Sujet: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 20:59
peristyleLJ
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Ordinaries
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Like an old photograph, time can make a feeling fade. But the memory of a first love ; never fades away." Tim McGraw
Signe(s) Particulier(s)
Juliett a une peur bleue des tatouages, sa mère en portait un et elle a toujours cultivé une haine mystique envers ce dessin. Donc pas de tatouages, ni de piercing mit à part ses oreilles percées.
Orientation Sexuelle
Éternelle romantique elle a vécu une seule histoire d'amour marquante dont elle a encore aujourd'hui du mal à se défaire. Sinon à côté de ça rien de bien franchement sérieux. Histoires qu'elle partage avec des hommes qui malgré leur caractère borné lui apportent une certaine dose d'apaisement car même si elle a vu le monde d'un tout autre oeil elle croit à l'image de la maison partagée avec son mari et leurs enfants.
Juliett Sasha Olivia Johansen
Dernière édition par Juliett S.O Johansen le Lun 4 Juil - 21:04, édité 1 fois
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 20:59
Physique & Caractère
Apparence & Style: Vous voulez voir à quoi pourrait ressembler un ange ? Et bien c'est simple, il serait blond mesurant minimum 1m70 élancée et très mignon. Un sosie de Juliett en quelque sorte sauf que la demoiselle est plus proche du mètre 75 que du 70, car mademoiselle Johansen se fait remarquer au premier coup d'œil grâce à sa taille qui lui a valu quelques moqueries plus jeune. Grande blonde élancée, on la compare de plus en plus à certaines figures emblématiques blondes (voire carrément baby doll) disons que le rouge de Chanel comme rouge à lèvres et sa blondeur angélique donne de grands air de ressemblance avec certaines actrices des années 60, elle a pourtant longtemps caché ce côté avantageux de son physique préférant se cacher sous des vêtements amples pour cacher cette silhouette qu'elle a mit du temps à assumer. Silhouette que la jeune femme cultive autant qu'elle le peut car sportive, et ce ne seront pas ses ex copines du Cheerleading qui vous diront le contraire car au vu de son sourire et de ses longues heures on vous laisse vous imaginer les entraînements. La blondinette avouera avoir été une pompom girl par rapport aux moqueries subies durant son enfance (vis à vis de son caractère renfermé) , car derrière cette nouvelle fashionista se cache une jeune femme plutôt réservée qui n'aime pas vraiment se maquiller, et qui a toujours suivi les conseils de sa mère côté fringues. Le maquillage est un sujet limite tabou car elle a posé son premier coup de pinceau sur son visage lorsqu'elle a eu son diplôme de fin de lycée, on le lui a conseillé. Alors pour souligner ou affirmer quelques traits ou intensifier son regard la jolie blondie n'est pas contre : une touche de blush,ou un trait FIN d'eye-liner. Vous me direz que son joli petit visage compense sur tout et grâce à cela pas besoin de maquillage ? Et bien oui, car en y prêtant encore plus attention on peut remarquer qu'elle a vraiment tout pour plaire ce qui n'est pas censé NOUS déplaire alors bon déjà son regard :yeux qui n'ont pas la peine d'être en amande pour attirer du monde, yeux qui brillent lorsque que la demoiselle est heureuse ces mêmes yeux peuvent refléter tous les sentiments possibles et imaginables car les yeux sont le reflet de l'âme et en voyant ceux de Juliett pas la peine de vous dire qu'elle est adorable. Son nez et bien assortit avec le reste (aucun complexe donc à avoir), nez qui rougit selon les saisons et qu'elle fronce lorsqu'elle est perplexe. Le visage ne serait pas le visage si l'on oubliait la bouche, bouche pulpeuse qu'elle ne déguise pas derrière une tonne de rouge à lèvres. Car trouvant ses lèvres trop provocantes après. Plus jeune on la voyait comme une sorte de poupée Barbie avec l'intelligence et la pudeur en plus.
Caractère: Juliett a beau ressembler physiquement à une poupée, son caractère est loin d’être aussi niais que les campagnes de marketing Barbie faisant passer leurs poupées comme affreusement sottes. Juliett n’a jamais été du genre à passer des heures et des heures à jouer avec sa dinette, ou avec ses Barbie. Son petit minois laisse deviner qu’elle a un rapide esprit de déduction, et une curiosité à faire honte les plus réservés d’entre nous. Intelligente elle a pris conscience qu’elle pourrait se forger sa propre opinion, ses propres idées en s’informant et en allant chercher les informations où elle pouvait les trouver. A partir de ça elle a toujours pu émettre son avis, pouvoir débattre sur des choses dont elle avait des connaissances. Et vu le métier qu’elle exerce aujourd’hui on lui demande d’être réactive et surtout bien renseignée. Pour Juliett il y a un temps pour tout ; le travail & les loisirs. Si elle n’a pas tellement le temps de s’amuser ou de jouer la touriste en missions humanitaire elle est la première à lancer des petites blagues (plus ou moins marrantes) et à se mettre en dérision. Il lui arrive aussi d’imiter ses collègues, ou des rencontres marquantes qu’elle a eu tout ça en étant drôle et pas cynique. Pourtant la blondinette est du genre à être de ceux qui mettent du temps à comprendre la blague quelles soient dites à l’oral ou dans un film. Ne mettez pas ça sur le dos de sa blondeur mais sur son humour particulier qu’elle est parfois seule à comprendre ; drôle peut également la qualifier. Elle peut passer du rire aux pleurs, rien que cela lui a valu plusieurs fois de sérieux doutes quand à sa santé « mentale » on la supposait de dépression surtout adolescente. De l’adolescente elle en a un défaut qu’est la nostalgie, il n’est pas rare de voir Juliett plongée dans ses pensées. On peut croire qu’elle à la tête ailleurs, qu’elle est juste déconnectée, elle ne cesse de repenser aux temps heureux ou insouciante elle n’avait pas à se confronter à la misère du monde réel. Non pas qu’elle regrette d’avoir choisi cette voie là mais être nostalgique lui permet de s’évader un peu. Repenser à certains souvenirs auxquels elle ne veut pas être détachée même si vivre dans le passé et le ressasser n’est jamais bon. Avec tout ça on se dit qu’elle doit être à ne rien dire au moindre petit conflit, ou qu’elle se range dans l’avis général pour justement éviter les confrontations. Il n’en est rien car mademoiselle Johansen est terre à terre elle n’a jamais été douée pour y aller avec le dos de la cuillère donc il n’est pas rare de la voir répliquer sèchement ou monter hors de ses gonds pour un simple désaccord. Souvent limite/limite au niveau de cela elle essaie de prendre sur elle et d’éviter que tout se transforme en explosion. Juliett n’accumule pas pour exploser au final, elle explose à chaque fois. Connue pour ne pas lâcher prise elle défend ses opinions et reste braquée dessus, têtue comme une mule serait une image lui correspondant parfaitement. Dans la vie professionnelle ses collaborateurs n’aiment pas avoir a faire à elle quand elle est de mauvaise humeur ou juste déterminée à prouver qu’elle a raison. A l’extérieur et dans son entourage ses traits ne sont pas aussi flagrants mais plutôt réunis dans sa franchise. Juliett est franche voire parfois trop franche, à la moindre dispute entre amis la blondie au tempérant assez brûlant peut dire des choses vexantes qu’elle regrettera une fois l’ambiance refroidie.
Dernière édition par Juliett S.O Johansen le Jeu 16 Juin - 12:04, édité 3 fois
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:00
L'histoire
13 juin 1987 :Vol Paris/New-York : alors qu'elle a joué la comédie jusqu'au bout passant le poste frontière et la salle d'embarquement en affirmant qu'elle n'était enceinte que de 6 mois Olivia Kathryn Senfield épouse Johansen accouche entre la deuxième et troisième rangée des sièges de la première classe aidée de son voisin interne et des hôtesses de l’air devenues sage-femme d’un jour. Accouchement stressant mais grâce auquel au bout de quelques heures de travail une certaine Juliett Sacha Olivia Johansen-Senfield pousse son premier cri. La légende qui dit que les bébés nés dans un avion et à qui on offre la gratuité à vie sur toutes les lignes de la compagnie est vraie et cette petite poupée occupe la case faits-divers insolites durant quelques semaines.
13 juin 1997 :New-York city (NY) : Juliett a dix ans, mais fait un peu plus âgée. Sa blondeur est flagrante et se remarque dés le premier coup d’œil. On lui a décelé des facultés qui sortent de l’ordinaire, un QI de 120 qui expliquerait son mutisme et son ennui total du système scolaire traditionnel. Ses parents sont attentifs, soucieux de l’état de leur fille unique mais aussi très pris par leurs emplois respectifs. Lui est trader, elle est galeriste ils ont un mode de vie particulier et leurs petites habitudes la mère ne cache pas sa volonté de continuer à entretenir son train de vie aisé. Juin a toujours été le mois de la réunion de la famille (depuis sa naissance) où ils essayent de se couper de leurs sphères professionnelles pour pouvoir profiter de leur fille. Des années à l’étranger, parfois seulement à New-York, Juliet ne supporte pas tellement le mode de vie citadin et le côté répétitif de la Grosse Pomme devient rapidement pesant.
13 juin 2002 :Orange-County (Los-Angeles) : Depuis deux ans que le diagnostic est tombé, Ju' est surdouée. Si ses parents estiment cela comme une chance et donc une perspective brillante de carrière pour elle il s’agit d’un handicap. Elle qui préférait jouer encore la carte de l’insouciance, passer son temps au lycée à bavarder et à pouvoir continuer à suivre rapidement n’apprécie pas l’idée de devoir aller dans un cursus « adapté ». Qui lui demandera donc de fournir un travail plus important idée avec laquelle elle a du mal. Elle préfère donc passer tous ses été chez sa cousine à Orange plutôt que de penser à l’après. Déjà remarquée dans la rue, et contrairement à sa cousine extrêmement timide Juliett est sociable. Mais peu encline aux amourettes de vacances ou amourettes en général.
13 juin 2008 :Copacabana (Rio de Janeiro) : Cette histoire de gratuité de vols lui a permit de s’offrir des destinations plus idylliques les unes que les autres. De s’offrir un week-end sur un coup de tête et surtout fêter sa majorité au Brésil pays sur lequel elle a eu un immense coup de cœur. Fête en petit comité seulement son entourage le plus proche venu le temps de cinq jours profiter et porter leur Juliett internationale en idole. Sur le plan scolaire elle a finalement fait plaisir à ses parents et a donc travaillé pour arriver à sortir avec son diplôme du lycée à 16 ans et ensuite terminer l’université cette année. La voilà à 21 ans à pouvoir faire ce qu’elle veut, continuer à vivre au jour le jour ou penser à un plan de carrière solide. Tout juste sortie de Columbia d’autres universités lui font du pied pour qu’elle vienne enseigner ou juste continuer à faire ses recherches. Juliett n’est pas passionnée par la science, mais voue un culte à la psychologie et à l’anthropologie. Curieusement alors qu'elle s'amuse à faire un de ses tests proposés par les magazines féminins on lui suppose qu'elle devrait se tourner vers l'humanitaire même d'un petit coup d'œil.
13 juin 2011 : New-York city (NY) Juliett qui pensait retourner à sa vie tranquille et paisible s'est vu proposée un poste qu'elle n'aurait sûrement pas accepté quelques mois auparavant. Début 2009 elle commence à effectuer de l'humanitaire en faisant des petites missions qui se comptent beaucoup plus en semaines qu'en mois. Se sentant enfin vu à sa juste valeur elle met en parenthèses sa vie citadine au profit du côté humanitaire. D'abord bénévole, on lui propose au vu de sa ténacité de plus larges responsabilités et un salaire. Continuant à mener des recherches sociologiques elle devient une chef de mission emblématique et se construit un carnet de contacts utile pour leurs implantations. Repérée par une Organisation Non-gouvernementale Internationale (UNICEF) elle en devient un élément fort et un porte paroles. Ayant été en Asie, Océanie et en Afrique elle se spécialise dans les pays au climat aride. Menant donc une vie à tambours battant elle n'a de cesse que d'évoluer et aussi entreprendre de se fixer à un moment. Car avec des missions qui durent en moyenne 6/9 mois au minimum à 2 ans au maximum elle a du mal à gérer sa vie privée à côté. Des petites histoires, des flirts mais rien de bien sérieux ce qui commence à inquiéter ses parents qui voyaient déjà leur princesse leur présenter son prince charmant avant ses 24 ans.
Behind the computer
Prénom: Âge : 20 ans. Avatar choisi : Teresa Hottie Palmer Comment as-tu connu ce forum ? : Ton avis (design, contexte, ...) : Présence sur le forum : 7/7 Autre(s) compte(s) : JDH & SLD Exemple de RP :
Spoiler:
Serena L. Douglas a écrit:
Casey & Serena
PLEASE DON'T SAY WE'RE DONE, « He turned toward me. Our lips were mere inches apart, and suddenly the scent of him became nearly unbearable. Even though my head knew it was wrong, my heart screamed that I’d never be complete if I didn’t kiss him ♪... »
Serena n’aurait jamais pu mieux tomber, aucun autre homme n’aurait pu être Casey. Etre Casey c’est avoir tous un tas de qualités, caractéristiques particulières. Avoir aussi un caractère bien tranché et une vision des choses claire & nette. Peut être que dans d’autres circonstances ils ne se seraient jamais croisés, peut être que jamais elle n’aurait accordé le quelconque degré de confiance à un sportif comme lui. Dans ce cas là, Serena ne se sentirait pas du tout complète, comme s’il lui manquait un « je ne sais quoi » qui flotterait au-dessus de sa tête sans vraiment comprendre pourquoi, ni en connaître son origine. Avec le jeune homme il y avait toujours eu ses rires, ses sourires, ses petits moments de calme après la tempête, ces embrouilles pour des détails futiles et les réconciliations. L’italienne a conscience que son caractère n’est pas facile à supporter tous les jours, que si ses caprices de princesse amusent les premiers jours ils en deviennent facilement déroutant. Pourtant jamais l’idée de lui cacher cette facette ne lui avait effleuré l’esprit. Enfin au départ si, comme lors de chaque début d’histoire. On essaie de gommer les petites imperfections, on tente de dissimuler nos petites manies, de minimiser nos défauts. L’image de la jeune femme parfaite qui n’émet aucun écart et qui même chez elle vit en parfaite harmonie. Cette comédie n’avait pas vraiment duré longtemps qu’il avait déjà réussi à la cerner. Cette manière qu’avait son petit-ami de pouvoir l’analyser au peigne fin juste par des mimiques ou par la gestuelle l’intriguait toujours autant. Peut être que Casey était fan de séries télé comme The Mentalist ou des trucs du genre. Ou sinon il se préparait vraiment bien à son futur job dans le journalisme. Téméraire mais pas vraiment fonceuse elle se cache la moindre réflexion envers l’individu qui venait de les interrompre. Elle aurait aimé lui proposer juste avant de passer à l’appartement au moins quelques minutes, mais vu la raison de son installation chez son meilleur ami elle savait que l’ambiance serait électrique. Raphaël s’en ficherait, Serena commençait à le connaître et mit à part son travail qui semblait vraiment prenant il ne restait que discret sur sa vie sentimentale mouvementée (seul adjectif qu’elle pouvait utiliser pour la qualifier) et ne participait pas trop aux éternels débats querelles qui opposaient Steevens & Douglas. Il s’agissait de son meilleur ami, meilleur ami avec lequel elle avait passé un été inoubliable, le seul qui se montrait toujours présent aux périodes les plus complexes de sa vie. Jeff avait toujours donné signe de vie, même quand lui traversait une zone de turbulences. Alors Serena avait comprit qu’il ne serait pas utile pour le moment de chercher à les « réconcilier » ni même à leur trouver un terrain d’entente. La question de la pause était encore trop présente dans les esprits et connaissant le tempérament de l’anglais elle savait qu’il serait du genre à le lui reprocher. Rien de bien neutre dans tout ça après tout Serena en était la fautive non ? Mais pourtant Jeff se rangerait de son côté quoiqu’il advienne. Maintenant il fallait savoir si Casey habitait en colocation, l’étudiante lui cachait cela mais elle n’appréciait plus trop qu’il habite en colocation. Il lui certifiait qu’ils étaient adorables pour Serena quelque chose coinçait. Pas vraiment du genre à se réveiller le matin et devoir partager son petit-déjeuner avec un de ses colocs qui aurait la chambre à côté de celle de Casey avec des murs épais comme deux feuilles collées A4. Le moment embarrassant et surtout le fait de devoir être la plus normale possible. Voilà pourquoi à chaque fois elle cherchait à ce qu’il vienne chez elle plutôt que le contraire. Visiblement pour l’instant ils devraient se contenter d’un porche rien de bien intime et plutôt romantique mais pour un petit baiser pour sceller une soirée c’était déjà ça de pris.
Quand la personne prit le fauteuil, Serena chercha automatiquement une sorte de protection qui se manifesta par l’enlacement de ses doigts dans les siens. Bien qu’assise sur ces genoux elle posa à nouveau sa tête sur son épaule tentant de fuir tout ce qu‘elle pensait comme agressions. Sur le moment elle faisait complètement gamine, et déphasée du monde extérieur. Mais surtout amoureuse et savourant cet instant qu’elle avait tant chéri quelques semaines auparavant. Elle avait eu peur d’idéaliser un peu trop le truc, de se faire un film avec un scénario digne de trois oscars et à en faire pleurer les plus réticents du public. Peur aussi de ne plus lui plaire, de lui paraître différente, de quand même se dire qu’il avait Serena en face de lui mais qu’un petit quelque chose était venu s’installer là. Puis peur de ne plus être à la hauteur, le curieux et radical changement de caractère dont elle avait fait preuve ne collait plus vraiment trop avec sa période en couple. Le côté head bitch in charge ne collant pas vraiment trop avec la notion de femme épanouie/amoureuse et heureuse. Elle ne se calmerait pas pour autant, la période de se faire marcher sur les pieds et encaisser paraissait vieille comme le monde maintenant. La jeune femme cherchait à se prouver qu’elle pouvait continuer à s’affirmer même complètement collée à son petit-copain. Alors qu’il la gâte encore une fois de ses friandises sous forme de baisers, ils se retrouvent à nouveau interrompus. Pas par un autre client qui leur demanderait leur table cette fois-ci mais par le téléphone de Lockart.
Inutile de cacher que Serena fit légèrement la grimace, elle ne dirait rien mais n’en penserait pas moins. Ce qui est totalement contradictoire vu qu’elle est la première à décrocher (dans le même cas de figure) et sans vraiment s’excuser. Elle se souviendra longtemps de sa mère qui lui disait de ne jamais répondre au téléphone quand elle est en rendez-vous car acte jugé comme un total manque de respect. Cette pensée se dissipa illico quand elle entendit les premiers mots échangés, et le ton de la voix au téléphone. Casey et son père une histoire compliquée à laquelle elle avait plusieurs fois tenter de défaire les nœuds hélas sans succès. Leur relation s’était détériorée du jour au lendemain, sans qu’elle arrive à comprendre pourquoi. Casey lui avait raconté mais sans vraiment entrer dans les détails retenant juste qu’il en avait assez de devoir lui plaire et de le peigner dans le sens du poil. Et a en juger la tête qu’il faisait en répondant de manière blasé il ne fallait pas avoir un esprit de déduction au dessus de la moyenne pour comprendre que rien ne s’était arrangé. Comme pour lui apporter une forme de soutien aussi faible et maigre soit-elle, elle resserra un peu plus ses doigts jusqu’à arriver à fermer sa main et effleurer le revers à l’aide de son pouce. Avec sa mère, le rapport mère/fille était loin d’être fusionnel et équivalent à la situation de Lockart père & fils. Comme quoi même dans leur contexte familial il y avait toujours moyen de les rapprocher. Surprise mais à la fois inquiète par la requête qui semblait lui demander et qui n’enchantait pas vraiment le jeune homme son regard se fit inquisiteur et la volonté de se pencher encore plus pour écouter lui faisait violence. Le côté curiosité poussée au maximum, savoir si aussi son père parlerait d’elle implicitement ou explicitement. Tiens ça lui faisait penser à lui demander si il avait parlé de leur break a quelqu’un de sa famille, et si oui ce qu’il avait dit. Bon pour ce futur interrogatoire elle laisserait le temps passer un peu, laisser l’eau couler sous les ponts comme dirait le proverbe. Silencieuse, elle laisse ses yeux noisettes s’aventurer sur les gens, les silhouettes. Elle croiserait peut être Aria, ou Andrea, enfin non pas Andrea tout était assez compliqué comme ça. Et il fallait qu’il se essaye de franchir le cap Burberry. A peine sa première réflexion presque terminée la voix de Casey lui paru soudainement plus proche et à sa portée. Il irait donc voir son père bientôt… Et vu comment Lockart père avait l’air de tenir à la visite de son fils c’est que l’occasion était importante. Attentive à la moindre moue de son petit-ami elle se tenait sur les starting-blocks pour le réconforter ou juste jouer le rôle de l’oreille attentive. Son pouce touchant encore le revers de sa main, elle se mit à accélérer ce geste sans vraiment comprendre pourquoi. Elle ne voulait pas qu’il s’inquiète, qu’il ne se fasse du mauvais sang pour cette histoire. Qu’il ne se mine le moral pour éviter les conflits avec son père. Au pire Serena pouvait être là, si il lui demanderait de venir elle l’accompagnerait sûrement mais elle ne préféra pas imposer ce choix ni émettre l’hypothèse qui impliquerait quand même qu’elle prévoyait une réponse positive. Casey s’il se sentait prêt le lui demanderait a elle de savoir faire preuve de patience et à éviter d’en demander trop tout de suite. Le laissant raccrocher et évitant ainsi de le brusquer, elle préféra le laisser prendre à nouveau la parole.
« T’excuses pas c’est pas la peine ! » Lui adressant un sourire compatissant, elle trouve ça adorable qu'il continue à quand même vouloir se faire pardonner enfin excuser. « C'est pas la première fois Casey c'est bon je comprends, il t'a demandé quoi cette fois ci ? »
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Dernière édition par Juliett S.O Johansen le Ven 17 Juin - 18:40, édité 4 fois
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:01
olivia et puis Juliett &puis Teresa quoi re-re-bienvenue
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:04
WAHHHHH, IMPÉRATRICE, T'ES TROP BELLE Re-bienvenue
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:09
Maisy C. Williams a écrit:
olivia et puis Juliett &puis Teresa quoi re-re-bienvenue
J'en déduis qu'il s'agit de bons choix de prénoms (a). Merci
Nolan M. Warren a écrit:
WAHHHHH, IMPÉRATRICE, T'ES TROP BELLE Re-bienvenue
AON IMPERATRICE Merci & toi avec Chace .
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:10
Han, une blondasse!
Bah, moi je te dis juste pis bon courage pour rédiger, toussa toussa.
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:13
Juliett S.O Johansen a écrit:
J'en déduis qu'il s'agit de bons choix de prénoms (a). Merci
& comment que c'est des bons choix de prénoms
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Sujet: Re: juliett s.o ✄ We never forget those who make us blush. Lun 13 Juin - 21:15
Burberry V. Da Vindicci a écrit:
Han, une blondasse!
Bah, moi je te dis juste pis bon courage pour rédiger, toussa toussa.
Après deux brunettes il a bien fallu que j'équilibre toussa si avec ce compte ci on se trouve pas un fucking bon lien positif làlàlàlà
merci
Maisy C. Williams a écrit:
& comment que c'est des bons choix de prénoms
et voilà le kouikage commence dés maintenant .
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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