Sujet: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Jeu 12 Mai - 23:37
Icône
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Ordinaries
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Toute femme qui se mêle volontairement d'affaires au-dessus de ses connaissances et hors des bornes de son devoir est une intrigante." de Marie-Antoinette
Signe(s) Particulier(s)
Faith est myope et porte souvent des lunettes, mais elle a horreur de cela. Depuis sa plus tendre enfance, elle ne cesse d'en porter. Elle a donc décidé de mettre des lentilles. La jeune femme a sur l'omoplate un tatouage qui reprend le dessin d'une rose rouge discrète, sa fleur préférée..
Orientation Sexuelle
Faith est hétérosexuelle. Elle ne fait pas tourner la tête de nombreux hommes, pas comme sa soeur ainée bien plus jolie qu'elle. Mais elle s'efforce de progresser pour arriver à sa cheville.
Jude Faith Peyton Cohen
Physique & Caractère
Apparence & Style:
Judy changes her past. Physical.
« Je n'ai jamais rien demandé. J'ai toujours fait ce que le autres voulaient que je sois. Je n'étais qu'un pion. Aujourd'hui je choisis mon propre chemin ! »
« Apprenez-moi à être parfaite ! ». Se dit Jude. Si seulement c’était possible. Elle jalousait toutes ces filles qui ressemblaient à des poupées Barbie. Ces blondes de Californies qui faisaient baver n’importe quel homme. Ces blondes siliconées, au corps de rêve, aux cheveux sans fourches, sans imperfection. Elle avait tout pour être belle. Être parfaite. Elles étaient toutes comme sa sœur, Sarah. Cette magnifique jeune femme au corps de rêve. Elle faisait baver n’importe quel homme sur son passage. Son corps n’avait aucun défaut. Elle était la perfection incarnée, telle Aphrodite -déesse de la beauté Grecque-, ou Hélène de Troie qui fut promise à Pâris. Toutes les deux étaient d’une beauté à couper le souffle. Elles avaient du se retrouver pour former une humaine digne d’être à leur hauteur. Digne de leur image. Il fallait rester lucide, Jude ne sera jamais comme cela. Elle restera toujours la petite Cohen qui porte des lunettes et qu’on oublie avec le temps. Son frère était tout aussi beau que sa sœur ainée. Il possédait en plus des qualités qui le rendaient unique. Sa folie faisait craquer de nombreuses femmes, il n’avait peur de rien, pas même de dépasser ses limites. Son charisme faisait le tout, il était adulé des femmes. Quant à Aurore, sa jeune et défunte sœur était belle, mais elle capable de se faire des amis grâce à ses addictions, elle se faisait aussi remarquer, alors que Jude était simplement Jude.
« Je ne suis pas ce qu’on peut d’appeler de jolie fille. Je suis juste une femme. Je passe inaperçue, je me fonds dans la masse. Je n’ai rien à faire dans la famille Cohen. Je me demande quelque fois, si j’en fais partie. Regardez Sarah, Devon ou Aurélie. Tous les trois sont de la même famille. Moi je dois être adoptée, ou je dois être issue d’une union illégitime avec un plouc que ma mère a pu trouver dans les rues de Floride. ». Cette fille à la peau translucide, fait plus penser à une fille de l’est, bien que sa couleur brune ne semble pas coïncider avec le reste. Elle était si pâle qu’elle suscitait l’inquiétude ses professeurs dans le passé, il pensait qu’elle était malade. Comme si elle pouvait être malade. Petite, elle disait oui pour se faire remarquer des autres. Elle voulait être comme ses sœurs ou son frère qu’elle jalousait tant. « Pourquoi je ne suis pas comme eux ? Je suis juste une fille squelettique et brune qui porte des lunettes ! ». Depuis son plus jeune âge, la jeune femme avait une sévère myopie, elle dut porter des lunettes à ses quatre ans. Des lunettes rondes rouges à double foyer. C’était humiliant, elle passait pas inaperçue , elle faisait penser à une petite intello surtout au collège. Elle n’a jamais eu cette chance d’être adulée. La seule chose que les jeunes femmes ayant des formes pourraient lui envier c’est son corps squelettique et trop maigre. Elle ressemblait à une planche à pain. On pensait dans la famille qu’elle était anorexique ou boulimique et qu’elle essayait de s’imposer dans la famille. Mais ils comprirent vite qu’elle tenait de sa mère, elle ne peut pas grossir, ainsi est sa morphologie. Elle est considérée comme un squelette. Une peau humaine sur patte qui se déplace en ville au milieu des foules d’hommes et de femmes qui peuvent facilement l’écraser.
« Maintenant j’ai décidé de prendre soin de moi ! ». Tout à changé ! La jeune femme a vu son pouvoir de séduction avec les jeunes Floridiens. Elle sait qu’elle peut être différente et rattraper Sarah. Elle décide de prendre soin d’elle. Adieu les lunettes, bonjour les lentilles ! Son visage parfaitement symétrique est mis en valeur. Son teint est radouci. Elle laisse pousser ses cheveux ambrés. Ondulant dans le bas de son dos, ils épousent la maigreur de son corps. Elle décide de faire attention à son physique vestimentaire. Adieu les polos larges ou shorts de gamines. Bonjour les robes et les jupes ! Bonjour Jeans et Hauts sexys. Plus rien n’est laissé au hasard. Elle essaie d’étudier chaque chose avec attention. Elle mesure 1m70, elle pèse 56 kilogrammes. Elle ressemble à une petite souris, mais est-ce le principal ? Le principal est d’arriver aux chevilles de sa sœur et de son frère. Elle ne cherche pas la compétition, mais qu’on puisse la regarder autant que les autres le font pour sa famille. Elle ne veut plus être cette petite Cohen dont on oublie le nom. Elle veut être Jude Faith Peyton Cohen. La jeune fille de vingt-cinq ans qui essaie d’être une femme fatale qu’on respecte. Elle y arrivera. Elle ne se trompera pas, une nouvelle fois.
Caractère:
Judy changes her past. Character.
« Le coeur d'une femme est un océan de secrets. Nous ne sommes pas si idiotes que cela. Nous sommes plus intelligentes que la plupart des individus sur terre. Nous sommes juste effacées de cette population masculine voulant prendre le contrôle du monde. »
« Quelle fille complexe ! ». Tu n’as rien vu mon ami ! Oublie tout ce que tu as vu. Cette Cohen en a bien plus qu’on ne peut le croire. Tu penses que c’est une petite fille toute fragile, qui attend gentiment son prince charmant dans sa chambre, assise sur son lit, toute pensive et toute docile. Et bien tu as tout faux ! « Je me présente, je suis là pour réduire ton destin en cendre ! ». Tu as souvent oublié le prénom de Judy ? Ou plutôt Jude ? Non, non rien à voir avec la douceur de la chanson des Beatles. Cette fille est une dynamite. Elle fout le feu à la poudre ! Voici l’inventaire de son caractère : Douce - Réfléchie - Mature - Manipulatrice- Très intelligente - Capricieuse - Lunatique - Rebelle - Aime se faire remarquer - Jalouse - Folle - Discrète - Peureuse - Instable - Mystérieuse - Charmeuse - Manque de confiance en elle - Porte une carapace - Veut être ce qu’elle n’est pas - Calculatrice - Surprenante - Entreprenante - Caractérielle - Sérieuse - Ironique - Vantarde - Susceptible - Rancunière - Sensible - Maladroite - Imaginative - Rêveuse - Naïve.
Cela t’en bouche un coin ? Petite explication. Bien que Jude refuse d’admettre qu’elle possède une petite fille en elle est bien vrai. Elle est une petite fille. Dans ce monde de vedettes de New York, elle se sent quelque peu perdu. Sa crainte est devenue omniprésente. Elle tente de la dissimuler sous une carapace en béton qu’elle s’est forgée. Son comportement rebelle est du à cette métamorphose. Elle ne veut plus être celle qu’on oublie. Elle ne veut pas être adulée. Elle ne veut pas qu’on ne l’oublie. Les mâles New Yorkais ont du soucis à se faire. La bombe Cohen est lancée. Cette petite fille est devenue une sorte de Bitch. Une fille qu’on aimerait bien frapper pour lui remettre ses idées en place. Elle se met à se faire remarquer, tout est bon pour attirer l’attention, une attitude déplacée, une tenue parfaite, un entretien constant de son corps… Elle n’hésite plus à attendre le prince charmant, après tout existe-t-il vraiment ? Son plan s’appelle M.C.&. C : Manipulation, charme, Calculatrice. Prendre les hommes, les séduire. Tout un stratagème que seules les personnes brillantes arrivent à mettre en œuvre, il ne suffit pas juste de séduire. Mais il suffit de jouer avec la personne. Apprendre le jeu, le comprendre et en profiter. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir au moins une fois dans sa vie. Quand on joue trop à la petite fille sage, on se lasse de ce rôle et on se cherche pour tester nos limites. Jude est dans ce cas de figure, très lunatique, elle changera vite d’avis, elle sera franche mais n’hésitera pas à changer d’humeur si cela ne lui convient pas. Elle ne veut pas passer sa vie derrière les autres. Le fond de la scène n’est plus pour elle, aussitôt dit, aussitôt fait. Capricieuse, elle fait des caprices pour un rien, profitant de la situation pour susciter la pitié de son interlocuteur, elle ne supporte pas qu’on lui refuse quelque chose. Si elle peut tout avoir, elle fera tout pour l’avoir. Elle n’est plus la petite fille qu’elle était. Elle fait tout pour se faire remarquer. Tout y passe, notamment l’emploi de certains tons ironiques, elle se la joue grande fille. Elle veut faire partie de la cours des grands mais elle n’est qu’un pion dans cette cours de récréation, bien qu’elle joue de sa vantardise et de son côté méchant et caractériel, elle n’arrivera pas à se faire respecter, elle n’imagine pas la vie sous les projecteurs. Elle croit que tout est rose. Tout le monde vous admire, vous respecte. Mais c’est bien faux. Personne n’est derrière vous pour vous protéger, vous apprenez seul à vous débrouiller dans ce foutoir. Les autres ne sont que des figurants qui aiment une chose : détruire votre vie. C’est le passe-temps des véritables personnes méchantes. Elles ont quelques années d’expérience dans ce domaine, elles savent quoi faire. Alors que Jude vient à peine de débuter. Les autres rient bien d’elle derrière son dos. Certains tentent de la prévenir en jouant tout de même avec elle. Mais elle n’en fait que à sa tête. Elle est si têtue qu’elle ne change pas d’avis comme de chemise. Elle réfléchit beaucoup, beaucoup trop même. Mais ce monde qu’elle vénère et dont elle fait l’éloge n’est qu’une pourriture, un endroit où seuls les plus forts ont la tête hors de l’eau, les autres coulent, lentement, et s’enfoncent d’un coup sans que personne ne puisse le prévoir, il suffit qu’un idiot vous fasse courir et que vous galopez après pour tout perdre. Une réputation est si vite dégradée par ces évènements. Elle n’arrivera jamais à s’y faire.
Malgré tout, la petite Cohen conserve son caractère enfantin. Naïve, elle croit que le monde est beau et rose comme dans les contes. Elle croit facilement un homme dans ses propos, elle n’arrivera pas à reconnaître une femme qui se sert d’elle. C’est excessif, mais elle n’arrive pas à distinguer le vrai ou le faux. Elle sait se défendre, mais ses paroles ou ses gestes sont souvent maladroits. Elle arrive facilement à faire une gaffe. Très complexe, on se rend compte que l’intelligence est une chose qu’elle maitrise plus que tout. Ce qui est assez complexe quand on sait qu’elle est si naïve et qu’elle n’arrive pas à se défendre. Mais cela fait son charme, on a envi de protéger cette petite fille qui essaie de se rebeller, on a envi de la tenir dans nos bras pour ne pas qu’elle succombe aux plaisirs de cette vie pathétique. On a envi de lui éviter tout mélodrame, tout ce que l’on peut craindre de la vie. Elle n’a pas conscience du véritable danger qui peut nous attirer dans un gouffre pour nous anéantir pour toujours. Mature pour son âge, elle a du supporter bien des épreuves difficiles, elle a du être le pilier de sa famille. Jouer un rôle de grande fille avant l’âge adulte. Tout cela, tous ces évènements l’ont maintenue plus forte. Elle n’hésite plus à prendre de grandes décisions, elle se lance tout en réfléchissant aux conséquences. Mais il est sûr qu’elle aurait voulu une autre vie. Elle n’aurait pas voulu être le pilier de la famille, elle ne regrette pas, loin de là, mais elle aurait voulu profiter de sa jeunesse sans s’occuper de ses sœurs et de son frère sans cesse. Elle aurait voulu être plus libertine, plus libre dans sa façon de penser et d’agir. Mais notre Jude internationale est comme ça. On ne peut pas lui reprocher de sans cesse s’en faire pour les autres, bien au contraire. C’est pour cela qu’on l’aime, même si elle cherche à se faire voir. Elle reste tout de même cette fleur bleue que l’on veut à tout prix protéger pour ne pas qu’elle souffre dans ce monde cruel. Elle fera sa propre opinion du monde en vivant son expérience.
L'histoire
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La jeune femme était assise dans cette immense salle d’attente où des fauteuils étaient tous à côté les uns des autres. Ils étaient tous vides. Généralement peu de personnes attendaient dessus. Stressée, elle se leva et resta immobile. elle regarda les certificats du médecin encadrés dans des cadres en ébène. La vieille secrétaire la toisait du regard avec ses lunettes au fond du nez. Elle s’accouda contre le mur. A bas la bonne éducation ! Elle n’en avait rien à faire ! Elle n’avait pas envie d’aller voir ce psychologue. Mais comme toutes les mère qui se font des soucis pour leur enfant, elle ne voulait qu’une seule chose que sa fille soit suivie. Il ne fallait pas qu’elle devienne folle ! elle ne l’était pas. elle était tout à fait normale. Elle ne parlait pas encore à son portable ou toute seule que je sache, quoi que … Non ! Non ! NON ! Elle n’entrerait pas dans cette salle. L’odeur qui se dégageait lui donnait la nausée. Elle tourna les talons, inspira une profonde inspiration et avança une jambe. « Hum ; hum » La vieille femme venait de racler sa gorge. Dans son élan, Elle se stoppa. Se retournant, elle vit une jeune femme d’une trentaine d’année, les cheveux tirés en arrière et un sourire Email Diamant insupportable. Elle admirait secrètement la beauté des yeux marrons de Jude qui étaient si convoités par la gente masculine. « Mademoiselle Cohen ? ». Elle haussa les épaules nerveusement et avança d’un pas léger vers la jeune femme. Elle lui sourit une nouvelle fois, l’invitant à rentrer dans son cabinet. Elle se posa derrière son bureau en bois vernis. On pouvait admirer ses trophées de Yale positionnés tous au mur. Jude se perdit dans la contemplation de son bureau, elle ne faisait plus attention au blabla inutile qu’elle était en train de lui dire. « Je m‘appelle Clarisse Standford. Je serai votre psychologue. Je dois vous dire que ce n‘est pas parce que vous êtes ici que vous êtes folle, bien au contraire, je pense que vous avez bien besoin de vous confier. Il paraitrait que vous êtes solitaire. Ce n‘est pas un handicap, mais je serai présente pour faire un bilan sur vous-même. Bien serait-il possible que vous vous présentiez ? » Avait-ellevraiment le choix ? Non. Elle se redressa dans le fauteuil en cuir et regard la jeune femme qui commençait déjà à l’analyser. Elle détestait qu’on l’observe, ça la rendait encore plus stressée. Elle se demandait ce qu’il n’allait pas chez elle. Peut-être que sa mère pense vraiment qu‘elle est folle… Mais au fond d’elle une petite voix intense lui susurrait : Cause toujours vieille bique ! Comme si elle était capable de régler ses problèmes, depuis quand on peut régler les problèmes des gens en écoutant simplement leur petite vie ? Il fallait être vraiment stupide ou sénile pour comprendre de telles balivernes. Pourtant cynique et méchante comme elle pouvait l‘être, elle se prêta volontiers au jeu en sortant sa petite frimousse de confession. Vous savez c'est la première fois, que je viens me confesser, les gens me croient folle... C'est normal, il est vrai que j'aime regarder mon voisin de 57 ans faire de la musculation, voir les canards voler, j'aime particulièrement la vue des vaches dans les près, vous savez les noirs et blanches, elles sont toutes mignonnes et font "meuh, meuh". . La psychologue la regarda curieusement, elle était complètement folle. Avec un sourire gêné, elle préféra mettre un terme au rendez-vous. La jeune femme était enfin libre, plus besoin de voir une vielle bique vous surveiller et vous montrer des formes incohérentes sur des feuilles de papiers vierges. Il n’y a rien de pire que ces feuilles de papiers, c’est le signe de la folie. Ces feuilles bizarrement lui rappelaient des choses. Bien des souvenirs enfuis dans sa mémoire, elle ne s’en rappelait même plus.
Flash Back ? Extrait de naissance. Jude Faith Peyton Cohen, né le 14 mars 1986 à 14 heure. Père : X Cohen, Mère : Y Cohen. À l’hôpital de Floride. Ce jour de naissance était celui que la famille Cohen attendait avec impatience. Et pourtant, malgré tout cet enfant reste un véritable soucis, la jeune femme Y avait déjà eu un autre enfant avant cette petite. Un garçon Devon, tous les trois étaient une véritable famille. Pourtant, elle tomba enceinte accidentellement. Jude n’était pas souhaitée, mais ils avaient préféré la garder. Elle allait naître et combler cette toute petite famille. Le jour de la naissance fut le plus beau. On l’imaginait déjà aussi belle que sa propre mère, grande et fine. Une frimousse angélique et un caractère ayant du mordant. Ce bambin que tenait la jeune mère dans ses bras était brune et avait des yeux marrons vifs. Un regard expressif et beau comme tout. Elle était la plus belle petite naissant en ce jour. Ils étaient fiers qu’elle soit leur fille. Son frère était près d’elle, l’empêchant de respirer, il s‘amusait à la réveiller, à toucher ses petites mains. Le tableau était celui d’une famille unie. Mais il ne fallait pas rêver. Il allait y avoir très vite des conséquences. De graves conséquences. The end.
« Mademoiselle Cohen, je sais que c’est trop vous demandez, mais il serait peut-être temps de me raconter votre enfance. Si vous voulez je vais vous raconter la mienne. Je suis née en France, à Paris, j’ai fait les plus grandes écoles, j’ai vécu dans une famille bourgeoise. ». Cette idiote ne savait même pas de quoi elle parlait, elle pensait la convaincre avec ses blabla à deux francs ? Il était impossible de convaincre son âme si froide, elle s’éloignait des autres pour se protéger. elle avait peur de perdre le contrôle de ses émotions. Être faible était la pire chose qu’il pouvait arriver. Son père n’avait cessé de lui répéter : « Jude ne soit jamais faible, tu peux te blesser et ne plus t’en relever. ». Ce n’est pas vraiment encourageant. C’est même inquiétant. « Je… Mon enfance ? Ah oui, bien elle se situait en Floride j’imagine. ». Elle s’était passée en Floride, elle avait fait un court cursus scolaire, elle n’avait pas connu d’autres villes que cette dernière. A vrai dire elle n’avait pas eu l’occasion de s’occuper d’elle-même. Flash Back. Elle se rappelait de son enfance. Elle était assise dans sa chambre, c’était la rentrée des classes. Elle allait rentrer au lycée. Son frère y était déjà passés. Sa petite sœur Aurore était déjà addict aux substance illicites et occupait l’attention de toute la famille. Jude était dans sa chambre comme d’habitude, elle regardait l’armoire et se regardait dans la glace. Elle était fine, trop maigre, on la pensait anorexique, mais tout le monde savait qu’elle ne l’était pas. Elle avait des cheveux courts, ondulés, des frisotis. Son visage était orné de lunettes rondes, bien trop grosses pour son visage. Elle portait un pantalon en jean démodé sans doute et un tee-shirt bleu ciel. Sa sœur, maintenant au collège rentra dans sa chambre. Elle était habillée comme la digne pompon-girl. La fille qui est remarquée de tous. Elle portait cette grande robe noire qui épousait ses formes. Elle s’approcha de sa sœur et la regarda habiller ainsi, elle pensait qu’elle ressemblait à un clown. Elle n’avait pas conscience du mal qu’elle pouvait lui faire. Elle ne supportait plus être dans l’ombre de sa sœur. Elles montèrent dans le bus scolaire et tout le monde remarqua trois personnes : Devon, Sarah et Aurore. Mais Jude passait pour une innocente qui était seule dans son coin sans véritables amis. Voilà son rôle, elle était devenue la dernière et l’inintéressante de la famille Cohen, la ratée de la génération. Elle avait l’habitude d’être seule à l’avant du bus. Sans personne à qui véritablement parler. Elle était seule dans le monde Cohen, elle n'était que leur fille, mais elle passait inaperçue. Devon était ce grand jeune homme fou et vagabond. Sarah était cette magnifique petite femme qui possédait tous les charmes d'une banale lycéenne populaire et quant à Aurore, elle était la seule à être torturée et addict à toutes ces substances. The End.
Jude a toujours été choquée par cette image. Elle ne pouvait supporter plus de questions de cette vieille bique. Elle se leva et se dirigea vers la sortie du cabinet. Elle prit la fuite, encore une fois, Elle était fuyarde. Sortie dehors, elle épousa le soleil avec conviction que c’était un mauvais cauchemar. Elle prit son paquet de cigarettes et en porta une à ses lèvres. Elle se rappela sa première cigarette, c’était lorsque sa sœur décéda. Aurore venait de quitter ce monde dans des conditions tragiques. Elle était la personne clé de la famille. Elle s’occupait de tous les papiers, des factures qu’elle payait avec son argent. Ses parents étaient partis en Afrique pour enterrer leur fille, quant à sa sœur et son frère, ils déprimaient chacun dans leur coin avec leurs amis sans doute. Non Jude était face à son destin. Judy comme on l’appelait à la maison avait pris l’habitude de fumer. Personne n’était au courant de ça. Elle semblait si gentille et si douce qu’elle ne pouvait pas se rebeller. Elle avait pourtant décidé de se faire remarquer de la troupe. Elle changea de style, devenant une jeune femme active qui cherche du travail. Elle était féminine. Elle avait les cheveux longs. Elle avait remplacé ses lunettes par des lentilles. Sur son omoplate régnait une rose rouge, sa fleur préférée. Elle l’avait faite pour marquer sa nouvelle vie; Maintenant elle avait décidé de prendre soin d’elle. Son caractère avait changé, elle avait décidé de se rebeller, de se faire remarquer. Son objectif était et est de dépasser son frère et sa sœur. Elle y arrive petit à petit. Elle gagne de plus en plus de conquêtes et possède maintenant un boulot d’assistante d’un rédacteur en chef d’un très célèbre magasine de charme. La vie a décidé de lui sourire enfin. Mais comme toutes les chances, elles sont éphémères et la jeune femme change et s’engloutit dans un monde qui n’est pas le sien, elle croit en ressortir indemne, mais elle ne ressortira que blessée de cette expérience. Seul son triste voyage à New York pourra nous le démontrer.
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Behind the computer
Prénom:Maude Âge : 16 Avatar choisi : Keira Knigthley Comment as-tu connu ce forum ? : Par forumactif Ton avis (design, contexte, ...) : Le design est magnifique. Quant à l'organisation des codes, elle est tout simplement magnifique. J'ai rarement vu de forum avec un codage aussi complexe et joli. Sincèrement j'ai craqué au premier coup d'oeil Présence sur le forum : 6/7 Autre(s) compte(s) : Nope Exemple de RP :
Spoiler:
V
CONSTANCE ; MARTIN
« J'ai eu peur de beaucoup de choses, mais la principale est celle de te perdre.» I just have to say it once. You just need to hear it. I love you, Elena. And it's because I love you that I can't be selfish with you... • • Damon Salvatore
Jouer avec les sentiments était un jeu que savait pratiquer Martin. A force de jouer, on finit par brûler ses propres ailes. On lui avait dit de nombreuses fois de ne pas se laisser avoir par un petit minois, des yeux de biches et des lèvres purpurines. Autrement dit l’apparence d’une jolie femme. Jamais ces démons n’avaient fait obstacle en sa croyance en lui-même. Il était lui-même le dieu qui combattait les démons les uns après les autres. Il s’amusait à briser le cœur de ces dernières, brisant leur destiné et leur fierté. Il se vantait de ses propres mérites. Il se vantait trop. Il finirait certainement par être puni par une forme au dessus de lui. Cette forme n’existait pas, il était sûr que ce n’était qu’un mythe qu’on ne cessait de lui raconter. Il n’était plus un enfant et savait très bien comment se défendre face à ces démons que l’on nomme les femmes. Dieu avait créé Adam et Eve. Cette dernière avait condamné le jeune homme trop croyant en vertu de son beau petit minois. Eve sur terre existait, elle était gracile et charmante. Elle portait en elle les atouts de faire disparaitre quiconque s’approchait d’elle. Ses longs cheveux en cascade tombaient sur ses épaules pour exprimer la part de féminité en elle. Ses yeux de biche étaient le miroir même de l’hypocrisie. Elle jouait au même jeu que le jeune garçon. On associait souvent le miroir aux yeux, c’était tout à fait le cas. Elle était le type de femmes que les hommes auraient nommé Démon ! Elle était tout comme Hélène de Troie. Elle était la cause de la guerre par la faute de son prétendant qui après avoir donné à la pomme d’or à Aphrodite contre l’amour de la plus belle femme du monde avait mis fin à un peuple. Cet homme naïf ne faisait ça que pour l’amour de la jeune femme qu’il avait réussi à avoir grâce à cette fameuse déesse. L’homme aveuglé par la beauté de sa tant aimée ne se doutait pas qu’elle allait retourner avec son véritable mari. Il sombrait petit à petit. Pâris.. Ce bel étalon Troyen. Il était comme Martin, tout aussi naïf et aveuglé par la beauté de sa Hélène -Constance-. Elle pouvait faire n’importe quoi de cet être humain. Sa mort était le principal souhait de Martin. Il n’inspirait plus à rien dans ce monde. Sa lumière était Constance, elle arrivait à l’éclairer et à le guider. Elle agissait comme un philosophe sur sa raison. Elle était son unique raison de vivre. On pouvait tout prendre au jeune homme. Sa vie, son argent, son âme, son corps en échange d’une seule chose : une romance éternelle avec la jeune femme. Elle avait d’autre projet, il restait clairvoyant, mais anéanti et nourri par la haine, il ne voulait qu’une chose la récupérer, panser cette blessure que lui offrait son cœur. Son unique moyen était la drogue. Il était surpris de la voir débarquer à une telle heure de la nuit. Il espérait voir son frère, son meilleur ami. Mais il avait droit à son pire cauchemar pour qu’il puisse une bonne fois pour toute se mettre en face d’elle et lui dire ce qu’il ressentait. Il devait lui ouvrir encore une fois son cœur et se mettre à nu. Seulement, il avait peur de cet avenir qui s’offrait à lui. « Ma faute ? ». Comme un gamin en faute, il baissa le regard anéanti par la peine. « Bien sûr, pourquoi est-ce que je pose la question, c'est vrai qu'il est tellement plus facile quand c'est de la faute des autres, n'est-ce pas. [..] Tu t'es fourré toi-même dans ton gouffre.». Il en prenait une en pleine gueule, tu t’y attendais à celle-là De Thomas ? Eh ben non ! Se laissant pas abattre par les évènements, il osa relever le regard. Celui Italien, aux couleurs des eaux de Guadeloupe. Ils étaient marqués d’une étincelle rouge qui enflammait l’ensemble de son regard. « C’est de ma faute d’être ici ; mais tu es aussi coupable que moi de ce qui m’arrive ! As-tu une seule fois aimée à en mourir ? » . Ce gouffre n’était que l’enfer, il voulait y mettre fin, mais c’était impossible, il fallait de la volonté, il n’en avait aucune ! Oublier tous ces mois à l’attendre était au dessus de ses forces. Il s’attendait toujours à ce qu’elle puisse craquer. Il était prêt à tout pour elle. Quelque fois, il se demandait si elle s’en rendait compte. C’était comme parler à un mur qui vous fait volte face, vos propos sont clairement exprimés mais aussitôt ils vous reviennent dessus. Ce n’était qu’un enfer. Cette vie était un enfer, tout était sous l’œuvre du Diable, ce Diable qui autrefois s’appelait Martin. That Suck ! « Crois-le ou non, tout ce que j'essaye de faire c'est de t'aider. ». L’aider ? C’était encore plus facile de lui jeter une dague dans le cœur. Cette action serait moins insupportable à supporter que de la revoir devant lui. Son regard était des plus sérieux. Il était convaincu de ses paroles, de ses actions. Mais ce n’était pas les bonnes. Il avait besoin d’une aide gestuelle, sentimentale, non de parler pendant des heures sous un lampadaire, mais il ne devait rien attendre en plus. C’était les seules choses qu’elle pouvait lui apporter. Elle était présente devant lui, à le regarder dans les yeux. Son regard croisait le sien à l’unisson, pourtant il n’était pas touché, ni soulagé. Il s’inclina légèrement en avant et avec un certain sourire hypocrite, il savourait ce moment qui pouvait être le dernier en sa présence. « Je te remercie de m’avoir fait sortir de prison ! Sincèrement ! Mais je n’ai besoin de l’aide de personne. Je peux m’en sortir seul, combien de fois j’ai du compter sur moi-même pour régler un problème ? Des centaines de fois, donc ne t’inquiète pas pour moi, tout va bien ! ». Ce sourire qui ornait ses lèvres était faux ! Il avait besoin d’aide comme personne, mais il ne pouvait pas lui en demander, elle était trop occupée avec ses propres problèmes. Cette méchanceté qu’il devait exprimer envers elle, lui demandait de l’endurance, et surtout beaucoup de courage. Il devait être méchant, pour qu’elle le haïsse encore plus. C’était pour elle qu’il faisait ça, il souhaitait l’oublier, mais elle restait comme une blessure interne qui ne peut pas se soigner. Il avait besoin de temps, le temps comme on dit c’est de l’argent. Il était prêt à tout pour elle. Elle pouvait revenir le voir dans quelques années, il la reprendrait. Son amour pour elle était un des plus forts, le plus fort qu’il n’avait jamais ressenti pour une personne. Est-ce qu’un individu humain pouvait surmonter un tel amour ?
If my body was on fire, ooh You’ d watch me burn down in flames You said you loved me you’re a liar Cause you never, ever, ever did baby…
Elle possédait son remède entre ses fins doigts. L’obscurité dérobait cet objet sous ses yeux. Jamais plus il ne pourrait y toucher, ni y goûter, c’était une fin, un adieu. Tout comme il devait le faire avec elle. « Je n'ai jamais dit que je ne voulais pas de toi. » . Sa gorge le brûla. Il sentait cette acidité, cette amertume qui prenait son contrôle. Son teint autrefois bronzé était devenu livide, mais suite à ces mots, il fut marqué de quelques couleurs rosées marquées par la lumière brute de la lumière présente au dessus de leur tête. « Que veux-tu de moi ? Dis-le moi une seule fois, dis-moi la vérité ! ». Toutes ses paroles frappaient son cœur en morceaux, il n’était plus qu’une épave qui cognait les bords de sa cage thoracique. Était-il facile de croire toutes ces paroles ? Fallait-il qu’il la croit ? Pourquoi ne pas s’être battue pour lui ? Il n’était pas le meilleur parti de Berkeley, certes, il n’était pas aussi blanc que neige. Il n’était pas aussi parfait que Edward, mais il était fou d’elle. Il était prêt à tout pour elle. Encore une fois, il laissait sa raison de côté et laissait parler son cœur qui fut pendant de si nombreux mois sous silence. « Tu préfères te choisir tes propres réalités, réveille toi. Je n'ai jamais dit que je ne t'aimais pas et que je ne voulais pas de toi.[…] Mais vouloir de quelqu'un qui survit à la place de vivre, de quelqu'un qui se drogue pour pas se laisser crever après une épreuve. Franchement Martin, tu te sabotes toi-même.[…] T'es plus fort que ça, je le sais. J'aurais préféré que tu me montres que j'avais fait le mauvais choix plutôt que de te laisser bouffer comme ça. »L’ultimatum qu’il lui avait fallu ! Depuis le début, il aurait du être présent. Il se reprenait une baffe en plein dans le visage. Ses paroles étaient pleines de sens, elle avait raison sur toute la ligne. En réalité, il jalousait Edward d’avoir pris le contrôle de son cœur. Il était jaloux de sa façon de la regarder, et de la façon dont elle le regardait ! Il aurait tout donné pour être cet homme là à ce moment présent, et non celui qui est fautif et accusé de plusieurs fautes qu’il n’aurait jamais du commettre. Constance, si tu savais, tout ce que je ressens pour toi, ce serait plus simple.. Ce n’était qu’une simple pensée, une baliverne qui lui passait par l’esprit. Il ne put contrôler ses larmes qui parvinrent à briser la carapace de fer qu’il s’était forgé. Il était faible, il n’était qu’un gamin dans un corps d’adulte. « Ne dis pas de telles choses ! C’est comme si je n’avais rien tenté de faire. Bon sang, Constance, si tu connaissais la vérité ! J’aurais du agir avant je le sais, mais je ne l’ai pas fait, par peur. Je n’étais pas conscient de ces sentiments que je ressentais pour toi. Je ne connaissais aucune définition exacte, ce sentiment me rongeait les os ! Je n’étais pas conscient du mal que je m’infligeais, mais surtout à toi. Je ne te mérite pas, je le sais ! Tu mérites mille fois mieux qu’une épave comme moi, je sais qu’Edward est mieux de ce côté-là. Il est tout ce qu’une femme peut rêver, sain, beau, intelligent… Il a tout pour lui, il t’a surtout. C’est la plus belle chose qu’il a pour lui ! ». Il marqua une pause, avant de la regarder une fois de plus dans les yeux. Il se rapprocha d’elle. Son souffle sucré caressait son visage. Il n’était qu’à quelque centimètre d’elle avant de lui faire part de ses véritables sentiments. « J’ai quelque chose à te dire, c’est certainement la chose la plus égoïste, la plus stupide que tu vas entendre de ma part. Je le pense réellement. I.. I love you Constance, only you ! Je suis si égoïste que je ne te laisse pas partir, mais Constance tu fais parti de ma vie. Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai toujours. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée, tu es le feu qui illumine ma vie, la flamme qui brûle mon corps. J’aurais tant voulu te le dire avant mais j’en étais incapable. J’aimerais tellement que tu puisses me laisser une autre chance, laisse-moi te montrer ce que je ressens pour toi, rien qu’une seule fois ! Laisse-moi rattraper Edward, laisse-moi être à sa hauteur. De toute ma vie, je n’aimerai jamais une personne autant que toi. Tu seras toujours dans mon cœur, mais je t’en prie, laisse-moi une chance d’être à tes côtés, rien qu’une seule fois ! ». Ainsi ce fut les paroles les plus romantiques que prononça Martin De Thomas, jamais de sa vie, il n’avait fait une véritable déclaration d’amour, mais il se tenait là, il ne pouvait plus échapper à son destin. Elle faisait parti de sa vie, il avait besoin d’elle pour avance, il ne pouvait pas la laisser tomber, que ce soit dans un mois, ou dans vingt ans, il sera toujours là pour atteindre la perfection qu’elle demande. « Et si tu crois qu' Edward est mieux lotie que toi, tu te trompes. ». Il mordilla sa lèvre inférieure, elle parlait de cet être qu’elle aimait tant, mais il avait au moins une chance, elle était à ses côtés. « Il a une certaine chance, il a ton cœur, je suis jaloux de lui ! Jaloux de cette volonté qu’il a envers toi ! Je suis jaloux de cet amour que tu peux ressentir pour lui et non pour moi ! » . Un véritable gamin qui devait exprimer cette jalousie qu’il ressentait au plus profond de lui. La jalousie est la plus belle preuve d’amour que l’on peut ressentir pour une personne. L’amour est un jeu dangereux dans lequel on doit se salir les mains pour arriver à ses fins. « Il est comme toi, il a choisi la mauvaise personne. » Pris de rage, les traits de son visage s’accentuèrent, il n’arrivait pas à comprendre qu’elle puisse ressentir cela. Elle bafouait les sentiments qu’ils avaient tous les deux pour elle. Ce n’était pas une des meilleures façons de respecter les deux jeunes hommes qui étaient fou d’elle. « Je t’interdis de dire cela ! En disant cela, tu nous jettes un poignard en plein cœur et tu te régales de nos restes. Non nous n’avons pas choisi la même personne. T’es-tu au moins essayé à ce jeu qu’est l’amour ? ». « Je sais qu'il y a quelque chose entre nous dont je n'arriverais jamais à me séparer. […] Mais je ne suis pas la personne qu'il te faut. »Encore une fois, il était en désaccord avec elle. Il serra ses poings, il ne tenta pas de s’énerver, il risquait de s’emporter et de briser toute chance de la reconquérir un jour. Il préférait mille fois être mielleux avec elle et d’avoir ce qu’il voulait que de s’énerver et qu’à eux-seuls ils élèvent la voix l’un après l’autre. « A nouveau, je t’interdis de dire ça ! C’est faux ! Totalement faux ! On se ressemble bien plus que tu ne peux le penser ! Nous sommes similaires Constance, tu es mon double au féminin. Tu ne peux pas dire que je ne suis pas fait pour toi, dans ce cas je ne suis fait pour personne, mais le cœur a sa raison que la raison ignore. On ne choisit pas ses propres sentiments, mais on peut choisir ses choix, et mon choix c’est toi, j’ai envi d’être avec une seule personne : toi ! » . Sa vie, il ne l’avait imaginé avec personne d’autre qu’elle.
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Dernière édition par Jude P. Cohen le Lun 16 Mai - 19:02, édité 19 fois
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Jeu 12 Mai - 23:39
keira k. Bienvenue ici Par contre la seule initiale du second prénom suffira (a).
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Jeu 12 Mai - 23:45
Ce scénario. Bienvenue.
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Jeu 12 Mai - 23:46
Bienvenue Par contre je te demanderais de mettre la célébrité choisit dans la case sous ton tire, merci (:
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Ven 13 Mai - 0:00
PEYTOOOON!!! Punaise, comment ça me donne envie de reprendre le cousin Paulochon.
Et puis Keira.
Bienvenue & bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Ven 13 Mai - 0:19
Merci tout le monde
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Ven 13 Mai - 0:33
Petite soeur
Bienvenue sur le forum. Si tu as des questions ou quoi que ce soit, hésite surtout pas
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Ven 13 Mai - 9:06
Ooooooh Keira Excellent choix d'avatar ! Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Ven 13 Mai - 12:07
Bienvenue sur le forum & bonne chance pour ta fiche.
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Sam 14 Mai - 14:25
Bienvenue !
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Dim 15 Mai - 23:59
Merci à vous tous, vous êtes des amours
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Lun 16 Mai - 15:22
Oh yeah pour moi tout marche dans l'histoire et les petits détails qui coinçaient ont été vu par MP.
A vous la team
Ah oui et j'oubliai Jude, quand tu es validé tu as obligation de venir RPotter avec ton grand frère préféré.
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Mar 17 Mai - 15:11
Puisque tout est bon aussi pour Devon, un admin devrait venir te valider d'ici peu (:
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Sujet: Re: Jude Faith Peyton ± Hey Jude don't be afraid ♥ 100% Mar 17 Mai - 22:41
Validée !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !