Apparence & Style: 1m75 sur ces deux jambes, quelques centimètre en moins sur ces deux roues.
Kane ayant été blessé dans le tremblement de terre qui a frappé le Japon en ce jour funeste, il lui est aujourd'hui difficile de se déplacer correctement, bien qu'il puisse se déplacer avec des béquilles la plupart du temps, la fatigue l'oblige parfois à être cloué dans ce monstre de métal.
Plutôt musclé, malgré sont handicape, il est pourtant assez fin.
Brun, le teint allé et les yeux d'un brun aussi profond que les ténèbres, sont air mystérieux et son aura de tristesse le rendent paradoxalement assez attirant.
Concernant son « style » kane n'en a pas réellement d'attitrer, il est plutôt du genre jean et tee shirt, coloré ou non agrémenter d'une petite veste le plus souvent en faux cuir.


Caractère:
ça ne vaut pas la peine si on peut le faire aussi facilement, a quoi sert de vivre une vie déjà planifié, déjà tracé?
Parfois il fait savoir faire face au problème pour pouvoir un jours trouvé des réponses.
Se perdre dans ses pensées sans jamais le regretter ;mais aussi regarder loin et droit devant soi pour avancer. Aller toujours plus vite et plus loin, embrasser la passion qui nous embrase et marché, vivre imprudemment.

«Ne pense pas! Ne réfléchit pas mais ressent!Es tu heureux dans la situation actuel?
Ne te noie pas! Accroche toi... Ne sois pas un simple spectateur , va y, ne fait pas que suivre la tendance, montre toi! Et continue d'avancer tel un combattant!»

Si tu as un jour l'idée d'abandonner, tu verras que ce n'est pas la meilleure solution, devant toi tu remarqueras plusieurs murs qui te bloquerons le passage et même si tu pleur de souffrance, si la patience t'abandonne pourquoi ne ferais tu pas face tel que tu es,et à ta façon car il est évidant que rien ne se passera si tu ne fais rien.
«Bats toi contre toi même»
C'est impossible d'être faible, d'être une lavette! Sois agressif et intrépide à ta façon, montre à la vie que tu gagnera toujours quoi qu'elle fasse, donne toi à fond.
Su la carte de l'avenir, pleine d'obstacles et de pièges, contribue à te construire un chemin stable et continue d'y avancer pour aller vers des lendemains plus beaux.
Il faut vire sa vie pour soi-même et continuer son chemin sans se comparer aux autres et ne pas perdre pied.
Ne regarde pas en arrière, cesse de ressasser le passé car cela n’arrêtera pas le temps qui passe, traverse l'obscurité car, si tu hésites c'est fini.
Dorénavant soi toi même combat la vie et gagne le jeux!

►►► 11 mars 2011. 13 h 46

Tout semblait paisible ici, nous étions tous ensemble, mon petit frère, ma sœur aînée et ma mère autours de la table, les rire de joie égaillait notre repas. Ai parlait des vacances qui commençait, de sa futur remise de diplôme et de sa joie d’être admis un lycée prestigieux, il faisait bien entendu la fierté de maman « ha si ton père te voyais, il serait sûrement très fière de toi ! »
Mon père est décédé il y a de ça un an maintenant, Ai était assez jeune pour ne pas avoir à comprendre l’acte de mon père. Celui-ci, trop désespéré par les dettes qu’il avait accumulé avait fini par se donné la mort. Je poussais un long soupire mais le regard réprobateur de ma sœur ce joignait à celui de ma mère, je devais le respect aux morts, mais quand bien même elles pouvaient en pensé ce qu’elle en voulait, je ne lui devais aucunement le respect, il n’avait eu que ce qu’il méritait et nous nous portions bien mieux sans lui. Je n’étais plus obligé de faire semblant de ne pas voir les bleus sur les bras de ma mère, ni les pleurs terrorisé de ma sœur la nuit, j’en avais assez de lui tenir tête, assez d’avoir la boule au ventre à chaque fois que je passais la porte en me demandant si oui ou non j’allais devoir justifié mes blessures le lendemain au lycée. Oui décidément nous étions bien mieux sans lui.
Les rires reprirent bien vite autours de la table, aujourd’hui la joie était de rigueur, ma grande et magnifique sœur allait devenir maman, marié depuis quelques années, il ne leurs manquaient plus que ça pour être heureux, eux qui ne pouvait normalement pas avoir d’enfant, voilà qu’un miracle venait leur rendre visite.
Plus le temps passait et plus elle était belle, sont jolie ventre s'arrondissait encore joliment au bout de ces 8 mois, abritant dans un cocon d'amour ma futur petite nièce. L'impatience ce faisait ressentir.
Un vent froid parcourait le pièce, le temps était agréable, les premiers flocons commençaient à apparaître aux fenêtres. Rien ne laissait à prédire que ce jours resterait à ce point détestable dans mon esprit,mais toute joie finit un jours, nous ne pouvons pas toujours vivre heureux. L'heure était passé comme passent toute les heures joyeuse, en famille; nos visages resplendissaient dans le petit appartement de ma sœur en plein cœur de sendai.
je quittais la table quelques minutes, la sonnerie spéciale claire retentissait le temps que je réponde, la conversation fut courte, je lui annonçait ma date et mon heure d'arriver à New york, on allait enfin ce revoir elle et moi, alors que l'on ne s'était plus vu depuis 1 ans.
Claire est ma correspondante américaine depuis maintenant quelques année, même si je suis toujours aussi mauvais en anglais, elle maîtrise aujourd'hui presque tout à fait le japonnais, c'est pourquoi je n'ai pas trop peur de ma futur année a new york, je compte sur elle pour me guider et me montrer toute les astuces de la grosse pomme! Je dut raccrocher un peu vite en sentant les premiers tremblement en lui disant que je la recontacterai , elle semblait inquiète mais je ne pouvait m'attarder.


►► 11 mars 2011. 14 h 46

Rapide,efficace et presque sans bruit,voilà comment je pouvait décrire cet instant qui allait m'arracher à ma calme et petite vie tranquille et joyeuse. C'est une blague n'est ce pas? Le sol avait bouger certes bien plus que d'habitude lors de tremblement de terre mais nous y étions habitué, tout cela nous semblait presque dérisoire, nous ne pouvions céder à la panique. Ici c'était habituel, nous étions entraîné depuis tout petit à ce genre de situation pourtant l'atmosphère qui régnait n'était pas la même.
La sirène nous avertissant d'atteindre les hauteur avait retentit, une «alerte au tsunami» avait été déclenché mais avions nous simplement le temps d'atteindre les hauteurs?
Ma sœur ne pourrait jamais marcher jusqu'à la bas, elle allait bien trop doucement pour ça, et nous étions vraiment très proche de la cote.

«avec Rai on va prendre la voiture, vous aller y à pied, on ce retrouve la-bas d'accords»

c'était bien la seul solution que j'avais put trouver, mais ma voiture n'avait que 2 malheureuses place, je ne pouvait prendre tout le monde.
Le temps de monter dans la voiture, les autres habitants de la ville avait certainement eux la même idée que moi, et quel idée de merde excuser moi du terme.
Mes pensées avaient étés directement relié à ma famille, à ceux qui devaient s’être mis à l’abri, je l’espérait de tout mon cœur, ensuite vient ma sœur,mon regard se tourna malgré la douleur et la morsure du froid vers la place à mes coté, et la seul chose que je put voir, fut la portière complètement arraché par le choc et la place à mes coté vide.
L'eau, ou plutôt l'amas de boue mélanger à l'eau salé de notre si belle mer, m'arrachait les yeux, le froid, la peur et la douleur me firent perdre conscience de ce qui m'entourait, je n'avait rien put faire pour elle, elle n'était plus la, j’aurai voulu hurler ma colère mais l'eau s’engouffrait dans ma gorge au rythme de mes hurlement. Et j'attendais,j’attendais de voir mon regard s'éteindre, mon cœur cesser doucement de vivre, j'attendais ce soulagement alors que ma jambe droit se trouvait écrasée par le moteur du véhicule, et que l’extérieur du véhicule semblait tout aussi hostile à ma survie .Il faisait froid, l'eau glacée me congelait je ne sentais plus mes jambes et bientôt ma respiration fut plus difficile. Tremblant de tous membres,mes paupières étaient de plus en plus lourdes au fur et à mesure, plus que les secondes passaient. Inconsciemment, les larmes s'échappaient de mes pupilles.
Je ne sais plus trop comment , ni au bouts de combien de temps je senti deux bras me sortir de mon véhicule , une voie, la voie de mon frère, hurlait au même moment

«Kane, Kane ...aller réveille toi, bats toi un peu tu n'es pas aussi faible»

Si j’étais faible, je l'avait perdu, je devait la protéger et pourtant je n'avais pas joué mon rôle de frère. Quand bien même j’étais vivant, mon cœur avait disparue avec elles,ma sœur allait donné la vie, mais je leur avait retiré.