Sujet: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 0:48
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Artistes
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Abandonnez tous vos sens aux plaisirs, qu'il soit le seul dieu de votre existence." de Hurricane 30STM
Signe(s) Particulier(s)
Paprikà a un tatouage sur le pied qui signifie simplement, espoir, avenir & chance en chinois. Elle a de multiple cicatrice sur les bras cuisse et ventre de ses scarification et tentatives de suicide quand elle était plus jeune.
Orientation Sexuelle
Paprikà est bisexuelle. Cependant elle a plus un penchant pour les hommes. Mais elle a couché avec de nombreuses femmes... Homme femme elle s'en fou mais elle est follement amoureuse d'un homme. Ethan.
Paprikà Baylee McLowe
Behind the computer
Prénom:Baylee Âge : 21 ans Avatar choisi : Jessica Stam Comment as-tu connu ce forum ? : Par Ethan qui s'inscrit avec moi (: Ton avis (design, contexte, ...) : Je fond littéralement puis Sakura dans le QEEL :bave: Je suis fan de ce manga *-* Cependant niveau accueil, je trouve cela très limite... En clair ça m'a limite donné envie de dégager du forum... Je ne pense pas être la seule dans ce cas ^^ Heureusement un forum c'est grand (: J'aime beaucoup la fiche, mais donner des exemple de rp, je n'ai jamais trouvé cela très utile mais bon chacun ces gouts ^^ Présence sur le forum : 7/7J Autre(s) compte(s) : Non ! Exemple de RP :
Spoiler:
Il parait que lorsque l’on tombe amoureux on le sait à la première vue, oui on le sait sur le champ. Sauf que pour moi ce n’était en aucun cas le cas. Non, je ne le savais pas. Vivre un amour refoulé ? Bien sur que oui c’était tout à fait possible, je le vivais depuis plus d’un an et je me rendais compte petit à petit que je tombais amoureuse. Du moins, je m’apercevais de mon amour pour cet homme, la façon dont j’avais de parler avec lui, d’agir, de sourire niaisement, de vouloir a tout prix le taquiner avoir le dernier mot et j’en passe… Oui je me montrais encore plus agressive avec lui, encore plus mauvaise, j’essayais surement de l’impressionner ? Non bien sur que non je n’étais pas comme ça… Je ne l’avais jamais été, j’étais comme j’étais point barre, je ne voulais en aucun cas faire ma belle avec lui… Non j’étais naturelle, même parfois un peu trop, je voulais être plus que sa pute, je voulais... Attirer l’attention, je voulais lui montrer que je … Que je quoi ? Que je l’aimais ? Mais non… Il fallait absolument que je refoule ce sentiment de mon intérieur, je ne pouvais pas aime Heath, je ne pouvais pas aimer mon propre mac, c’était inconcevable. Même si je devais l’avouer il était très beau, très charmeur, son regard d’un bleu acier… Ce regard si… intense, si magique, si envouteur, je ne pouvais pas y résister, qu’il me demande quoi que se soit en me suppliant et je meurs sur place. J’étais totalement damné, heureusement que j’avais du répondant et que je ne me laissais pas faire avec lui… Non, il n’en était pas question. Rapidement on en vint à parler de ma chambre au motel. Celle qui m’était attitré celle que j’utilisais. En général aucune autre pute ne venait prendre ma chambre… Je ne fermais pas a clé mais elles savaient très bien qu’il était hors de question qu’elles viennent faire leurs boulot là. De toute façon je le voyais très bien. L’odeur, la façon dont le lit était rangée et j’en passe. Mieux valait pas qu’elles touchent ma chambre, Heath ou pas Heath, elles auraient affaire à moi… Et pas qu’avec des mots. Je n’avais aucune amie pute. Non… Je ne supportais pas de me faire des amies surtout de ce monde… Elles étaient horrible, elles ne prenaient pas soin d’elles, certaines se droguaient… Bref, peu pour moi. Parlant et négociant un matelas avec Heath, j’essayais de me faire convaincante. « Cent dollars un matelas ? Tu dois parler d’un matelas dans une brocante … Un matelas c’est six cents en moyenne, tu devrais te renseigner. Tu veux toujours sortir six cent dollars de ta poche ? C’est bon, pour toi, je ferais une exception. » Haussant un sourcil, les coudes posaient sur le bureau, je le regardais longuement en souriant en coin. J’avais gagné, j’avais réussi à lui faire dire oui. Une exception pour moi. Bon sang que je l’aimais mon mac… Je ne savais pas si les autres filles étaient comme moi, chose que je doute fortement, mais j’aimais pouvoir avoir cet influence sur lui, pouvoir le voir craquer… Même si je devais avouer, j’aimais terriblement le faire chier, le taquiner. On dit que la haine et l’amour sont proches.
Je ne portais pourtant aucune haine envers lui, ce n’était qu’apparence. Il devait surement se dire que je le détestais, hors en fait je ne l’avais jamais détesté…Je l’avais bizarrement, toujours apprécié, je l’ai toujours trouvé parfait. Parlant alors du fait que mon corps n’était pas non plus le plus parfait, je ne pu m’empêcher de répliquer. Après tout, les clients revenaient… Ce n’était pas forcément pour mon physique mais mon savoir faire. Je n’aurais jamais cru le penser ou le dire, mais j’avais l’air d’être bonne au lit… J’avais surement un coup de reins qui devait les faire kiffer… Et peut être que le faite de se faire un tant soit peu dominer leurs plaisaient. C’était comme ça, les hommes avaient leurs mystères et moi j’avais leurs argents en poche… ainsi que Heath ! « Des fois tu ferais mieux de garder certains trucs pour toi. C’est dégueulasse ce que tu dis. Tu crois vraiment qu’un type coucherait avec une fille pour son … ‘trou’ alors que le reste du corps ne suit pas ? Faut vraiment être désespéré. » Levant les yeux au ciel, je le regardais en souriant faiblement. Passant ma langue sur ms lèvres je soupirais longuement en me pinçant la lèvre. « Tu sais… Je pense que quand tu viens voir une pute, c’est que tu es désespéré… Je sais pas … Mais on ne peut pas dire que mes clients soient beaux… Imagine on te laisse le choix entre deux filles… Une parfaite de la tête aux pieds mais putain de nulle au lit et une légèrement ronde, pas des plus belles, mais putain de bonne au lit. Tu prends quoi toi ? Perso, le physique ne fait pas tout. Enfin… De mon point de vue. » dis-je doucement en souriant doucement. Certes j’avais craqué sur Heath via son physique au premier regard, mais c’était tellement…. Hum… Je ne pouvais pas réellement décrire ce que j’avais réellement ressentis ce jour là. Cette bouffée de chaleur qui m’envahissait puis son caractère qui bloquait un peu… Mais finalement… Je m’étais faite à son caractère tout aussi merdique que le mien et j’étais … tombée…. Non stop… Je n’avis rien eu, rien de rien. Changeant rapidement de sujet, parlant alors du fait que le jour de notre rencontre il avait bandé, et pas qu’un peu, j’imaginais à nouveau son membre totalement durci contre mon entre jambe, mes doigts le frôler avec légèreté mes baisers, sa langue dans ma bouche, son gémissement, mon cœur qui s’était emballé sous l’afflux de plaisir qui montait en moi… Ce moment la repassait assez souvent dans ma tête. Je ne pouvais pas oublier un tel moment, et j’osais croire que lui non plus… Il avait aimé, c’était obligé, oui, mon bassin bougeant contre le sien, ma langue heurtant la sienne avec douceur et ardeur, j’en frissonnais, je le voulais… Tellement… coucher avec lui je savais que ça serait parfait. Je l’espérais du moins. Rapidement en le regardant droit dans les yeux, je lui proposais alors que l’on couche ensemble pour avoir le matelas. Mais surtout pour lui montrer à quel point je pouvais être parfaite au lit, du moins ce a quoi je pensais être… « Ca te suffit pas de te prostituer pour avoir de l’argent ? Tu vas aussi te prostituer auprès de ton patron pour un foutu matelas ? Laisse tomber, ton matelas j’ai dis que je le ferais changer alors je le ferais. »
Haussant un sourcil je me reculais de mon siège en soupirant longuement. Me prostituer avec lui ? Comme si j’allais le faire payer… Il était d’un niais… Ce n’était pas croyable… « Qui t’a parlé de te faire payer ? Si je couche avec toi ce n’est pas dans le cadre de mon travail… » soufflais-je en levant légèrement les yeux vers le ciel. Sans rien ajouter, la conversation prit son court et nous en vînmes alors a l’éducation, chose qui apparemment d’après lui je n’avais pas… Certes personne ne m’avait éduqué, je m’étais éduqué toute seule, j’avais appris les bonnes manières par moi-même, je n’étais une fille froide et si hostile que depuis la mort de ma mère… Je me protégeais… Je faisais cela pour ne pas m’attacher a qui que se soit… Je ne voulais en rien avoir de souci, voir les gens mourir alors qu’on s’attache a eux, qu’on tient à eux… Non… Je ne voulais pas de cela… Je m’étais déjà attaché, un peu trop à mon gout, a Heath… Cela suffisait… « Non c’est pas eux qui m’on éduqué. Mais si t’as envie de te plaindre, vas y, vas les voir … Je doute que t’en ressortes vivante. Mais t’auras essayé. Et juste comme ça … Je connais les règles de politesse et tout ce qui va avec, ce qui n’est visiblement pas ton cas. » Comme si j’avais envie de voir ses parents… Et puis quoi encore ? Boire le café avec eux ? Non mais il n’allait pas bien lui… « Ouais, parents riche, gouvernante à la maison je suppose ? T’aurais mieux fait de vivre dans la pauvreté… T’aurais surement eu des parents présents… J’aurais aimé avoir des parents moi… » Dis-je doucement. Certes j’avais ma mère, mais … La maladie et tout le bastringue, j’avais plus été la mère que la fille dans l’histoire. Elle ne m’avait jamais donné d’ordre, ou les seuls datait d’avant mes six ans, autant dire que je n’avais pas non plus une mémoire de fou pour m’en souvenir… Non j’avais ma vie et malheureusement elle était ainsi. Me levant pour aller vers la vitre voir les dernières filles danser, celles-ci quittant en fait le podium pour filer surement se changer prête a partir. C’était la fermeture, le club n’allait pas tarder à fermer. De toute façon j’étais en général la dernière fille a passer le voir. Me disant de me la fermer, je ne pu m’empêcher de répliquer, je ne supportais pas que l’on puisse me dire de telle chose. Levant une main en lui demandant s’il voyait bien tous mes doigts je lui intimais alors de ne plus me dire une telle chose afin que je ne lui montre pas mon majeur… Il me gonflait à me dire de me la fermer… « Si tu veux perdre ton doigt, c’est la meilleure chose à faire. Alors fais donc ! » Levant les yeux au ciel je souriais étant dos à lui. De façon a ce qu’il ne puisse le voir. Haussant les épaules comme toute réponse, signe que je m’en fou, je posais ma main sur la vitre regardant alors les gens ranger, quelques peu et faire leurs boulot. Passant ma langue sur les lèvres sa me rappelait quand je bossais en tant que serveuse dans un fast-food avant de finir simple pute. Ça ne payais pas assez, je ne gagnais même pas mille dollars pour le mois, alors que la je touchais bien plus… J’avais de quoi payer l’hôpital, j’avais des réserves dans le coffre fort que je ne touchais pas de façon a pouvoir rembourser ma dette petit à petit.
Je donnais en général deux milles par mois histoire de ne pas aguicher leurs soupçons. Revenant lentement vers lui me laissant alors à nouveau tomber sur le siège, je le regardais en parlant alors de mon savoir faire. Surtout du fait que j’écartais assez les cuisses pour lui pour remplacer ses putes si je venais a les tuer. « Fais ton boulot et laisse moi faire le mien. Je sais très bien que les putes ça court les rues, je te remercie ! » Passant a nouveau ma langue sur mes lèvres je croisais les jambes en me rapprochant du bureau tout en réfléchissant. Me pinçant les lèvres, mes sourcils fronçaient, je relevais le regard vers lui avec lenteur. « Dis… Je suis ta seule pute de luxe… Mais, est ce que tu savais en m’embauchant que j’en serais une ? Mais surtout je suis ta seule pute qui te ramène autant de fric… pourquoi tu cherches pas a apporter d’autre fille de luxe ? Genre me demander de leurs donner des tuyaux afin qu’elles puissent avoir une clientèle plus aisé ? Ça te ramènerait plus de fric non ? » dis-je doucement en le regardant essayant de comprendre pourquoi il n’avait que moi comme pute de luxe. C’est vrai ça, il pourrait tellement gagner s’il m’ordonnait d’apprendre des choses aux autres filles et s’il ‘embauchait’ d’autre filles pour devenir tout comme moi… Mais peut être que je lui suffisais et qu’il n’était pas si gourmand que cela. Parlant par la suite de confiance, il fut plus qu’étonné de voir que je pouvais lui faire autant confiance que cela. C’était pourtant vrai, j’avais confiance en lui et il pouvait avoir confiance en moi, c’était une évidence… C’était ainsi… L’amour ça marchait comme ça. L’amour ? non mais je divaguais complètement… Franchement je craignais de penser cela… Non, je ne voulais pas aimer… Plus du moins… Celui-ci me saoulant plus qu’autre chose, je l’envoyais rapidement bouler en lui disant qu’entre lui et moi c’était lui qui avait tué le plus de gens… Moi ? Je n’en avais jamais tué… simplement … très amoché ! « Si je te le disais, je serais obligé de te faire tuer toi aussi, pour être sûr que ça ne se saura jamais. » sa voix basse, son regard plongeait dans le mien je frissonnais légèrement en le regardant droit dans les yeux sans siller. Il avait de ses yeux, j’étais en train de mourir… Oui mourir était le mot. « Si je te disais combien, tu serais surprise de voir … Qu’il n’y en a pas tant que cela finalement. » Souriant faiblement, je clignais rapidement des yeux en me laissant tomber dans le fond du siège en croisant les bras sous ma poitrine la faisant gonfler quelque peu. « Tu sais, je m’en fou des gens que tu as fait tuer, ça ne change rien pour moi, je t’accepte comme tu es. Je n’ai pas le choix de toute façon… Mais tu serais surpris de voir à quel point je serais capable de te défendre et pire… Me faire passer pour coupable à ta place. Pourquoi ? T’es mon mac, avec toi je me sens en sécurité… Je sais que tu es là pour moi, et c’est comme ça. »[/color] Dis-je en haussant les épaules l’air de rien. Je ne savais même pas pourquoi je lui disais cela. Oui pourquoi je lui disais cela ? Je n’en savais strictement rien, c’était ainsi, Heath suscitait chez moi des choses que je n’arrivais pas réellement a comprendre encore même si au fond de moi je savais parfaitement pourquoi j’étais ainsi avec lui. L’amour… Berk… Je ne voulais plus souffrir, j’avais perdu ma mère, et si je le perdais lui ? De toute façon pour le perdre, il fallait déjà l’avoir et ce n’était pas encore chose faite, et ça ne serait jamais chose faite. Non Heath était le genre à se taper des filles riches, des filles belles, des filles qui ne se prostituent pas… Moi je n’étais qu’une pute, qu’une gamine seulement âgé de dix huit ans… qui ne savait rien faire de sa vie… Oui… J’étais ce genre de fille qui avait abandonné ces études pour pouvoir subvenir aux besoin de la dette… Même pas pour moi mais pour la dette… L’argent, l’héritage de ma mère était parti entièrement dans cette fichue dette, j’avais vendu je ne sais combien de chose dans ma maison…
J’essayais au maximum de ne pas dépenser… Je me limitais sauf pour mon appareil photo, la je préférais me priver de repas… C’est tout ce qui me restait, une passion que j’aimais… « Ouais … Faut être fou pour me faire confiance. » Préférant ne pas répondre, je me mordais doucement la lèvre en gardant les bras croisé sur ma poitrine. J’étais peut être la seule a lui faire confiance, oui et alors ? Moi je m’en foutais, j’avais une confiance aveugle en Heath, je ne saurais dire pourquoi mais c’était comme ça. Les yeux fermaient, oui, je pouvais rester avec lui les yeux fermés tant ma confiance pour lui dépassait tout ce qui pouvait être possible. Si ça ne tenait qu’à moi je lui parlerais, je lui dirais toute ma vie, je me sentais tellement bien en sa compagnie, normalement je ne devrais pas, mais je ne sais pourquoi c’était ainsi. Je me sentais apaisé en sa compagnie, il était mon seul ‘ami’ si on pouvait appeler ça un ami. Non en fait je ne pouvais vraiment pas l’appeler ainsi. Heath un ami ? en un an on ne s’était jamais vu en dehors du boulot, je ne l’avais même pas croisé dans la rue, rien non… Les seuls fois ou je le voyais hors de son bureau c’était quand il venait au motel voir si tout se passait bien ou alors dans la rue rapidement. Je le regardais, nos regards se croisaient et c’était tout. Lui demandant alors de prendre quelques heures vendredi puisque j’avais des examens à faire pour voir si oui ou non je pouvais être comme ma mère. Cancéreuse ? J’espère que non, je ne voulais en rien avoir de souci de ce côté-là mais malheureusement ce n’était pas moi qui décidé. Passant ma langue sur mes lèvres, je fus surprise qu’il puisse vouloir me laisser toute la nuit, lui expliquant que j’avais besoin d’argent, j’en vins sans trop savoir comment, au fait que j’allais surement mourir. Oui si j’avais un cancer quelconque …. Et ma dette serait encore plus étendue… Génial. Super, comme si avec un million je n’en avais pas suffisamment… Non bien sur que non… J’avais remboursé quoi ? Cent mille ? Il reste neuf cent milles encore… Donc encore longtemps à rembourser… Trois ans que je faisais le tapin… Et partager avec Heath réduisait pas mal le paiement de ma dette. Voyant Heath assez pâle, et plutôt inquiet, je le regardais longuement sans rien dire, a quoi bon de toute façon ? Est-ce qu’il s’inquiétait pour moi ? Est ce qu’il tenait a moi plus que je n’aurais pu le croire ? Je me le demande bien, je me faisais simplement des films, oui c’était cela que j’étais en train de me faire. Essayant de boucler le sujet de ma mort, je n’étais franchement pas a l’aise à parler de cela, en même temps qui le serait ? Je me le demande bien, personne ne pouvait aimer parler de cela… Non absolument personne… Continuant de parler de tout et de rien, il m’annonça alors que je ne passerais pas la nuit si je continuais ainsi à le provoquer. Choque que pourtant j’aimais atrocement. Oui j’aimais le provoquer et lui en faire voir de toutes les couleurs. Me demandant si je connaissais l’enfant qui criait trop au loup je répondis, que contrairement à lui je n’avais personne pour lire des comptines le soir…. Non personne, et de toute façon ma mère n’avait pas le temps de faire cela pour moi. « Je n’avais personne pour me raconter des histoires non plus. Mais … Je savais lire pour ma part. » Serrant les dents je lui lançais une regard meurtrier. Je sais lire, je sais écrire, j’ai même eu un prix lorsque j’étais au collège pour avoir eu les meilleurs résultats en littérature ! J’étais très bonne pour tout ce qui touchait les langues. « Je n’avais pas de livre chez moi, pourquoi ? Pas assez de fric, mais t’inquiète pas pour moi ! Je sais parfaitement lire et je pense être meilleure que toi en littérature et philosophie… Mais ce n’est pas le sujet. D’ailleurs sujet clos ! Compris ! » Dis-je en relevant toujours un regard meurtrier à son égard. Changeant rapidement de sujet voyant qu’il faisait un privilège il me demanda de ne pas trop rêver. Sauf que je n’étais pas du tout en train de rêver, chose que je ne tardais pas a lui dire. Après tout lui ne devait pas se faire de faux espoirs… Je ne vois pas en quoi je devrais rêver…
« J’en sais rien moi. Peut-être à rien. Mais je préfère que tu sois prévenue quoi. » Haussant a nouveau un sourcil je le regardais en baissant alors le visage regardant mes genoux des plus maigres mais tout de même musclés. Me pinçant les lèvres, je regardais longuement mes jambes totalement nues ma jupe étant des plus courtes pour faire rêver les hommes. Passant ma langue sur mes lèvres, je ne préférais rien répondre, continuant alors a nouveau la conversation, lui murmurant alors que je pouvais très bien venir chez lui. Chez lui ? Je l’imaginais parfaitement dans une villa immense ou un chat ne retrouverait pas ses chatons tellement elle est grande… Oui j’osais croire Heath là dedans. Une villa tout aussi riche que ce qu’il laissait paraitre. Des chambres en pagailles, des salles de bains grandes luxueuses, je l’imaginais déjà dans son jacuzzi en train de se prélasser tranquillement un cigare dans la bouche, une pétasse surement en train de le sucer sous l’eau. Quoi de mieux pour une si belle journée ? J’en étais carrément jalouse… pourquoi ce n’était pas moi dans ce fichu jacuzzi ? Moi entrain de le sucer lentement longuement, pendant de longues minutes, allant de temps à autres chercher un peu d’air… Pourquoi j’étais jalouse ? Pourquoi je rêvais d’être a la place de cette femme ? Non mais c’était n’importe quoi. Comme si j’avais envie de coucher avec lui. Oh bon sang oui… Sentir son membre glisser en moi, ses mains sur ma taille, mon dos se cambrer a chaque coup de reins, ses cris les miens, nos baisers langoureux et sensuels, mon prénom sortir de sa bouche… Sa jouissance… En moi… que demander de plus ? Je me le demande bien… Non je le voulais… Je le voulais… Parlant rapidement de film pornographique, bêtement je me proposais pour l’aider. Pourquoi j’avais fait ça déjà ? On se le demande… Mais il faut croire que ce que je faisais ne lui suffisait pas. Pourtant beaucoup d’hommes revenaient me voir moi et pas d’autre pute… « Certes mais c’est de films pornographiques dont on parle là. Ceux qui regardent ce genre de trucs, n’attendent pas simplement un andromaque et un missionnaire hein … » Plissant le nez j’essayais de m’imaginer en levrette. Non, ça je ne pouvais vraiment pas. Comment faire pour m’imaginer dans ce genre de position… Répugnant. « Ouais… Qui peut aimer la levrette… C’est de la pure domination. Je n’aime pas être dominé. Déjà que je fais des efforts en faisant des fellations… Au bout de trois ans… Ouais je m’y suis faite… Mais alors ça… plutôt crever que d’être prise par domination ! » Soufflais-je en grimaçant de plus en plus. Berk, non mais sérieux, qui pouvait réellement aimer cette position ? Sans que je ne m’y attende il me lançant une réflexion de trop. Me levant totalement énervé je lui assenais tout ce qui me passé par la tête, des insultes, es choses que je ne pensais même pas. Comme s’il n’était pas mouillant, bien sur que si, il était mouillant, il me faisait mouiller à chaque fois ! S’il savait qu’il était bien le seul oui le seul que je désirais qui me donnait enfin l’envie de faire l’amour… Il ne le savait pas et je le voyais bien. Son visage se décomposant je cru mourir sur place. Le pauvre je venais de le toucher en plein cœur mais quelle parole ? Lesquelles l’avaient réellement blessé ? Surement pas le fait qu’il puisse me dégouter ? Non, je ne vois pas en quoi il serait dégouté du fait que je ne veuille pas de lui…. Mais est ce que les autres filles pensaient ainsi ? Est-ce qu’il avait des soucis de ce coté là ? Je me le demandais bien, peut être bien que oui ? Mais là ce n’était pas ma faute, je n’y pouvais rien moi, je ne pouvais pas réellement savoir que mes paroles arriveraient à le blesser de la sorte. Me rasseyant je cherchais à lui faire comprendre que je ne pensais pas du tout ce que j’avais dit, comment pouvais-je le penser ? Bon sang ouvre les yeux espèce d’abruti… En fait non mieux valait pas qu’il les ouvre… Je risquerais de me faire ridiculiser comme une pauvre merde.
Essayant de lui faire comprendre que même si nous couchions ensemble je ne démissionnerais pas, je savais qu’il le prendrait mal. S’il savait que je ne rêve que de ça, coucher avec lui, sentir son corps contre le mien, son souffle se mêlant au mien… Mon dos s’arquant sous chaque coup de reins de sa part… J’en rêvais, dieu que oui, je rêvais de coucher avec lui, j’étais une pauvre fille frustrée qui ne pensait qu’à lui en faisant l’amour a longueur de temps avec ces clients… « Evidemment que tu ne démissionnerais pas ! Il y a de l’argent en jeu … Tant qu’il y a assez d’argent, il n’y a pas de démission. » L’argent ! Toujours l’argent putain il n’avait ce mot qu’à la bouche ma parole. Rigolant nerveusement, je passais ma main sur mon visage. Putain ce qu’il était idiot par moment ! Pourquoi tenait-il autant a l’argent que cela ? La peur d’être pauvre ? Je préférais être pauvre que devenir comme lui. Le pensais-je vraiment ? Non pas du tout. « Putain ta que ce mot en bouche ? Argent, argent, argent et encore argent ? Heath merde y’a pas que l’argent dans la vie… Si ta vie tourne autour de ça, je me demande ce que tu fais de tes journées, seul dans ta somptueuse et immense villa… Car je me doute bien que tu vis là dedans… » Dis-je en secouant la tête. Putain c’était d’un pathétique, il devait s’ennuyer a mort s’il était tout aussi seul. Il dort aussi avec son argent tel picsou ? Putain oui il devait surement vivre auprès de son argent avec un énorme coffre fort et j’en passe. Quel belle vie… Il y a mieux quand même comme vie, on ne peut pas dire le contraire. Rapidement me comparant a lui, j’annonçais simplement qu’à trop trainer avec lui j’étais en train de devenir une pale copie de lui. Tu parles, comme si j’avais envie d’être comme lui. « Si ça te déplais autant que cela, tu n’es pas obligée de rester autant de temps dans mon bureau. Je ne te retiens pas … » Bla, bla, bla, revenant a la vidéo, et a ma cliente un temps soit peut, j’imaginais alors Heath en train de se faire sucer. Oui, les hommes aimaient ça, tous les hommes aimaient se faire sucer, lentement longuement pendant de longues minutes. Je me demandais bien ce que cela pouvait produire comme plaisir. Moi je ne ressentais strictement rien. Sucer c’était plus un poids qu’autre chose, mais bizarrement lorsque j’essayais de m’imaginer avec Heath j’avais une envie d’essayer de moi-même, de la prendre en main, en bouche de me lancer dans cette pratique que je haïssais pourtant. J’avais l’impression qu’avec lui je pouvais… Changer, mais ce n’était que des impressions… Des impressions infondées. Lui disant alors ce que je pensais de lui au lit comment je le voyais il avait l’air sacrément choqué, les yeux écarquillés me regardant d’un regard des plus choqué, un léger sourire s’échappa de mes lèvres en voyant sa réaction. Je touchais dans le mile. Il était donc comme ça. Très dominant, pourquoi ça ne m’étonnait pas ? « Ouais … C’est bien possible que je sois de ce genre là … Je suppose que tu plains ces filles qui sont passées dans mon lit. Mais rassure toi, elles n’ont pas toutes autant de problèmes que toi avec la domination. Et il faut croire que mon argent suffit à les exciter. » Son argent ? Encore dans l’affaire celui là, mais c’était de plus en plus pathétique, il couchait avec les filles via son argent ? Il n’avait donc jamais connu l’amour ? Aucune fille ne venait vers lui pour son physique des plus avantageux ? Nom d’un chien, mais sa vie était pire que ce que je ne pensais, il avait une vie merdique, totalement et irréprochablement pathétique. Pire que la mienne je pense. Quoi que non, lui n’était pas forcé de baiser à longueur de temps… « Seulement ton argent ? Super… ça doit être chiant de ne pas avoir de petite amie… De se dire qu’elle est là pour ce que tu es et non pas ce que tu lui apporte matériellement… Je ne comprendrais jamais ces filles là. Si je devais sortir avec toi, il est clair que je le ferais pour ce que tu es et non ton argent. L’argent n’est qu’éphémère… L’amour, les sentiments je pense que ça vaut beaucoup plus dans une relation. Enfin, j’y connais rien l’amour et moi… ça fait pas deux… » Dis-je en haussant les épaules.
Oui, bordel oui, oui si je devais sortir avec lui c’était pour ce qu’il était, pas son putain d’argent de merde. « Hey…Je ne plains pas ces filles loin de là… Heath, imagine si tu étais obligé de vendre ton corps pour pouvoir t’en sortir ? Tu me comprendrais, d’avoir un tant soit peu de fierté et de ne pas être simplement un bout de viande. Je déteste ce que je fais, et si je le pouvais… Crois moi, je n’aurais pas de soucis avec la domination. Quand je dis ça, c'est-à-dire… Sortir avec un homme, un homme que j’aime quoi… » Soufflais-je doucement en baissant le regard clignant des yeux en détournant le visage. L’homme que j’aimais ? Il était en face de moi, je m’en doutais de plus en plus, oui, je l’aimais et c’était en train de m’éclater en pleine gueule. Amoureuse, j’étais amoureuse de lui, c’était la vie est ce que ça me gênait ? Non loin de là j’avais simplement peur de me prendre une grande claque, de voir que je n’étais qu’une simple pute et que lui et moi ça ne marcherait pas. Changeant rapidement de sujet revenant alors à ma cliente qui voulait coucher avec moi, je fuis surprise de voir qu’il voulait avoir une vidéo. Quel vicieux… Filmer… Est-ce qu’il se branlerait en me regardant ou en regardant l’autre femme ? J’aimerais tellement savoir… Oh ça oui… « Ou alors, elle t’a simplement trouvé à son goût ! Et elle n’a pas trouvé d’autre façon de t’accoster, que de se dire cliente ou éventuelle cliente. » Entrouvrant la bouche je riais doucement en passant ma main dans mes cheveux. « Pitié Heath, stop… Ta déjà vu quelqu’un tomber amoureux d’une pute ? Sérieusement… Qui voudrait de moi ? Trouve le moi… Et je l’aimerais du plus profond de mon cœur et je le rendrais heureux de pouvoir m’aimer malgré ma profession… » Soufflais-je en le regardant droit dans les yeux. Genre il allait trouver un homme qui m’aimait… Pourquoi est ce que je lui avais dit ça moi ? Pour voir s’il m’aimait ? Balivernes il ne m’aimait pas c’était plus qu’une évidence de sa part… Continuant de parler d’elle et surtout de sa vidéo, j’émettais l’hypothèse qu’il puisse venir nous rejoindre dans la chambre, faire un trois, il est clair que cela me plairait mais je ne toucherais en rien cette femme, je le voulais pour moi, son regard plongeait dans le mien, son membre ne cessant de glisser en moi. Sa jouissance, la mienne, un jour si elle vient… Je voulais tellement de chose… « Ouais bien sûr. C’est aussi ce que j’étais en train de me dire … » Le regardant en souriant faiblement je me mordais la lèvre, même si sa phrase était ironique, malheureusement. Ne préférant rien répondre, il lui suffisait pourtant de venir vérifier mon entre jambe, voir a quel point je pouvais mouiller qu’il m’excitait, qu’il pouvait glisser ses doigts en moi avec facilité…Parlant d’autre chose pour me changer les idées, je pouvais très bien voir que malheureusement je l’avais réellement blessé dans mes propos de tout a l’heure, il n’avait pas vraiment apprécié que je puisse lui faire un tel mal… Malheureusement je ne pouvais pas faire autrement, je ne pouvais pas retourner en arrière non… Lui proposant encore une fois de coucher avec moi je voyais bien qu’il avait l’air… écœuré… Ok, je ne l’excite pas. Vlam la claque Isobel. « Tu devrais arrêter de me proposer de faire l’amour avec toi. Vu le nombre de fois que j’ai refusé, ça commence à être assez pathétique là. Tu ne trouves pas ? » Détournant le regard je poussais un long soupire légèrement dégouté, il n’avait pas tord… Vraiment pas tord et ça devenait plus qu’humiliant pour moi… « Ouais, faut croire que j’excite bon nombre de pervers mais pas toi… C’est pas grave, t’es juste le premier que je n’excite pas, je vais m’en remettre... » Non je ne m’en remettrais pas. Comment me remettre de cette annonce alors que le seul type qui pouvait m’exciter… C’est lui ! Heath McKingsGreen, non mais franchement sur ce coup là je n’ai vraiment pas de chance. En fait, quand on regarde bien je n’avais jamais vraiment eu de chance dans ma vie, mon père s’est barré à ma naissance, ma mère est tombé gravement malade, je me suis replié sur moi-même, je n’aime pas le contact des gens, je ne suis pas une personne tactile, je cris, je hurle, je frappe, j’ai du m’occuper de ma mère, je l’ai vu mourir devant moi, je suis devenue une pute, et j’aime mon mac. Génial, mais ma vie est parfaite… La seule personne, la seule personne vivante qui me donne envie de câliner de faire des choses bien c’était lui Heath.
Il me procurait la même sensation que lorsque ma mère était toujours vivante sauf que lui mon amour était plus poussé je le ressentais de plus en plus… Me parlant de la vidéo, je trouvais tout de même cela écœurant. Lui intimant qu’il aurait sa vidéo, il n’avait pas de souci à se faire de ce coté là. Je filmerais, oui, je filmerais le tout… Qu’il en soit sur… « C’est juste un fantasme d’hommes et je reste un homme hein ! … » Plissant le nez je le regardais en souriant faiblement. « Fantasme hum, mais je peux toujours demander a ma cliente si le faire devant un homme ça la tenterait. Qui sait, c’est toujours mieux en vrai que par écran… » soufflais-je en me levant alors de mon siège pour venir m’assoir sur ses genoux après avoir tourné légèrement son fauteuil. Ses cuisses fines et musclé sous les miennes, son souffle heurtant doucement la peau de mon cou, son regard choqué plongeait dans le mien tendre à souhait et remplit de désir. Le son de sa voix qui me disait de dégager de la, et moi qui ne bougeait tout simplement pas. Non, je ne me foutais pas de sa gueule, ok, proposer une oreillette pour qu’il puisse guider mes moindres faits et gestes ce n’était pas une idée brillante, mais je ne me foutais pas de sa gueule. Tenant son menton du bout de mes doigts, mon visage extrêmement proche du sien je passais ma langue sur mes lèvres, mon nez effleurant lentement le sien. Je me figeais violemment en sentant le désir monter rapidement en moi. Plissant le nez, mes yeux se fermant, j’entrouvrais lentement la bouche un gémissement a peine audible sortant de celle-ci. Déglutissant longuement en posant ma main sur son épaule la serrant doucement je me secouais la tête. Ok j’avais envie de lui …. Le moindre contact me rendait folle. Marmonnant que je ne me fichais pas de lui, je le regardais longuement, droit dans les yeux. Je ne pouvais pas finir ma phrase, je ne le pouvais pas… Pas lui avouer que je voulais le connaitre hors boulot, que je voulais tisser des liens avec lui autre qu’un mac et sa pute… Je voulais autre chose, tellement plus… Oh Heath… « Ouais t’as raison, fini pas ta phrase. Je pense que c’était un truc que tu regretterais rapidement et que je ne veux même pas entendre. Sans doute ! Bien sûr c’est mon histoire qui t’a perturbée hein … Moi je pense plutôt que t’es perturbée de naissance. » souriant faiblement, je baissais mon regard sur ses lèvres en léchant a nouveau les miennes. Mon front se posant contre le sien, je passais ma main dans mes cheveux les tirant en arrière tout en riant légèrement. « Je pense que tu te trompes… Mais Hey c’était méchant ça… Moi perturbée de naissance… Espèce de mauvais… C’était sacrément méchant ça, hum » dis-je en faisant une mine boudeuse faisant mine de lui faire la tête. Pour la première fois depuis des mois, je venais de ne pas prendre sa réflexion méchamment et même, je faisais de l’humour avec lui, le type d’humour couple…. Les taquineries… luttant contre l’envie de l’embrasser, je posais ma main sur son torse, tâtant l’air de rien son pectoraux. Mon autre main sur son poignet je me relevais lentement ma main glissant vers la sienne mes doigts caressant les siens l’air de rien. Le voyant reprendre l’écriture de sa lettre, je lui proposais alors mon aide avant de prendre mes affaires tout en baillant étant tout de même très fatiguée. Lui proposant rapidement mon aide, je compris, qu’il n’avait pas franchement l’envie d’être un tant soit peu aider. « Laisse moi m’occuper de cette foutue lettre, seul, ok ? Je sais ce que je fais. Et si je me décarcasse pour écrire ça sur un bout de papier, c’est sans doute parce que je n’ai pas franchement le choix. » « Ok, ok mon Ange, t’emballe pas, bon courage… » Dis-je en reculant regardant alors le tas de feuille qu’il utilisait et gâché. Le lui disant rapidement je filais vers la porte posant ma main sur la poignée. Il n’était pas franchement écologique sur ce coup là…
« C’est mieux que je tue des arbres ou des gens ? » Passant ma langue sur mes lèvres j’haussais rapidement les épaules l’air de rien en me tournant vers lui. « Hey… Des gens ! Oh moins tu nous débarrasse des gros connards… J’ai une liste si tu veux ! Si tu pouvais tuer le directeur de l’hôpital… Moi ça m’arrange mon Ange ! » Dis-je en souriant entrouvrant alors la porte lorsqu’il me clama que c’était l’inspection du corps. Bien évidemment j’aurais du m’en douter. Refermant la porte me tournant vers lui je posais mon sac sur le sol commençant alors a me déshabiller lentement, très lentement vers lui de façon a ce qu’il n’ait pas besoin de se lever pour inspecter mon corps. Essayant de ne pas penser au bleu sur mon sein, j’espérais que cela passe bien évidemment inaperçu. Lui marmonnant que j’aurais dû m’en douter au vu de la conversation au début de mon arrivé, il ne put s’empêcher bien sur de répliquer. « C’est l’état de ton corps que je veux vérifier, pas autre chose ! » Levant un regard vers lui je souriais faiblement ne préférant rien dire. Non il n’y avait rien à dire sur ce genre de commentaire… Je préférais m’abstenir, de toute façon j’étais bien trop crevée pour dire quoi que se soit et bouger. Me déshabiller était déjà quelque chose de surprenant. Je tenais debout par un simple miracle c’était pour dire… Une fois totalement nue après avoir enlever le string tout en le regardant droit dans les yeux, je restais un long moment devant lui en espérant qu’il ne puisse pas voir mon bleu sur mon sein. Me tournant sachant qu’il ne lui fallait pas autant de temps que cela pour me regarder, je restais tranquillement dos à lui. N’en avait-il pas marre de voir nos corps une a deux fois par semaine ? Pourquoi vérifiait-il autant ? Il était tellement méticuleux… « Pourquoi ? Tu regardes nos corps si souvent ? Je te savais très maniaque pour le ménage, mais je n’aurais jamais cru pour… la marchandise… » soufflais-je en utilisant ses propres mots. Me tournant vers lui en lui demandant si c’était bon tout en me rapprochant de lui, je me tenais rapidement au bureau titubant légèrement. Je ne pus m’empêcher alors de lui demander si je ne pouvais pas dormir avec lui le temps qu’il finisse de remplir tous ses papiers, afin de ne pas prendre la voiture et par conséquent de ne pas avoir d’accident de voiture. Je savais parfaitement que si je prenais la voiture totalement fatiguée, je risquais de me faire du mal, de m’endormir et … du pire mourir. « Non c’est bon … T’as réellement pas l’air bien . Tu pourras dormir un peu, ici, avant de prendre la route. Ca ne sert à rien que t’ailles te tuer en voiture hein … » souriant faiblement en lui lançant un regard attendri, chose qui était plus que rare je souriais a nouveau en me penchant pour prendre mon string et mes autres fringues. « Hum, hum » soufflais-je doucement en enfilant alors mon string lentement. « Attend … » Frissonnant violemment, ayant cru qu’il n’avait pas vu la marque, je fermais brièvement les yeux en déglutissant l’entendant alors se lever. Bon sang il allait s’énerver… C’était la première fois que je revenais avec une marque quelconque. Qui plus est sur le sein et plus que voyante. Ce fils de pute m’avait sacrément mordu et tiré la peau. Au point même ou j’avais eu mal un petit moment. Non mais… Me mordre, comme si c’était tout à fait normal, je ne suis pas un bout de chair fraiche… Passant ma langue sur mes lèvres, ouvrant les yeux pour le regarder s’approcher, je sentis alors son doigt sur mon sein. Me redressant en sentant mon sein violemment durcir de plaisir, mon téton durcissant comme jamais je me sentis bêtement rougir ma main se posant rapidement et automatiquement sur la taille de celui-ci tirant sur son haut. « C’est quoi…Ca ? » Sa voix calme, trop calme, son doigt sur mon sein, je n’avais pas franchement l’habitude de me faire toucher la poitrine, putain ce que c’était bon. Tremblant violemment en baissant le regard sur son doigt le regardant je passais ma langue sur mes lèvres. Mon sein n’avait jamais été aussi dur… Non jamais… L’autre le suivis très rapidement par envie je suppose… Mais lui ne se ferait pas toucher… Passant mon doigt moi aussi sur la marque, je touchais par la même occasion le doigt de Heath avec extrême lenteur. « C’est Mark… Tu sais mon gros client… Il a … Perdu le contrôle ce fils de pute… J’ai rien vu venir il n’avait jamais fait ça avant… » dis-je en serrant les dents. Attrapant son doigt du mien, je fis légèrement baisser son doigt celui-ci passant sur mon téton totalement ressorti et dur. Lui faisant lentement caresser tout le long de mon sein et quelque peu mon buste je fis baisser son doigt le tenant de mon doigt avec douceur et tendresse. Nos mains baissaient je ne lâchais pas son doigt l’air de rien, je regardais toujours mon sein. « Ce con m’a mordu d’un seul coup…Il s’est prit mon poing dans sa gueule… ça n’arrivera plus Heath… Je te le promets. Je lui ais dis de tout, je lai envoyé chier je l’ai menacé et tout. On ne me mord pas… Putain je ne suis pas un simple bout de viande quoi… » Passant ma langue sur mes lèvres je lâchais doucement son doigt en posant ma main sur mon sein le relevant. « Je cacherais ça avec du fond de teint… Mais crois-moi… Ce sale pervers, ce sale con… J’ai la rage contre lui… Il n’est pas prêt de recommencer… Je crois… Il m’a filé cinq cent dollars pour ça… » Dis-je doucement en reculant pour enfiler alors mon haut l’air de rien. Enfilant ma jupe rapidement j’époussetais rapidement mes fringues en tremblant quelque peu.
Code du règlement :
Spoiler:
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Dernière édition par Paprikà B. McLowe le Ven 3 Juin - 17:39, édité 10 fois
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 0:48
Physique & Caractère
Apparence & Style: Paprikà est une fille plutôt belle, voir même très belle. Un mètre soixante dix neuf, un petit cinquante cinq kilos elle est tout ce qu'il y a de plus normal. De couleur blonde et d'une peau pale dû a ses quelques origines suédoise elle a un regard bleu acier perçant qui vous envoute franchement lorsque vous plongez son regard dans le sien. Paprikà a une poitrine petite mais cela ne la gène pas tant que cela, elle a un corps légèrement musclés, et des longues jambes bien galbé et fines. Elle a tendance a s'habiller assez a la mode, comme parfois elle peut s'habiller en se foutant de ce qu'elle met. En général elle est habillée d'un Slim gris ou bleu nuit. Ses deux préféré. Elle adore avoir des top moulant et une paire de boucle d'oreille. Après tout c'est une fille... Elle adore avoir une paire de lunette sur le visage elle sort jamais sans... Tout comme son paquet de clope... Mais ça c'est futile...
Caractère: Je ne suis pas une fille facile a cerner d’habitude, personne n’arrive a me cerner… Tout ce que l’on peut savoir de moins c’est que je suis une fille qui est constamment triste, je ne souris que rarement, il m’arrive de le faire je ne suis pas non plus un monstre… Mais je n’étais pas ce genre de fille. J’ai un passé, j’ai cela en moi qui fait que je suis toujours triste, je suis de nature très discrète, je ne m’impose pas, même si parfois … C’est tentant. Mon caractère change du tout au tout quand je suis avec un garçon. Timide, réservée, introvertie… alors qu’avec les filles je suis rigolote, souriante, et je suis même avenante. Il parait que les violes ça change toute une vie. Je confirme… Je n’étais plus la même et ce depuis longtemps, je suis une fille qui a peur constamment dès qu’elle se retrouve avec un homme, je ne cesse de penser, de réfléchir de me dire oui fonce et deux secondes après de me rétracter… Mais à côté de cela, je suis quelqu’un de souriante et qui aime parler, qui aime apprendre sur les gens. Je suis quelqu’un qui aime aider son prochain et qui quand j’aime, ferait tout pour protéger les gens que j’aime. J’étais ainsi, on ne pouvait pas me changer… La jalousie ne fait pas parti de moi jamais… Mais maintenant que je suis amoureuse… tout change et je me sens … perturbé…
L'histoire
Dernière édition par Paprikà B. McLowe le Sam 4 Juin - 2:48, édité 3 fois
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:03
Jessica trop sweet
Bienvenue
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:26
Asthon *-*
Merci =)
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:27
Bienvenue Ton code du règlement n'est pas le bon, je t'invite donc à le relire (:
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:37
oh, punaise, c'est fou à quel point les accents inutiles dans les prénoms me titillent l'oeil... Quoi qu'il en soit, bienvenue.
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:41
Ok Dylan je change bientôt ^^
Heaven : Chacun ses gout et les accents inutiles ? Vient en Australie ou bien même en nouvelle Zélande et on en reparle d'accord? ^^
sinon merci à vous deux (:
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:50
Chacun ses goûts, certes, mais j'ai le droit de dire ce que j'en pense. tu n'es pas la première à qui je fais la remarque. & puis, je ne vois pas ce que ça vient faire là, mais ma seconde famille est en Australie, à Melbourne. Donc on en reparle quand tu veux.
Sur ce, j'arrête avec le flood.
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 1:54
Y'a des façon de dire les choses ^^ Et je cite l'Australie et la Nouvelle Zélande car beaucoup de prénom originaire de là-bas ont des accent... Sur ce oui cesse donc le flood (: c'est pas forcément bon ^^
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 2:16
En Australie, y'a donc des kangourous et la famille de Heaven...Bouhh, le pays à éviter, quoi.
Et punaise, Stam, souvenirs souvenirs.
Bref... Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 2:17
Merci beaucoup ^^
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 2:40
Stam. Bienvenue.
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 2:41
Merci beaucoup *-*
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 4:17
En tout cas, on peut pas dire que le prénom de ton personnage n'est pas original Je l'adore en fait
Bienvenue sur le forum! Amuses-toi bien par ici ^^ et très bon choix d'avatar !
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 4:18
Merci beaucoup j'aime beaucoup les prénom d'épice et tout *-*
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 11:16
Bienvenue sur NYCL
Paprikà B. McLowe a écrit:
Y'a des façon de dire les choses ^^ Et je cite l'Australie et la Nouvelle Zélande car beaucoup de prénom originaire de là-bas ont des accent... Sur ce oui cesse donc le flood (: c'est pas forcément bon ^^
Je trouve à l'inverse qu'Heaven a parlé en rigolant alors que tu lui réponds super sèchement... Et le "sur ce oui cesse donc le flood", c'est à nous d'en faire la remarque si on le juge nécessaire Surtout que là ça ressort plus comme un ordre qu'une remarque ^^
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 11:27
Comme l'a dit Maya, t'étais pas censée mal le prendre j'ai peut être une manière bein particulière de dire les choses, mais c'est pas une raison pour me sauter à la gorge. D'autant plus que tu parles d'Australie et de prénoms avec accents, mais c'est franchement antithétique. C'est un pays anglophone donc les accents sont inexistants, et pour y avoir été pas mal de semaines et connaître beaucoup de gens, je n'ai rencontré jusqu'à aujourd'hui aucun Australien avec un prénom avec accent. x) Après, libre à toi de mettre un prénom avec accent, ce n'est pas vraiment le but de l'affaire, mais je soulignais juste que pour une anglophone, c'était inutile d'en mettre un.
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 12:32
Bienvenue
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Sujet: Re: PAPRIKA - One love to change your life. Ven 3 Juin - 13:57
Bienvenue STAM Prénom original
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.