Sujet: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 5:11
lj
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Artists
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
" Moving on is hard, but it's sometimes for the better. " de Sierra Kusterbeck
Signe(s) Particulier(s)
Un tatouage baby seal sur le poignet gauche et une boucle sur la nuque.
Orientation Sexuelle
Ellie est hétérosexuelle à 100%. Bien qu'elle n'aie eu qu'une seule relation à ce jour, elle est certaine qu'elle n'aime que la gente masculine ... mais ne dirait pas non pour tenter l'expérience avec une fille. Qui sait?
Faith Elisabeth Oliver
Physique & Caractère
Apparence & Style: « Ellie tu es belle tu le sais? » « Pfff menteur, tu sais très bien que je suis affreuse John. » « Mais m*rde Ellie, tu crois que ce groupe de jeunes – il pointa alors quaters garçons assis à une table près de la grande fenêtre au devant de la pâtisserie – viendraient ici tous les jours si c’était Maria qui les servaient? Et puis ils te regardent depuis quinze bonnes minutes. Je crois même en avoir vu un baver. » « Ta maman ne t'as jamais dit que c'était mal de mentir? » « Tu es vraiment têtue, c'est pas croyable. Il faudra que tu apprennes à t'aimer telle que tu es et à te voir réellement, aussi belle que tu es. »
Ces discussion, j’en ai eu des tonnes avec mon patron. Oui, il est un peu comme un second père pour moi. Il est mon modèle, c'est lui qui me protège toujours de tout et qui me donne les meilleurs conseils. Enfin, c'est aussi lui qui tente de me faire voir qui je suis réellement, parce que je ne suis pas objective quand on me demande la façon dont je me perçois. C'est probablement pour cette raison que je change souvent de couleur de cheveux. Je dois m'être teint les cheveux au moins une dizaine de fois dans toute ma vie. Maintenant, j'ai les cheveux blonds, presque blanc. ET LE PREMIER QUI CRITIQUE EN MAL, JE L'ÉTRANGLE (a) Moi violente? Jamais (a) Je suis marginale et cela se reflète dans mon habillement. J'aime créer, je m'amuse à peindre mes t-shirts, mes chaussures avec les images qui me défilent en tête. Je suis mordue d'art. J'aime expérimenter de nouveaux styles. J'aime ce qui est vintage, qui sort de l'ordinaire. Je suis éclatés. Je crois que c'est le mot qui me convient le mieux et qui me décrit réellement. Unique.
Caractère: Calme ♠ Je ne suis pas le genre de fille qui est surexcitée, disons que je sais garder mon sang-froid lorsque la situation l’exige. Bien que j’aime agire comme une dingue lorsque je suis avec des amis, bien que j’aime avoir du plaisir, je reste tout de même une personne sereine et calme.
Patiente ♠ Dix minutes de retard. C’EST LA FIN DU MONDE!!! Non pas pour moi. J’ai déjà patienter pendant environ une heure sur un banc, devant le cinéma ou mon petit-ami et moi nous étions donné rendez-vous. Inutile de vous dire que dès que j’ai eu la chance de lui parler, je l’ai quitté. Enfin, toute personne a ses limites j’imagine et une heure de retard pour un rendez-vous, c’est tout bonnement inacceptable. Par contre, je suis capable d’attendre la personne en question pendant dix voir vingt minutes. Après tout, j’ai la vie devant moi (a) Et puis, je ne suis jamais en mauvaise compagnie, même lorsque je suis seule. Mon IPod et mon appareil photo sont toujours à mes côtés.
Gentille ♠ Parler dans le dos de quelqu’un dès que cette personne est partie ou ne peut plus entendre ce que je dis n’est pas vraiment mon style. Si j’ai un truc à dire, je le dis normalement face à face, mais en restant tout de même polie. J’ai été bien élevée par ma mère et la politesse, la gentillesse est une des plus grande valeur qu’elle m’a inculquée. J’essaie toujours de dire ce que je pense des gens en restant respectueuse. Je n’aime pas voir les gens pleurer.
Courageuse ♠ Je n’ai pas froid aux yeux. On me propose un défi, je suis toujours partante pour le relever qu’importe le degré de difficulté. En réalité, je crois que j’aime le danger, l’adrénaline. Je suis friande de sensations fortes. Je crois que la mort de mon père m’a beaucoup appris et m’a aidé à devenir quelqu’un de plus forte, ne pas avoir peur de ce qui nous arrive et toujours foncer tête première.
Têtu ♠ Bien que je sois gentille, que je déteste faire mal aux gens – les blesser – je ne les laisse pas pour autant me dicter ma conduite ou la façon dont je dois penser. Quand j’ai une idée, un point de vue en tête, je m’y accroche qu’importe le prix à payer. Rares sont ceux qui ont réussi à me faire changer d’avis, qu’importe le sujet.
Casse cou ♠ « -Ellie tu viens on va faire du parachute? – Avec plaisir! » « -Elisabeth, un copain m’a offert des billets pour une journée bungee, t’es intéressée? – Toujours partante Mark! » Voici Elisabeth, moi. Casse cou comme pas deux. Les sports extrêmes, j’en raffole. Les hôpitaux commence à connaître mon dossier médical par cœur tellement j’y suis. Je passe la moitié de mon temps chez moi ou à l’école et l’autre moitié à me faire soigner pour un bras cassé, une cheville foulée et autres blessures de ce genre.
Rêveuse ♠ Une éternelle rêveuse, voilà ce que je suis. J’ai toujours la tête dans les nuages, je rêve d’un monde meilleur, je suis une grande idéaliste. J’aime imaginer un monde utopique, j’aime me faire des millions de scénarios, je suis très créative. Une âme d’artiste, comme on me l’a souvent répété.
Charmeuse ♠ J’aime bien charmer ces messieurs ... et parfois ces demoiselles aussi. Oui, il m’est arrivé une fois ou deux de finir la soirée dans le lit d’une demoiselle, mais c’était quand j’étais bourrée, je ne suis pas bisexuelle. Enfin, pas confirmée. Les hommes restent mes favoris. Bref, il n’est pas rare de me voir jouer les aguicheuses si je vois un homme qui me plait. Que ce soit en pleine rue, dans un bar, je me fiche un peu de l’endroit. Quitte à choquer, je m’en fiche. (a)
Émotive ♠ Je ne cache pas mes émotions, c’est plutôt le contraire. Je ne me gêne pas pour pleurer. Lorsque je regarde un film d’amour qui se termine mal, lorsque j’écoute une chanson X qui me remémore des souvenirs, lorsque quelqu’un me fait de la peine, je pleure. Peu de gens savent que je suis une personne très sensible puisque je m’arrange toujours pour ne pas trop montrer ce que je ressens en public. Je n’aime pas que l’attention soit porté sur moi et dieu sait que lorsque quelqu’un pleure, soit on la regarde de travers, soit on se rue sur ladite personne pour savoir ce qui ne va pas. Alors, disons que cette facette de moi est une de celles que je montre moins.
Curieuse ♠ J’aime mettre mon nez dans les histoires qui ne me regarde pas et je l’assume totalement. Une rumeur comme quoi X s’est séparée de Y? Qui sera la première personne à aller interroger les 2 concernés pour savoir le fond de l’histoire? Elisabeth, sans aucun doute. Qui est celle qui pose trop de question dans ses cours et qui vient à rendre les autres élève fou de rage parce qu’ils ne comprennent plus la matière? Encore mademoiselle Oliver.
Jalouse ♠ Quand je suis en couple, il ne faut pas toucher à mon homme/ma femme. Je suis possessive, sans que ça ne devienne trop malsain, je veux dire, il peut aller voir ses copains et tout, mais il ne faut pas non plus me négliger. Quand il s’agit d’aller passer du temps seule avec une autre fille que moi, je suis plus réticente et je sors les griffes.
Dernière édition par Faith E. Oliver le Dim 24 Avr - 18:08, édité 4 fois
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 5:12
L'histoire
Chapitre 1
Moi, Elisabeth, suis né le 8 février 1988 à Warren dans l’état du Michigan aux Etats-Unis. Je ne connais pas mon père et c’est probablement mieux ainsi. Il a déserté, à ce qu’on ma dit, quand ma mère lui a dit être enceinte de lui. C’est probablement depuis ce jour que j’ai une certaine aversion envers les relations amoureuses et que je n’ai jamais eu de petit-ami, ou aucune relation ne se rapprochant de l’amour homme/femme. Enfin, ma mère avait quoi, vingt ans maximum quand elle a accouchée de moi, mon père était deux ans plus vieux, pourtant il ne semblait pas capable d’assumer ses responsabilités. Enfin, ma mère avait quoi, vingt ans maximum quand elle a accouchée de moi, mon père était deux ans plus vieux. Pour ajouter au drame qu’a vécu ma mère, je suis née à vingt-huit semaines, soit trois mois avant la date annoncée par les médecins. J’ai du être transférée dans une hôpital offrant de meilleurs services. J’ai du passé six mois, suite à ma naissance, à l’hôpital, dans un incubateur. Là, les spécialistes vérifiaient mon état de santé, testaient de nouvelles techniques pour faire grossir mes poumons qui ne s’étaient pas convenablement développés. Suite à de nombreux tests, injections, prises de sang et nuits passées dans cet incubateur, on m’a enfin permis de rentrer à la maison. J’ai pu finalement intégrer la famille pour de bon. Pourtant, j’ai survécu. J’ai commencé l’école, j’avais des amis, j’étais heureuse. Mon parcours scolaire se fit sans difficulté et sans anicroche. J’ai toujours su bien m’entourer également et je n’ai jamais été du genre délinquante, j’ai toujours fait ce qu’on me disait et m’exigeait une auto-discipline que peu de gens auraient pu avoir. J’ai commencer à travailler comme camelot, je livrais les journaux aux gens, ramassant ainsi un petit peu d’argent, aidant ma mère, qui avait beaucoup de difficulté à payer les comptes et à amasser suffisamment d’argent pour que sa fille puisse vivre convenablement. Je ne fus pas pour autant la risée des écoles où j’ai étudié, non. Ma mère qui était couturière, m’avait montrée comment coudre, et ainsi, j’ai rapidement modifié les vêtements que ma mère m’achetais. J’ai rapidement appris à me contenter de ce que j’avais, et à accepter le refus.
Chapitre 2
J’ai grandi, jusqu’à mes sept ans, dans le bonheur le plus grand, l’absence d’un paternel ne me dérangeant pas du tout. J’étais très complice avec ma mère, mais il a fallu qu’un cancer l’emporte loin de moi. J’ai donc été, à ce jour, trimballée dans pas moins de quinze familles d’accueil différentes. À l’âge de quatorze ans, j’ai été placée dans cette famille qui m’a fait vivre un enfer. L’homme de la maison, bien qu’il semblait gentil, respectable fut mon pire cauchemar. Il me battait constamment parce que j’avais oublié, par exemple, de nettoyer son assiette lorsqu’il avait terminé de manger ou parce que j’avais mis un peu trop de ketchup dans son hot-dog. Des futilités. Malgré ce malheur qui me rongeait, la famille fut tout de même témoin de mon épanouissement personnel et de ma première peine d'amour, ma seule jusqu'à ce jour.
FLASHBACK
On cogna à la porte de la maison. Anita, ma « mère de l’époque » se dirige vers la porte et l’ouvre tandis que je suis dans ma chambre. Elle invite la personne à entrer et s’installe sur le sofa. Je sais très bien qu’il s’agit de Michael. Une touche de gloss et Hop! je dévale les escaliers en trombe. J’arrivai finalement au bas de l’escalier, il était là, debout aux côtés de ma mère et m’attendait tout sourire. Je sentis mon cœur s’arrêter une fraction de seconde en le voyant, puis il reparti. Je me dirigeai vers le jeune homme et m’agrippai à son bras.. Il promis à ma mère et son nouveau prétendant qu’il me raccompagnerais à la maison avant minuit puis je dis au revoir à maman et à l’autre homme que je ne me résignais pas à appeler père. Je n’avais aucune idée de l’endroit où il m’amenait, c’était une surprise. Il me demanda de fermer les yeux durant tout le trajet. Pendant que nous roulions, je ne cessai de lui demander où nous allions, du moins en avoir un indice, mais il resta muet. Après ce qui me sembla être une quinzaine de minutes, la voiture se stoppa. Il fit son gentleman et m’ouvrit la portière. En fait, il s’avait pas vraiment le choix, je n’y voyais strictement rien. Je sentis que l’on montait une petite pente, puis il me dit de l’arrêter lorsque le sol me sembla plat. Il ajouta alors que je pouvais ouvrir les yeux, ce que je fis.Je paysage devant moi était à couper le souffle. Le soleil déjà, se cachait derrière l’horizon, colorant le ciel de rose, orangé, offrant un spectacle magnifique. Je me détachai de ce fascinant tableau pour regarder le jeune homme qui me tenait compagnie. Un sourire se dessina sur son visage lorsque nos regards se croisèrent. Probablement l’avais-je fait rire en tant en admiration devant l’œuvre de mère nature. Il avait déposé au sol une couverture, qu’il avait ouverte ainsi qu’une petite glacière. Nous nous y assîmes et entamèrent une grande discussion. Tout au long de la soirée, il ne cessa de me faire rire, me faire oublier toutes les règles que je m’imposaient en amour, tous les murs que j’avais bâtis au fil des années.À un moment, nous finîmes par nous chamailler, une petite gue-guerre insignifiante. Il n’en resta pas moins qu’il eut le dessus sur moi et il finit par me faire chavirer. Ma respiration devint saccadée, je cherchais mon souffle. Après ce qui me sembla une éternité, ses lèvres se posèrent avec une douceur infinie sur les miennes. Je ne le repoussai pas, bien au contraire. Je glissai mes mains sur sa nuque, approfondissant le baiser. Après un moment un peu trop court à mon goût, il délaissa mes lèvres. Le reste de la soirée, je la passai tout contre lui, moins bavarde et plus admirative à son égard.
FIN FLASHBACK
Environ deux mois après ce jour merveilleux, il demandait à me rencontrer. Il semblait trop sérieux, même au téléphone. SA voix était grave, je sentais l’urgence. Il vint chez moi et, aussitôt arrivé, nous étions repartis. Il m’emmena dans un endroit calme, isolé, on se serait cru en pleine forêt. Alors, je vis son regard. Il semblait extrêmement triste, je me doutais qu’il avait une mauvaise nouvelle à m’apprendre. C’est alors qu’il me dit qu’il devait partir. Je ne saisis pas immédiatement ce à quoi il faisait allusion et je crois qu’il le comprit puisqu’il décida de clarifier et de me dire qu’il serait au front, qu’ils avaient besoin de lui au combat. Je me souviendrai toujours de cette impression qui m’a habiter ce jour là. Je me sentais perdue, déjà, j’avais cette petite lueur dans les yeux qui devenait de plus en plus fade au fil des secondes. Je n’acceptai même pas qu’il me raccompagne chez moi. J’étais en colère et je souffrais. Ma peine, je n’aurais su la décrire. Les jours qui suivirent furent un véritable enfer pour moi. Je du l’accompagner à l’aéroport. Il déposa un dernier baiser sur mon front avant d’embrasser mes lèvres puis parti. Il ne se retourna qu’une fraction de seconde, le temps de me dire, sans pourtant prononcer un son, les mots je t’aime.
Chapitre 3
ELLIPSE
Il était sensé revenir pour deux semaine, le temps de sa permission, pourtant, quand je me pointai à l’aéroport, que je regardai le visage de chacun des hommes qui arrivaient et courraient rejoindre leur famille, je ne le vis pas. Alors, son supérieur vint me voir et me donna une lettre. Je vis par son expression qu’il était arrivé quelque chose de grave à Michael. regardai attentivement l’enveloppe. Elle n’était pas identifiée et je vis une empreinte rouge dessus. Je compris alors qu’il était blessé. J’ouvris l’enveloppe et commençai à lire la lettre. Les larmes me vinrent aux yeux. Le supérieur me laissa le temps de lire la lettre puis revint vers moi. Il me dit alors ces quelques mots : « Il a dit qu’il t’aimait. Ses dernières pensées, elle étaient toutes pour toi. »Je tombai à genoux en plein aéroport, secouée par de terribles tremblements. Il ne reviendrait pas. J’étais maintenant une demie. Je n’étais plus moi. Il me manquait ma moitié. Sans lui, qu’allais-je faire? Je n’en avais aucune idée. J’avais alors dix-neuf ansPendant un peu moins d'un an, je me rendais chaque jour sur sa tombe et y déposais une rose blanche. Je lui parlais tous les jours, lui racontant ma journée, à quel point il me manquait. Cependant, cinq jours avant la date officielle de sa mort, alors que nous allions commémorer sa mort, Une dispute avec mes parents me fit quitter la maison.
FLASHBACK
- Faith Elisabeth Oliver ; Il est hors de question que tu passe le pas de cette porte, est-ce bien compris! m’ordonna ma mère. - Non mais tu délires ou quoi? Tu crois vraiment que je vais t’écouter? Tu crois que je suis ton pantin et que je vais me laisser faire? Arrête de faire l’aveugle et rend toi compte de ce qui t’entoure. J’en ai marre de cette maison, de cette famille, de tout, j’ai juste envie de partir loin d’ici! - Un peu de respect pour ta mère jeune fille!, répliqua mon père. - Oh et toi « papa » , si je peux t’appeler ainsi, oui parce que tu n’as jamais réellement été là pour moi hein? Tout ce que j’ai reçu quand on m’a remis cette mention de la meilleure amélioration à l’école, c’est des félicitations de mes enseignants. Rien de votre part. C’est vraiment pitoyable. Vous vous rendez compte, vous ne vous occupez même pas de moi, cet enfant que vous vouliez à tout prix. Tout ce que j’ai reçu en guise d’affection de ta part ce sont des coups de pieds ou de poing. Et maman ne fait pas comme si tu ne le savais pas, ne fais pas semblant de ne jamais m’avoir entendu hurler. Vraiment, si vous ne vouliez pas d’un enfant, pourquoi ne pas m’avoir renvoyé au centre? J’aurais eu une meilleure vie et surtout, J’AURAIS ÉTÉ AIMÉ Faith hurla ces dernières paroles avant de claquer la porte, son sac sur son épaule.
FIN FLASHBACK
J’avais mis quelques vêtements dans un sac, enfin tenté de tous les amener avec moi, rassemblai mes maigres économies et franchi pour la dernière fois, le seuil de la porte. Je fis de l’auto-stop pour pouvoir enfin quitter ma terre natale. Un homme bienveillant m’a fait monté à bord de sa voiture, me disant qu’il allait direction New-York. Je n’ai pas commenté, j’aimais bien cette ville. Il a accepté que je fasse tout le trajet avec lui. J'ai donc mis les pieds dans la grosse pomme, j'avais vingt ans, il y a maintenant trois ans. J'étais décidée à refaire ma vie. Je ne voulais en aucun cas oublier Michael. Enfin, je me suis trouvé un appartement assez rapidement et un petit boulot. Je suis, depuis deux ans maintenant, pâtissière à temps plein et j'économise pour pouvoir me payer des études en photographie.
Dernière édition par Faith E. Oliver le Dim 24 Avr - 18:09, édité 2 fois
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 5:12
Behind the computer
Prénom:Mary Âge : 18 ans (a) Avatar choisi : Charlavail Effron Comment as-tu connu ce forum ? : J'y étais inscrite, changement de personnage Ton avis (design, contexte, ...) : ♥ Présence sur le forum :; 3/7 au minimum. Autre(s) compte(s) : // Exemple de RP :
Spoiler:
CHRISTOPHER & EVERLEIGH
I never stick, so how'd you get me stuck in this?
Il était environ six heures du soir. Christopher Andrew Meyer, que tout le monde surnomme affectueusement – ou pas- Chris était assis bien confortablement sur le sofa de son petit appartement. Il ne vivait pas dans le luxe certes, mais son appartement lui était convenable. Il n’y était pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre après tout. Enfin, sur le petit écran de son téléviseur défilaient les images d’une émission quelconque. Chris n’y prêtait pas attention. Elle n’émettait qu’un faible bruit, on ne distinguait presque pas les paroles qui étaient dites. C’était plutôt pour avoir un fond sonore, pour ne pas que la pièce soit plongée dans un silence total, parce que le jeune homme était plutôt concentré à regarder ce petit cahier qu’il tenait d’une main, dans l’autre un crayon qu’il mâchouillait de temps à autre à la recherche d’une idée. Comme si ce geste pouvait l’aider à trouver l’inspiration, vraiment stupide. Il tenta en vain de trouver les mots justes, mais ils ne venaient pas. Il poussa un énième soupire avant de laisser son cahier lui glisser des mains et tomber sur le sol. Il senti alors sa main qui commençait à faire mal. Une petite coupure entre son pouce et son index. Il estompa le peu de sang qui en sortait avant de se diriger vers sa chambre. Il jeta un coup d’oeil par la fenêtre qui s trouvait en face de lui pour constater que Dame Nature semblait clémente aujourd’hui. Il enfila donc une veste grise par dessus son t-shirt blanc, col en V – son favori soit dit en passant – avant de revenir au petit salon de son logement. Il ramassa le cahier qui jonchait sur le sol, le crayon qui était lui aussi sur le sol et les rangea dans son étui de guitare. Il avait déjà des plans pour la soirée. Il rangea également sa précieuse guitare – à laquelle il avait donné un petit surnom – dans son étui et en ferma la fermeture éclaire. Il le prit dans ses mains, se dirigea vers la porte par laquelle il sorti après avoir enfilé ses Converses noires toutes usées.
Il marcha un moment dans les rues de New-York à la recherche d’un endroit ou se poser, s’asseoir. Il ne voulait pas aller dans un café, ils n’accepteraient jamais qu’il y joue et puis, s’il était sorti c’était pour profiter de la température. Après quelques minutes, le jeune homme se retrouva dans le Greenwich Village. Il connaissait bien cet endroit. Il avait arpenté ces rues des dizaines de fois, si ce n’est pas des centaines. Chaque jour, il venait ici – sauf exception – et se rendait au Starbuck. Là, il commandait toujours la même chose, se faisant servir par la même serveuse à chaque fois. Il ne désirait qu’un grand café. Il lui en fallait un quotidiennement, c’était une des quelques drogues dont il était accro.
Enfin, il trouva finalement un petit banc, libre –parce qu’il y en avait tout plein partout, pourtant aucun n’était libre et être à côté d’un couple qui s’embrasse, ce n’est pas génial – et il y prit place. Il posa l’étui de sa guitare sur le sol, s’empara de sa guitare puis finalement de son cahier, là ou résidaient toutes les paroles de ses chansons. Il l’ouvrit et le glissa sous sa guitare. Il plaça la ganse sur son épaule, de telle sorte que s’il se lève la guitare ne tombe pas, et commença à gratter quelques accords écrits sur l’une des feuilles de papier. Pendant trente minutes, si ce n’est pas plus, il tenta de créer une mélodie avec ces accords. Il réalisa finalement que c’était mieux s’il avait des paroles et qu’il tentait d’y ajouter la musique. Il tourna alors les pages de son carnet pour finalement trouver les paroles de ce qui allait sans doute être sa prochaine chanson. Encore une fois, il tenta de gratter quelques accords, de trouver un rythme correct pour cette ballade et finalement, parvint à atteindre ce qu’il avait en tête. Cette mélodie ne se trouvait plus seulement qu’entre ses oreilles, mais elle pouvait emplir celles des passants. Il commença à jouer les accords, se familiariser avec cette musique et une fois ceci fait, il tenta d’y ajouter les paroles. Après quelques essais, il fini par chanter ce nouvel air qui semblait plaire aux quelques curieux qui s’étaient rassemblés pour l’écouter. On vint même à jeter quelques pièces dans l’étui de sa guitare, à sa plus grande surprise. Une heure devait s’être écoulés. Il décida de fermer boutique et jouer seulement pour le plaisir maintenant que les amateurs étaient partis. Il pouvait se permettre de se divertir en interprétant les œuvres d’artistes qu’il admirait particulièrement. Les morceaux s’enchaînaient tandis que le soleil terminait sa course dans le ciel, se cachant derrière l’horizon. Il gratta le dernier accord de sa chanson favorite et releva la tête pour apercevoir Everleigh. Un sourire se dessina alors sur ses lèvres, comme toujours. Avec elle à ses côtés, il était impossible pour Chris d’afficher une mine triste. Enfin, la demoiselle s’assied à ses côtés et elle posa sa tête sur l’épaule du jeune Suisse avant de lui dire ces quelques mots : « T’arrête un peu de me suivre partout, toi ? » auxquels elle ajouta : « J’ai l’impression d’avoir affaire à un psychopathe qui va partout où je vais. »
Tentant de garder son sérieux, Chris répondit : « Non je n’ai pas terminé, je n’ai que ça à faire de mes journées. » Il esquissa un regard vers son interlocutrice, elle qui avait toujours sa tête posée sur l’épaule du garçon. Il ajouta : « Qu’est-ce qui te dis que je n’en suis pas un? »
Faux, tout était faux dans cette introduction de conversation. C’était leur truc. Se dire des bêtises pour se saluer, s’en dire par pur plaisir. On pourrait presque croire que leur relation n’était basée que sur ça. Pourtant, bien qu’ils se montrent cyniques et se disent des propos qui semblent déstabilisants, ils s’adorent. Chris posa sa guitare à plat sur ses cuisses tandis que la blondinette se repositionnait. Il tourna la tête et posa son regard sur le visage de mademoiselle Sykes. « Bon, t’as fait quoi de ta journée toi ? Je t’ai pas vu au Starbucks aujourd’hui, je me disais que tu devais être mort dans un coin pour pas venir prendre de café ou autre… Ou alors que t’en avais trop marre de voir mes cheveux décolorés, donc que t’avais fini par migrer ailleurs. » Il lui offrit donc un court résumé de sa journée.
« Pas grand choses en fait, j’ai joué une partie de bowling puis j’ai fais du bungee. Rien de très excitant… Non, sérieusement, j’ai travaillé ce matin, un collègue était malade et donc on m’a demandé de le remplacer. C’est d’ailleurs l’appel de mon patron qui m’a réveillé. C’est pour cette raison que je n’ai pas pu te rendre visite. Comme tu peux le constater, je ne suis pas mort, j’ai bien cru mourir par contre. Ne pas te voir ce matin m’a terriblement affecté. Il avait lancé cette phrase sur un ton faussement tragique, affichant une mine reflétant cette fausse émotion. Ne t’inquiètes pas, je n’en ai pas marre de voir tes cheveux, je les aime bien moi.» Il lui offrit un large sourire avant de poursuivre. « Et quand j’ai terminé, je suis rentré chez moi. J’ai passé la journée à composer une nouvelle chanson puis je suis venu jouer ici, j’ai décidé de profiter de la température clémente. Et toi, ta journée? Tu n’a pas fait pleurer trop d’employés ou de clients?»
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Gaby
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 11:14
tiens, tiens, tiens. Je te connais toi. x) Je suis Everleigh, là où tu as Blake Harnage.
Bienvenue sur nycl.
et moment de groupisage ;
CHARLAVAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIL. *part mourir dans son coin*
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 11:23
HAAAAAN CHARLAVAIL et bienvenue *o*
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 11:27
Charlavaaaaaaaaaaaaaaaaaail Un lien avec ma Sierra sera obligatoire.
Bon, je viens de me réveiller don je lirais ta fiche quand j'aurais bien émergé XD
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 12:11
Oh j'adore l'avatar !
Bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 12:12
Une pâtissière :ice:
Bienvenue parmi nous! \o/
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 13:10
re-bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 13:59
Rebienvenue Et Charlavail
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 14:00
Bienvenue sur le forum,
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 14:03
J'ai validé ton code qui est bon. Par contre, à la vue de ta dernière phrase, est-ce qu'elle est à nouveau étudiante maintenant ? Si c'est le cas, je ne pense pas que cela va être possible, connaissant les coûts de scolarité très élevés (que tu peux retrouver dans le sujet explicatif du système scolaire américain), pouvoir payer cela avec un simple salaire de pâtissière sera plus qu'improbable je pense, il faudra donc changer cela.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 14:04
bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 15:08
REBIENVENUE
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 18:11
Haaaannn l'accueil
Merci à tous, tant pour les commentaires quant à mon choix d'avatar que les messages de bienvenue
Vous gérez tous côté avatar *_*
Pour les liens, ce sera avec grand plaisir, une fois validée (a)
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 21:00
Bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Dim 24 Avr - 21:19
Validée !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around. Jeu 28 Avr - 22:30
Charlavail Bienvenue
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Sujet: Re: ELLIE ☮ Life is too short to sit around.
ELLIE ☮ Life is too short to sit around.
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