions sur les nanas populaires qui sont célibataires, soit elles sont volatiles, soit elles couchent avec le copain d'une de leur amis, soit elles aiment leur meilleur ami... Des choses extravagantes, abracadabrantesques mais au final, pas forcément fausses. Pour ma part, il n'y avait rien à dire, et la seule catégorie à laquelle je pouvais postuler serait: ne dira rien, et vas te faire voir sale fouine. En autre, l’hôpital se fout de la charité, et en plus, il lui balance des pierres en plein visage.
En parlant de pierres, celles qui constituent le sol fait de béton donnaient parfois du fil à retordre pour marcher, surtout en talons, comme allait me prouver Dylan. La pauvre lâchai un bref cri, et sans que je ne puisse ouvrir la bouche, je reçu sur ma personne tout un poids, bien que moindre, en pleine face. Je me retrouvai donc les quatre fers en l'air, une brune sur le dos, et la poussière dans les yeux. Une fois relevée, je souris en arrivant parfaitement à contrôler un rire qui semblait vouloir s'échapper du fond de ma gorge. Attends, je prévois toujours ce genre d'accident depuis que cela m'est arrivé il y a quelques années. Farfouillant dans mon sac, et après quelques secondes de combat acharnés à fourgonner entre mes livres et mes classeurs, je finis par sortir une pair de chaussures et de les tendre à ma chère amie. Nous faisons la même pointure alors, t'en fais pas, et... Pas de merci. Après lui avoir adressé un clin d'oeil, j'ouvris grands mes yeux comme pour lui intimer l'ordre de les enfiler. L'épisode du déséquilibre passa à la trappe, et le quotidien vint reprendre du service.
Frissonnant comme par désintérêt, la blonde que je suis souffla en direction de son crâne, la bouche déformée et prenant la forme d'une espèce de cheminée, laissant donc l'air s'évader au cieux plus facilement, et rencontrant l'obstacle qu'est ma mèche si bien coiffée. L'amour est un putain de poison, et quand tu ne l'as pas, tu as la poisse... Ou les affamés sexuels qui demandent juste un morceau de viande fraîche ! Diable que ce sentiment m'horripilait, bien évidemment que je voulais le ressentir, mais je m'en sentais presque incapable tellement je m'étais aveuglée de barrière pour le protéger, jamais je ne regardai au fond de lui afin de lui soutirer quelques informations. Le vent emportait mes cheveux à son tour, et les faisait couler le long de mes épaules, mon regard se complétant avec lui, aussi vide et désireux de s'envoler plus loin. Oh, et Joshua qui ne donne plus trop de nouvelles, et Chloé qui est portée disparu...
Je voulais éviter cette discussion, mais je devais avouer que la situation ma préoccupait. Chloé était le genre de fille à aimer sécher les cours, mais là, j'avais comme l'impression qu'elle avait disparu, puisqu'aucun de ses amis proches, comme moi, n'avaient eu de nouvelles. Et je me faisais presque un sang d'encre, que je dissimulais derrière ce fin espoir qu'elle aille bien. Enfin, passons, elle doit encore être en train de prendre du bon temps dans la quartier voisin, rien de bien méchant. Tourné délicatement vers le sien, mon visage s'opposa au sien, les formes contraires se firent face comme pour une première rencontre. Tu ne m'as jamais encore parlé de ta famille, enfin, rapidement, mais vu que l'on a le temps... Enfin, si tu veux bien m'en parler, ce serait... Amusant ?! Non pas que Dylan et moi parlions de rien, puisque côté sentimental, nous nous livrions plutôt biens, et concernant les cours, les rumeurs, nous n'étions pas les dernières à échanger, mais creuser plus profond dans l'âme de l'autre n'avait pas été encore de mise. Je redoutais sa réticence, car j'aurai voulu mieux la connaitre, je voulais mieux la connaitre. Mais était-ce le bon moment ?
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OKAY BY SERENA
Dernière édition par Ethanaël A. Bertolucci le Lun 25 Avr - 12:20, édité 4 fois
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 17:58
Physique & Caractère
Apparence & Style: Ethanael et son style ? Une grande histoire d’amour ? Rétablissons la vérité. Bien qu’il sache s’habiller convenablement, ayant l’air décontracté tout en étant habillé avec classe, le jeune homme ne prend pas énormément de temps pour se préparer, il y va à l’instinct et ce dernier lui rend toujours bien. Il a tout bonnement le sens de l’esthétisme, ce qui colle parfaitement avec son physique. Sur son 1m81, sa musculature plutôt développé et son imposante carrure, Ethanael pourrait passer pour un sportif en devenir. Certes il aime le football américain et la boxe, mais ceux-ci ne faisaient pas partie de ces passions, simplement de ces centres d’intérêts dans la catégorie « primordial ». Ses yeux bleus clairs, ses cheveux en pseudo bataille et son teint un peu pâle peuvent lui donner un air sombre et ténébreux qui plait assez, mais cadavérique lorsqu’il est souffrant. Comme beaucoup d’hommes, il a de grandes mains qu’il utilise pour caresser les objets matériels et du désir avec douceur. Il est très expressif, et communique plus par les le faciès que la parole. Il n’apporte pas d’importance à la perfection vestimentaire mais il l’adapte correctement à son physique, afin de le mettre à son plus bel avantage.
Caractère: Manipulateur serait un terme peut-être trop fort, mais calculateur certes. Le plus amusant est qu’il se montre parfois vrai, sauf que personne ne remarque lorsqu’il l’est. Vivre un jeu, c’est pour lui vivre la vie. Il fait ce qu’il veut, dans certaines mesures, cadré par plusieurs limites afin de vivre dans un petit paradis, en évitant de reposer sur le maximum de monde. Il peut paraitre isoler car il a peu d’amis véritables, et passe d’une bande à une autre sans se faire rejeter. Les gens l’apprécient surtout pour son charme, il est comme un centre d’intérêt pour les boys teams qui désirent draguer et flirter en soirée. Chercher l’amour, c’est comme regarder une rediffusion à 3h du matin d’une émission de pêche consacré au filet de morues: cette comparaison, c’est lui qui la pense. Il ne désire en aucun cas s’engager, mais il adore séduire et faire passer aux femmes un moment de pur plaisir pendant lequel leurs corps ne feront plus qu’un. Puisque les autres ne le connaissent pas vraiment, ils peuvent le trouver lunatique. C’est simplement parce qu’il intériorise beaucoup sauf quand on l’agresse verbalement ou physiquement. Pour le coup, il réagit au quart de tour, bien qu’il soit d’un naturel gentil et amical, en apparence. Il se montre donc bagarreur, et malheureusement, possessif concernant ses « victimes » car lorsqu’il veut une femme, il va tout tenter pour l’obtenir, qu’elle soit en couple, mariée ou non, ou que quelqu’un la désire également ou non. Il est donc particulièrement égoïste, et n’aime pas partager ce qui, au fond, lui est cher. Mais pour bien s’intégrer, il sait se montrer généreux et aimant. D’ailleurs, il l’est, aimant, concernant les rares amis qui connaissent ses différentes facettes. Mais sa confiance n’est pas aveuglée, un brin de méfiance plane toujours, quoiqu’il advienne. Ce qu’il aime également, c’est avoir de l’emprise sur quelqu’un, et pas forcément pour le faire chanter, mais juste pour le voir souffrir. Au fond, Ethanael a une facette sadique qui ressort de temps à autre, quand cela le touche ou quelques de ses proches. Mais concernant les autres qui n’ont rien avoir dans leur vie ou touchent des personnes avec qui il entretient une relation peu profonde, il peut s’en ficher, ou intervenir si la situation peut lui être profitable, bénéfique. Se faire bien voir est la chose qu’il sait faire le mieux, car il a tout les outils et ses les manier à la perfection. Mais tout ceci cache-t’il l’âme d’un garçon malheureux, triste, dépressif ou en colère ? Pas vraiment, malheureusement. Il ne sait pas pourquoi il est foncièrement méchant, il l’est et c’est tout ce qu’il sait. Son enfance et son adolescence sont des souvenirs positifs, et il n’a jamais souffert d’un manque d’amour. Seulement, le manque d’attention que ses parents lui ont porté étant enfant lui fait ressentir ce vide, cette absence d’amour qu’il ne peut combler et donc qui est la seule chose qu’il peut offrir véritablement: une apparence. Pour combler le tout, il a grandit avec les valeurs de ses parents soit toujours être dans le paraitre, protéger son moi intérieur et saisir n’importe quelles opportunités afin de gravir l’échelon social. Quant à la mort de sa soeur, il ne peut s'empêcher de négliger ce qu'il considère comme un fait passé alors qu'elle représentait la figure maternelle et amicale dont il avait besoin; sa disparition n'a fait qu'aggraver son attitude. On pourrait donc conclure que tout ceci n’est pas de sa faute, n’ayant pas connu autre que cette mentalité. Mais ne ressentant ni regrets, ni remords, ni peine, il se persuade que rien ni personne ne pourra l’aider à devenir un être bon, celui qu’il aimerait être du fond de son cœur. Car jouer est une passion, mais vivre cette passion est une utopie.
Dernière édition par Ethanaël A. Bertolucci le Dim 24 Avr - 18:38, édité 1 fois
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 17:58
L'histoire
"Chapitre 1: le début pour être logique"
« Whoa ?! Quel beau bébé ma darling ! On va l’appeler Ethanael. » Voilà comme la vie de monsieur commença, par une simple naissance des plus banales qui soit. Ce mardi 17 Juillet 1990, les parents du petit Ethanael avaient choisi de faire dans l’original, sans renier avec leurs goûts car il faut préciser que ces derniers sont de fermes conservateurs, des grands croyants chrétiens et paranoïaques mêmes. Ils optèrent donc pour ce prénom si rare, mélange d’Ethan, venant de l'hébreu et signifie "fort", "constant", "ferme" et de Nathanael, venant de "Aël", signifiant en breton "ange". Si nous suivons donc ce raisonnement, Ethanaël signifierait donc "l'ange fort". Que de complication et de recherches pour un prénom qu’ils faisaient mine de trouver sur le coup de l’émotion alors que cela faisait des mois qu’ils avaient prévu leur coup. Bien qu’ils soient en apparence distingués et en retrait, les parents de cet enfant étaient surtout manipulateurs et superficiels, tout devait passer par l’apparence, et s’ils croyaient en Dieu, ce n’était pas parce que c’était le cas, c’était tout simplement pour faire partie d’un groupe, et donc leur vie devait rimer avec le Seigneur. Bien entendu, il fallait s’immiscer dans leur quotidien pour se rendre compte que leur domicile n’avait pas l’air d’un lieu de culte, mais plutôt d’une mise en scène grotesque, puisque derrière les photos d’amour et de complicité se cachaient des disputes et des violences de couple. Alecia Rosemoore avait connu son futur mari dans une boite où elle pratiquait strip-tease afin de gagner suffisamment pour payer les frais de l’hôpital dans lequel sa mère était soignée. Son futur amant était un des clients, mais pas n’importe lequel, un fils d’une famille riche ayant hérité de l’argent de grands-parents fortunés. Italien charmant, il avait emménagé à San Francisco afin de mener une vie professionnelle plus plaisante. Et voilà qu’il rencontra cette charmante brune aux yeux noirs, véritablement, tel un chat. Il fut de suite subjugué et après quelques verres et paroles échangées, il lui fit arrêter son manège afin de se reconvertir en secrétaire pour une entreprise de téléphonie, sous des airs de catholiques pratiquantes. On peut donc résumer ce début de vie par la venue au monde d’un enfant au sein d’un duo de calculateurs dangereux et maniaques des apparences. On peut dire que pour un début, ce n’était vraiment pas de chance, mais la suite allait réserver quelques surprises légèrement pimentées.
"Chapitre 2: développement et maturation"
Encadré par une femme assez prise et un père trop souvent absent, le pauvre enfant fut élevé par deux nourrices qui alternaient selon les disponibilités de l’une et l’autre. Son éducation, par contre, était surveillée de près par sa mère, elle-même dirigée par le supérieur hiérarchique, Monsieur Bertolucci. Il grandit donc dans un environnement cadré mais qu’il avait du mal à comprendre, ne déterminant pas qui étaient ses deux femmes qu’ils voyaient souvent mais qui n’était ni « maman », ni même « papa ». Détail important et non moins intéressant est la naissance de sa jeune sœur, Rebecca et lui qui était, de sa naissance jusqu’à son entrée en primaire, sage, calme et obéissant changea rapidement. Lorsqu’il entra en 3ème année de son école, les choses changèrent. En plus de vouloir s’occuper de sa jeune sœur qui commençait à comprendre qu’elle était considérée comme une princesse, il devint turbulent, et même désagréable. Une véritable tête de mule était en train de naitre et contre toute attente, son père s’en réjouissait: il se retrouvait en lui, mais surtout son propre mentor et éducateur, son père à lui. Plus les années passaient, plus le brun s’affirmait avec une certaine arrogance, et commençant dès le collège à charmer les demoiselles pour se vanter, et s’en débarrasser une fois l’ennui installé. Il adorait collectionner les filles, et particulièrement celles qui étaient belles. Il aurait pu sortir avec toutes celles du collège mais il était assez intelligent, et se gardait le plaisir d’attendre de grandir pour tester son futur pouvoir de séduction avec celles que tous les mâles en chaleur désirent. C’est donc en aux deux dernières années du collège qu’il entreprit de passer pour un repenti qui cherchait une petite amie fidèle, pour une relation stable, et la dernière année et quatre mois durant, il sortit avec la plus belle et la plus populaire garce de son établissement. Il avait gagné son propre pari, et afin de recommencer cette hobbie, il convainquit ces parents de lui faire intégrer un nouveau lycée, plus prestigieux, chose que ces dernières firent. Car outre sa passion pour faire tomber la gente féminine, le jeune adolescent était un élève brillant, mais paresseux sur les bords. Et voici qu’un second souffle lui est permis. Il se consacra donc aux études avec plus d’intérêt et de concentration dans ce nouveau lycée, charmant mais ne s’engageant pas et goûtant pour la première fois à sa seconde aux joies de la chair d’une jeune femme, et finit par obtenir son baccalauréat dans sa filaire économique et social. Une autre bonne chose de faite pour monsieur, et une fois son diplôme en poche, il continua sa route pour une autre aventure: grandir dans le monde adulte.
"Chapitre 3: le traumatisme camouflé"
Rebecca, quant à elle, grandit et comptait devenir vétérinaire. Elle était une des plus brillantes de sa classe, mais pas forcément l’une de plus populaires. Son grand frère donc s’occupait d’elle en même temps qu’il s’amusait et faisait mine d’être sérieux, éprit d’un amour fraternel fou envers sa brune. Elle était en seconde et commençait à se faire remarquer, et comme toute adolescente en pleine rébellion, elle décidait de sortir sans se faire remarquer. La discrétion n’est pas toujours la meilleure des choses, étant donné que ce soir-là, une voiture la percuta de plein fouet. Le pire était qu’elle ne mourut pas sur le coup, puisqu’elle avait atterri dans le caniveau, et s’était ouvert le crâne. Le temps que l’ambulance arrive, elle s’était vidée d’une trop grande quantité de sang. Ce n’est que le lendemain matin que le monde apprit la nouvelle. Ethanael devient fou de rage et s’enferma plusieurs jours dans son chez-lui, à ruminer, et à se demander ce qu’il aurait pu faire pour la sauver, l’accompagner au lieu de la laisser par cette nuit glaciale où il neigeait, trainer alors que les alcooliques au volant ou ceux ne faisant pas attention, courent les routes avec cette stupidité qui leur est propre. Cet épisode désastreux n’était pas qu’en apparence pour le jeune adulte, puisque ses parents étaient calmes et posés en privé, puisqu’il leur restait leur fils. Il ne comprit jamais comment avaient-ils pu rester là, à manger, à sourire, puis à jouer encore et encore la comédie lorsqu’un public prêtait attention, et surtout, lorsqu’il était présent. C’est ainsi qu’il comprit qu’il ne verrait plus jamais la vie, le monde pareil. Contre toute attente, il ne blâmait pas ses parents qu’il aimait encore. Il n’y avait aucune raison qu’il les aime et plusieurs qu’il les haïsse. Sans doute voir sa mère pleurer, et passer une nuit à la réconforter, lui firent comprendre que ces parents n’étaient pas si inhumains. Vouloir prétendre est une chose, mais feindre l’indifférence afin de ne pas faire sombrer leur fils dans la dépression était comme un sacrifice qu’il remercia presque. Les relations entre eux étaient bien étranges, il fallait avouer, et dès lors, ils allaient être bien plus proches qu’auparavant. Et il venait de terminer une étape importante dans sa vie, il devait continuer son chemin, dans le secret et dans le paraitre, comme toujours.
"Chapitre 4: un nouvel enjeu pour un nouveau jeu"
Enfin la majorité et l’étape du lycée terminée. Il faut donc s’inscrire dans une université ou en Fac. Son père le conforte dans l’idée d’entamer son projet en Fac de psychologie. Il y passe quelques années assez durs durant lesquels il ne fait que se consacrer à cela, ne voyant presque plus ses « amis » et finit par sombrer quelques mois dans une dépression le poussant à se recroqueviller sur lui-même. Après donc deux ans, il finit par abandonner et se laisse une année pour rebondir sur un nouveau projet. Mais cette année sera des plus burlesques, puisqu’il se lance dans la débauche, et ne consacre ses journées qu’à ce qu’il a raté soit les fêtes, les femmes et tout ce qui s’en suit. Cependant, il n’oublie pas son but primaire, mais pour l’instant, il préfère se repose et prendre du bon temps. La fin de l’année approche, et il décide donc de reprendre du poil de la bête dans le domaine du sérieux en lisant et lisant encore des manuels et visionnant des témoignages de psychiatres afin de préparer un bon dossier pour l’université de Fordham, à New York. Il est rapidement pris et prend également ses marques avec aise. Les mois passent et ce lieu se trouve être la perfection même. Ses Pères acceptent de lui payer un appartement dans un immeuble plutôt chic afin de couper les ponts physiquement avec eux, et de vivre plus comme un adulte. Le jeune homme devient de plus en plus sociable, se fait des proches plus ou moins par complicité, et certains pour s’assurer une bonne image, comme ses parents lui ont appris. Les femmes le regardent, et se questionnent sur cet homme qui est parfois en retrait, avec son sourire au coin des lèvres et son regard tendre qu’il balade de gauche à droite, sans ouvrir la bouche pour sortir une blague lourde ou pour demander ce qu’il se passe. Il n’est pas discret mais ne se montre pas très bavard, entrainant le mystère concernant son enfance, ses désirs réels et son état d’âme profond. Ces quelques proches amis finissent par creuser la fausse carapace qu’il s’est forgé, n’étant rien d’autre qu’une image pour ne pas paraitre trop salaud. Il ne fait preuve d’aucun remords, ni même de regrets concernant son attitude, tout cela ne l’atteint pas et il continue de vivre dans cette mise en scène qu’il enrichit chaque jour, tout en gardant un pied dans le vrai monde. Ethanael est finalement devenu plus fort, mais est-il un ange pour autant ? Cela est loin d’être sur.
"Chapitre 5: bienvenue dans le monde adulte"
C'est donc deux ans durant qu'il passa ses deux dernières années à étudier la psychologie à Fordham University avant de la quitter sans regrets. Il reste néanmoins attaché à certaines personnes et passent de temps à autre, en temps qu'ancien élève mais également en tant que psychologue au sein de l'université. Les bons de ce métier se faisant rare, il lui arrive de bouger dans plusieurs universités afin d'aider et de conseiller les élèves, et si de jolies filles se présentent, il n'est pas rare que la discussion finisse en échange de plaisir passionnel avant le train-train habituel. Il grandit de plus en plus, et même si la maturité a du mal à s'ouvrir plus que cela, il n'en demeure pas moins heureux de pouvoir exercé son métier après avoir prouvé que la mort de sa soeur n'a en rien affecté sa vie. Ou du moins, il l'a reconnu lors de testes mais il pense le contraire. Son option est d'ailleurs la psychopathologie et il lui arrive d'assister des psychiatres dans des asiles. Parler, discuter et aider, c'est une seconde nature qui semble paradoxale avec son attitude assez égoiste et je-m’en-foutisme. Pour l'instant, il possède un cabinet fixe mais n'y reste que certains jours, et alternent avec les journées qu'il passe dans les universités. Personne complexe, encore et toujours. Il semble cacher bien des ressentiments, et pour un psychologue, cela peut s'avérer dangereux.
Dernière édition par Ethanaël A. Bertolucci le Jeu 5 Mai - 19:46, édité 4 fois
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 18:00
Bienvenue sur nycl.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 18:38
Merci belle plante
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 18:45
Welcome, et bonne continuation.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 18:49
Merci Toffee
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:24
Bienvenue très belle fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:27
Merci bien ma jolie Laura a qui j'ai fait des vavas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:34
HAAAAAAAAAAN J'suis COOOON j't'avais pas reconnu Hope. Nous faudra un lien avec Aria, Bref rebienvenue et j'arrête de flooder.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:36
Pas grave D'ailleurs, faudra que l'on discute de la fiche de lien d'Aria 1.0 Et oui, sans problème.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:39
Validé !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 19:43
Merci ma Serena Boublil
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 22:40
Re-Bienvenue ma chérie !!! Je me devais de passer par ici quand même
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Dim 24 Avr - 22:46
Mon chéri, ça irait mieux Et merci J'irai sans doute te piquer un lien
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Lun 25 Avr - 21:11
T'es validé mais m'enfou re-bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Lun 25 Avr - 21:14
c'est bien parce que c'est toi ma nouvelle chérie d'amour pas à moi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Jeu 28 Avr - 22:29
Own Jimmy, je suis tombée totalement sous le charme du prénom de ton perso Re bienvenue sinon
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous Ven 29 Avr - 0:57
Oh merci Savy Je me suis cassé le derrière pour en trouver un original sans être excentrique et qui rend bien... Donc je crois avoir réussi Et merci encore.
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Sujet: Re: Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous
Ethanaël Bertolucci is The Only Reason We're Famous
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