De la tristesse , et toujours de la tristesse. C'est ce que je ressentais depuis le départ de Soazig. Voilà maintenant cinq mois que je ne l'ai pas vus, l'idée de la retrouver m'avais déjà traversé l'esprit mais ayant beaucoup de problème avec mon passeport, et en attente d'en recevoir un nouveau, je devais donc attendre et rester ici a me morfondre. Mise a part pour aller travailler je ne suis pas sortis depuis cinq mois. Seul ma passion, la danse ma aidé a tenir. Si je n'aurais pas jouer au con tout ça ne se serait jamais arriver, elle ne serait pas partit, j'ai vraiment tout gagner. Quand je l'appel, elle ne décroche pas, et aucune réponse non plus pour mes textos. Mais qu'est ce qui m'a prit vraiment, je ne suis qu'un imbécile de première. J'étais peut-être désemparé, mais ce n'était pas une raison de me laisser faire quand Sarah est venue vers moi. Malgré que je ne l'ai pas vraiment embrasser, Soazig a vu ce qu'elle a vu. Et elle n'a pas eu tord de me jeter la bague de fiançailles à la figure.
Je me trouvais là, assis sur un bain de soleil. Pensif. Ma mère vient de me prévenir que j'ai reçu mon passeport. Depuis des mois je n'avais jamais était aussi heureux. C'était une grande nouvelle pour moi, je pouvais enfin aller la rejoindre. Il fallait que je lui dise droit dans les yeux que je l'aime de tout mon cœur et que c'est elle la femme de ma vie. Il faut que je me bouge. Je pris une douche, m'habille convenablement , et partis en direction de la villa des parents de Soazig. Ses parents doivent avoir des renseignements concernant sa destination, sa nouvelle adresse. Je ne peux pas rester ici dans le seul espoir qu'elle vienne me rejoindre. C'est a moi d'y aller. Sa mère me donna tout les renseignements possible concernant Soazig. Je m'entendais très bien avec sa mère. Ses parents ont toujours étaient la pour nous, et nous ont encourageaient pour les fiançailles, et le mariage.

New-York. C'est donc la ou Soazig vivait actuellement. Je n'ai jamais mis les pieds a New-York, ça aller donc être une première pour moi. Je pris toutes mes affaires dans deux, trois valises. Je pris le nécessaire, et s'il faut, une fois arriver a New-York, j'irais acheter quelques vêtements. Ma mère ne voulait pas me laisser partir, mais fallait que je me prenne en main, sans elle je ne suis pas heureux. Il faut que je retrouve cette joie de vivre et pour ça c'est elle qu'il me faut. J'embrasse ma famille, et partis pour l'aéroport.

New-York

Je venais de poser les pieds sur la terre New-Yorkaise. Le paysage changeait du tout au tout, ça n'avais rien a voir avec mon pays, le Maroc. Je regardais autour de moi, il y avait beaucoup trop de monde ici, comment Soazig pouvait supporter cette ville. Je portais au coup ma chaîne porte bonheur, j'avais mis la bague sur celle ci. Je la serra dans mes mains, en espérant que ça me porte chance. Je resterais ici le temps qu'il faudra. Je ne perdis pas de temps, il fallait que je me trouve une chambre d'hôtel au plus vite. Il était déjà vingt et une heure. Il n'y avait pas de temps a perdre. Je demandais a quelques personnes qui se trouvaient autour de moi, tous m'indiquent le même hôtel. Je suivis donc leur conseil et me prit une chambre dans l'hôtel indiqué par les personnes.

Enfin installé, je sortis de ma poche le papier avec ci-dessus l'adresse de Soazig. Je parcourus donc l'avenue a la recherche d'un taxi. Une fois dans le taxi ce n'était qu'un jeu d'enfant pour trouver le lieu écrit sur le papier. Je montres donc l'adresse écrit et le chauffeur m'emmena directement devant la résidence. Je sortis du taxi, puis le paie ensuite. J'avais peur, peur de sonner chez elle. Qu'elle ne veuille pas me parler, ou pire qu'un me ferma la porte au nez. Ou même qu'elle est rencontrée quelqu'un. Si c'était le cas, je ne me le pardonnerais pas, je m'en voudrais toute ma vie, mais au moins j'aurais essayer. En cause de se fichus passeport j'aurais perdu toute mes chances pour la récupérée ? Non, je ne devais pas penser au négatif. Il fallait que je me lance. Je monte donc les quelques marches qui m'emmènera devant sa porte d'entrée. J'ai une boule au ventre. Il fallait que je me calme. Devant la porte je souffles un bon coup, et sonne une fois, deux fois, trois fois... Il n'avait pas l'air d'y avoir quelqu'un, je tourne donc les talons, pour me diriger vers la sortie, quand tout a coup la porte s'ouvrit...

ok by Dylan