Sujet: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:50
Bazzart
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: MÃtier/Etude:
J'appartiens au groupe des Playboys
Personnage:Poste VacantScÃnarioInventé
"Imperfection is beauty, madness is genius and it's better to be absolutely ridiculous than absolutely boring."
Signe(s) Particulier(s)
Tazio se fait régulièrement un tatouage à l'henné sur l'omoplate gauche. Le jeune homme n'a jamais passé le cap pour un vrai tatouage, de peur de se lasser de celui-ci. Il a également les oreilles percées mais ne porte que très rarement des boucles d'oreille.
Orientation Sexuelle
Jusqu'à maintenant, Tazio est hétérosexuel mais comme il n'a jamais tenté d'expérience avec les hommes, il ne peut pas savoir si cela lui plairait ou non. Il est donc peut-être bi sans le savoir. Une chose est cependant certaine: Tazio ne jugera jamais quelqu'un sur son identité sexuelle.
Tazio Gregorio MANCINI
Physique & Caractère
Apparence & Style:
Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles.
Je n'aime pas parler de mon physique, c'est quelque chose d'assez compliqué. Si je vous dis que je suis beau, forcément vous allez penser que je suis quelqu'un qui s'y croit, un être superficiel. Et pourtant, je pense sincèrement que je suis bien foutu. En tout cas, je n'ai pas à me plaindre. C'est vrai que si je ne fais pas d'efforts vestimentaires, je peux passer facilement inaperçu avec ma taille standard. D'autant plus que je suis quand même assez frêle. Attention, ce n'est pas parce que je suis anorexique ou autre, car je suis un véritable gourmand. C'est juste que je ne sais pas tenir en place plus de dix minutes. Je fais donc du sport même si je déteste par dessus tout me retrouver dans une salle de musculation. Non, moi j'aime les sports collectifs. C'est pour cela qu'on m'a retrouvé dans mon équipe de basket au lycée, qu'auparavant je faisais de la danse et que pour l'instant, je me suis mis au water-polo. Pour en revenir à mon physique, je ne suis donc pas très gros mais tout en muscles. D'ailleurs, je fais bien attention à ne pas avoir un poil de graisse, je ne trouve pas cela très beau. Que dire d'autre? Que malgré mon nom italien et mes origines, j'ai la peau assez blanche. Et bien que j'ai la faculté de bronzer très vite, les trois quarts des personnes sont étonnées quand mes origines leur sont révélées. Il faut dire que l'image qu'on a en tête d'un italien, c'est les cheveux noirs, la peau halée. Un type méditéranéen quoi. Sauf que moi, j'ai tout pris de mon américaine de mère. Au lieu de cheveux noirs, j'ai donc une touffe de poils chatains sur la tête que je coiffe le plus souvent avec du gel. Cette opération ne sert pas à grand chose puisque j'ai la facheuse manie de passer ma main dans mes cheveux quand je réfléchis ou que je suis perplexe. Inutile donc de vous préciser que je suis très souvent décoiffé. Ce que je préfère chez moi ce sont mes yeux. Pour moi, c'est la partie la plus belle de mon corps. Mes yeux sont bruns, jusque là, rien de particulier. Mais dans mon regard, une joie de vivre -un mélange de malice et de taquinerie- est souvent présente et quand on dit que le regard est le reflet de l'âme, c'est la stricte vérité pour ma part. En effet, on peut lire en moi comme dans un livre ouvert tellement mes yeux sont expressifs. Sinon, j'ai un nez normal, que je trouve quand même un peu gros, des lèvres assez fines et un sourire colgate aux dents parfaites. J'ai d'ailleurs du souffrir pour avoir ce sourire car pendant une période de mon enfance, j'ai porté un appareil dentaire. On a rien pour rien n'est-ce pas? Niveau style vestimentaire, je fais attention à comment je m'habille bien que je ne suis pas automatiquement la mode. Si la mode me plaît, alors vous me verrez habillé comme tout le monde. Sinon, j'arrange la mode à ma façon afin de créer mon propre style. Je suis plus jean baggy bleu que pantalon noir. Et je déteste les jeans slim qui vous serre aux chevilles. Je dois pouvoir bouger dans mes vêtements. Je porte autant des tee-shirts -les bien moullants qui font ressortir mes muscles pas ceux dans lesquels j'ai l'air d'un sac de pommes de terre- le plus souvent colorés mais j'aime aussi porter des chemises. Tout dépend de l'occasion et du temps qu'il fait dehors. Niveau bijou, je ne quitte jamais mon bracelet en argent, il me tient à coeur même si personne ne sait d'où il provient ni même qui me l'a donné. Je garde cette information secrète. Il m'arrive aussi de mettre des chaînes, souvent en argent, et j'en ai une avec les alliances de mes grands-parents maternels. Depuis qu'ils sont décédés, je garde cette chaîne en permance sur moi, bien qu'elle soit le plus souvent dans mon sac qu'autour de mon cou. Enfin, quand je suis en couple & amoureux -il faut que je vous avoue que cela ne m'est arrivé qu'une seule fois- je porte une bague en argent à l'annuaire gauche pour ne pas me faire draguer.
Caractère: 'Ma vie est un véritable désastre mais personne ne le voit car je suis très poli: je souris tout le temps!'
Je suis un être assez complexe et il est assez difficile de faire le tour de ma personnalité. Surprenant pourrait être le premier qualificatif qui vous vient à la bouche pour parler de moi. Et je vous avouerai que j'aime être une enigme à part entière. Je trouve cela marrant. Mon plus gros trait de caractère et celui que vous verrez dès le début sans même me connaître est ma joie de vivre. En effet, même quand rien ne va, j'affiche un sourire. Attention ce n'est pas parce que je suis naïf ou facilement influençable, loin de là. C'est juste parce que je trouve plus facile de faire comme si tout allait bien plutôt que devoir expliquer les raisons de mon mal-être. Je suis donc très souriant et je préfère dire que tout va bien même quand ce n'est pas le cas, ce qui a le don d'en énerver plus d'un, allez savoir pourquoi. Quand on parle de moi, on me représente souvent comme un bon vivant, un hyperactif qui n'a pas peur du riddicule. Et c'est parfaitement ça. J'aime m'amuser, faire la fête, sortir, boire, fumer, draguer les filles et les oublier le lendemain. Le riddicule ne m'a jamais tué donc je continue à ne pas me préoccuper du regard des gens et à faire ce que bon me semble. Par contre, si vous essayez de me suivre dans mes activités, je ne suis pas certain que vous y arriverez. En effet, je ne tiens pas en place et je déborde toujours de projets. La grasse matinée? Je ne connais pas et je n'ai besoin que de quelques heures de sommeil pour être en forme. Je suis donc un jeune homme débordant d'énergie. En plus de cela, je suis quelqu'un d'assez impulsif et je fonce tête baissée sans prendre la peine de réfléchir. Il m'arrive aussi de m'emporter facilement mais en général, je me calme très vite. Je ne suis pas quelqu'un de très rancunier. Par contre, il est très difficile de prévoir mes réactions. Quand vous pensiez que je vais rire et bien, il est fort probable que je vous pique une crise. Et quand vous pensiez que je vais m'énerver, je pourrais fort bien exploser de rire. Je vous l'ai déjà dit, je suis incernable et je prends un malin plaisir à créer des mystères. Je ne parle donc que très peu de ma vie privée et seules les personnes en qui j'ai une entière confiance connaissent mon histoire -ou du moins une partie. Tant que j'y suis, continuons dans les défauts. Je suis quelqu'un de fort têtu et il n'est pas rare que je veuille avoir le dernier mot. En fils de riche qui se respecte, je suis impatient et je veux tout & tout de suite. Je déteste donc attendre et donc je n'aime pas non plus être en retard à un rendez-vous. On peut donc me qualifier de forte tête un brin colérique. C'est que je n'ai pas pour habitude de me laisser marcher sur les pieds. Que dire d'autre? Je représente parfaitement l'insouciance et je n'ai pas l'envie de me tracasser pour le futur. Moi, je préfère de loin vivre au jour le jour. Je déteste par dessus tout choisir et le seul choix que j'ai fait est celui de mes études. Sinon pourquoi choisir entre le basket et le volley si je peux faire les deux? Ou entre la jolie blonde et la belle brune si je peux avoir les deux? D'ailleurs sur ce dernier point, cela me pose quelques fois des problèmes. Pas que je sois infidèle mais j'ai des difficultés à me poser. Je ne m'accroche que très rarement et on pourrait penser que je suis allergique aux relations stables. Vous imaginez donc les malheurs que cela peut provoquer si la fille a tendance à s'accrocher, ce qui arrive assez souvent car je suis quelqu'un d'assez romantique quand je suis en couple. J'aime partager des moments avec la demoiselle, parler -je suis un grand bavard- et l'écouter. Je pourrais être l'homme parfait si je n'étais pas si jaloux et surtout si je restais plus de deux mois avec la même demoiselle.
Behind the computer
Prénom:Laetitia Âge : Toujours une petite vingtaine Avatar choisi : Le sexy Francisco Lachowski Comment as-tu connu ce forum ? : J'y suis depuis quelques mois déjà Ton avis (design, contexte, ...) : Il est tout simplement parfait. Présence sur le forum : Le plus souvent possible, pour ne pas dire tous les jours Autre(s) compte(s) : Oui Une jolie Beauty Queen Exemple de RP :
Spoiler:
Tu es comme une drogue pour moi, c'est comme si tu étais ma propre marque d'héroïne. La vie de Clélia n'avait pas été toute rose surtout niveau sentimental mais comparé à certains, la demoiselle s'estimait heureuse. Elle avait eu une enfance paisible, entourée de l'amour de ses deux parents. Bien entendu, comme une évidence, l'adolescence l'avait fait se rebeller. Elle s'était souvent disputée avec sa famille, pour des petites broutilles mais fort heureusement, elle avait toujours tout fait pour se réconcilier avec celle-ci. Clélia était la personne qui tenait le plus à sa famille dans celle-ci. C'était d'ailleurs elle qui avait instauré le repas familiale de vendredi soir, pour ne pas se perdre de vue malgré les voies différentes que chacun avait prises. La personne qui manquait le plus à Clélia était sans aucun doute Thalia, sa jumelle. En effet, depuis qu'elles avaient choisi une voie différente et donc une université tout aussi différente, les deux demoiselles ne se voyaient presque plus. Clélia semblait plus en souffrir que Thalia. Quand on vous disait que la jeune américo-australienne était très famille, la preuve était que c'était elle qui avait épaulé Alaska quand celle-ci était venue la trouver, lui annonçant par la même occasion qu'elle avait une cousine cachée, que sa tante et son oncle avait abandonné leur fille et qu'ils avaient menti pendant tout ce temps, prétendant que sa tante était stérile. Foutue famille! Le mensonge ne les avait pas épargné et Dieu savait combien Clélia détestait cela. Elle ne leur en avait d'ailleurs pas encore parlé, attendant qu'Alaska soit vraiment prête aux aveux. La demoiselle continuait donc sa vie tranquillement. Après avoir fait deux années en mannequinat, elle avait rencontré son premier amour, le seul qui avait compté jusqu'alors. Grâce à lui, la jeune américo-australienne avait de nouveau cru à ses rêves et avait changé d'option, choisissant la gynécologie. S'occupper de femmes enceintes, les rassurer et les aider à donner la vie avant de prendre soin de leur nourrisson jusqu'à ce qu'il soit prêt à rentrer chez lui, tel était son futur métier. Et incontestablement, la demoiselle était faite pour cela, son chéri avait su l'encourager au bon moment. Les deux jeunes étaient parfaitement heureux et amoureux. Ils s'étaient fiancés mais quelques mois après sa demande, le jeune homme avait reculé, ayant peur de s'engager. Clélia en avait été si blessée qu'elle s'était jurée ne plus jamais retomber amoureuse. La douleur était trop forte. Jusqu'à présent, elle avait parfaitement réussi son challenge. Bien sûr, elle avait eu quelques coups de coeur mais jamais de grand amour. C'était sans compter sur Nathanaël. Pourtant, le jeune homme n'avait rien fait pour la draguer. Il se comportait comme un simple ami, super proche et super complice. Cela avait fini par suffire pour que Clélia succombe. Et c'était seulement maintenant que la demoiselle se rendait compte de cela. Parfois, il n'y avait pas besoin de chercher très loin pour trouver la bonne personne. Parfois cette personne se trouvait juste à côté. Comme à cet instant. En effet, Nathanaël venait d'arriver et de la soulever du sol. On aurait pu les prendre pour un couple de jeunes amoureux à les voir ainsi. Et même si ce n'était pas le cas -du moins pas encore- Clélia aimait cette idée qu'on aurait pu associer Nathanaël et elle. Même si elle pensait n'avoir aucune chance avec son ami, la demoiselle pouvait toujours caresser cette idée dans ses rêves. Rien ne pouvait l'en empêcher et Nathanaël n'en serait jamais au courant. Sauf si il se rendait compte à quel point elle était heureuse à ses côtés. Ses prunelles bleues étincellaient si fort... Clélia était tellement perturbée par ses sentiments nouveaux qu'elle venait de découvrir qu'elle ne vu même pas le sourire béat de Nathanaël. Sourire de cette manière, ce n'était pas un signe? De toute façon, quand on était amoureux, on voyait des signes partout alors... Nathanaël reprit la parole, se renseignant sur son examen.
- A un moment donné, j'ai eu un stress énorme. Je n'arrivais plus à me souvenir d'une réponse à une question très importante. Tu aurais pu m'être d'une aide très précieuse si tu avais été dans la salle.
L'examen du jour était la chirurgie précisément chez les jeunes enfants. Les études d'infirmières étant très poussées à Fordham, Clélia avait dès fois cette impression qu'elle pourrait finir docteur. Sauf que les études étaient moins longues et moins fatiguantes. Clélia en venait à admirer le courage de Nathanaël. Les heures que devaient prester les internes en chirurgie n'étaient pas de tout repos. Et la lutte, afin d'être le meilleur et d'avoir les meilleures opérations, était acharnée entre les candidats. Une fois Clélia avait parlé avec une interne en première année qu'elle avait retrouvée en larmes dans les toilettes. La pression était tellement forte qu'elle avait craqué. De son côté, Clélia n'avait jamais ressenti cette pression. Les infirmières ne se battaient pas pour avoir des patients, elles s'occuppaient d'eux à tour de rôle et chacun avait son travail bien organisé. Nathanaël venait de lui parler de passion, c'était exactement ce qu'il fallait quand on faisait un métier dans la médecine. La demoiselle n'eut même pas la puce à l'oreille à ce sujet. Comment Nathanaël pouvait connaître cette passion, il ne l'avait jamais vue à l'oeuvre? Clélia s'en serait même rendue compte qu'elle aurait tout simplement pensé qu'à la manière dont elle parlait de son travail, cela se voyait qu'elle était passionnée. En effet, la jeune fille n'aurait jamais pu s'imaginer que son ami l'avait déjà observée plusieurs fois. Elle n'osait jamais mais la seule fois qu'elle l'avait vu lui avait suffi à se l'imaginer père. Nathanaël ferait un excellent papa, elle en était certaine. Mais ne nous égarons pas. Clélia demanda à son tour comment la journée de son ange s'était déroulée. Elle écouta attentivement la réponse de Nathanaël.
- Félicitations! C'est un évènement qui se fête! Mais bon, j'ai toujours dit que le Docteur Owberry avait un très grand avenir devant lui, cela ne m'étonne même pas.
Clélia lança un clin d'oeil au jeune homme. La demoiselle avait toujours cru en lui. De plus, Nathanaël était tout aussi passionné qu'elle pour son métier et pour les enfants. Elle s'imaginait que cela devait être très dur pour lui si jamais il lui arrivait de perdre un enfant. C'était un peu pour cette raison que Clélia avait choisi la gynécologie. Il était très rare de perdre un bébé bien que les morts né existaient malheureusement. Fort heureusement pour Clélia, cela ne lui était jamais arrivé. La jeune américo-australienne ne savait d'ailleurs pas si elle s'en remettrait le jour où cela lui arriverait. Alors que Clélia félicitait le jeune homme, deux demoiselles l'observaient avec envie. Clélia avait donc pris son ami par le bras, histoire qu'elles ne s'imaginent pas qu'il était libre. C'était pourtant le cas mais Clélia osait à peine s'avouer que cela lui ferait quelque chose si jamais Nathanaël sortait avec une autre fille qu'elle. Et en ne lui avouant pas son amour, il était probable qu'il lui échappe et retrouve une de ces filles, si on émettait l'hypothèse qu'il était bel et bien attirés par les jeunes filles. Après tout, Clélia ne pouvait le savoir, elle n'avait jamais vu Nathanaël s'afficher avec l'une d'elle. En tout cas, une chose était sûre, ce petit côté protecteur et jaloux faisait pouffer de rire Nathanaël. Le jeune homme avait passé son bras autour des épaules de Clélia. Celle-ci le tenait par la taille et elle était parfaitement bien comme cela. L'ascenseur arriva enfin et il pénétrèrent ensemble dans la cabine. Nathanaël appuya sur le bouton et l'ascenseur entreprit son ascension vers le rez-de-chaussée.
- Je n'ose même pas l'imaginer! Le pire, c'est qu'on aurait même pas de champagne pour fêter tes opérations solos...
Le ton était léger. Clélia était loin de se douter que tout allait mal tourner. En effet, les deux jeunes n'eurent pas le temps d'en rire que la mécanique dérailla et que l'ascenseur resta bloqué. Impossible de savoir si ils étaient entre deux étages ou non. Une chose était juste certaine: ils se retrouvaient tous les deux dans cette boîte à sardines et ils ne savaient pas quand ils allaient en sortir. Nathanaël eut tellement l'air déconfit que Clélia laissa échapper un petit rire; bien que la situation ne fut pas marrante. Mais son côté positif reprit très vite le dessus: cela aurait pu être pire. Elle était renfermée avec le plus bel homme de l'hôpital, elle n'allait pas s'en plaindre.
- Préviens-moi le jour où tu ressens encore les catastrophes à l'avance. Nous prendrons l'escalier.
Nathanaël, oiseau de mauvais augure. Mais à vrai dire, il était difficile pour Clélia d'en vouloir au jeune homme. Elle lui adressa donc un sourire, comme si la situation était tout à fait normal et qu'elle avait cette habitude d'être renfermée dans les ascenseurs bloqués. Nathanaël prit les choses en main en appuyant sur l'alarme. Une voix leur indiqua que les réparateurs allaient arriver, qu'ils leur fallaient patienter et en cas de problème, pousser une nouvelle fois sur l'alarme. Nathanaël poussa un soupir, en lâchant Clélia et la demoiselle se retint de soupirer à son tour. Elle posa son sac de cours dans un coin de l'ascenceur.
- Moi aussi j'avais rêvé mieux pour notre après-midi. Mais bon, on va bien trouver quelque chose à faire pour passer le temps.
Contre toute attente, son gsm se mit à vibrer. Etait-il possible qu'il y ait du réseau? Clélia observa son gsm et lut le message que Milan venait de lui envoyer. Une petite soirée lui était proposée. Mais à cet instant, la demoiselle n'avait plus vraiment envie de passer une soirée en tête à tête avec Milan. Ce qu'elle venait de se rendre compte au sujet de Nathanaël changeait tous ses projets. Et tant pis si il ne se passait rien entre eux, elle resterait simplement célibataire. Personne ne pourrait égaler Nathanaël. Clélia répondit donc à Milan qu'elle avait d'autres projets et que ce serait pour une autre fois. La réponse ne s'envoya pas, le réseau s'était envolé. Clélia haussa les épaules, rangea son gsm et porta une nouvelle fois son regard sur le beau Nathanaël. Dans cette position inconfortable, son esprit pourrait se mettre à vagabonder vers une situation un peu plus sensuelle, comme dans la chanson de Calogéro. 'En apesanteur, pourvu que les secondes soient des heures' Mais ce n'était pas tout à fait la même situation. Redescends sur terre Clélia! La demoiselle secoua la tête et reprit la parole, pour essayer de cacher ses pensées pas très catholiques.
- Dis-moi Nath', tu as des projets pour les vacances?
Bon d'accord c'était nul mais bon c'était la première chose qui lui était passé par l'esprit. Déjà que son cerveau refusait de fonctionner correctement quand il était si proche du jeune homme, alors la situation n'était pas pratique du tout. Comment Clélia allait-elle gérer la situation et réussir à tenir renfermer un long moment avec Nathanaël sans rien lui avouer?
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Tazio G. Mancini le Lun 27 Juin - 2:08, édité 14 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:51
L'histoire
Et là c'est le moment où je vous parle de ma vie. Je vais d'abord commencer par vous parler un peu de ma famille, histoire que vous compreniez dans quel monde j'ai mis les pieds. Mon père, Diego Mancini est un homme très riche. En effet, il est à la tête d'une grande entreprise vendant des produits pharmaceutiques dont je ne citerais pas le nom. Et depuis que son père lui a légué l'entreprise, il est devenu milliardaire. L'argent, ça le connaît donc. Les voyages d'affaire aussi d'ailleurs. Ma mère quant à elle - Amber - est une grande cardiologue américaine dont la renommée n'est plus à faire. Alors qu'elle était jeune, elle voulait voyager et c'est ainsi qu'elle a participé à médecin sans frontière. C'est de cette manière qu'elle a rencontré mon père. Alors qu'elle allait être affectée dans un pays très pauvre, on l'avait envoyé chercher des dons auprès de généreux donateurs. L'entreprise de mon père était sur la liste et Amber avait donc rencontré Diego, qui tomba de suite sous le charme de ce petit bout de femme passionnée de médecine. Il accepta de faire un don à condition qu'elle accepte de dîner avec lui. Ce fut chose faite. L'argent fut bien versé mais Amber ne vit pas ce petit pays d'Afrique qui aurait tant eu besoin de ses talents. Au lieu de cela, la demoiselle se posa en Italie et décrocha vite un poste en temps que cardiologue. Elle accumula très vite les heures à l'hôpital. J'ignore d'ailleurs comment mes parents ont fait pour se voir et pour prendre le temps de se marier. C'est donc entre deux voyages d'affaire pour mon père et deux opérations pour ma mère, qu'ils se marièrent à Catanzaro. Il paraîtrait que c'est pour leur un an de mariage que je fus conçu. Maman fut obligée d'arrêter de travailler quelques mois avant l'accouchement. On lui avait dit qu'elle attendait une fille et elle avait donc commencé à tricoter des vêtements pour moi. Sauf que quand j'ai pointé le bout de mon nez le 12 juillet 1989 le gynécologue constata qu'il s'était trompé sur toute la ligne. La surprise de ma mère fut énorme, tout comme sa déception. Le seul qui fut ravi par cette erreur fut mon père. Lui voulait absolumment un petit Mancini, pour assurer la continuité du nom et un jour prendre la tête de son entreprise. Ma mère n'ayant cherché que des prénoms féminins, laissa donc mon père choisir. Je me nomme donc Tazio. Tazio Gregorio Sandro Timéo Mancini pour être précis. Mais je dois vous avouer que je ne sais pas ce qui est passé par la tête de mon père le jour où il a décidé de me nommer ainsi. Tazio. A cause de ce prénom, on m'a longtemps surnommé Taz. Et ça, c'est pas la meilleure des choses qui me soit arrivée. Alors bien souvent, je me présente sous mon deuxième nom. Il n'y a que mes professeurs et mes amis les plus proches qui connaissent mon véritable prénom. Pour les autres, je suis Gregorio ou Greg. Et je suis le seul enfant de ma mère et de mon père. Les premiers mois de ma vie furent idyllique. Ma mère avait pris des congés de maternité et mon père rentrait assez tôt du travail. J'étais donc entouré d'amour. Malheureusement, cela ne dura pas.
Je devais avoir sept mois, peut-être huit, mes parents ne sont pas très en accord sur la date mais après tout cela n'a pas énormément d'importance. C'est à cette époque que mes parents décidèrent de divorcer. Il n'y avait pas eu de dispute, de toute façon, ils n'en auraient pas eu le temps. Ma mère avait recommencé à travailler, me confiant à une nourrice. Mon père quant à lui accumulait les voyages d'affaires. Il était à présent bien loin le temps où ma mère s'occuppait de moi et mon père rentrait tôt du boulot. Cela ne faisait que deux mois que cela s'était arrêté mais cela avait suffi à détruire leur couple. Il s'était murmuré que maman avait été infidèle. Mais moi, quand j'y repense, je me dis que l'infidélité venait des deux côtés. C'est vrai que depuis, ma mère accumule les hommes mais mon père lui, s'est remarié juste quelques mois après son divorce. Alors, moi je me dis que mon père devait connaître cette femme bien avant et que donc, lui aussi y était pour quelque chose dans l'échec de leur couple. Mais bon, revenons à nos moutons. Maman avait eu ma garde et elle avait confié ma vie entre les mains d'une nourrice italienne. C'est cette nourrice qui me vit faire mes premiers pas, c'est elle que j'appelais maman et c'est aussi elle qui me conduisit à mon premier jour d'école, dans mon école maternelle privée de Catanzaro. Il semblait que le divorce de mes parents ne m'avaient pas beaucoup perturbés. Une chose était certaine, j'étais un petit enfant sociable et je me fis vite un ami. Il s'appelait Alessio et nous faisions toujours tout ensemble. C'est d'ailleurs avec lui que je me suis blessé en voulant grimper à un arbre. J'étais bien trop petit pour y arriver mais impulsif comme je l'étais déjà, je n'avais pas pensé que je n'y arriverais pas et avait foncé dans ce challenge. Ce qui me valu de belles égratinures et une cicatrice au bras gauche. Ma vie semblait donc stable. J'allais chez mon père un week-end sur deux et mon père s'arrangeait toujours pour être présent. Quand il ne le pouvait pas, c'était sa nouvelle femme, Néolyah, qui s'occuppait de moi. Elle était très douce et très caline et je l'avais très vite adopté. En un mot, je l'adorais, elle était comme une deuxième mère pour moi, ma première étant ma nourrice! Mais comme ma vie n'était pas faite pour être stable, un jour ma mère reçu une proposition d'emploi qui emanait d'un grand hopital de New-York. Elle n'hésita pas longtemps avant d'accepter. Et sans me demander mon avis -de toute façon, j'étais bien trop petit- elle nous emmena ma nourrice & moi en Amérique. Les premiers mois furent très durs. Ma mère avait engagé un professeur particulier qui devait m'apprendre l'anglais mais je ne faisais pas de gros progrès. J'avais quatre ans et je préfèrais jouer plutôt que d'apprendre. De plus, mon père et sa femme me manquaient et ma nourrice m'avait déjà expliqué que je ne les reverrais que pendant les vacances. Je débutais ma scolarité américaine l'année d'après. J'avais déjà été scolarisé en Italie donc il n'était pas difficile pour moi d'obéir à la maîtresse. Je me fis même quelques amis, malgré le fait que je parlais l'anglais avec un accent italien fort prononcé. Etrangement, j'étais plus proche des filles que des garçons. Je passais les trois quarts de mon temps avec Justyne et je disais à qui je voulais l'entendre que c'était ma petite amoureuse. Justyne était sans aucun doute ma meilleure amie. Elle changea d'école et c'est ainsi que je perdis la personne à qui je tenais le plus dans l'établissement. J'avais donc six ans quand je débutais l'Elemantary School. J'étais dans une école privée, ma mère ayant de l'argent pour me payer mon inscription. Cette année-là, j'appris donc à lire et à écrire. C'est également cette année là que ma mère m'inscrivit au cours de danse classique. Etait-ce parce qu'elle avait toujours voulu une fille? C'était une décision riddicule car elle n'était même pas présente lors de mes spectacles. Mais bon, je m'amusais assez à ce cours et j'étais entouré de filles avec qui je m'entendais très bien. Je pense que la seule chose que le cours de danse classique m'a appris c'est la souplesse. Parce que la rigueur, je ne suis plus certain de l'avoir encore maintenant. Mes années se déroulaient sans problème et je me révélais être un bon élève. La seule chose que mes professeurs me reprochaient était mon bavardage intensif. Alors que j'avais neuf ans, ma mère me fit arrêter la danse classique et me mit dans un cours de danse de salon. C'est là que j'appris la salsa entre autre. J'ignore encore maintenant pourquoi elle avait choisi ce cours et pas un autre et je pense que je ne le saurais jamais. Elle ne venait toujours pas au spectacle et c'est toujours ma nurse qui s'occuppait de moi. Je parlais donc toujours l'italien avec elle et cela me rappelait mon pays. Je ne souffrais pas du manque d'affection car je le prenais auprès de cette dame. Ma mère ne pouvait pas me manquer car je ne la connaissais pas. C'est dans cette ambiance que je terminais mon Elemantary School.
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11 ans, l'âge de mon entrée à la Middle School mais surtout le moment où je commençais à entrer dans ma période pré-adolescence. Je sentais que mon corps commençait à changer. Des poils poussaient à des endroits que je n'avais pas soupçonné, ma voix muait -ce qui avait le don de faire rire certains adolescents plus âgés-, des boutons s'affichaient sur mon visage,... mais je ne sais pas si c'était cela le pire. Quelques mois après le début de mes premiers symptômes d'adolescent, ma mère -que je voyais toujours par épisodes- se mit en tête de me faire porter un appareil dentaire. Pour redresser mes dents. Moi, je les trouvais très bien comme ça mais son chéri de l'époque -un dentiste- avait insisté pour que j'en porte un. Après, tu seras beau comme un Dieu, avait-il dit pour me convaincre. Mais tout ce que je savais à ce moment-là, c'est que l'appareil m'avait procuré un nouveau surnom: bouche de fer. Et avoir ce surnom-là à presque douze ans, c'était la pire chose qui pouvait arriver. Je me sentais de moins en moins bien, j'avais de moins en moins confiance en moi et je me rebellais contre tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une loi. Les seuls moments où je voyais ma mère se terminaient en dispute. Contre son avis, j'arrêtais la danse de salon et je passais les selections de basket. J'avais déjà fait ce sport à l'école mais sans plus. Etonnemment, je fus pris dans l'équipe. Mon énergie avait séduit l'entraîneur et je semblais assez doué avec un ballon en main. Mes journées se résumaient donc à aller en cours et à m'entraîner pour les futurs matchs. Plus rien d'autre n'avait d'importance. Les années passaient donc pour moi sans trop de souci. J'entrais à la High School privée de la ville et je changeais radicalement de sport. Les sports aquatiques m'attiraient et très vite, je me mis au water-polo. La précision que j'avais aquis en jouant au basket m'aida énormément. Mes notes scolaires étaient toujours excellente. Rien ne semblait me perturber. Ni le fait que je ne voyais que mon père pendant les vacances et encore moins le fait que ma mère accumulait toujours les conquêtes. De toute façon, pour le peu que je la voyais, cela n'avait pas de grande importance. Je passais donc de Freshman à Sophomore. C'est cette année-là, alors que j'avais 16 ans, que je tombis pour la première fois amoureux. Et jusqu'à présent, cela ne s'est plus reproduit. Je me souviens d'elle comme si c'était hier encore que je la tenais dans mes bras. Venant de la même école que moi, elle avait elle aussi le même niveau social. Pour moi, ce n'était pas important mais je savais que pour mon père et le reste de la famille, cela l'était. Nous avions le même âge et je n'avais jamais vu une aussi jolie demoiselle. Nous filions le parfait amour et pendant le reste de mes années, je partageais mon temps entre mes cours, le sport et elle. L'année d'après, elle fut à mes côtés quand je perdis mes grands-parents maternels. Ce fut une épreuve très dure pour moi, d'autant plus qu'ils représentaient mes modèles de personnes adultes équilibrées. Ils avaient toujours été là pour moi et je ne m'en remettais pas. Je m'étais donc renfermé sur mes cours. Et il n'y avait que Lyna pour me comprendre. C'était d'ailleurs la seule à qui je me confiais. De jour en jour, elle prenait une place énorme dans mon coeur. Je nous voyais déjà tous les deux veillir ensemble. Il me fallu un peu plus d'un an pour me remettre du décès de mes grands-parents. La même année, je réussissais mon bac. Et je n'avais aucune idée de la voie que je voulais emprunter.
J'avais donc 18 ans, le bac en poche mais je ne me voyais dans aucune branche et je n'aurais su répondre à la question: que veux-tu faire plus tard comme métier? Profiter de la vie n'en était pas un et pourtant, c'était tout ce que je souhaitais faire: vivre à fond ma vie d'adolescent. Pendant les deux mois de vacances, j'accumulais les soirées où je fumais comme un pompier et où je rentrais complètement bourré. Ma mère étant rarement là pour me sermonner, je n'avais aucune limite et cela me plaisait. C'était aussi la première année où je ne passais pas mes vacances d'été en Italie. Lyna était là et je ne voulais être qu'avec elle et mes potes. C'est d'ailleurs avec l'un d'eux que j'eu l'idée de faire une année sabbatique. C'était déjà la grande mode à l'époque et l'envie de découvrir des horizons lointains, une nouvelle culture, m'enchantait énormément. J'avais expliqué à mon père que c'était dans le seul but de me découvrir et de trouver ma voie. Il m'avait dit que ma voie était toute tracée, que je reprendrais un jour l'entreprise mais que comme j'étais jeune, je pouvais m'amuser un peu. Il me finança donc et nous partimes, Lyna, mon meilleur pote et moi. Nous avions prévu de passer quelques mois dans plusieurs pays du Magreb. La culture arabe me fascinait, autant leur religion que leur mode de vie et leur langue. Nous avions donc commencé notre voyage en Egypte. Nous logions chez des autochtones à qui nous versions de l'argent chaque semaine. Nous y sommes restés trois mois et cela n'était pas suffisant pour faire tout le tour de l'histoire de ce magnifique pays. Mais nous avions prévu de ne faire que trois mois dans chaque pays pour pouvoir en faire plusieurs en un an seulement. Nous avions ensuite fait le Maroc et ce fut dans ce pays que j'eus ma première grosse dispute avec Lyna. Elle me reprochait d'être trop proche de la fille de notre hôte alors que je ne faisais que parler de temps à autres avec elle. Je ne savais pas que Lyna pouvait être aussi jalouse... Après le Maroc, nous nous rendîmes en Algérie. Je ne peux pas dire que j'ai d'excellents souvenirs de là-bas. Il faut dire que je n'y suis resté que deux semaines à cause de mes compagnons de voyage. Je crois d'ailleurs que j'aurais préféré ne pas voir ce que j'ai vu cette soirée-là. J'avais prévu d'aller faire une balade sur la plage au coucher du soleil. C'était pour moi un moment reposant où j'en profitais pour réfléchir à mon avenir. Lyna avait préféré rester à la maison. Mon pote aussi. Quand j'y repense, j'aurais dû m'en douter, ils devenaient de plus en plus proches depuis notre fameuse dispute au Maroc. Ce soir-là, je restais moins longtemps que prévu sur la plage et quand je rentrais chez notre hôte, je retrouvais Lyna dans la chambre de mon meilleur pote, et ce qu'ils faisaient, je ne saurais jamais l'oublier. J'avais été trahis par mon amoureuse et par mon meilleur ami! Impulsivement, je décidais de faire mes bagages et de quitter le plus vite possible le pays. Je ne pouvais pas rester avec ces deux-là, je me sentais tellement humilié, tellement mal. Je décidais donc de me rendre beaucoup plus tôt dans le dernier pays que nous aurions dû visiter à trois, si tout n'avait pas été différent. C'est ainsi que je restais cinq mois en Tunisie. J'étais seul, pas très heureux, mais je fis des rencontres fabuleuses. Je n'avais auparavant jamais rencontré de peuple aussi accueillant. Bien sûr, j'avais toujours été bien reçu, mais ici, j'avais cette impression d'être comme chez moi. Pendant ces cinq mois, j'eu le temps d'apprendre l'arabe; de visiter tous les lieux importants dont le célèbre café des délices et me faire de très bons amis, avec qui je corresponds encore par e-mail régulièrement. C'est surtout grâce à eux que j'oubliais un peu la plaie qui s'était ouverte dans mon coeur. En rentrant en Amérique, je me jurais de ne plus jamais tomber amoureux. C'est ainsi que j'accumulais les fêtes et les filles, sans jamais m'accrocher. Tout était mieux ainsi, je m'empêchais de souffrir même si je n'étais tout de même pas complètement heureux. Mon voyage m'avait fait perdre mon meilleur ami et ma chérie mais j'avais découvert que j'étais un être curieux et j'avais décidé de mettre cette curiosité à profit en étudiant le journalisme. Je m'inscrivis donc à New-York University dans l'option journalisme et photographie tout en faisant croire à ma mère que je faisais médecine, ce qui m'évitait la pression qu'elle m'aurait mise en essayant de contrôler ma vie. L'année suivante, je fis un petit boulot de serveur -je ne voulais dépendre de personne- et j'emmenageais dans un petit studio. Cette année-là, je m'essayais à la guitare mais j'abandonnais l'idée de devenir musicien quand je cassais pour la quatrième fois mon instrument sur le sol. Je n'étais pas assez patient pour cela. Je repris donc la danse -contemporaine cette fois-ci- et je commençais le break-dance. Bien sûr, je ne disais rien de tout cela à ma mère mais je n'avais pas à lui mentir puisque je ne la voyais presque plus. Elle passait tout son temps libre avec un jeune interne qui avait quelques années de plus que moi. D'ailleurs, elle sort toujours avec lui à l'heure actuelle. Je ne m'entends pas avec lui mais bon, ce n'est pas non plus le plus important. Aujourd'hui, j'ai bientôt 23 ans et je vais rentrer en troisième année. J'ai toujours d'excellentes notes et je croque la vie à pleine dents. Je ne reste pas deux minutes en place, accumulant les activités. Comme je me l'étais promis, je ne suis plus tombé amoureux. Mais j'ai un autre problème assez important: mon père s'est mis en tête de me fiancer dans quelques mois à une fille de famille tout aussi riche que la nôtre. Je ne connais pas la demoiselle mais je ne veux pas me fiancer ni me marier avec une fille dont je ne suis pas amoureux. Il faut donc que je trouve un moyen de déjouer ses plans. En attendant, je vis au jour le jour, simplement.
Dernière édition par Tazio G. Mancini le Lun 27 Juin - 1:31, édité 8 fois
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:51
re-bienvenue
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:52
Merci
Dernière édition par Tazio G. Mancini le Ven 24 Juin - 0:53, édité 1 fois
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:53
francisco Bienvenue
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 0:54
& oui, pour finir je l'ai choisi Merci Serena
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 1:08
Re bienvenue, dc de je ne sais qui & bon courage pour la fiche!
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 1:19
Haaa, le mystère reste entier Du moins tant que je n'ai pas posté l'exemple de rp Merci Burberry
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 1:23
Burberry V. Da Vindicci a écrit:
Re bienvenue, dc de je ne sais qui & bon courage pour la fiche!
moi je sais
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 1:24
Ah, je crois savoir qui tu es.
Dylan
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 1:34
Re-bienvenue parmi nous Moi, j'ai hâte de connaître ton identité
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 2:43
Francisco Re-bienvenue, et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 7:14
Welcome Mister :walrus:
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 7:56
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 8:58
Je te réserve the BG jusqu'à vendredi 1er juillet.
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 9:17
Lachowski
Re bienvenue
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 9:44
Dylan L. Cooper a écrit:
Burberry V. Da Vindicci a écrit:
Re bienvenue, dc de je ne sais qui & bon courage pour la fiche!
moi je sais
Sans tricher? Ou mon adresse IP t'a beaucoup aidée
Burberry V. Da Vindicci a écrit:
Ah, je crois savoir qui tu es.
Dylan
Ha oui?
Shayleen A. Burberry a écrit:
Re-bienvenue parmi nous Moi, j'ai hâte de connaître ton identité
Merci Shayleen Enocre un peu de patience & je mettrais ce fameux exemple révélateur
Hope A. Kylinson a écrit:
Francisco Re-bienvenue, et bonne chance pour ta fiche.
Merci Hope
David D. Jagger a écrit:
Welcome Mister :walrus:
Thanks
Tyler N. Dixon a écrit:
Re-Bienvenue
Merciiiii
June D. Hathaway a écrit:
Je te réserve the BG jusqu'à vendredi 1er juillet.
Merci beaucoup , normalement, je termine ma fiche pendant ce week-end
Maya L. Fabregas a écrit:
Lachowski
Re bienvenue
Merci Maya
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 12:01
ReBienvenue beau gosse
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Sujet: Re: Tazio G. Mancini ♠ Life isn't a fairytale Ven 24 Juin - 12:31
FRANCISCO j'aurais le droit de te violer ? Re-bienvenue. et je cherche toujours qui t'es.
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.