Apparence & Style: On ne peut pas dire que je me démarque de tout les étudiants de l'université. J'ai un style assez BC/BG, qui est accentuée avec ma barbe de trois jours que je porte souvent en faites. C'est ce qui fait craquer les filles ? Vous croyez vous ? Sinon, on peut dire que je suis assez grand , environ 1m85. C'est ma petite soeur qui m'appelle l'Asperge. Mais bon, on ne lui en veut pas hein. J'ai toujours les cheveux en arrière, un peu la coupe dans le vent vous voyez ? Et j'adore la remettre en place toute les cinq minutes. Je porte des lunettes pour le style, bien que je n'en ai pas besoin. Je prend soin de moi, vous ne me verrez jamais sortir en étant totalement débrayer, je suis une vraie fille de ce côté la. Je passe au moins trente minutes par jour dans la salle de bain. Au grand désespoir de mon père.
.

Caractère: Je suis quelqu'un de rancunier, je n'oublie jamais quand on fais une crasse à un de mes proches. Ne vous avisez jamais de toucher à un cheveu de ma famille, ou de mes amis, parce que je peux vous assurer que je serais capable de vous enterrez vivant pour me venger. Je suis aussi un dragueur hors pair, je ne sais pas d'ou me vient ces gênes, mais j'ai toujours une réplique pour faire voir à une fille qui me plaît. Je suis aussi quelqu'un qui ne viendra pas se plaindre de moi-même. J'ai appris à canaliser ma peine. Je suis d'un naturel taciturne et solitaire. Au grand damn de mes parents. J'ai de multiples qualités, je suis souriant, vous ne me verrez jamais sans le sourire, je suis fêtard, si l'on peut dire que c'est une qualité, j'adore faire la fête, sans alcool ou avec. Je sais me retenir pour ne pas finir la tête dans la cuvette. Mais les défauts, parlons en. Je suis bavard, je parle tout le temps, c'est rare pour un mec mais je suis comme sa. Je suis têtu, quand je veux quelque chose je l'obtiens, et si je ne l'obtiens pas j'ai tendance a bouder. J

CHAPTER ONE Ϟ LA VIOLENCE NE RÉSOUT PAS LES CHOSES. L'ALCOOL NON PLUS.

« Tu me fais chier. Tu me fais chier Meredith. » « Matthew. Pourquoi tu ...? Pourquoi ...? » La bouteille de whisky qui se tenait sur la table du salon s'écrasa contre le sol, et le liquide s'éparpilla dans la pièce. Madame Spencer pleurait. Les larmes déferlaient le long de ses joues. Lorsque monsieur Burton leva la main sur sa femme, Aaron accouru près de sa mère et se posta devant son père. « Si tu veux taper Maman, tu devras me taper avant Papa. Ca marche ? » Il affrontait son père du regard. Son père le saisit par la gorge et le colla contre le mur, si violemment que la tête d'Aaron résonna. Comme si il avait un carillon dans la tête. Le cadre ou une photo de la famille Burton trônait s'écrasa sur le sol et se brisa. Comme la famille à ce même moment. Monsieur Burton frappa son fils, le frappa si fort que le garçonnet était obligé de se protéger comme il pouvait. Meredith poussa son mari pour l'obliger à arrêter. Ce dernier attrapa l'une des multiples bouteilles de vodka qui remplissait le placard. Et il partit en claquant la porte.

Deux semaines, quinze jours, trois cent soixante heurese à endurer les coups de son père. A se cacher dans son armoire, pour pleurer. Pour rester fort devant son père. Qui se bourrait la gueule tous les jours. Du matin au soir, il empestait l'alcool. Jusqu'au jour ou Meredith cria stop. Aaron rentrait de l'école, ou il avait encore réussi à cacher d'ou venait tout ces bleus. Chute dans l'escalier la nuit. Menteur. Sa conscience lui hurlait de ne plus mentir. Mais il le fallait pour sa mère. Il entra dans la maison, prêt à endurer les coups. Prêt a serrer les dents. Mais sa mère se tenait la et la prit dans ses bras. « On part, pas loin. Mais on part. Chez tante Hortense. » Il n'aimait pas sa tante Hortense. Elle avait un prénom de merde et en plus , elle empestait le tabac froid et la quiche lorraine. Mais tout cela allait être que du bonheur. Un renouveau. A Londres, mais un renouveau tout de même. Sans son père.



CHAPTER TWO Ϟ SI TU FAIS DU MAL A MA MAMAN, JE TE TUE.




La vie reprenait son cours. Mademoiselle Darnell, vivait une histoire d'amour en secret, elle ne l'avait pas encore dit à son fils, mais elle savait très bien qu'il accepterait son ami. Malgré sa, Aaron avait du mal a sourire, il avait encore garder les séquelles des coups de son père. Mais il se défoulait dans le tennis, en imaginant que la tête de son père était la balle de tennis. Et ça allait beaucoup mieux. Il décompressait. Il avait 11 ans, quand sa mère lui apprit la relation qu'elle avait avec Ulrich. « Aaron ? » Le jeune homme se retourna et détaillait sa mère de haut en bas, qui avait la main entrelaçait dans celle de son ami. « Je te présente Ulrich Spencer.. C'est mon nouvel ami. » Contre toute attente, Aaron lui sourit. « Bonjour, Ulrich. Moi c'est Aaron ... » « ... Je sais, ma maman m'a beaucoup parler de toi. » « Et si tu fais du mal à ma maman, je te tue d'accord ? » Ulrich ria. Il le rassura, et lui promit de ne pas faire de mal à sa mère. Ce qui rassura Aaron et ce qui le remit sur pied. Le bonheur allait enfin frapper aux portes de chez lui.

Tout se déroulait bien dans sa vie, il était le meilleur dans sa classe, tout se déroulait bien au tennis. Meredith s'était marié avec Ulrich et était enceinte. Pour son plus grand bonheur, Aaron avait toujours prié avant de dormir, qu'un petit être arrive dans le cocoon familial pour redonner un peu de gaieté à sa mère. Et c'était chose faites. Au fond, il croyait en dieu. Mais juste au fond de lui. Parce qu'il n'était pas croyant. Mais il espérait souvent. Et ses espérances avaient été entendues. Son rêve se brisa, le jour d'un match de tennis, il se donnait à fond comme à chaque fois, mais il s'était mal échauffé à cause du retard qu'avait son beau-père. Et son entraîneur n'avait pas accepté qu'il s'entraîne les quinze minutes réglementaires. Quelques secondes et un geste brisa son rêve. Le médecin de l'hôpital fut formel. Rupture des ligaments de l'épaule. Immobilisation, tristesse. Même si il ne comptait pas en faire sa carrière. C'était une grande déception. C'était le sport qui lui permettait de s'évader quand tout allait mal dans sa tête. Maintenant il n'avait plus rien. Plus que ses yeux pour pleurer.

CHAPTER THREE Ϟ LE PREMIER AMOUR, C'EST TOUJOURS UN TRUC QUI TE COUPE LE SIFFLET.

Malgré la pression de sa mère, il avait relâché la pression de ses études. Il avait commencé à faire des conneries, à sortir le soir. Il n'avait pas eu la moyenne requise pour entrer en université, il n'avait postulé que dans une seule. La meilleure de toute l'Angleterre, il avait tellement confiance en lui, qu'il prenait tout le monde de haut. Et il était encore tombé bien bas, quand il avait reçu un refus de la prestigieuse University College London. Sa mère lui en voulait, mais elle comprenait dans le fond, ce que ressentait son fils, le besoin de se lâcher. Le besoin d'évacuer toute cette souffrance. Mais , il n'avait pas envie de flemmarder. Il allait trouver un petit job, qui serait rémunéré, et comme sa, il pourrait rendre heureuse sa petite soeur. Lullaby. Elle aurait l'enfance, qu'il n'a jamais eu.


CHAPTER FOUR Ϟ IT'S A NEW DAWN ... IT'S A NEW DAY ...

Ulrich devait partir. C'était le printemps et Lullaby avait bien grandie. Elle était une petite fille épanouie. New York. Ville de lumière. Meredith allait partir et Aaron allait se retrouver seul dans ce grand appartement. Il ne voulait pas. Il n'avait pas les moyens de garder un appartement à lui tout seul. Donc, il allait partir. Avant de partir, il avait postulé dans l'université de New York. Il avait indiqué l'adresse de son nouveau chez soi a New York. En espérant qu'une fois arrivé la bas, il allait recevoir enfin une acceptation.

Qui dit arrivée a New york, dit nouvelles rencontres, qui dit rencontre féminine. Le tout n'avait pas manqué, puisqu'il rencontra une jolie demoiselle qui répondit du nom d'Alaska. Elle était belle, pas comme toutes ses Londoniennes qu'Aaron avait pu côtoyer. Elles étaient superficielles, mais Alaska elle était tout simplement belle. Le genre de fille à dire qu'elles sont moches alors que c'est tout le contraire. Ils firent connaissance dans le lycée de la belle. Il ne savait pas ce qu'était ce nouveau sentiment qui l'envahissait. Mais c'était magique, il se retrouvait souvent après qu'Aaron est finit de bosser et qu'Alaska est terminée les cours, ce qui devait arriver arriva. Il l'embrassa, pour la première fois, il était amoureux. Le vrai amour. Celui pour qui vous pourriez tout faire. Leur histoire restait caché dans le lycée, mais une fois les murs tombaient, la passion les dévorait.

Les mois passèrent et Aaron ne cachait plus la relation qu'il entretenait avec Alaska à ses parents, il était fier de leur présenter celle qui avait réussi a le refaire sourire après les échecs qu'il avait essuyé dans sa vie. Sauf qu'un jour, le bonheur qui était à présent sans tâche fut gâché par un nuage noir. Alaska ne voulait plus voir Aaron, ne lui fournissant aucune explication elle coupa les ponts, leur relations ne se limitaient plus qu'a surveillant/élève. Elle avait changé. Elle n'était plus la même. Comme si , elle avait eu une soeur jumelle diabolique. Qui avait pris sa place. Aaron ne la supportait plus. Il n'osait même pas imaginer ce qu'il se serait passé si ils étaient encore ensemble. Quel gâchis.

Un soir, alors qu'il rentrait du boulot, après avoir dis bonsoir à toute la famille et offert le cadeau à sa petite soeur, qu'il avait gagné avec son salaire de misère, il ouvrit le courrier qui lui était destiné. Une acceptation de l'université New-Yorkaise. Il sauta de joie. Tellement heureux de pouvoir enfin faire ce qu'il voulait de sa vie.
Il fêta sa dignement dans un bar miteux de Manhattan , mais qui avait une ambiance conviviale. Il enchaînait Vodka sur Vodka, mais avec modération , il n'était pas alcoolique, il savait s'arrêter quand il sentait que la chaleur lui montait à la tête. Une brunette l'accosta et commençait à le draguer, il fit mine de ne pas être intéressé, mais au fond, il imaginait la jeune demoiselle dans sa chambre. Elle ressemblait étrangement à Alaska, mais il ne lui en touchait pas un mot. Il la laissa devant le verre de Gin qui lui avait payé et ne prit même pas la peine de prendre son numéro. Il savait bien ou la retrouver si il le voulait.

Aaron avait parfaitement intégré l'université, et il s'était fais des potes, fêtard comme lui, me dirait vous. Lors d'une soirée, il fût accosté par une demoiselle métisse, magnifique à souhait. Elle était charmante et elle avait l'air d'être intéressée par Aaron, ce qui lui fit plus plaisir. Jamais une demoiselle ne l'avait autant charmé. La fête tournait à sa fin et Aaron avait perdue la fille de vue. Il était comme hantée par elle. C'était à la limite de l'obsession. Quelle ne fût pas la surprise d'Aaron quand il croisa la fameuse Madison dans les couloirs. « Hey ! Tu te souviens de moi ? » La jeune fille, le dévisagea d'un sourire narquois à la limite de la moquerie. « Oh que oui je me souviens de toi... Et si je t'ai pas donné mon numéro à la soirée... C'est que je t'ai un peu dragué pour m'amuser en faites... Allez ... Salut. » Et elle partir. Encore une veste. A croire qu'il les collectionne les vestes. D'habitude ce n'est pas les mecs qui mettent les râteaux aux filles ...?