Sujet: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 4:44
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Rebels
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Quand on veut on peut!"
Signe(s) Particulier(s)
Drazic a un tatouage entre les deux omoplates. C'est un tribal assez imposant. Il a également quelques cicatrices mais discrètes sur son épaule, d'autres plus profondes mais invisibles.
Orientation Sexuelle
C'est un hétérosexuel à 200% .
Drazic S. Carter
Physique & Caractère
Apparence & Style:
EXIT : les chemises à carreaux portées en dessous d'un pull en coton, style "fils à papa", comme on peut en apercevoir des centaines vêtus de la sorte dans les facultés de droit !
Le look gothique, rockeur, rappeur n'est pas non plus son genre. D'ordinaire, un simple jean, baskets, t-shirt font l'affaire. Ce n'est pas une fashion victime ! Il est même loin d'en être une. Cependant, il ne s'habille pas comme un clochard non plus. Son style vestimentaire est simple, classique. Il est vrai qu'ayant achevé ses études universitaires, si éventuellement, il se décide à se lancer dans le monde du travail ; le costume du pingouin ( tel qu'il le surnomme ) sera de rigueur. Or, loin d'avoir fait les démarches nécessaires pour se faire, il se contente de mettre ce qui lui plait. Il lui arrive souvent de s'affubler d'une veste noir trois-quarts ou d'un blouson en cuir noir lorsqu'il circule avec sa moto. Autant dire qu'il ne portera jamais de T shirts avec des smileys ringards, de grosses chaines avec pendentif autour de son cou, ni de casquettes colorées avec des couleurs flashy. Ce n'est pas son genre. Il lui arrive de temps en temps de revêtir des baggys mais il ne suit pas la mode au point de baisser son pantalon afin qu'on distingue son caleçon !
Ses accessoires : une montre en argent à son poignet droit, une chaine fine, discrète en argent, une gourmette avec ses initiales, autour de son poignet gauche, avec une inscription à l'intérieur.
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Caractère:
Pour être concis, cet homme peut-être caractérisé par un seul adjectif : lunatique.
En effet, calme et serein certains jours, doté d'un self contrôle à toute épreuve, alors même que son interlocuteur serait arrogant, irritable, agaçant ou exaspérant ; il peut se révéler impulsif, colérique et violent à certaines périodes. Autant dire, que le personnage est difficile à cerner et que tout dépendra de son humeur, au jour le jour, de la personne avec laquelle il entretiendra une conversation. Pourtant, son entourage proche sait pertinemment que Drazic possède certains défauts et certaines qualités immuables.
Sa franchise et sa spontanéité lui ont causé, à de nombreuses reprises, de gros soucis. Néanmoins, lorsqu'il souhaite agir pour une bonne cause, il peut se montrer diplomate et réfléchi. Depuis son plus jeune âge, son côté buté et déterminé lui ont terni son image d'élève modèle. Intelligent, il accumulait de bons résultats, mais son tempérament de feu l'ont empêché de gravir plus rapidement les échelons.
Son côté espiègle et taquin lui ont permis de développer son cercle d'amis, de relations( bonnes ou mauvaises), en revanche, sa méfiance est telle qu'elle lui restreint sa sociabilité. Autant être clair et précis dés le début, il n'accorde que rarement sa confiance. Cependant, lorsqu'une personne acquière son respect et se montre loyal, il est prêt à donner sa vie pour la protéger. Il déteste les machos, les orgueilleux, les gars qui se sentent supérieurs à d'autres. C'est également un perfectionniste à l'excès ! Étant un très mauvais perdant, il fera tout son possible pour remporter une course ou pour accomplir le but qu'il s'était fixé. Bien qu'il ne soit pas prétentieux, il visera toujours à atteindre le summum plutôt que de se restreindre au strict minimum.
La passion fait partie intégrante de sa vie. Ainsi, il prendra goût, peu à peu, aux courses de voiture bien qu'il méprisât, auparavant, cette activité, en y devenant accroc. Autant dire que côté cœur, il en va de même lorsque bien évidemment une femme lui plait. Enfin, Drazic est indépendant, se complaisant dans cette liberté de faire ce qui lui plait, quand il le désire, ne devant rendre des comptes à personne, haïssant qu'on lui donne des ordres.
L'histoire
Dans un petit bureau vitré, la radio a grésillé et une voix rauque a nasillé :
-Ici steven, j’écoute.
-Steven, ici Matthew, voiture 16. Envoies des renforts, ils sont plusieurs. Le véhicule arrêté sur la route B 22 est une Ford Mustang 1967, son numéro est 114739 Foxtrot, PA . Je viens de l’intercepter. Ils sont nombreux. A vous.
- Restez en ligne, voiture 16.
Steven devait rechercher dans les données informatiques le propriétaire de cet engin, savoir si ce numéro n’avait pas fait l’objet d’un signalement. Cette voiture avait-elle été volée ? L’homme, qui participait à ces courses, ces rodéos, avait-il été traduit en justice pour homicide, viol ou violences conjugales ? Ce furent les principales infractions qui se succédaient à une vitesse vertigineuse, au sein de la ville de New York, depuis quelque temps. Pianotant sur son clavier, il y eut, par la suite, un brouhaha insoutenable, pendant lequel l’ensemble des officiers se mobilisaient afin de se rendre en direction de ce rodéo infernal. Cela faisait plusieurs mois qu’ils traquaient ces jeunes inconscients sans obtenir de bons résultats. Mais l'un des agent qui avait arrêté la mustang en avait, enfin, rattraper un.
-Voiture 16, ici Steven,, pouvait-on entendre, de nouveau, parmi les bavardages qui s’amplifièrent désormais dans la petite salle.
-Oui, je vous reçois.
-La voiture est immatriculée au nom d’un certain…
Mais la conversation fut interrompue. Un crissement de pneus fut audible malgré la mauvaise qualité du son ainsi qu’un grognement et des injures vociférés à voix haute.
-Ce petit con a prit la fuite. Je répète, il s’agit d’un délit de fuite.
-Je préviens les autres, Matthiew, lances-toi à sa poursuite ! Files-le !Le lâches pas!
Le bruit du gyrophare puissant fut perceptible ainsi que le rugissement du moteur. Puis, tandis qu'une forte accélération s'ensuivit, un choc brutal de deux carrosseries s'emboutissant, mêlé à un fracas de verre brisé, percèrent les tympans du vieil homme qui était accolé à cette radio. Le cri de son collègue, Matthew, lui fit écarquiller les yeux pendant que sa main tremblante agrippait les clefs de sa voiture de fonction.
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Voila cet évènement qui a bouleversé ma vie définitivement. J'y étais... Sur une chaise, éloignée du bureau du vieil acolyte de mon père, qui était parti en trombe. Je suis resté muet, inerte, plongé dans un état catatonique. Je n'avais pas réalisé ce qui était advenu, tout s'était déroulé si rapidement. Matthew Carter, décédé par des petits S******* * qui, le soir venu, n'ayant rien d'autres à faire dans leur petite vie sinistre, viennent em*****r leur monde! En pleine autoroute, sans barrages, zigzaguant entre les automobilistes qui, eux, respectaient le code; qui, eux, étaient de bons citoyens sous tout rapport; eux qui avaient certainement des enfants, des chiens, une belle baraque, un bon boulot. Bref, de bons civils qui ne voulaient pas avoir d'ennuis...
Je me rendais régulièrement au commissariat du coin, juste avant qu'il finisse son service. Tous ses vieux collègues me connaissaient par cœur.Il faut dire que les soirées "beuverie " entre eux ( je n'avais pas l'âge légal) le soir, au bar, allaient bon train. Pour certain, j' étais *comme* leur fils qu'ils n'avaient pas pu avoir, trop occupé par leur boulot, excessivement passionné par leur travail, médaillé, plusieurs fois, mais sans aucune descendance. Moi? Je fus la seule que mon père avait.
Le regard dans le vide, fixé sur la radio, je me souvins de ma première réaction. Me rendre sur place pour constater les dégâts, contempler le cadavre de mon père, meurtrissant mes paumes en serrant si fort mes poings sous l'effet une fureur incontrôlable. Non, je n'étais pas ce genre de petit bonhomme à pleurer, à s'effondrer devant les autres. Ce n'était pas mon caractère, j'encaissais, voilà tout. Étrange, allez-vous me dire pour un môme à peine âgé de douze ans.
Ma prime enfance" fut une période utopique. De l'amour, du soutien, des amis, des journées parfaites. Bref, une jeunesse exemplaire dont tout enfant souhaiterait. Ce fut vers l'âge de mes onze ans, que mon entourage s'était aperçu à quel point je différais des autres enfants. J'étais selon bon nombre d'entre eux hors normes, comme déconnecté du monde. Pour mes professeurs, je n'étais qu'un fainéant, un cancre qui finirait misérablement sa vie, qui ne réussirait qu'à obtenir un job miteux et inintéressant. Cependant, l'un des enseignants de la Junior High School, sans doute bien plus émotif que les autres, avait entrepris de contacter un de ses amis, psychologue, afin de me faire passer quelques tests. Ces derniers révélant, pour le plus grand bonheur de mes parents, que je n'étais en réalité qu'un enfant précoce. Et moi dans tout cela? J'étais frustré, horripilé d'une telle nouvelle. Je préférais encore être un bon à rien qu'un enfant surdoué. Je haïssais de ne pas entrer dans le même moule que les individus de mon âge.
Fiers de cette nouvelle, mes parents avaient rapidement déménagé de l'endroit où nous habitions afin de m'inscrire dans un autre collège privé, regroupant des enfants possédant " le même dysfonctionnement" que le mien. Mon père n'avait pas pu obtenir de mutation.
Grâce à cette facilité alarmante d'engloutir de nouvelles connaissances, et au vu de mes brillants résultats, J'ai pu recevoir assez prestement mon diplôme à l'âge de mes seize ans. Après avoir achevé mon inscription au sein de l'université de Fordham, optant pour la filière juridique pour suivre l'exemple de mon père, je ne refusais aucun emploi qui me fut proposé. Ne vivant qu'avec ma mère, autant dire que nous ne roulions pas sur l'or et que le coût des études était élevé. Je faisais donc divers petits boulots à côté, pizzaïolo, videur, barman... J'étais débrouillard et, déjà, à cette époque, je ne supportais pas les étudiants bourrés de friques se vantant de réussir tout ce qu'ils entreprenaient alors que le portefeuille de papa y contribuait.
Mes deux premières années d'études juridiques s'écoulèrent paisiblement. Je ne participais pas souvent aux soirées étudiantes préférant me mettre à l'écart, peut-être un peu insociable. Cependant, lorsque je fis SA rencontre, lors de ma dernière année, toute ma vie bascula. Elle m'avait transformé. Je n'étais plus du tout le même. Sécher les cours devenait une habitude afin de profiter d'elle. C'est ainsi que je virais de bord peu à peu en oubliant toutes les limites imposées par mes parents. Je fumais certes de temps à autre lors de l'adolescence, manie qui ne s'était pas estompée au fil du temps, mais l'alccol ma nouvelle drogue coulait à flot presque tous les soirs. Ce fut mon premier amour, le seul depuis l'age de vingt sept ans. Nous étions restés ensemble pendant cinq ans, pendant lesquelles j'avais bifurqué d'orientation professionnelle. Je me passionnais pour l'écriture, la peinture, le dessin, le théâtre, tout ce qui touchait de loin ou de près au monde artistique. Elle aimait ce milieu. Tous les jours, je peignais en rentrant chez moi, beaucoup de mes toiles la représentaient, et chaque dimanche je les vendais à petits prix, bien entendu. Mon but était d'ouvrir ma propre galerie.
Les disputes furent de plus en plus nombreuses entre nous, non que je ne l'aimais plus mais nous avions tous les deux de sacré caractère. Lors d'une énième colère, nous nous sommes mis d'accord pour arrêter ce calvaire. Incroyable erreur de la laisser partir....Pendant deux années entière, je ne me reconnaissais plus. Je sortais tout les soirs noyant mon tourment dans l'alcool et la drogue. Je profitais de la vie en enchainant les conquêtes sans avoir le moindre sentiment à leur égard. Je n'était plus qu'une coquille vide l'ombre de moi-même. Ce qui ne m'empêcha pas, néanmoins, de continuer à vouer une passion pour l'art.
J'avais de très mauvaises fréquentations, participant à certaine course de voiture avec certains de mes compagnons afin de gagner un peu plus d'argent, lors des fins de mois difficiles. Je n'étais pourtant pas immature, mais je n'arrivais pas à me remettre du vide béant qu'elle avait laissé dans ma vie. Puis, reprenant, au fil du temps, le dessus, j'avais pu ouvrir ma propre galerie, certes inconnue, mais qui me permettait de vivre plus aisément financièrement. Mais je continuais, malgré tout, à entreprendre des opérations illégales pour acquérir beaucoup plus de richesses.
Behind the computer
Prénom:Angélina Âge : 22 ans Avatar choisi : Josh Harnett Comment as-tu connu ce forum ? : Grâce au top site Ton avis (design, contexte, ...) : Il est magnifique ! Présence sur le forum : Fréquente et régulière Autre(s) comte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Lorsque la petite blondinette lui tendit une arme, Connor avait déjà en sa possession un petit pieu en bois qu'il faisait tournoyer. Toutes les paroles de ce dernier lui avait réchauffé le cœur. Sa mère n'avait toujours été qu'une simple meurtrière pour elle. Elle n'en avait, pour être sincère, que faire d'elle. Bien plus que cela, si elle l'avait en face autant dire que ce ne serait pas un accueil chaleureux qu'elle lui offrirait mais un accueil violent et brutal qu'elle lui administrerait. Bien que désormais elle devrait se contenir puisqu'elle était tout de même responsable et plus réfléchie. Mais ce n'était pas le désir poignant de lui en faire voir de toutes les couleurs qui lui manquait. Elle réalisait que Connor avait manqué d'une image maternelle et espérait qu'elle ferait une bonne mère de substitution. Enfin, en constatant l'acte qu'elle s'apprêtait à commettre avec son beau fils, elle eut des doutes quant à son statut de mère parfaite. Mais le monologue de Connor l'avait touché plus qu'il ne le saurait jamais. Elle doutait souvent de ses aptitudes à remplir ce rôle même si elle ne le montrait pas à ses amis. Implicitement il l'avait rassuré en lui rappelant ce qu'elle faisait pour lui.
- Ton père t'a bien formé, affirma-t-elle en souriant. L'anticipation était indispensable lors des combats et le fait que son beau fils soit toujours armé la tranquillisait un peu. Et ne t'inquiètes pas pour ces esprits vengeurs, ils sont loin d'être aussi dangereux....Et je ne pense pas qu'il s'agisse d'eux. Généralement ils ne reviennent jamais deux fois de suite dans un même lieu.
Quoique...Sa théorie était-elle fondée? Y aurait-il encore quelques esprits tordus qui lui reprocheraient leur mort ? Mais il y aurait toujours un talisman quelque part. Non elle était quasi certaine qu'il s'agissait d'autre chose. Et puis, ils n'allaient pas s'y remettre une nouvelle fois? Bon d'accord, c'est vrai, ils étaient morts et qui d'autre qu'elle pouvait les aider à s'en sortir ? Cependant, elle ne pouvait pas être partout à la fois et sauver tous les habitants de Sunnydale? Elle n'était pas Dieu! C'est pourquoi son irritabilité reprit le dessus lorsque l'idée que ces fantômes hanteraient encore ses lieux lui fut soumise.
Laissant l'anse de son sac tomber sur son avant bras, elle l'ouvrit prestement sous les yeux de son beau fils, afin de lui montrer ce qu'il contenait. Outre les instrument habituels, elle avait prévu quelques armes blanches. S'emparant d'un couteau dont la lame fut un peu plus longue que son canif, elle le plaça dans la poche de son beau fils.
-Mon mini james bond, fais attention tu commences à parler comme moi, ajouta-t-elle en souriant . Prends ceci s'il te plait juste au cas ou. La peau des démons est assez coriace et rude comme tu t'en doutes! Il vaut mieux tout prévoir avant d'aller sur le front...
Agrippant un second poignard qu'elle dissimula dans la poche arrière de son pantalon, elle referma précipitamment son sac, qu'elle reposa à nouveau sur son dos. Pendant qu'elle s'accroupit avec Connor en longeant le lycée prenant soin de demeurer derrière les arbres ornant toute la cour, la petite blonde plissa des yeux pour contempler la salle de biologie. Les chaises étaient déplacées, posées sur les tables qui étaient réparties au fond de la pièce. Sans doute pour le nettoyage de la salle. Lorsqu'elle accouru en dessous de la fenêtre elle chuchota à l'oreille de son jedhi
-Bien alors je rentre la première dans la salle et je t'aiderais à t'y infiltrer... A moins que... D'accord! Tu n'en as pas besoin...
L'expression de Connor qui semblait exaspéré lorsqu'elle avait débuté son discours, acheva de confirmer ce qu'elle pensait. Balançant son sac par dessus la fenêtre, elle sauta pour atteindre le bord, et traversa la pièce en chevauchant cette dernière. Retombant sur le carrelage de la classe, une odeur assez familière lui parvint aux narines, celle des livres vieillots et de la craie poussiéreuse. Des tubes pour des expériences scientifiques contenaient encore du liquide vert et des blouses blanches étaient encore accrochées de l'autre coté de la pièce. La dernière fois qu'elle avaient utilisé ses produits chimiques au lycée l'un des tubes en verre avait explosé à sa figure.Autant dire qu'elle n'avait pas renouvelé l'expérience.
Elle vrilla son regard sur le dos de l'enfant qui était décidément plus souple que d'ordinaire, s'introduisant à l'intérieur avec une grande agilité. Pendant qu'elle avançait vers la porte, elle redoutait que cette dernière soit fermée mais en tournant la poignée, un déclic se fit entendre lui redonnant le sourire. La porte s'ouvrit, lentement en grinçant, lui donnant la possibilité de contempler les lieux. Un long couloir vide lui faisait face. Hochant la tête de gauche à droite, elle put souffler en murmurant quelques mots à son beau fils qui l'avait rejoint rapidement.
- Ca m'a l'air calme," peut-être même un peu trop calme, pensait-elle". Elle se dirigea en sa compagnie le long du couloir, sur ses gardes.
- Bien alors qu'as-tu entendu? D'où venaient les bruits et quel sorte de sons as-tu pu discerner et vers quelle direction? murmura-t-elle en zieutant au passage une vitrine derrière laquelle des trophées étaient disposés.
Il fallait requérir le maximum d'indices pour lui permettre d'être prête au combat. Bien qu'elle avait l'habitude de devoir lutter à l'aveuglette, lutter contre un adversaire dont on ne savait pratiquement rien pouvait être périlleux.
Code du règlement :
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ok by Dylan
Dernière édition par Drazic S. Carter le Jeu 26 Mai - 0:30, édité 17 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 4:48
Bienvenue et bonne chance pour ta présentation.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 4:51
Merci Claire
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 8:13
josh Bienvenue ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 10:37
Ce prénom...Je viens de faire un bond de plus de dix ans en arrière là.
Et puis Josh, excellent choix. Bienvenue & bon courage pour ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 10:47
Bienvenue!!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Carter ♠ Nous ne sommes jamais aussi mal protégé contre la souffrance que lorsque nous aimons. Mer 25 Mai - 10:53
Bienvenue & Bon courage pour la suite
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.